poursuite de mon dressage : Nadine ,et son cousin

- Par l'auteur HDS Patricia2 -
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Auteur femme.
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Récit libertin : poursuite de mon dressage : Nadine  ,et son cousin Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-06-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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poursuite de mon dressage : Nadine ,et son cousin
Nadine et son cousin

J’étais fébrile, j’allais revoir Nadine, je lui avais moi-même proposé de participer a
mon dressage, et tester le nouveau fouet sur moi.

Cette jeune femme qui pourrait être ma fille, et à laquelle j’allais devoir obéir,
cette jeune femme qui m’avait faite me déshabiller devant elle, son cousin comment
était il ?, Qu’allait il penser de moi ? Qu’allait il exiger ? cette jeune femme qui
avait un visage d’ange mais qui en réalité était diabolique

Pierre avait choisi les vêtements que j’allais porter : bottes type cuissardes, jupe
ample et très courte, un chemisier que l'on peut aisément ouvrir, sans culotte et sans
soutien gorge.

Un quart d’heure avant le rendez vous Pierre me fit lever, m’amena au dessous d’une
poutre a laquelle pendait une corde, me passa des bracelets a chaque poignet, et les
attachât au dessus de ma tête à cette corde et me mit un bandeau sur les yeux.

Mon cœur battait la chamade, mon ouie épiait le moindre bruit, j’entendis le
ronflement d’un moteur, puis, plus rien, brusquement la sonnette retentit, l’heure
était arrivée, je redoutais plus l’humiliation que le fouet, l’humiliation d’être
traitée en objet, de devoir obéir a « ma fille », j’étais obsédée par le fait que
Nadine pourrait être ma fille.

J’entendis Pierre se diriger vers la porte, Nadine faire les présentations, et Pierre
remercier Nadine de me faire l’honneur de bien vouloir s’occuper de moi.

Pierre proposa aux invités de boire un verre, puis

• Je vous laisse faire la connaissance de Patricia, pouvez vous faire les
présentations Nadine ?
• Volontiers

J’entendis les pas de Pierre s’éloigner et les pas de Nadine et son cousin se
rapprocher de moi

• Je te présente Patricia, c’est une bourgeoise en mal de sensations, elle a
certainement du être frustrée ou se frustrer elle-même de sexe, les fameux interdits
de la bourgeoisie, mais elle désire rattraper le temps perdu car l’age avance. Tu peux
l’utiliser comme tu l’entends et de la façon que tu le désires, si toutefois elle
t’intéresse.
Je la fouetterais simplement au préalable, cela rend une femme de son genre plus
coopérative, bref, elle exprime plus son plaisir après avoir été fouettée, et cela la
rend plus soumise

Nadine n’avait pas tort, bien que plus jeune que moi, elle était plus expérimentée

Je sentis deux mains s’insinuer sous mon chemisier, monter vers mes seins, brusquement
m’en pincer fortement le bout les bouts et les tourner, je hurlais de douleurs, une
main se dégagea, profita de ma bouche ouverte pour y introduire deux de ses doigts et
les faisait aller et venir, instinctivement ou soumission, j’ouvris encore plus la
bouche, il en prit possession, y introduisit quatre doigts qui allaient et venaient.
Je salivais abondamment, il se servait de ma bouche comme d’un vagin

• Tu vois tout a l’heure ta chatte sera dans le même état, baveuse et grande
ouverte, et comme ta bouche s’est ouverte, tu écarteras tes cuisses en grand, j’adore
caresser une chatter qui s’ouvre comme une moule

Ces suggestions me faisaient grandement mouiller, je m’en voulais que ce rustre puisse
me faire cet effet, tellement sur de lui, j’étais pour lui la catin qui allait se
donner, exécuter ses moindres désirs et de plus gratuitement, la femme qu’il allait
manipuler a sa guise a cause des ses désirs intimes

Ma bouche grande ouverte, ses quatre doits entraient, ressortaient, jouaient avec ma
langue, de son autre main il jouait a titiller le bout d’un de mes seins, ma bouche
demandait, quémandait ses doigts

Et j’aimais cela, cela m’excitait et je m’en voulais.

Il abandonnait ma bouche, je sentis une main se diriger vers mon entre jambe ma pudeur
m’ordonnait de serrer les cuisses, mon obéissance et envie me dictaient de m’ouvrir.
Je décidais de les écarter, je sentais ma chatte inondée, il allait se moquer de moi,
peut être ne fera t’il aucune remarque.

• Oh, la bourge qu’elle est bien trempée, je suis sur qu’une catin mouille moins
que cela, c’est bien ce que je disais, sa chatte est comme sa bouche, on peut y
enfoncer quatre doigts.

Il faisait aller et venir ses doigts en moi, m’obligea a écarter encore plus les
jambes, cette moule s’ouvre dès qu’elle est sollicitée, c’est un vrai plaisir

Je ne sentais pas la solidarité féminine de la part de Nadine, au contraire, elle
aimait a me voir humiliée, rabaissée.

• Bon cette bourge me semble digne d’être baisée, mais auparavant j’aimerai la
voir a poil

Il me détachât, m’ôta mon bandeau, m’ordonna de me mettre a poil
Il avait le visage rude, les épaules carrées, les mains épaisses, les yeux
inquisiteurs, je n’aimais pas son genre, et pourtant il allait me prendre, il avait
tous les droits sur moi, j’avais honte, honte de ne pouvoir refuser, il allait
certainement me demander de le sucer (les hommes aiment cette caresse humiliante pour
les femmes, surtout a genoux°.
Je ne pensais même pas a désobéir, je cherchais les yeux de Nadine comme pour
l’implorer qu’elle intervienne, sa seule réponse fut :
• Dépêche toi, j’ai hâte de te voir gigoter sous le fouet

Je m’exécutais avec beaucoup de mal, je mis mes mains derrière ma tête, et écartais
mes jambes, je m’aperçu que Pierre était de retour

• Pierre : vous convient t’elle, vous verrez, elle suce très bien, elle a un
bassin large qui vous permet de la prendre sans aucun ménagement, d’ailleurs elle aime
être saillie de cette façon. Elle a pour mission de donner entière satisfaction a
chaque homme auquel je la confie pour son dressage, de participer elle-même a sa
propre domination.

Si vous n’en êtes pas satisfait, vous pouvez la punir de la manière qu’il vous
convient, vous trouverez tous les instruments nécessaires sur la commode.
Le programme pour la suite, tout d’abord, Nadine va s’occuper de la fouetter, vous
verrez, après le fouet, elle est toujours plus soumise, elle se donne beaucoup plus.
Ensuite, nous jouerons un peu avec elle et enfin, je discuterai avec Nadine pendant
que vous pourrez en faire selon votre bon plaisir

Je fus rattachée les mains en l’air, Nadine alla chercher le fameux fouet, me mit un
bandeau sur les yeux et me dit :

• finalement je t’aime bien, (j’étais rassurée), mais qui aime bien châtie bien,
et je t’aime beaucoup……, si tu as envie de pleurer, tu le peux

Je senti ses lèvres contre les miennes, elle m’embrassa, c’étais la première fois
qu’une femme m’embrassait, elle s’écarta de moi

• j’entendis alors le fouet siffler, aïe, que dis je aïe, c’était cuisant
horrible sur mes épaules, j’avais le bandeau et ne voyais pas venir les coups, puis,
ce fut mes fesses, mes cuisses, mon, ventre, c’était horrible je suppliais Nadine elle
était sourde, je me tortillais elle me demanda d’écarter encore plus mes cuisses,
• Je vous en supplie Nadine pas a cet endroit, non, pas cela, je transpirais.

Nadine s’approcha, m’embrassa a nouveau, ma langue cherchait la sienne, j’y mettait
tout mon cœur, mon âme,
• Si tu ne veux pas que je te fouette entre les jambes tu dois me supplier de te
fouetter sur tout le corps et de m’en remercier, tu devras t’abandonner a mon cousin,
• Je vous en supplie Nadine, fouettez moi, je ferai tout ce que vous exigerez de
moi, je vous en remercie par avance

Le sifflement du fouet repris, je pleurais je sanglotais, mais ne demandais plus rien,
j’étais vaincue.

Ils me détachèrent, j’étais épuisée, ils m’installèrent sur le lit, me passant de la
pommade sur mes striures, ils me firent écarter les cuisses, les deux hommes me
maintenaient les cuisses ouvertes et en l’air pendant que Nadine s’occupait de mon
clitoris avec la brosse a dents achetée en sex shop
Elle s’amusait à m’amener au presque orgasme, puis arrêtait, c’était machiavélique,
horrible, la frustration de l’orgasme était insupportable, ma chatte était inondée,
ouverte, j’en avait honte, ils pouvaient tous le voir.

Puis, Nadine et Pierre s’en allèrent pour discuter, Nadine me fit la recommandation
d’être parfaite, sinon

Voilà, j’étais entre les mains du cousin que je n’appréciais pas trop mais auquel je
devais obéir, donner satisfaction, et même plus, participer moi-même a ma propre
domination
La première chose qu’il me fit faire, c’es de me faire mettre a genoux, me força la
bouche avec son sexe sans ménagement, de me la mettre bien profond comme il disait, je
suçais sans grande conviction, il s’en aperçu, je reçu une paire de gifles, je
continuais alors avec beaucoup plus d’ardeur, et j’avalais

• Tu verras femelle, tes trois trous vont y passer, j’ai pris du viagra, la
bourge va être comblée.
Effectivement, il était infatigable, il me fit prendre des positions on ne peut plus
obscènes, je sentais qu’il prenait possession de moi, pas de brutalité, mais de la
rudesse, sans me ménager, j’étais la femelle que l’on prend, que l’on utilise, et qui
n’a qu’à s’ouvrir, s’abandonner, et remercier. Il se servait de mon corps comme d’un
objet qui a une âme qui éprouve du plaisir, de temps en temps une fessée pour me
rappeler ma condition

Le plus humiliant c’est peut être lorsqu’il a éjaculer dans ma bouche et qu’il m’a
demandé de bien mâcher son sperme avant de l’avaler, ou de tester l’ouverture de mon
vagin avec un goulot de bouteille, le corps de la bouteille devait entrer
Combien de fois j’ai joui, j’ai été contrainte a m’abandonner, et désirait m’entendre
« chanter »

Pendant ce temps, j’avais remarqué que Pierre faisait l’amour avec douceur a Nadine
L’après midi se terminait, Nadine et son cousin prirent congé, Nadine me dit
tendrement et en m’embrassant a bientôt Patricia, elle m’embrassait a pleine bouche,
puis me susurra,
• alors, entre les jambes la prochaine fois ?
Elle attendait ma réponse, m’embrassait, j’étais désorientée, paniquée, comment dire
non a un ange ?,
• je répondis OUI, et, pourquoi pas tout de suite ?

• Si vous le désirez

• Ce sera pour la prochaine fois, j’ai obtenu ce que je voulais, je t’aime
beaucoup et donc, je te ferai souffrir, énormément souffrir, mais en retour tu aura
droit de me donner un gage

Les invités partis, Pierre me demanda si j’étais jalouse de Nadine, je lui répondis
que oui, un peu
• Tu sais Nadine t’aime réellement, c’est moi qui devrais être jaloux
• Et toi qu’éprouve tu pour elle ?
• Elle a une façon de faire, de demander, de s’imposer, qu’il m’est impossible
de lui refuser si elle désire quelque chose, je n’ai jamais eue de relations avec une
femme et n’ai jamais éprouvé ce fantasme, mais avec elle c’est différent, je suis
troublée
• Si tu le désires nous la reverrons, Nadine aime être soumise a un homme mais
seulement si elle le choisit, et dominante avec les femmes, tu lui plaît beaucoup
• Alors, je suis d’accord pour la revoir

Bientôt tu auras une autre épreuve pour ton éducation, Nadine t’accompagnera, je
désire te prêter pour une soirée à deux amis, Nadine sera là pour te sécuriser et te
surveiller

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