Préhistoire 4 : la fille aux talismans
Récit érotique écrit par Hâakon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 36 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.3 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.5
- • L'ensemble des récits érotiques de Hâakon ont reçu un total de 141 697 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-06-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 4 569 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Préhistoire 4 : la fille aux talismans
Le moment était venu. Le vent cessa de souffler et le mammouth sentit notre odeur malgré nos camouflages, je le su à son barrissement.
Le temps ralentit et je m'élançais de ma cachette pour lancer mes lances. Il était gros, très gros et ses défenses était gigantesque, de quoi agrandir ma tente et racheter l'interruption de ma baise avec la rousse ondulée. Je poussais un cri que seul les neanderthals peuvent hurler et je lançais ma lance vers le cou de la bête que les autres étaient en train de coincer.
J'ai faillit l'avoir du premier coup mais il tourna sa tête au dernier instant et ma lance se planta dans la peau épaisse de son crâne sans le tuer. Il me regarda une seconde et je vis toute la cruauté des forets enneigées du nord dans ses yeux furieux. La seconde d'après il me chargea.
-Aïe.
J'aurais dû m'enfuir, mais c'était la un défi, un vrai. La lutte véritable et sans fard contre la nature. Et je voulais mériter une défense. Un sourire s’étala sur mes lèvres et les flocons de neiges furent tout d'un coup moins froid, presque une douce caresse sur ma barbe. Les cris de mes compagnons devinrent inaudibles.
Je me jetais sur le coté au dernier moment et l'une de ses défenses frôla ma tête. D'un mouvement souple je me relevais et pendant que le mammouth se retournait pour charger à nouveau je lançais ma seconde lance vers son cou exposé. Ma lance disparut dans sa fourre et le transperça à mort. Alors que je m’approchais de cette bête agonisante elle trouva la force de balancer sa tête une dernière fois et de me fracasser contre les arbres.
-...
-...
-...
-...Ah il se réveille !
-Gné ? Guoi passé ?
-Tu t'es fait jeter dans un chêne. On est dans ta tente. Repose toi. Donne moi d'autres cataplasmes.
-Tiens. Je vais dire aux autres qu'il va bien. La voix s'éloigna et j'entendis le rabat de ma tente être soulever puis retomber.
-Je t'ai drogué pour que tu dormes plus longtemps. Normalement tu seras en pleine forme cette nuit. Je reconnus la fille du chaman qui chuchotait à mon oreille. Je voulus bouger mais les ailes noires du sommeil me recouvrèrent.
...
...
...
...
...
...-Han ! Ah ma tête !
-Tu dois boire tiens. Attention tu en mets partout ! Laisse moi faire tu iras mieux après. Voila lentement. Tu vas mieux ?
Je me suis juste fait défoncé par un mammouth écrase-tout mais oui je vais mieux !
-On va dire que c'est pas encore ça qui me fera trop de mal.
-Ouf. Pendant un moment je n'étais pas certaine que tu sois d'attaque.
-....
La j'étais vraiment vexé. Elle m'avait vu avec la rousse ondulée alors elle devrait savoir que je suis toujours d'attaque pour une partie de sexe ! Bien décidé à lui montrer que si, j'étais d'attaque et prêt à lui faire passer une nuit mémorable je me redressais et l'attrapai dans mes bras. Elle essaya de me résister un petit moment mais naturellement j'étais plus fort et elle cessa quand elle vit qu'elle était incapable de se libérer de mon emprise.
-C'est ça que je veux me dit elle avec un sourire à faire fondre une biche.
-Tu vas être contente. Je vais t'apprendre à m'interrompre quand je suis avec la rousse ondulée. Je saisis ses cheveux pour les tirer en arrière et embrasser son cou. J'humais sa peau comme un prédateur hume sa proie quand elle me pinça très fort au niveau des côtes. Pris par surprise je la relâchais et elle me plaqua sur les peaux, même si elle ne chassait pas elle n'en était pas moins robuste.
-On dirait que tu vas devoir appendre toi même comment me dompter. Tout en me maintenant au sol et en m'enlaçant dans ses bras forts couverts de peaux elle se pencha sur moi. Je te rappelle que je sais comment est ton corps.
En soi ce n'était pas compliqué. J'étais complètement nu et en bougeant les peaux étaient tombées, montrant mon corps bâti dans les glaciers et couverts de cicatrices, dont quelques unes de récentes sur mon torse, sur les traces de griffes d'un lion.
-Je vais te monter avec une telle force que tu ne pourras pas te servir de tes talents de chamane.
-Ce serait bien dommage pour toi, me dit elle en amenant sa main vers mon sexe (qui bien évidemment prenait de l'ampleur). Je connais des choses que la rousse ondulée ne connait pas.
-Mais tu ne sais pas faire attention à tes affaires.
J'avais réussis à libérer un de mes bras de son étreinte et à lui prendre une griffe d'ours qui ornait ses vêtements. Rapidement je m'en servait pour défaire plusieurs nœuds et avant qu'elle ne saisisse a nouveau mon bras un partie de ses vêtements étaient tombés, dénudant ses bras et sa poitrine avec des sein superbes, des demi-ronds parfaits que je m’empressais d'embrasser.
Surprise elle desserra son étreinte, assez pour que je la saisisse à mon tour. Je mordillais ses tétons que je sentais durcir, léchais ses seins comme un mort de soif en m'attardant particulièrement sur le creux entre eux, appréciant le plaisir d'avoir mon visage dans sa chair si douce. Elle se contorsionna comme une furie mais pas pour se libérer non, elle dégagea ses bras juste assez pour baisser un peu son propre pantalon de peau.
-BAISE MOI MAINTENANT J'EN PEUX PLUS D'ATTENDRE !
Immédiatement je desserrais mon étreinte et je saisis ses hanches pour bien la positionner, l'instant d'après je l'empalais sur mon sexe dressé et elle poussa un soupir de plaisir qui en disait long sur son désir inassouvie. Mais pas question de la laisser prendre le dessus dans nos ébats, alors la non ! je l’emprisonnais à nouveau dans mes après lui avoir ôté ce qu'il restait de ses manches et me mit à la culbuter littéralement. Avec une de mes mains je l'empêchais de bouger ses hanches, ce qui faisait que ma verge voyageait partout dans son sexe sans y ressortir. Je la fouillait de fond en comble et je sentis sa cyprine couler pendant qu'elle se tordait de plaisir. Son antre se contracta et elle poussa un grand cris avant de rester inerte contre moi. Elle repartit à nouveau dans le plaisir très rapidement et nous continuâmes de baiser avec la même fougue.
Néanmoins ce n'était pas une position très confortable et je me redressais, elle assise sur moi. Mon sexe quitta brièvement le sien le temps de lui enlever son pantalon et tout de suite après je l’empalais sur ma hampe. Je caressais un moment ses cuisses nues, recouvertes de talismans comme ses bras. Je la pris par les hanches et lui imposa un mouvement avec une telle force, elle ne pesait rien dans mes bras, que ses talismans cliquetèrent en faisant un bruit qui recouvra ses gémissements qui devinrent ensuite des halètements puis des cris d'extase.
Elle enlaça mon cou d'auroch comme si elle avait peur de se séparer de moi tellement notre baise était puissante, son antre de plaisir devint un âtre brulant qui ne pouvait être calmé qu'en allant de plus en plus fort. Nos bouches s'embrassaient, voyageaient vers les cous, léchèrent les poitrine. Elle fut tellement en sueur que ses os se collèrent à sa peau, ma langue râpait ses seins durs comme du silex et à ses cris je savais qu'elle atteignait un plaisir qu'elle n'avait pas encore connues.
-Oh..oh...oh...han....oui...ah....vas y...plus fort.....encore allez !
-Han..han..ah....comme tu....vou...dras..ah !
Son vagin venait de se resserrer sous le coup d'un orgasme mais je parvins de justesse à ne pas jouir. Je saisis ses cuisses à pleines mains et je réussis à me mettre sur mes genoux, la dominant cette fois et sans qu'elle touche le sol. Elle serra ses jambes contre mes fesses, me coinçant et me forçant à déployer des efforts considérables pour continuer à la démonter. Elle jouit je ne sais combien de fois, son sexe se contractait sans cesse et provoquait en moi des torrents de lave en fusion que je devais à tout prix évacuer, rapidement mes cris sauvages se joignirent aux siens
Ma vue se troubla tandis qu'un feu incroyable grandit en moi et je m'enfonçais en elle comme pour la transpercer. Je libérais d'un seul jet long et surpuissant ma semence brûlante au fond de son sexe. Épuisée elle relâcha ses bras et tomba à la renverse sur les fourres de ma tente. Quand à moi j'étais tellement sonné que mes bras tenaient encore ses cuisses.
Je la relâchais lentement et ôtais mon mon sexe de son antre, puis je m'allongeais à coté d'elle. Nous nous sommes regardé sans rien dire pendant se longues minutes, profitants paisiblement du plaisir éprouvé. Ses cheveux blonds tombaient en pagaille sur son visage et ses yeux bleus luisaient avec une intensité digne d'un glacier sous un soleil d'été. Son corps blanc brillant de sueur était beau, bien plus que celui de la rousse ondulée. Bientôt mes mains pétrirent ses seins et ses cuisses si douces, mais sans plus.
-Aucun n'est aussi bon que toi.
-Ils n'avaient pas mes raisons de te défoncer à se point. dis je avant de l'embrasser, nos langues se caressèrent lentement puis elle retira sa bouche.
-Non vraiment. Chacun de tes coups. Ta verge qui allait et venait, ton torse sur ma poitrine. C'était incroyable.
-Tu sais, la rousse est géniale mais pas comme toi. Ce que je t'ai fais. Je crois pas que j'aurais eu autant de plaisir avec elle.
-Elle te donne moins de plaisir quand tu as le dessus ?
-Non ce n'est pas ça. C'est juste que l'on fait les choses différemment.
-Je verrai pour comprendre.
-Tu vas à nouveaux nous espionner ?
-Non. Je vais plutôt me mettre nue dans tes fourrures et attendre mon tour, me répondit elle en passant un doigts au creux de sa poitrine.
-Ça serait intéressant, vous deux aussi, dis je en, passant ma langue sur mes lèvres.. D'ailleurs ça te dirait de prendre un tour en avance ?
J'avais jouit comme rarement mais j'étais de nouveaux prêts pour une séance de sexe, un peu moins sauvage cette fois.
-Mets toi à genoux. Oui elle est déjà belle. J'ai bien aimée te faire ça, elle est propre et à a un gout doux. Dis moi simplement quand tu viendras.
Elle se mit à quatre patte devant moi et entrepris de me faire découvrir de nouveaux plaisir testés juste avant la chasse, et je ne fus pas déçu. Elle ouvrit sa bouche et engloutit lentement mon sexe sans le toucher. Puis sa langue se posa sur le bout de mon gland et se mit à remonter lentement toute la hampe en roulant autour, très très lentement. Elle fit ainsi des aller retour pendant de longues minutes, me faisant soupirer de plaisir. Durant ce moment mes mains caressaient son dos, la courbure de ses reins et pétrissaient ses fesses consciencieusement
Alors que je me disais que je pourrais bien rester des heures à me faire caresser la verge de cette manière elle serra ses lèvres et commença à se retirer jusqu'à mon gland avant de faire le chemin inverse. Cette fois le plaisir changea tellement que j'en fus paralyser, à peine capable de haleter. de plus la partie qui se retrouvait dans sa bouche subissait un assaut furieux de sa langue qui léchait et tournoyait à une vitesse folle. Je me mis à donner de petits coups de reins et je faillis baiser sa bouche pour de bon quand elle releva la tête et me fixa de ses grands yeux bleus dans lesquels je vis le plaisir intense de me sucer.
Mais je ne voulais jouir à nouveau sans qu'elle aussi eu droit à son orgasme et je me retirais de sa bouche dans un mouvement qui me fit frissonner. Puis je la saisit et la retournait pour la pénétrer et essayer de lui rendre le plaisir qu'elle m'avait donné. Pas de grands coups de reins puissant, pas de va et vient à une cadence infernale. Je la pénétrais lentement, tachant de contenir mon envie de la baiser à fond. Elle poussait des soupirs langoureux, elle prenait le temps d'apprécier nos mouvements. Ses fesses se dandinait devant moi et si mes mains n'avaient pas été occupées à caresser son ventre et son dos trop longtemps ignoré je les aurais empoignées à pleines mains.
Nous avons du rester au moins une heure comme ça, moi nu et couvert de cicatrices et elle couverte par ses talismans. Le feu de ma tente éclairait sa peau blanche et teintait ses cheveux blonds de reflets cuivrés.
-Oui. Comme ça c'est bien. Ne vas pas plus vite, surtout pas.
-Hum. Je me sens capable de tenir encore longtemps. Oh. J'ai envie de te défoncer mais le plaisir d'aller lentement est si grand. C'était pareil quand tu me suçais ?
-Presque. Ah. Le plaisir dans tes yeux se répandait dans mon corps. Et ton sexe est si bon.
-Tu me laisseras jouir dans ta bouche ?
-Tu sais....oh oui....c'est ce que je veux....ah....ne jouis pas en moi retire toi avant. Attends. Ta main qui me caresse le ventre...ah. Caresse mon sexe avec.
Je le fis et durant une longue partie de la nuit nous sommes restés comme ça. Elle eut plusieurs orgasmes discrets, se redressa à plusieurs moments où nous nous embrassions passionnément. Son dos appuyés contre mes pectoraux et mes abdos pendant que je la pénétrais lentement était plus doux que la plus douce des fourrures. A d'autres instants je la laissais diriger, me contentant de la suivre, presque comme une danse. Quand je sentis que j'allais jouir à nouveau je ne fus pas déçu, car je savais que nous aurions d'autres nuits comme celle la.
Je me retirais et elle s’agenouilla devant moi et me pris en bouche, me caressant lentement avec sa langue. Elle débuta lentement sur tout mon sexe puis se concentra sur le gland, en gardant toute ma verge en bouche. Quand elle caressa la base de mon gland du bout de sa langue s'en fut trop et j'éjaculais avec un bonheur indescriptible, me libérant de plusieurs heures de sexe ininterrompues. Je m'écroulais sur mes fourrures, vidé et elle s'allongea à coté de moi, ne laissant comme seule couverture sur nos corps nus que la chaleur de mon feu et l'ombre douce qui nous entourait.
J'espère que vous avez aimez. Si vous voulez me contacter pour me poser des questions je vous en prie cela me fait plaisir. Par ailleurs maintenant que j'ai enfin du temps de libre (vive les vacances après les exams !) je vous inviter à me donner des thèmes que vous voudriez que je traite, époques, civilisations ou pratiques. Je ne fais pas les choses trop hard, pas assez poétiques à mon gouts mais c'est tout, n'hésitez pas à demander que ce soit dans les commentaires ou par mail si vous voulez que personne n'ait une idée de la suite.
La prochaine histoire sera en deux parties, avec un vrai scénario et des personnages profonds avec des enjeux. La première sera une mise en bouche pour faire monter le désir et la deuxième sera on ne peut plus délicieuse.
Et histoire d'être vraiment gentil, vous préférez une prochaine histoire sur le roi de Sparte ou le messager de Platée (changements garantis) ? Je ne veux pas non plus vous faire trop patienter ;)
Le temps ralentit et je m'élançais de ma cachette pour lancer mes lances. Il était gros, très gros et ses défenses était gigantesque, de quoi agrandir ma tente et racheter l'interruption de ma baise avec la rousse ondulée. Je poussais un cri que seul les neanderthals peuvent hurler et je lançais ma lance vers le cou de la bête que les autres étaient en train de coincer.
J'ai faillit l'avoir du premier coup mais il tourna sa tête au dernier instant et ma lance se planta dans la peau épaisse de son crâne sans le tuer. Il me regarda une seconde et je vis toute la cruauté des forets enneigées du nord dans ses yeux furieux. La seconde d'après il me chargea.
-Aïe.
J'aurais dû m'enfuir, mais c'était la un défi, un vrai. La lutte véritable et sans fard contre la nature. Et je voulais mériter une défense. Un sourire s’étala sur mes lèvres et les flocons de neiges furent tout d'un coup moins froid, presque une douce caresse sur ma barbe. Les cris de mes compagnons devinrent inaudibles.
Je me jetais sur le coté au dernier moment et l'une de ses défenses frôla ma tête. D'un mouvement souple je me relevais et pendant que le mammouth se retournait pour charger à nouveau je lançais ma seconde lance vers son cou exposé. Ma lance disparut dans sa fourre et le transperça à mort. Alors que je m’approchais de cette bête agonisante elle trouva la force de balancer sa tête une dernière fois et de me fracasser contre les arbres.
-...
-...
-...
-...Ah il se réveille !
-Gné ? Guoi passé ?
-Tu t'es fait jeter dans un chêne. On est dans ta tente. Repose toi. Donne moi d'autres cataplasmes.
-Tiens. Je vais dire aux autres qu'il va bien. La voix s'éloigna et j'entendis le rabat de ma tente être soulever puis retomber.
-Je t'ai drogué pour que tu dormes plus longtemps. Normalement tu seras en pleine forme cette nuit. Je reconnus la fille du chaman qui chuchotait à mon oreille. Je voulus bouger mais les ailes noires du sommeil me recouvrèrent.
...
...
...
...
...
...-Han ! Ah ma tête !
-Tu dois boire tiens. Attention tu en mets partout ! Laisse moi faire tu iras mieux après. Voila lentement. Tu vas mieux ?
Je me suis juste fait défoncé par un mammouth écrase-tout mais oui je vais mieux !
-On va dire que c'est pas encore ça qui me fera trop de mal.
-Ouf. Pendant un moment je n'étais pas certaine que tu sois d'attaque.
-....
La j'étais vraiment vexé. Elle m'avait vu avec la rousse ondulée alors elle devrait savoir que je suis toujours d'attaque pour une partie de sexe ! Bien décidé à lui montrer que si, j'étais d'attaque et prêt à lui faire passer une nuit mémorable je me redressais et l'attrapai dans mes bras. Elle essaya de me résister un petit moment mais naturellement j'étais plus fort et elle cessa quand elle vit qu'elle était incapable de se libérer de mon emprise.
-C'est ça que je veux me dit elle avec un sourire à faire fondre une biche.
-Tu vas être contente. Je vais t'apprendre à m'interrompre quand je suis avec la rousse ondulée. Je saisis ses cheveux pour les tirer en arrière et embrasser son cou. J'humais sa peau comme un prédateur hume sa proie quand elle me pinça très fort au niveau des côtes. Pris par surprise je la relâchais et elle me plaqua sur les peaux, même si elle ne chassait pas elle n'en était pas moins robuste.
-On dirait que tu vas devoir appendre toi même comment me dompter. Tout en me maintenant au sol et en m'enlaçant dans ses bras forts couverts de peaux elle se pencha sur moi. Je te rappelle que je sais comment est ton corps.
En soi ce n'était pas compliqué. J'étais complètement nu et en bougeant les peaux étaient tombées, montrant mon corps bâti dans les glaciers et couverts de cicatrices, dont quelques unes de récentes sur mon torse, sur les traces de griffes d'un lion.
-Je vais te monter avec une telle force que tu ne pourras pas te servir de tes talents de chamane.
-Ce serait bien dommage pour toi, me dit elle en amenant sa main vers mon sexe (qui bien évidemment prenait de l'ampleur). Je connais des choses que la rousse ondulée ne connait pas.
-Mais tu ne sais pas faire attention à tes affaires.
J'avais réussis à libérer un de mes bras de son étreinte et à lui prendre une griffe d'ours qui ornait ses vêtements. Rapidement je m'en servait pour défaire plusieurs nœuds et avant qu'elle ne saisisse a nouveau mon bras un partie de ses vêtements étaient tombés, dénudant ses bras et sa poitrine avec des sein superbes, des demi-ronds parfaits que je m’empressais d'embrasser.
Surprise elle desserra son étreinte, assez pour que je la saisisse à mon tour. Je mordillais ses tétons que je sentais durcir, léchais ses seins comme un mort de soif en m'attardant particulièrement sur le creux entre eux, appréciant le plaisir d'avoir mon visage dans sa chair si douce. Elle se contorsionna comme une furie mais pas pour se libérer non, elle dégagea ses bras juste assez pour baisser un peu son propre pantalon de peau.
-BAISE MOI MAINTENANT J'EN PEUX PLUS D'ATTENDRE !
Immédiatement je desserrais mon étreinte et je saisis ses hanches pour bien la positionner, l'instant d'après je l'empalais sur mon sexe dressé et elle poussa un soupir de plaisir qui en disait long sur son désir inassouvie. Mais pas question de la laisser prendre le dessus dans nos ébats, alors la non ! je l’emprisonnais à nouveau dans mes après lui avoir ôté ce qu'il restait de ses manches et me mit à la culbuter littéralement. Avec une de mes mains je l'empêchais de bouger ses hanches, ce qui faisait que ma verge voyageait partout dans son sexe sans y ressortir. Je la fouillait de fond en comble et je sentis sa cyprine couler pendant qu'elle se tordait de plaisir. Son antre se contracta et elle poussa un grand cris avant de rester inerte contre moi. Elle repartit à nouveau dans le plaisir très rapidement et nous continuâmes de baiser avec la même fougue.
Néanmoins ce n'était pas une position très confortable et je me redressais, elle assise sur moi. Mon sexe quitta brièvement le sien le temps de lui enlever son pantalon et tout de suite après je l’empalais sur ma hampe. Je caressais un moment ses cuisses nues, recouvertes de talismans comme ses bras. Je la pris par les hanches et lui imposa un mouvement avec une telle force, elle ne pesait rien dans mes bras, que ses talismans cliquetèrent en faisant un bruit qui recouvra ses gémissements qui devinrent ensuite des halètements puis des cris d'extase.
Elle enlaça mon cou d'auroch comme si elle avait peur de se séparer de moi tellement notre baise était puissante, son antre de plaisir devint un âtre brulant qui ne pouvait être calmé qu'en allant de plus en plus fort. Nos bouches s'embrassaient, voyageaient vers les cous, léchèrent les poitrine. Elle fut tellement en sueur que ses os se collèrent à sa peau, ma langue râpait ses seins durs comme du silex et à ses cris je savais qu'elle atteignait un plaisir qu'elle n'avait pas encore connues.
-Oh..oh...oh...han....oui...ah....vas y...plus fort.....encore allez !
-Han..han..ah....comme tu....vou...dras..ah !
Son vagin venait de se resserrer sous le coup d'un orgasme mais je parvins de justesse à ne pas jouir. Je saisis ses cuisses à pleines mains et je réussis à me mettre sur mes genoux, la dominant cette fois et sans qu'elle touche le sol. Elle serra ses jambes contre mes fesses, me coinçant et me forçant à déployer des efforts considérables pour continuer à la démonter. Elle jouit je ne sais combien de fois, son sexe se contractait sans cesse et provoquait en moi des torrents de lave en fusion que je devais à tout prix évacuer, rapidement mes cris sauvages se joignirent aux siens
Ma vue se troubla tandis qu'un feu incroyable grandit en moi et je m'enfonçais en elle comme pour la transpercer. Je libérais d'un seul jet long et surpuissant ma semence brûlante au fond de son sexe. Épuisée elle relâcha ses bras et tomba à la renverse sur les fourres de ma tente. Quand à moi j'étais tellement sonné que mes bras tenaient encore ses cuisses.
Je la relâchais lentement et ôtais mon mon sexe de son antre, puis je m'allongeais à coté d'elle. Nous nous sommes regardé sans rien dire pendant se longues minutes, profitants paisiblement du plaisir éprouvé. Ses cheveux blonds tombaient en pagaille sur son visage et ses yeux bleus luisaient avec une intensité digne d'un glacier sous un soleil d'été. Son corps blanc brillant de sueur était beau, bien plus que celui de la rousse ondulée. Bientôt mes mains pétrirent ses seins et ses cuisses si douces, mais sans plus.
-Aucun n'est aussi bon que toi.
-Ils n'avaient pas mes raisons de te défoncer à se point. dis je avant de l'embrasser, nos langues se caressèrent lentement puis elle retira sa bouche.
-Non vraiment. Chacun de tes coups. Ta verge qui allait et venait, ton torse sur ma poitrine. C'était incroyable.
-Tu sais, la rousse est géniale mais pas comme toi. Ce que je t'ai fais. Je crois pas que j'aurais eu autant de plaisir avec elle.
-Elle te donne moins de plaisir quand tu as le dessus ?
-Non ce n'est pas ça. C'est juste que l'on fait les choses différemment.
-Je verrai pour comprendre.
-Tu vas à nouveaux nous espionner ?
-Non. Je vais plutôt me mettre nue dans tes fourrures et attendre mon tour, me répondit elle en passant un doigts au creux de sa poitrine.
-Ça serait intéressant, vous deux aussi, dis je en, passant ma langue sur mes lèvres.. D'ailleurs ça te dirait de prendre un tour en avance ?
J'avais jouit comme rarement mais j'étais de nouveaux prêts pour une séance de sexe, un peu moins sauvage cette fois.
-Mets toi à genoux. Oui elle est déjà belle. J'ai bien aimée te faire ça, elle est propre et à a un gout doux. Dis moi simplement quand tu viendras.
Elle se mit à quatre patte devant moi et entrepris de me faire découvrir de nouveaux plaisir testés juste avant la chasse, et je ne fus pas déçu. Elle ouvrit sa bouche et engloutit lentement mon sexe sans le toucher. Puis sa langue se posa sur le bout de mon gland et se mit à remonter lentement toute la hampe en roulant autour, très très lentement. Elle fit ainsi des aller retour pendant de longues minutes, me faisant soupirer de plaisir. Durant ce moment mes mains caressaient son dos, la courbure de ses reins et pétrissaient ses fesses consciencieusement
Alors que je me disais que je pourrais bien rester des heures à me faire caresser la verge de cette manière elle serra ses lèvres et commença à se retirer jusqu'à mon gland avant de faire le chemin inverse. Cette fois le plaisir changea tellement que j'en fus paralyser, à peine capable de haleter. de plus la partie qui se retrouvait dans sa bouche subissait un assaut furieux de sa langue qui léchait et tournoyait à une vitesse folle. Je me mis à donner de petits coups de reins et je faillis baiser sa bouche pour de bon quand elle releva la tête et me fixa de ses grands yeux bleus dans lesquels je vis le plaisir intense de me sucer.
Mais je ne voulais jouir à nouveau sans qu'elle aussi eu droit à son orgasme et je me retirais de sa bouche dans un mouvement qui me fit frissonner. Puis je la saisit et la retournait pour la pénétrer et essayer de lui rendre le plaisir qu'elle m'avait donné. Pas de grands coups de reins puissant, pas de va et vient à une cadence infernale. Je la pénétrais lentement, tachant de contenir mon envie de la baiser à fond. Elle poussait des soupirs langoureux, elle prenait le temps d'apprécier nos mouvements. Ses fesses se dandinait devant moi et si mes mains n'avaient pas été occupées à caresser son ventre et son dos trop longtemps ignoré je les aurais empoignées à pleines mains.
Nous avons du rester au moins une heure comme ça, moi nu et couvert de cicatrices et elle couverte par ses talismans. Le feu de ma tente éclairait sa peau blanche et teintait ses cheveux blonds de reflets cuivrés.
-Oui. Comme ça c'est bien. Ne vas pas plus vite, surtout pas.
-Hum. Je me sens capable de tenir encore longtemps. Oh. J'ai envie de te défoncer mais le plaisir d'aller lentement est si grand. C'était pareil quand tu me suçais ?
-Presque. Ah. Le plaisir dans tes yeux se répandait dans mon corps. Et ton sexe est si bon.
-Tu me laisseras jouir dans ta bouche ?
-Tu sais....oh oui....c'est ce que je veux....ah....ne jouis pas en moi retire toi avant. Attends. Ta main qui me caresse le ventre...ah. Caresse mon sexe avec.
Je le fis et durant une longue partie de la nuit nous sommes restés comme ça. Elle eut plusieurs orgasmes discrets, se redressa à plusieurs moments où nous nous embrassions passionnément. Son dos appuyés contre mes pectoraux et mes abdos pendant que je la pénétrais lentement était plus doux que la plus douce des fourrures. A d'autres instants je la laissais diriger, me contentant de la suivre, presque comme une danse. Quand je sentis que j'allais jouir à nouveau je ne fus pas déçu, car je savais que nous aurions d'autres nuits comme celle la.
Je me retirais et elle s’agenouilla devant moi et me pris en bouche, me caressant lentement avec sa langue. Elle débuta lentement sur tout mon sexe puis se concentra sur le gland, en gardant toute ma verge en bouche. Quand elle caressa la base de mon gland du bout de sa langue s'en fut trop et j'éjaculais avec un bonheur indescriptible, me libérant de plusieurs heures de sexe ininterrompues. Je m'écroulais sur mes fourrures, vidé et elle s'allongea à coté de moi, ne laissant comme seule couverture sur nos corps nus que la chaleur de mon feu et l'ombre douce qui nous entourait.
J'espère que vous avez aimez. Si vous voulez me contacter pour me poser des questions je vous en prie cela me fait plaisir. Par ailleurs maintenant que j'ai enfin du temps de libre (vive les vacances après les exams !) je vous inviter à me donner des thèmes que vous voudriez que je traite, époques, civilisations ou pratiques. Je ne fais pas les choses trop hard, pas assez poétiques à mon gouts mais c'est tout, n'hésitez pas à demander que ce soit dans les commentaires ou par mail si vous voulez que personne n'ait une idée de la suite.
La prochaine histoire sera en deux parties, avec un vrai scénario et des personnages profonds avec des enjeux. La première sera une mise en bouche pour faire monter le désir et la deuxième sera on ne peut plus délicieuse.
Et histoire d'être vraiment gentil, vous préférez une prochaine histoire sur le roi de Sparte ou le messager de Platée (changements garantis) ? Je ne veux pas non plus vous faire trop patienter ;)
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Hâakon
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...