Pour une cannette!!

- Par l'auteur HDS Killbarby -
Récit érotique écrit par Killbarby [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Pour une cannette!! Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-07-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
Pour une cannette!!
**Paris, hiver 2025, 22h30, Barbès.**
Le froid tranche la peau, l’air saturé d’odeurs d’asphalte mouillé, de graillon de kebab et de tabac rance. Les néons des boutiques jettent des lueurs criardes, rouges et bleues, sur les trottoirs luisants. Moi, **Marc**, 38 ans, 1m84, 90 kilos, flic en civil, mes muscles saillants tendent ma veste en cuir noir. Sous mon jeans, un short de sport gris clair moule mes cuisses, ma bite de 8 cm cachée dans un boxer blanc. Mon badge pend à ma ceinture, mon flingue glisse dans son étui. Je patrouille seul, l’œil aiguisé, traquant les petits délits qui pourrissent Barbès. Mon souffle forme des volutes, mes boots claquent, mais mon cœur bat déjà trop fort, une tension sourde dans mes tripes.

**Dans l’épicerie**, l’odeur de tabac froid et d’épices bon marché me prend à la gorge. Les frigos bourdonnent, les néons clignotent, jetant des ombres sur les rayons poussiéreux. Le vendeur, un vieux bedonnant, scrolle son phone, ailleurs. Au fond, près des boissons, je repère **Karim**, 22 ans, 1m88, 95 kilos, rebeu, barbe taillée, cheveux noirs bouclés sous une capuche Nike. Son jogging gris moule des cuisses musclées et une bosse obscène – 19 cm, une teub qui déforme le tissu, arrogante même au repos. Il mate les canettes, mais ses gestes sont calculés, ceux d’un prédateur jouant l’innocent. Je me poste près des chips, feignant de lire une étiquette, mais mes yeux dérivent sur lui. Sa démarche assurée, son corps élancé, et cette putain de bosse m’hypnotisent. Mon pouls s’accélère, ma gorge s’assèche. Je me sens minuscule, comme si sa simple présence rétrécissait ma virilité. Merde, il me grille. Ses yeux noirs croisent les miens, un sourire narquois étire ses lèvres. « Tu mates quoi, fréro ? Ma queue te fait baver ? » lâche-t-il, sa voix traînante, un mélange de mépris et d’amusement. Mon visage s’enflamme, rouge écarlate, une vague de honte me submerge. Je baisse les yeux, mon badge de flic me brûle la ceinture. « Ferme-la », je marmonne, mais ma voix tremble, un filet pathétique. Je sens son regard peser sur moi, comme s’il voyait à travers ma façade de dur. Il ricane, glisse une canette de Red Bull et un paquet de clopes dans son sac, puis passe à côté, son épaule frôlant la mienne. « P’tit voyeur », murmure-t-il, son souffle chaud effleurant mon oreille. Mon cœur cogne, un mélange de rage et de trouble me noue le bide.

Je le suis, la honte pulsant dans mes veines, mais mon devoir me pousse. Dehors, il s’enfonce dans une ruelle crade, puant la pisse et les ordures, les murs tagués luisant sous un lampadaire faiblard. « Police ! Mains en l’air, pose le sac ! » je hurle, ma voix rauque, tentant de reprendre le contrôle. Il se retourne, son sourire plus large, plus cruel. « Relax, poulet, c’est qu’une canette », dit-il, posant son sac, mais ses yeux me dissèquent. Mon regard, malgré moi, glisse sur son jogging, sur cette bosse énorme qui semble gonfler sous l’adrénaline. Il capte, ricane. « T’es sérieux, flic ? Toujours en train d’mater ma teub ? T’as un clito qui gratte, c’est ça ? » Sa main frôle son entrejambe, un geste provocant, calculé. Mon visage brûle, je déglutis, mes jambes flageolent. Il me voit vaciller, et ça l’excite – je le sens dans son regard, un éclat sadique. « À genoux ! » je grogne, mais ma voix sonne creuse, désespérée. Il s’approche, sa présence écrasante, et je sens mon autorité s’effriter comme du sable.

Il me pousse d’un coup d’épaule, 95 kilos de muscles tendus. Je trébuche, attrape son poignet, mais il se dégage, vif comme un fauve. « T’es pas sérieux, flic ! » grogne-t-il, et il charge. La bagarre explose, brutale. Mon crochet rate, son poing s’écrase sur ma mâchoire, une douleur blanche me traverse. Mes 90 kilos vacillent, je tente un coup de genou, mais il m’empoigne par la veste, me plaque contre le mur de béton, l’odeur d’humidité et d’essence me brûlant les narines. Mon flingue tombe, glisse sous une poubelle rouillée. Il me jette au sol, mon cul musclé claquant sur le bitume glacé, une douleur aiguë remontant ma colonne. Je suis à genoux, haletant, mon jeans déchiré au genou, ma veste à moitié arrachée. Karim, au-dessus, respire fort, son jogging tendu à craquer par sa teub de 19 cm, qui pulse sous le tissu. Il savoure ma faiblesse, ses yeux brillent d’un triomphe cruel. « T’aimes mater, hein, poulet ? » ricane-t-il, son phone en main, le flash m’aveuglant. « Déshabille-toi, lope. Montre-moi ton clito de merde. »

Mon cœur s’emballe, la honte me tord les tripes. Je veux résister, mais son regard me cloue, impitoyable. « Déshabille. Toi », répète-t-il, sa voix basse, un ordre qui vibre comme un fouet. Il tire mes cheveux, ma tête bascule en arrière, une douleur cuisante au cuir chevelu. Mes mains tremblent, je défais ma ceinture, le métal cliquetant dans le silence de la ruelle. Mon jeans glisse sur mes cuisses, révélant mon short gris clair, moulant, déjà taché de sueur. « Tout, salope. Short, boxer, montre ton cul de femelle », grogne-t-il, filmant, son sourire sadique s’élargissant. Je baisse les yeux, le visage en feu, et fais glisser mon short, puis mon boxer blanc. Ma bite, rétractée à 5 cm sous le stress, pend misérablement, mes couilles serrées, exposées. Un frisson d’humiliation me traverse, mes joues brûlent, je sens mes larmes monter. Karim siffle, un son long, moqueur, qui me transperce comme une lame. « Putain, un clito de gamin ! T’es pas un mec, t’es une chienne ! » ricane-t-il, zoomant sur ma bite minuscule. Il s’approche, sa présence m’écrase, et sa main calleuse frôle mon gland, un contact brûlant qui m’arrache un sursaut. « Ça bande même pas, ça », murmure-t-il, son pouce écrasant ma bite, envoyant une décharge d’humiliation dans tout mon corps. Je gémis, un son faible, pathétique, qui le fait ricaner.

Sa main glisse sous mes couilles, atteint mes fesses musclées. Ses doigts écartent ma raie, son index inquisiteur frôlant mon trou serré. Mon corps se raidit, un frisson de panique et de honte me parcourt. « T’es tout serré, femelle », murmure-t-il, son doigt forçant l’entrée, s’enfonçant d’un coup sec. Une douleur aiguë me déchire, je tremble, mes jambes cèdent presque. « P… putain, arrête… s’il te plaît… » je marmonne, ma voix brisée, à peine audible, un filet de supplication qui me fait haïr ma propre faiblesse. Ses yeux s’illuminent, il jubile, son doigt fouillant plus profond, explorant mon cul avec une lenteur sadique. « T’aimes supplier, hein, lope ? T’es déjà à moi », grogne-t-il, sa voix rauque, son souffle chaud contre mon oreille. Il retire son doigt, crache un glaviot luisant sur mon visage, la salive coulant sur ma joue, chaude, humiliante. Chaque goutte me rappelle ma place : à ses pieds, brisé, nu.

Il baisse son jogging, son boxer noir révélant sa teub de 19 cm, épaisse, veinée, dressée comme une arme, luisant sous la lumière blafarde. « Regarde une vraie bite, poulet », siffle-t-il, empoignant ma nuque. Je grogne, un dernier sursaut de résistance : « Va t’faire… » Mais il me coupe, me plaque face contre le mur, le béton râpant ma joue, froid et rugueux. Mon cul musclé, exposé, frissonne dans l’air glacial. « T’es ma femelle, maintenant », murmure-t-il, crachant un glaviot chaud sur mon trou, la salive coulant, glissante, sur ma peau. Il enfonce sa teub de 19 cm d’un coup brutal, une douleur atroce me déchire, comme si mon corps se déchirait en deux. Je hurle, un cri rauque, animal, mes larmes coulent, brûlantes sur mes joues. Ma bite de 8 cm goutte de honte, un filet de mouille traître suintant malgré moi. Ses coups de reins sont sauvages, impitoyables, ses couilles claquent contre mes fesses, un rythme qui me secoue contre le mur. « Prends ça, salope », grogne-t-il, sa main claquante mon cul, chaque claque laissant une marque rouge, une brûlure qui pulse. Il tire mes cheveux, forçant ma tête en arrière, mon dos se cambrant, ma raie s’ouvrant plus pour sa teub. « T’aimes ça, femelle, hein ? Ton cul s’ouvre comme une fleur », ricane-t-il, sentant mon trou se relâcher sous ses assauts, mon corps trahissant ma volonté. La honte m’étouffe, un mélange de dégoût et d’une fascination malsaine pour sa puissance, sa domination. Chaque coup de rein enfonce son pouvoir, réduit mon badge de flic à une blague. Son foutre jaillit, brûlant, inondant mon cul, coulant sur mes cuisses tremblantes, une chaleur gluante qui marque ma soumission.

Il me retourne, me force à quatre pattes sur le bitume glacé, mes genoux râpant le sol. « Touche, lope », ordonne-t-il, guidant ma main sur sa teub encore dure, gluante de foutre et de ma mouille. Mes doigts tremblent, glissent sur sa peau chaude, chaque contact amplifiant ma honte. Il savoure ça, son sourire cruel illuminé par le flash de son phone. Il crache encore, un glaviot s’écrasant sur mon front, luisant sous le lampadaire. Puis il pisse, un jet âcre, brûlant, trempant mon torse, mon t-shirt gris collé à mes pecs, l’odeur me donnant la nausée. « Lèche mes Nike, salope », grogne-t-il, poussant ma tête vers ses pompes crades, boueuses. Ma langue râpe le caoutchouc, le goût de terre et de pisse me retourne l’estomac. Ses rires résonnent, un son qui me broie, chaque éclat me rappelant que je ne suis plus rien. Pour lui, je suis une chose, une femelle vaincue, et il s’en délecte, son pouvoir absolu pulsant dans ses moqueries.

« Dis que t’es ma femelle », ordonne-t-il, son phone braqué, filmant ma déchéance. Ma voix brisée, un murmure rauque, gémit : « J’suis… ta femelle… » Chaque mot me déchire, un aveu qui scelle ma honte. Mon jeans, mon boxer, déchirés, sont tachés de foutre, de pisse, de sueur. Mon cul luit, en feu, son sperme coule encore, une marque brûlante de sa victoire. Il claque mes fesses une dernière fois, une douleur rouge, cuisante, qui me fait gémir. « Rentre chez toi, salope », ricane-t-il, ramassant son sac. Il s’éloigne, sa silhouette s’effaçant dans l’ombre, son rire claquant comme un fouet dans la ruelle. Je ramasse mon flingue, mes menottes, mon jeans souillé, titubant vers les néons de Barbès. Le foutre colle à mes cuisses, mes larmes gèlent sur mes joues. La honte pulse dans mes veines, plus lourde que mon badge, une malédiction gravée dans ma chair, mon identité de flic réduite à cendres.

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Les avis des lecteurs

j'adore quand l'autorité change de camp. Super bonne histoire. :-)

Histoire Erotique
J'adore ces histoires de mec viril qui se la joue en essayant de cacher sa petite bite !



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