PREMIER LIEN 02

- Par l'auteur HDS hsmur -
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Récit libertin : PREMIER LIEN 02 Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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PREMIER LIEN 02
Ce matin-là, en se réveillant, Marc se tourne et vient déposer un tendre bisou sur l'épaule de sa partenaire. Partenaire avec laquelle il vient de passer, après une soirée étrange, une nuit torride et sensuelle. Il se souvient encore du bondage qu'il a pratiqué hier soir, de la débauche de sensations qu'il vient de faire découvrir à cette femme qu'il aime tant, de l'excitation qu'il a ressentie tout au long de la soirée.
Sylvie se tourne doucement et vient plaquer sa bouche encore endormie sur celle de son amant. Elle l'embrasse amoureusement en se souvenant, elle aussi, de la soirée de la veille où elle a découvert tant de choses. Quand son esprit sort du brouillard du sommeil, elle retrouve les différentes sensations qu'elle a découvertes le soir précédent et se dit qu'elle ne pourra jamais oublier cette folle soirée, même si elle en vit d'autres.
Une fois levés, les deux comparses déjeunent en babillant joyeusement. Quelques mots d'amours sont échangés, puis l'homme annonce :
- Ce soir, j’ai invité à dîner Luc et Françoise, un couple d'amis que je n'ai pas revus depuis quelques mois, tu seras enchantée de les connaître, je pense.
- Ce sont des collègues à toi, mon chéri ? Questionne la jeune femme, vivement intéressée et toujours prête à connaître de nouvelles têtes.
- Non, ce sont des gens que j'ai connus, jadis, dans un club d'un type particulier.
- Ah bon, et de quel type de club parles-tu donc ? Demande la jeune femme qui connaît certes la vie décousue qu'a connue son amant avant elle, mais qui ne voit pas trop ce que le terme de club particulier peut bien signifier.
- Un club SM, pour être précis, ma douce ! Répond l'homme avec une voix tranquille, mais dont le regard sonde la jeune femme pour connaître sa réaction.
- Tu fréquentais des boites SM, toi ?
- Oui, je ne t'en avais pas parlé jusqu'à présent, simplement pour ne pas t’effaroucher, mais avec notre soirée d'hier, cette réserve n'est plus de mise, qu'en penses-tu ?
- En fait, je ne sais pas quoi en penser justement ! Répond alors la blonde, d'un ton légèrement angoissé.
- Y a-t-il quelque chose qui te gêne dans le terme SM ?
- Oui, je crois que c'est le terme qui me gêne, je pense que ce que nous faisons ensemble ne regarde pas les autres !
- Et alors, si cela ne regarde pas les autres, doit-on, pour autant, ne pas nommer une telle chose ? Marc est devenu plus sérieux, si son ton est toujours tranquille, ses yeux n’arrêtent pas de faire le tour du visage de la jeune femme pour épier le moindre mouvement qui pourrait trahir une angoisse.
- Si, mais je ne voudrais pas que tu en parles à d'autres personnes.
- Qu'est-ce qui te gêne dans le fait que j'en parle à des spécialistes, par exemple ?
- Mais c'est notre vie, les voisins n'ont pas à la connaître, tu ne trouves pas ? Questionne Sylvie d'une voix qui trahie maintenant une légère angoisse.
- D'accord, mais quand tu es malade, tu racontes bien ta vie à un médecin, non ?
- Oui, mais ce n'est pas la même chose...
- Qu'y a-t-il donc comme différence, s'il te plaît, Sylvie ?
- Eh bien, je ne sais pas moi, mais c'est différent !
- Et ça ne te rassurerait pas de savoir que d'autres personnes vivent des choses semblables aux nôtres De pouvoir discuter, demander des conseils, d'échanger des expériences, d'avoir de nouvelles idées, en n’en parlant avec d'autres amateurs, comme nous ?
- Si, quelque part, je pense que ça me rassurerait de savoir que d'autres couples vivent des choses similaires ! Finit par avouer la jolie blonde en s'imaginant la scène.
- Eh bien, ce soir, je t'en donne l'occasion, tu ne diras que ce que tu as envie de dire, moi, je ne te forcerai pas la main, et je serai là si tu as besoin de moi, remarque l'homme d'un ton bienveillant.

Le reste de la matinée se passe tranquillement, le petit déjeuner terminé, on passe aux ablutions quotidiennes, ensuite à la préparation du repas du midi pendant lequel, on imagine le menu du soir. Après le café pris dans le canapé du salon, Marc demande subitement à Sylvie :
- J'ai envie que tu remettes le même tailleur qu'hier, ça ne te dérange pas, au moins ?
- Non mon chéri, puisque tu sembles l'aimer ce petit tailleur, je vais te faire plaisir et le remettre !
Cela dit, la jeune femme se lève et se rend dans la chambre à coucher pour prendre le vêtement. Ensuite, elle se rend dans la salle de bain.
Après quelques minutes passées à finir son café, plongé dans ses réflexions, l'homme se lève et vient rejoindre sa compagne dans la salle de bain.
- Que tu es belle comme cela ! Dit-il sincèrement.
- Merci mon amour ! Répond la jolie blonde en souriant
Marc se penche au-dessus de l'épaule droite de sa compagne et vient déposer un long baiser dans le tendre cou qui est à sa merci. De ses mains agiles, il caresse les flancs de la belle, puis les hanches. De là, il fait remonter la jupe sur elle-même, et quand la jupe est relevée très haut, il vient flatter le doux ventre de sa main chaude.
La jolie blonde se pâme. Elle est aux anges, ce baiser dans le cou et le souffle de son compagnon lui donnent des frissons, de même que cette main douce et chaude qui est sur son ventre, juste au-dessus de son pubis, lui procure une chaleur qui irradie son vagin.
L'homme, d'une main, fait descendre, tout doucement, la fine culotte en dentelle juste au-dessus des bas opaques que porte la blonde. Puis, se dégageant, fait descendre le fin tissu sur les chevilles et le retire totalement en dégageant chaque pied.
Sylvie se demande bien pourquoi elle s'habille méticuleusement, en prenant grand soin de ses choix, si son compagnon a décidé de la déshabiller.
Marc se relève, met la culotte de dentelle dans sa poche, puis, toujours dans le dos de sa compagne, vient lui ouvrir la veste de tailleur. La descend sur le haut des bras et retire, sans mot dire, le soutien-gorge. Ensuite, il referme la veste tranquillement. C'est à ce moment-là qu'il dit :
- Parfait, maintenant, je suis fier de sortir avec toi, ma belle soumise !
Puis il sort de la pièce rapidement.
La jeune femme reste interloquée, si elle trouve que ce petit jeu coquin, d'être sans culotte pour sortir avec son compagnon, a quelque chose d'excitant, elle ne comprend pas pourquoi son ami la nomme soumise. Au bout de quelques instants de réflexion, elle finit par se dire que tout ça n'est pas très important, que seul reste le fait d'être totalement bien avec cet homme subtil. Elle termine de se préparer tranquillement, puis va retrouver Marc qui est déjà prêt.
- On y va ? Questionne l'homme souriant d'une voix paisible.
- Je suis prête, c'est quand tu veux, mon chéri.
Et le couple sort de l'appartement pour se rendre au parking en sous-sol. Le son des talons des escarpins résonne dans le vaste sous-sol dont l’éclairage blafard amplifie encore le côté fantomatique. Arrivé à la voiture, L'homme vient ouvrir la portière du côté passager et laisse monter sa compagne, attend qu'elle soit installée, puis, la regardant avec un drôle d'air, lui dit :
- Remonte ta jupe, que les passants puissent voir tes bas !
Sans poser de question, la jolie blonde s'exécute. Elle se cambre un peu, puis remonte sa jupe de manière à laisser apparaître la dentelle des bas.
- Mieux que ça ! Ordonne cette fois le chauffeur d'un ton se faisant plus pressant.
Une fois encore, la jeune femme exécute ce que l'on vient de lui demander et remonte sa jupe jusqu’à ce qu'on puisse commencer à voir son entrejambe.
Marc, enfin content d'obtenir ce qu'il désirait, vient embrasser sa compagne, referme la portière et vient s’asseoir à sa place. La voiture démarre, emprunte le chemin balisé et vient s’arrêter devant la lourde porte en fer qui donne sur la rue. Une fois la porte ouverte, la voiture s'engage dans la circulation peu dense de ce début d'après midi.

Habituellement, Marc n'est pas homme à perdre son temps en flânant en ville avec la voiture, il prend toujours les voies rapides pour se rendre, le plus rapidement possible, dans les centres commerciaux de la périphérie. Or, ce jour-là, il décide de passer par le centre-ville où la circulation est la plus dense.
- Tiens ! Tu passes par le centre ! Remarque Sylvie en ne faisant plus attention à sa robe relevée et à la main de son amant posée sur le haut de sa cuisse gauche.
- Bien sûr, j'ai envie que les passants puissent admirer ta tenue, ma belle !
À ces mots, la jeune femme rougit légèrement, c'est vrai qu'elle est dans une tenue qui ne peut laisser indifférent. De savoir qu'elle va être vue, la plonge dans un profond trouble où se mélangent honte et excitation. Elle est tellement perdue dans ses pensées qu'elle ne s’aperçoit même pas que son chauffeur vient de remonter encore un peu plus sa jupe, laissant, cette fois, une vue imprenable sur sa chatte lisse.
- Tu es très belle ainsi ! Lance l'homme d'une voix douce et calme.
Puis, bien qu'il soit toujours concentré sur la circulation, entreprend de défaire les deux boutons de la veste pour que la jeune femme ait les seins exposés aux regards des piétons.
Les rues ne sont pas encore totalement envahies par les badauds, mais il y a déjà pas mal de monde en ce début d'après-midi. Une foule plutôt pressée, et seuls quelques rares personnes s’aperçoivent du spectacle gratuit qu'il leur est offert dans cette voiture qui roule lentement.
Pour ne pas trop avoir honte, Sylvie, qui s'est tout de même laissé faire, ferme ses grands yeux bleus. Des images lui traversent l'esprit, elle se voit en prostituée, maquillée à outrance, offerte aux regards libidineux et salaces d'hommes de tous âges, subissant des attouchements sans douceur. Et ces visions, loin de l’écœurer, lui provoquent une excitation qui se traduit par l'humidification de son sexe.
Marc, surveillant du coin de l’œil son amie, scrute la moindre de ses réactions. Et quand il s’aperçoit que la jeune femme a fermé les yeux, il en profite pour ouvrir encore plus la veste du tailleur et la coince avec la ceinture de sécurité.
Cette fois, la jeune femme a un geste de recul, elle se raidit dans le siège et porte ses mains à sa veste pour la refermer. Mais très vite, elle est bloquée dans son mouvement par la voie impérieuse de son amant qui lui intime :
- Reste comme ça !
- Mais... Commence-t-elle à articuler, pour être à nouveau coupée.
- Tu es une bonne salope et je veux que ça se voie, alors reste comme tu es !
Sylvie est très étonnée du ton directif qu'emploie son compagnon, elle ne le connaissait pas si dominateur, et elle se demande à quoi est due cette nouvelle orientation, que prend sa relation.
Perdue dans ses pensées, elle ne fait aucun geste pour se couvrir. Toutefois, elle aimerait comprendre un peu mieux ce qui a déclenché les réactions de son amant, lui si doux et prévenant habituellement. Après de longues minutes passées à s'interroger, elle finit par demander à Marc :
- Mais pourquoi me parles-tu si durement depuis hier ?
- Tout simplement parce que j'ai maintenant la preuve de ce que je pensais depuis déjà quelque temps, à savoir que tu as une tendance à la soumission. Et comme je t'aime, j'ai envie d'aller encore plus loin avec toi vers ce penchant !
- Tu me fais peur tout d'un coup, Marc ! S'exclame sincèrement la belle blonde.
L'homme détourne ses yeux de la route et fixe un court instant la jeune femme d'un regard étrange. Puis, d'une voix redevenue claire, il poursuit :
- As-tu joui hier soir ?
- Bien sûr mon chéri ! Commence par répondre Sylvie, mais avant qu'elle n'ait eu le temps de continuer sa phrase, il la coupe :
- Alors, tu ne dois pas avoir peur !
Durant ce temps, la voiture est arrivée sur le parking du Super Marché et l'homme ne se gare pas très loin de l'entrée. Au moment où il coupe le contact, il dit encore :
- Je serai ton guide, tu vas te découvrir toi-même, mais laisse-moi tout de même te montrer le chemin !
Sylvie est de plus en plus perplexe, elle ne sait que répondre à son amant. Les mots qu'elle vient d'entendre la fascinent, instantanément, elle se replonge dans ses pensées et entrevoit de nouveaux plaisirs, inconnus, différents, mais si entiers. Elle commence à comprendre que son compagnon a certainement raison, car sinon, pourquoi aurait-elle joui si fort, la vieille au soir, quand elle était attachée au lit ?
Marc sort de la voiture et vient ouvrir la portière de sa passagère, qui est toujours plongée dans ses pensées. Dès que la porte est ouverte, il signale d'une voix rieuse :
- Tu as les seins à l'air, ma belle... !
S’apercevant de son état, la jeune femme reboutonne sa veste avant de sortir sans rien dire. Quand elle est debout à côté de la voiture, il remarque que sa jupe est encore très relevée, elle la tire vers le bas dans un geste très féminin.

Une fois les emplettes, pour la soirée à venir, terminées, Sylvie et Marc rentrent tranquillement à l'appartement. Puis, ils s'activent à préparer le repas, les amuse-gueules et mettent la table. C'est vers dix-huit heures que l'homme va prendre une douche et se change. Pendant ce temps-là, la jeune femme reste assise dans le canapé à parcourir quelques revues en attendant son heure.
Quand Marc est prêt, il vient embrasser sa compagne, puis lui dit doucement :
- Ce soir, je te veux belle et très sexy ! Va vite prendre une douche et remets-toi telle que tu es en ce moment, ma chérie !
De toute façon, la jeune femme n'a pas trop le choix, car Marc, prévoyant, a gardé la petite culotte de dentelle dans sa poche et est allé cacher le soutien-gorge sur sa grande armoire.

Lorsque Sylvie ressort pimpante et parfumée de la salle de bain, elle vient se faire câliner auprès de son amant dans le canapé du salon. À ce moment, elle a dans l'idée de négocier ses sous-vêtements, car elle se sent tout de même mal à l'aise de la façon dont elle est vêtue. Se faisant très chatte, elle minaude, embrasse l'homme qui lui rend ses caresses très tendrement.
Les choses vont bon train, L'homme à tôt fait de glisser une main sous la jupe et de venir prendre possession de la chatte lisse de sa compagne. Son index fouille et refouille les recoins du sexe féminin alors que le pouce de la même main vient cajoler le clitoris.
La jeune femme commence très vite à jouir sous les assauts de ce doigt malicieux. Elle se laisse aller, emporter autant par les caresses que par l'exhibition qu'elle a réalisées peu de temps auparavant. Ses idées se mélangent et se croisent dans sa tête, peu importe, pour le moment, elle est très bien, et c'est ce qui compte.
Dans un souffle et en défaisant sa braguette, Marc demande à sa compagne :
- Viens me sucer, ma belle !
Et une fois de plus, la jolie blonde s’exécute docilement. Elle commence par se coucher sur les genoux de son compagnon quand elle entend encore :
- Mets-toi devant moi, à genoux !
Soucieuse du plaisir de son amant comme elle l'a toujours été, et sachant qu'elle aura le retour, elle se laisse aller sur la moquette profonde qui recouvre le sol et vient se placer doucement entre les jambes de son ami. Elle commence alors une longue succion dont elle a le secret.
La queue entre et sort de cette jolie bouche gourmande dans un bruit doux. Elle luit de salive et se raidit de plus en plus.
Sylvie s'applique à faire entrer le sexe masculin le plus loin possible, doucement, en ne serrant les lèvres que ce qu'il faut pour que son partenaire ait le plus de plaisir possible.
Marc, très excité par ce qu'il vient d'obtenir de sa compagne l'après-midi même, se laisse aller. Il sent déjà sa semence migrer vers cette bouche douce et accueillante. Bientôt il se raidit entièrement sur le canapé et commence à râler, signe précurseur de l'imminence de son plaisir.
La jolie blonde, sentant que son amant est au bord de l'explosion, serre encore d'avantage la bite entre ses lèvres pulpeuses. Bientôt, elle sent une toute première giclée de sperme venir s'écraser au fond de sa bouche.
L'homme jouit dans un grand cri de bête fauve. De puissantes saccades de foutre tiède s'échappe de sa queue raide.
Sylvie déglutit pour ne laisser perdre aucune goutte de ce précieux nectar. Elle attend les dernières giclées pour lâcher enfin cette bite qui se ramollit un tant soit peu, puis déguste le sperme en levant ses grands yeux bleus sur son amant et, une fois la dernière rasade avalée, lui demande :
- Tu as bien joui, mon chéri ?
L'homme est comme groggy par l’ampleur de son plaisir, il rouvre ses yeux, regarde sa compagne, toujours à ses pieds, pendant quelques instants, puis, dans un sourire, dit :
- C'était vraiment super, ma salope... !
Au moment où la jeune femme se relève, elle dit à son tour, dans un grand sourire :
- Bon, je vais me rincer la bouche, ça pourrait ne pas faire sérieux de recevoir des gens avec l'haleine sentant le sperme !
- Non, coupe sèchement Marc, tu restes comme ça, comme une bonne salope qui vient de sucer son mec !
- Mais chéri… Commence à se défendre la jeune femme.
- Il n'y a pas de "mais" qui ne tienne. Tu restes avec le goût du foutre en bouche, comme une vraie chienne, c'est tout !
Cette fois, Sylvie a l'impression que le ciel lui tombe sur la tête. Comment cet homme, si gentil encore avant-hier, peut-il, aujourd'hui, lui faire ce coup-là ? Et que veut donc dire cette attitude des plus cavalières ? Bien sûr, elle aime cet homme, se sent prête à aller bien plus loin qu'avec tous ses amants précédents, mais tout de même, elle veut avoir le choix aussi, n'est-ce pas naturel ?
Comprenant, aux différents rictus de son visage, ce qu'est en train de penser la jolie blonde, Marc, ne voulant ni la buter, ni la faire fuir, explique encore, mais d'un ton plus doux cette fois-ci :
- Je veux que tu découvres cette sensation très étrange de honte et d'amour mélangés. Je veux que tu sois dans cet état quand nous recevrons Christian et Françoise tout à l'heure. Je veux que tu sois toujours à moi et que tu t'en souviennes pendant toute la soirée, que le goût de mon foutre te rappelle tout le temps ce que nous avons fait juste avant de les recevoir, tu me comprends ?
- Oui, je crois, du moins ! Répond finalement la jolie blonde du bout des lèvres, tout en essayant de comprendre ce qui lui arrive.
Peu de temps passe avant que les invités n'arrivent, ils sont en avance et dès le seuil de la porte d'entrée franchi, ils s'en excusent. Un observateur attentif pourrait remarquer les regards complices que s'échangent les deux hommes.
Marc fait deux bises à Françoise pendant que Christian serre la main de Sylvie en se présentant. Puis c'est le tour de Françoise à venir saluer la jeune femme blonde en s'emparant de la main tendue, mais elle utilise cette main pour attirer à elle la jeune femme et lui faire la bise.
Sylvie est gênée par cette marque de familiarité alors qu'elle voit, pour la première fois, cette grande femme rousse. De plus, elle est d'autant plus mal à l'aise, qu'elle se souvient encore de paroles de son amant. Néanmoins, elle se laisse approcher.
Françoise fait quatre bises en tenant la blonde l'épaule gauche de sa main droite. Ses lèvres viennent très près des commissures de son hôtesse. Puis quand elle relâche la jeune femme, elle dit d'un ton confidentiel :
- Tu sens le sperme… J'adore !
Instantanément, la jolie blonde rougit. Elle accompagne cependant son invitée dans le salon, et en entrant dans celui-ci, les deux hommes la regardent.
Marc s’aperçoit tout de suite des rougeurs de sa compagne. Comme il veut profiter du malaise passager pour enfoncer le clou, il demande :
- Que t'arrive-t-il donc, pour être si rouge ?
- Euh... Commence à bafouiller la jeune femme.
- Je crois que c'est de ma faute, je lui ai dit qu'elle sentait bon le sperme ! Coupe aussitôt Françoise dans un élan de sincérité.
Elle s'approche de la jolie blonde comme pour réparer une erreur ou la prendre sous sa protection, mais une fois à ses côtés, elle plaque sa bouche sur les fines lèvres de Sylvie et tente de l'embrasser.
La jeune femme blonde fait un pas en arrière et affiche cette fois, non plus une honte, mais un courroux et lance un regard noir à cette femme rousse, qui vient d'essayer de l'embrasser.
- Françoise, espèce de nympho, vas-tu te tenir tranquille avec ton hôtesse ? Questionne subitement Christian d'une voix sèche et dure.
- Pardon Maître ! Répond instantanément la femme en baissant les yeux vers le sol.
- Ne lui en voulez pas trop ma chère, continue l'invité en s'adressant cette fois à Sylvie, c'est une vraie chienne en chaleur, mais elle n'est pas méchante et elle ne vous veut aucun mal, ma petite !
- Bon, tu arrêtes de faire ta mijaurée, maintenant ! S'exclame alors Marc en fixant durement sa compagne. Puis, après quelques secondes passées à l'observer, il poursuit, toujours sur le même ton, Cette salope vient de me pomper le nœud et tout avaler, ne porte ni soutien-gorge, ni culotte. Et, se retournant vers son invité, il continue : et elle vient nous faire des histoires parce que ta femme lui fait remarquer gentiment qu'elle apprécie son odeur de foutre !
Sylvie reste interdite, jamais, elle n'aurait pensé que son amant puisse parler d'elle de cette façon, devant des inconnus de surcroît. Elle affiche en quelques secondes une moue de dégoût horrifiée et commence à se tourner pour fuir cette ambiance délétère.
Marc sent que la situation lui échappe, aussi se lève-t-il d'un bond dans une attitude agressive, vient se placer devant sa compagne, lui prend les poignets et dit d'une voix devenue tout de même plus sympathique :
- Attends, je ne raconte pas d'histoires quand je dis que tu viens de me sucer comme une salope, si ?
- Non... Non... Balbutie la blonde surprise et un rien craintive.
- Alors pas de cinéma, Françoise et Christian sont des gens très compréhensifs, ils savent que tu es encore "toute neuve" dans le domaine du sexe, que tu as encore un long chemin à parcourir pour te découvrir toi-même, ne sois pas choquée, et essaye de les comprendre. D'ailleurs, Christian va t'expliquer quelle est sa relation avec son épouse soumise.
En lâchant les mains qu'il détient encore, l'homme se rassoit et invite sa compagne à en faire de même sur un des fauteuils qui font fassent au trio sur le canapé.
Une fois tout ce petit monde installé confortablement, Christian prend la parole comme il y a été invité :
- Bien, sans vouloir faire un trop long discours, sache, pour commencer, Sylvie, que Françoise est ma soumise. C'est une salope qui aime le sexe, a découvert bien des choses avec moi, entre autres, qu'elle prend beaucoup de plaisir à être souillée, avilie, humiliée !
À ces mots, la rousse Françoise fixe la blonde avec un grand sourire qui en dit long sur ses envies.
- Si elle aime que je la traite en pute, poursuit le même homme, toujours sur le même ton, elle n'en oublie pas moins que c'est un jeu entre nous. Et, même si ce jeu te dépasse encore Sylvie, il faut que tu saches que tu te trouveras quelque part dans ce jeu, Marc m'a parlé de toi, il m'a déjà raconté ce que vous avez vécu ensemble, mais maintenant, c'est à toi de savoir ce que tu as envie de vivre avec ton amant. Il ne s'agit pas de te forcer, mais de te guider. Ici, tu as une femme et là, il se tourne vers son épouse qui fixe toujours la blonde en souriant, puis continue, qui peut t'aider, te conseiller, te faire découvrir ce que tu as à découvrir sur toi. Il serait vain de te refuser à toi-même, un jour ou l'autre, ce message reviendrait avec force à toi, et tu n'aurais plus de guide pour aller de l'avant, il y a donc fort à parier que si tu choisis la fuite aujourd'hui, ce que tu as le droit de faire, tu le vives très mal dans le futur.
La jolie blonde est le point de mire de tous les regards à cet instant. Elle rougit, baisse les yeux, ne pouvant tout à la fois supporter ces inquisitions et réfléchir à ce qu'elle vient d'entendre. Les premiers moments de surprise passés, elle se force à peser chaque concept qu'elle vient de prendre en compte, de regarder en face sa vie, jusqu'à la rencontre avec Marc, si peu excitante, sa relation amoureuse qui la comble depuis deux ans, ses propres valeurs morales et la futilité, qui lui apparaît dans l'écoute ou le regard des autres.
Marc sourit à sa compagne, doucement, il se lève et vient se mettre devant sa belle, sans lui laisser plus de temps pour réfléchir, il déboutonne sa braguette, sort sa queue, la présente devant la bouche de la blonde, puis dit doucement :
- Suce-moi chérie, comme tu l'as fait tout à l'heure !
- Mais, pas devant tout le monde, quand même !
- Si, justement ! Répond instantanément l'amant fébrile.
Quelques secondes s'égrainent en silence, puis il poursuit :
- Justement, devant tout le monde, ça, c'est vraiment une nouvelle expérience pour toi, et je veux que tu la vives !
La pauvre blondinette est totalement perdue, entre les mots durs de son bel amant, les concepts qu'elle vient de découvrir, le bizarre de cette soirée, ce qu'elle a vécu la veille, elle ne peut répondre ni bouger, tant son trouble est profond.
Françoise, ressentant les affres de cette jolie femme, se lève du canapé, s'approche vers la blonde et passe amicalement son bras sur les épaules tendues de Sylvie et vient lui murmurer à l'oreille :
- Laisse-toi aller, ne sois pas inquiète, je suis là... !
Et pour finir, Sylvie, tombe en sanglots dans les bras chauds et accueillants de cette bien étrange nouvelle amie.
Marc se rendant compte qu'il ne peut aller plus loin pour le moment, et comptant sur l'aide de Françoise, replace sa queue dans son pantalon et propose à son ami de lui faire visiter l'appartement. Bientôt les deux hommes sortent de l'immense pièce qui sert de salon et de salle à manger.

Dès qu'ils ont refermé la porte derrière eux, la rousse commence à caresser les cheveux blonds de son hôtesse. Elle a les mains très douces, de longs doigts soignés avec des ongles rouges vifs, une peau très blanche aussi.
Pour sa cinquantaine naissante, elle est encore très désirable. On peut imaginer ses seins volumineux sous son chemisier ocre dont les pointes marquent très légèrement le fin tissu. Elle est vêtue d'une jupe fendue bleue marine qui moule sans excès son cul avenant. Tout en caressant les cheveux de la blonde d'une main, Françoise commence à porter son attention vers le cou délicat si proche de sa bouche dans la position assise sur le bras du canapé qu'elle occupe. Puis d'une voix douce et rassurante, elle s'adresse à son hôtesse :
- Calme-toi ma belle...
La jeune femme blonde gémit toujours, machinalement, elle se tourne et penche sa tête sur la jambe gainée d'un nylon opaque et soyeux et vient poser sa tête sur le tissu de la jupe recouvrant le haut de la cuisse. Ses pensées sont toutes mélangées, elle perd ses repères et ses convictions, tant elle est accablée par les paroles qui sonnent encore à ses oreilles.
La rousse s'enhardit alors et commence à se pencher tout doucement pour venir déposer un chaste baiser dans le cou offert. Puis dans un souffle presque imperceptible, elle avoue :
- Tu es si belle ma chérie... !
Puis, elle s'enhardit encore à laisser sa main douce traîner sur le flanc de la jolie blonde dans une ronde de caresses suaves et tendres.
Dans l'état où elle se trouve, Sylvie ressent les caresses comme un réconfort, elle se laisse faire, ne sachant plus si c'est bien ou mal, mais se laissant aller, pour la première fois de sa vie, à des caresses que l'on dit interdites. Et, après quelques minutes de se lâcher prise, elle commence à éprouver une sorte de plaisir, certes pas très fort, mais si doux.
- Viens dans mes bras ma petite chérie ! Dit alors Françoise avec sa voix douce et enchanteresse.
À la manière d'un robot, la jeune femme se redresse, fixe une seconde de ses grands yeux rougis et vide cette femme si surprenante, puis l'entoure de ses bras, la tête entre les seins de la rousse.
Françoise caresse toujours la chevelure soyeuse de sa nouvelle amie, elle a des gestes lents d'une grande tendresse. Elle se force à respirer doucement pour ne pas effaroucher ce petit oiseau qui se blottit contre elle.
Les deux femmes restent encore dans cette position pendant un long moment, le temps pour Sylvie que ses yeux sèchent. Puis Françoise se décide à entamer la deuxième phase. Pour ce faire, elle se relève dans un geste très lent et doux, emportant avec elle, toujours serrée contre son ventre, la jolie blonde qui suit le mouvement docilement. Une fois qu'elle se trouve debout à côté du fauteuil, elle prend délicatement les bras qui l'entourent, les déplie un peu, puis les repositionne autour de son cou. Elle finit par passer ses propres bras autour du cou de son amie, puis vient tout doucement placer sa bouche sur celle de cette blonde qui n'offre toujours pas de résistance.
Sylvie ne sait pas vraiment ce qui est en train de se passer, elle goûte pourtant ce doux baiser qui enflamme ses lèvres, puis elle laisse entrer en elle la langue d'une autre femme en pensant qu'elle ne se reconnaît plus. Il y a deux heures encore, l'idée qu'une femme puisse l'embrasser l'aurait dégoûtée, voire donné de nausées. Maintenant, elle se laisse faire comme si son corps ne lui appartenait plus et qu'elle avait laissé son esprit s'enfuir de ce lieu connu, devenu si étranger.
La belle rousse ne compte pas en rester à ce petit baiser innocent, elle commence à explorer le corps soumis à ses caresses en passant sa main droite des épaules aux hanches et en faisant des incursions vers la poitrine de sa partenaire. Elle sent que la blonde est en train de lui tomber dans les bras, et en profite pour insinuer encore d'avantage sa langue dans la bouche chaude. Elle s'applique, car elle sait que le moindre faux pas ferait basculer la situation vers un repli de la belle sur elle-même.
La jeune femme frémit sous les caresses qui parcourent son corps de haut en bas et de bas en haut, elle se laisse aller totalement à ce plaisir si étrange, mais bien réel, elle glisse petit à petit dans une douce félicité, qui lui fait perdre de plus en plus, la notion de présent.
Françoise se détache un tout petit peu du corps de son amie, puis, d'une main très sûre, toujours doucement, se met à défaire les boutons du chemisier un à un. Au quatrième, elle abandonne le chemisier pour passer sa main droite dessous et venir flatter la peau délicate et tiède de la blonde. Dans un premier temps, elle laisse de côté les seins pour se concentrer sur le ventre plat.
Mais que se passe-t-il donc ? Cette femme, encore inconnue quelques heures auparavant, vient de la débrailler et elle se laisse faire, comme si elle aimait ça, pense Sylvie. Il est vrai que cette main chaude qui parcourt tendrement son ventre lui procure de longs frissons, mais tout de même. Elle tente une fraction de seconde de se reprendre, mais elle sent sa volonté la quitter comme la fumée qui s'échappe des braises d'un feu mourant.
La rousse, qui a ressenti cette fraction de seconde où tout a failli basculer, essaye d'aller un peu plus vite en besogne et attrape le sein gauche de la jolie blonde et commence à le malaxer comme elle sait si bien le faire pour l'avoir souvent pratiqué. Elle n'a toujours pas abandonné son baiser et vérifie, aux mouvements de sa partenaire qui deviennent de plus en plus faibles, que cette dernière se laisse bel et bien aller là où elle veut la conduire.
Sylvie sent maintenant cette main calme qui lui malaxe le sein en douceur et s’aperçoit que, même son amant, pourtant si doux, n'a une telle dextérité pour ce genre de caresse. Jamais auparavant, elle n'aurait pensé pouvoir ressentir un tel plaisir, rien qu'avec ses seins. Elle sent aussi que sa grotte intime commence à s'humidifier de façon significative. Désormais, exsangue de toute volonté, elle se laisse faire en respirant de plus en plus fortement.
Comprenant que sa proie est à sa merci, cette fois, Françoise se laisse aller à plus de fougue, en commençant à s'en prendre à l'autre sein, le droit. Quand elle se rend compte qu'elle tient enfin ce qu'elle espérait, elle arrête d'embrasser la jolie blonde, recule d'un demi pas, et dit tranquillement, en souriant :
- Tu m'as l'air de bien apprécier ce que je te fais. Puis, appuyant encore de pression sur le sein qu'elle tient à l'instant, elle poursuit, Que tu es belle…
La jeune femme a à peine ouvert ses yeux, elle se laisse bercer par les caresses, et, si elle ne répond pas, elle se laisse néanmoins aller à offrir son corps à chaque sollicitation manuelle de sa partenaire.
Françoise décide alors de dénuder cette jolie blonde dont elle a une envie folle. Elle commence par s'occuper des derniers boutons du chemisier. Pour atteindre le dernier bouton qui tient encore le léger vêtement, elle est obligée de sortir celui-ci de la petite jupe.
Sylvie se laisse aller, elle sent ces mains douces qui tirent tranquillement sur son chemisier, mais peu importe, elle n'a plus qu'une envie, se laisser faire. Ce mélange de sentiments la torture, elle aimerait devenir un simple objet et passer ce moment, qui lui semble obligatoire, en étant dans une sorte d'absence pour ne pas avoir de remords par la suite.
La rousse lubrique se recule une seconde pour admirer le corps de sa nouvelle proie, puis, en venant prendre le téton droit de la blonde entre deux doigts, elle souffle :
- J'ai envie de tes seins...
Sylvie ne répond toujours pas, elle ferme totalement ses yeux qu'elle avait encore entrouverts et se laisse faire. Elle a les bras ballants le long du corps, se tient à peine droite, comme si effectivement, elle n'habitait plus dans son corps.
Françoise exerce une pression croissante sur le téton, puis se met à tirer vers elle, allongeant ainsi, très légèrement, le sein. Ne voyant toujours aucune réaction chez sa partenaire, elle décide de la mettre entièrement nue.
La jolie blonde sent une main venir sur la fermeture de sa jupe, puis la glissière s'ouvrir. Elle ressent ensuite le fin tissu descendre le long de ses jambes tout doucement.
- Lève ton pied ! Dit alors la femme rousse.
Sans faire aucun commentaire, telle une machine, Sylvie lève son pied droit et attend que la jupe soit passée pour le reposer.
- L'autre pied, maintenant !
Encore une fois, la jeune femme lève son pied de quelques centimètres et attend.
Françoise prend du recul et admire, d'un œil expert, le corps encore très joli de cette femme, qui rentre doucement dans la quarantaine. Elle est visiblement attirée par la poitrine de la blonde, qui est assez ferme, en goutte d'eau, avec de grandes aréoles d'un brun soutenu et des tétons bien droits et assez longs. Elle fait le tour doucement de la blonde, en admirant le cul gracieux et la chute des reins, mais aussi, la naissance des cuisses qui a quelque chose de subtil. Revenant devant la blonde, Françoise, en souriant et en appréciant le mont de venus glabre, s'adresse à son amie :
- Tu es vraiment jolie, je ne me trompais pas en devinant tes charmes sous tes vêtements !
Sylvie ne bronche toujours pas, elle est immobile devant le fauteuil qu'elle utilisait précédemment, les bras le long du corps, les yeux fermés et la tête penchant légèrement vers le sol. C'est tout juste si elle sent cette main douce et câline qui vient flatter son pubis lisse.
- Comme tu as la peau douce ! Dit gentiment la rousse, en passant sa main sur le bas du ventre de sa conquête.
Puis, dans un élan d'excitation, car ce petit jeu commence à lui donner le feu au ventre, elle glisse son majeur tendu dans la vulve de la jolie blonde, lui arrachant enfin un cri de surprise.
- Mais tu mouilles salope ! Ment alors Françoise, puis elle enchaîne à l'attention des deux hommes qu'elle sait à portée de voix : venez voir, vous deux, cette cochonne mouille comme une fontaine !
Sylvie enfouit son visage dans ses mains et éclate en sanglots.
Les deux hommes entrent dans la pièce et contemplent le spectacle qui leur est offert. Ils peuvent voir la rousse lubrique qui les regarde entrer et vient de remettre son majeur entre les lèvres de la blonde qui sanglote. Ils restent un instant immobile près du canapé qu'ils viennent d’atteindre, puis Christian dit d'une voix claire :
- Elle est jolie, cette petite salope, tu as de la chance Marc !
- Oui, je trouve aussi, mais ta Françoise n'est pas mal non plus !
- Déshabille-toi ! Dit alors Christian en s'adressant à son épouse.
La rousse ne se fait pas prier plus longtemps, très vite, elle retire son chemisier, exhibant ainsi sa poitrine nue qui tombe légèrement. Elle défait tout aussi vite sa petite jupe fendue, et la laisse tomber à terre, sans porter plus d'attention que ça, à ses vêtements, devenus inutiles. Puis, se tournant vers les deux hommes, demande d'une voix qui trahit son excitation :
- Je vous plais comme ça ?
- Très bien, tu es une parfaite pute, ma chérie ! Répond gentiment son mari.
Christian s'approche alors de la jolie blonde et vient l'examiner de près. Au bout de deux tours de la femme qui pleure toujours doucement, il lance à la cantonade :
- Elle est très bien cette jolie chienne. Nous allons laisser Françoise l'initier aux plaisirs saphiques, qu'en penses-tu, Marc ?
- Bonne idée, Christian ! Répond l'amant en venant s’asseoir tranquillement et confortablement sur le canapé.
- Alors à toi de jouer, ma salope ! Finit par dire le mari à son épouse qui tremble imperceptiblement, tant elle est excitée.
Cette fois, la rousse lubrique vient se planter devant la blonde, puis, dans un geste obscène, sort sa langue et vient lécher les lèvres de son amie. Ses deux mains s'occupent en même temps des seins fièrement dressés à leur portée, en les malaxant sans ménagement.
La jolie blonde essaye de s'oublier le plus possible. Elle aimerait n’être plus qu'un objet inanimé, une chose, une sorte d'accessoire sexuel qui remplirait son rôle sans se poser de question. Elle souhaite quitter ce corps qui risque tellement d’être maltraité, se fuir elle-même, tomber dans une sorte de coma pour ne pas avoir à rougir à son réveil. Pour le moment, elle se sent trop prisonnière, prisonnière de ses sentiments envers son amant, prisonnière de ses propres fantasmes, prisonnière de sa peur qui la paralyse.
- Ne sont-elles pas excitantes, ces deux salopes, Marc ? Demande le mari fier de sa femme.
- Si, bien sûr ! Répond l'amant dans une sorte d'état second, un peu comme s'il sortait d'un rêve.
- Occupe-toi de son cul, Françoise, Marc m'a dit qu'il l'avait bien dilaté hier soir, alors met son anus en valeur comme tu sais si bien le faire, ma pute ! Poursuit encore l'homme de plus en plus excité par la scène.
C'est à ce moment que la folle rousse empoigne fermement sa proie et l'oblige à poser ses mains ouvertes sur le sol. Quand elle est parvenue à ses fins, c'est-à-dire que la blonde soit courbée, avec les mains touchant le sol, elle s'exclame :
- Les genoux à terre, salope !
Une fois encore, la pauvre blonde exécute le mouvement demandé et vient poser doucement ses genoux sur le sol de manière à être maintenant à quatre pattes.
Françoise fait le tour de la jolie blonde, vient se placer derrière elle, puis, d'un geste sûr, elle écarte les fesses rebondies et douces de sa proie et s'écrie :
- Quel trou du cul !
Sylvie se remet à larmoyer, de ce fait, ses soubresauts font tressaillir ses seins.
- Fais-moi jouir cette salope par le cul ! Dit alors Christian d'une voix dure.
De façon la plus obscène qu'il soit, la rousse met son index et son majeur de la main gauche dans la bouche et salive. Sa main droite écarte toujours les fesses de la blonde. Puis, d'un coup, en retirant les doigts de sa bouche, se penche vers le cul accueillant, crache sur l'anus et introduit directement ses doigts dans le boyau.
Sylvie pousse alors un cri grave de surprise. Tout à coup, comme si elle venait de faire une chute dans un escalier, la dure réalité s'impose de nouveau à elle. Elle serre les fesses instantanément et commence à crier en essayant de se relever :
- Non mais ça ne va pas chez vous, espèce de...
Une douleur aiguë sur sa joue gauche vient la couper net dans son élan de rébellion. Elle vient de prendre une gifle magistrale de la part de Christian qui dit aussitôt :
- Ferme ta gueule pétasse !
L'injure vient de lui donner son deuxième coup sur la tête. La jolie blonde retombe dans son état de torpeur précédent, comme si son esprit torturé se mettait en hibernation pour laisser passer un hiver trop rigoureux.
- Continue, connasse ! Lance maintenant l'homme à l'attention de sa femme qui est restée interdite devant la dissidence de sa nouvelle amie.
- Oui Maître ! Répond-elle machinalement.
Énervée par la violence latente dont fait preuve son mari, Françoise se permet de donner à son tour une grande claque sonore sur le joli cul de sa copine. Puis, se calmant un tant soit peu, elle replace sa main droite sur les fesses et les écarte. Cette fois, c'est de trois doigts qu'elle force l'entrée anale. Sans ménagement, elle commence de rapides va-et-vient dans l'anus ainsi vaincu.
Sylvie se trouve désormais totalement hors circuit. Son esprit semble s’être figé et, seul, ses nerfs remontent encore l’influx issu des différentes manipulations qui la concernent.
Dans une rage non feinte, la folle rousse s'en donne à cœur joie. Elle ne ressort ses doigts que pour pouvoir introduire quatre doigts. Comme l'anus est trop serré pour permettre ce passage sans préavis, elle force sur sa main pour obliger le sphincter à la laisser passer.
La joie blonde commence à sangloter de nouveau. Elle semble reprendre quelque peu conscience de ce qui lui arrive et tente d'avancer son corps pour éviter l'humiliation de cette dilatation.
- Tu ne bouges pas, salope ! Lance encore Christian d'une voix dure et autoritaire.
Il se lève alors d’un bond et vient s’agenouiller devant la tête de cette jolie blonde, sort son sexe déjà bien dressé de son pantalon qu’il laisse glisser sur ses cuisses. Puis ordonne encore :
- Suce-moi, pendant que ma soumise va te faire jouir du cul, chienne !
Sans rechigner, mais toujours en pleurnichant, Sylvie ouvre la bouche et se fait envahir par le sexe de l’homme. Il est étonnant comme la sensation peut-être différente par rapport au sexe de son amant, mais elle aime très vite aussi.
La femme blonde a l’impression d’être désincarnée. De vivre les choses sans les vivre, un peu comme si elle était sa propre spectatrice. Son anus perforé par ces doigts longs et fins, comme des flèches, commence à lui procurer de gentilles sensations. Sucer cet homme encore inconnu quelques heures plus tôt, l’excite bien au-delà de ce qu’elle voudrait bien admettre.
Le maître de la rousse tient fermement la tête blonde entre ses mains puissantes, toutefois, la prise ne serre pas, elle soutient juste le rythme que l’homme désire appliquer.
Cette fois, les caresses anales de la folle rousse sont devenues plus douces, et des ondes de plaisir parcourent l’échine de Sylvie. Toujours très perturbée mentalement, maintenant, elle s’estime plus objet qu’être humain. Et finalement cette idée la rassure et la calme.
- Tu m’as bien préparé son cul, salope ?
- Oui maître.
- Bon, pour ta récompense, tu peux passer dessous pour lui lécher l’abricot !
Et sans s’occuper outre mesure de la femme de son ami, il lâche la tête et sort sa queue de cette chaude et douce bouche. Se relève. Va s’agenouiller derrière la femme à quatre pattes. Prend son sexe dur en main, le place contre la rondelle encore ouverte. Pousse d’un coup pour faire entrer, dans ce cul, toute sa verge dressée.
Marc s’est levé à son tour. Vient se placer sur les genoux, juste devant le visage de sa compagne. Lui attrape les cheveux. Et la force à lever la tête. Puis, il lui annonce :
- Prend bien ton pied, profite de cette bonne sodomie et de la langue de cette salope pour te laisser aller à l’orgasme, je suis fier de toi !
Et, comme si ces mots faisaient partie d’une incantation magique, Sylvie se sent soudain totalement bien. Et, très vite, elle commence à hurler son plaisir. Pendant de très longues minutes, elle crie la force de son orgasme et oublie presque tout, n’étant plus qu’une grosse boule de plaisir ardent.

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