Premier plaisir d'être cocu
Récit érotique écrit par Le Poète [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-04-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Premier plaisir d'être cocu
Gérard après 5 années de mariage et avoir testé toutes les manières de faire l’amour avec Muriel sa compagne qui y prenait beaucoup de plaisir était désireux de la voir jouir encore plus. Une idée l’obsédait depuis quelques jours, Muriel, était toujours très sensible aux regards envieux sur ses décolletés généreux montrant une poitrine petite certes, mais tellement adorable. Elle adorait aussi allumer le regard des hommes par ses longues jambes découvertes par des minijupes très courtes.
Toutes ses attitudes étaient provocantes, mais, Gérard en était absolument sûr, l’amour qu’elle lui portait l’empêchait de goûter au fruit défendu de l’amour adultère. Et pourtant, il était de plus en plus certain que sa femme était faite pour l’amour et pour connaître le plaisir de s’offrir totalement à des inconnus. Cette pensée le troublait profondément, car chaque fois qu’elle lui venait à l’esprit, il sentait son sexe se durcir et éveillait en lui la certitude que de la voir sous ses yeux se conduire comme une véritable putain, non pour le fric, mais par concupiscence.
Gérard décida de lui parler du fantasme qu’il sentait grandir en lui. Un soir, il lui demanda si elle n’avait jamais eu envie d’un autre homme que lui. Rougissante, elle avoua que oui, mais qu’elle refrénait toujours son désir par fidélité envers lui, qu’elle l’aimait profondément et que céder à un homme qui lui plairait serait une trahison. « Et si c’était un inconnu que je choisirais et à qui je t’offrirais pour le plaisir de te voir te soumettre à toutes ses exigences sexuelles ». Muriel troublée répondit d’une petite voix « si cela t’excitait, cela me rendait folle de sexe. Je lui donnerais tout ce qu’il veut en te regardant dans les yeux pour y trouver ton bonheur ».
Gérard lui répondit « J’ai fait la connaissance d’un étudiant noir ce qui ferait que ton premier amant inconnu serait fort différent de moi. De plus, ils sont réputés bien membrés, ce qui ne gâcherait rien. Si tu veux, je pourrais lui en parler et l’inviter à la maison ». « Oui pour toi, pour moi, pour nous deux, je serais une vraie salope pour que tu m’aimes encore plus. Mais tu me jures que tu ne m’en voudras pas, si je jouis comme une dingue, car je dois t’avouer que rien que d’y penser, je mouille comme jamais je ne l’ai fait » répondit Muriel. « C’est bien, je vais arranger cela rapidement. Tu m’excites aussi très fort. » La prenant par la main, il l’entraîna vers la chambre à coucher et ils firent l’amour avec une passion qu’ils n’avaient encore jamais connue.
Quelques jours plus tard, Gérard ramena à la maison l’étudiant noir promis à sa femme. Il était grand et athlétique. Dès qu’elle le vit, Muriel eut une crainte instinctive, car elle sentait petite et faible face à ce colosse, mais en même temps elle ressentait une excitation terrible. À peine installé dans le salon, Désiré, c’était son nom, ne quitta plus du regard Muriel qui avait mis pour la circonstance un déshabillé vaporeux dont la couleur noire tranchait avec ses longs cheveux blonds tombant sur ses épaules. Gérard commença par parler de sa situation loin de sa famille tandis que Muriel exhibait ses longues jambes dans l’ouverture de son déshabillé créant manifestement un émoi chez Désiré. Il lui demanda s’il avait une petite amie et comme la réponse fut négative, il sourit amicalement en lui disant que dans la force sa jeunesse, l’abstinence sexuelle devait être pénible. « Tenez, un jeune homme comme vous, n’êtes-vous pas troublé quand vous voyez une jeune femme comme la mienne ? » l’interrogeât-il.
« Votre femme est très jolie, monsieur et vous avez de la chance »
« Si vous pouviez lui faire l’amour, cela vous plairait-il ? Si cette femme voulait se soumettre à vos désirs sexuels ? Refuseriez-vous ? »
« Votre question est gênante, monsieur. C’est votre femme »
« Je comprends votre embarras Désiré, mais si moi, son mari, je vous disais que je vous l’offre, que vous pourrez la soumettre à tous vos désirs à condition de vous regarder tout le deux ce qui me plairait énormément »
Désiré resta muet. Gérard se leva du divan, prit la main de Muriel, l’amena devant le noir interdit et ouvrit son déshabillé découvrant son corps complètement dénudé. « Elle est à toi, fais-lui tout ce que tu veux » et comme il ne bougeait pas, il poussa sa femme dans ses bras en commandant « embrasse-le pour le réveiller ce jeune homme »
Muriel, le cœur battant, approcha timidement ses lèvres de celles de Désiré et quand celui-ci introduisant la langue dans sa bouche - la serra dans ses bras puissants, elle sentit un spasme profond lui envahir le ventre. Un inconnu voulait la posséder et elle le désirait de tout son corps, de toute son animalité. Une brusque passion l’envahit et elle se mit à défaire fébrilement la ceinture de son pantalon, le fit tomber sur ses jambes pour voir ce sexe qui allait la posséder. Soudainement, une peur la saisit. Son sexe était nettement plus long et trop gros pour son vagin. Mais sa pulsion envers ce corps puissant et surtout la couleur de sa peau tellement différente effacèrent sa crainte. Elle serait à lui comme il le voudrait, elle serait sa chose. Elle jeta un coup d’œil vers son mari qui avait la main dans son pantalon et qui l’encouragea de la voix. « Montre-lui que tu le veux, prends-lui sa queue et suce-la bien. Goûte-le jusqu’au fond de ta gorge. Rends sa bite comme du fer pour qu’il te pénètre durement et te fasse bien jouir ».
Elle prit dans la main l’énorme engin, le caressa avec la paume, puis timidement, taquina du bout de sa langue le méat du gland avant d’ouvrir largement ses lèvres pour l’accueillir. Cette introduction lui donne l’envie de s’abandonner complètement à ce mâle en rut, de recevoir en elle la sève qu’elle sentait monter dans ce membre qu’elle voulait posséder. D’abord doucement sa succion se fit plus puissante, ivre de ce goût inconnu. Dieu qu’elle aimait cela, surtout quand elle regardait son mari qui semblait apprécier le spectacle. Désiré, lui, profitait de cette bouche qu’il envahissait violemment sans dire un mot. Seule sa respiration saccadée témoignait de son plaisir.
Au bout de quelques minutes, Muriel se tourna vers son mari et lui dit haletante, j’ai envie qu’il me pénètre, de le sentir dans mon ventre, de me sentir sa proie. Gérard répondit d’une voix troublée, vas-y ma chérie, j’ignorais la jouissance d’être cocu, j’ai peut-être encore plus envie que toi qu’il te prenne. J’aime te voir jouir dans les bras d’un étranger. Il n’y a rien de meilleur et je ne le savais pas.
Muriel saisit Désiré par la main et l’entraîna vers la chambre. Gérard les suivit, le cœur battant, et s’assit sur une chaise face au lit et aux deux amants.
Après avoir enlevé nerveusement ses vêtements, Désiré se tenait debout, hésitant le sexe érigé, le regard fixé sur la chatte rasée que Muriel lui présentait, allongée sur le dos écartant largement ses cuisses. Elle lui dit d’une voix rauque « Viens en moi, je veux que ta belle queue me pénètre fort et loin, je veux t’appartenir. Je t’ai eu dans ma bouche, je veux t’avoir dans mon ventre »
Gérard à son tour l’encouragea de la voix. Vas-y Désiré, je le l’offre, elle est complètement à toi. Donne-lui ce qu’elle veut. Elle veut être ma putain et j’adore. Prends-la sans ménagement, défonce-là, fais-la gémir et crier. »
À ces mots, Désiré, le souffle saccadé se jeta sauvagement sur ce corps dénudé, l’écrasant sous son poids, ses grosses lèvres cherchant la bouche ouverte pour l’envahir d’une langue ravageuse.
Muriel se sentit brusquement tout frêle dans ces bras vigoureux et eut la sensation étrange de subir un viol et d’aimer cela. Elle se donnait à ce mâle puissant plus femelle que femme, esclave de ses sens.
Tout aussi brutalement, la bite dure qu’elle sentait sur son ventre força le passage de sa fente trop étroite pour un calibre de cette taille. Elle poussa un grand cri et regarda son mari comme un appel de détresse, mais lui profitait manifestement du spectacle. Son vagin maintenant distendu sous les va-et-vient puissants d’un chibre en folie se lubrifiait et l’onde de son plaisir l’envahissait et augmentait au point d’aimer follement ce mâle qui la violentait. Oui, elle l’aimait d’autant plus que c’était la volonté de son mari, ce qui décuplait son plaisir.
Son esprit l’entraînait dans un délire sexuel inouï. Elle ferma fortement les cuisses pour sentir mieux encore cette bite pourtant énorme et remuait le bassin comme pour la malaxer avant d’en recueillir le jus. Reconnaissante, elle serrait convulsivement la main de son mari, qui s’était approché pour mieux profiter de ce moment privilégié où sa femme s’abandonnait complètement à cet autre.
Comme Désiré semblait arriver au paroxysme de la jouissance et Gérard qui s’en était aperçu, l’encouragea.
Vas-y, tu peux jouir en elle, elle prend la pilule. Inonde-là de ton sperme. Elle aimera cela, j’en suis sûr. Ne te retiens pas. »
À ces mots, Désiré en jeune étalon explosa littéralement en elle en poussant des rugissements rauques, s’immobilisa et se retira d’elle.
Elle gisait maintenant immobile et impudique, les lèvres du vagin dilaté laissant s’écouler un sperme épais. Cette vision bouleversa Gérard. C’était superbe et sa femme semblait tellement apaisée.
Désiré se rhabilla rapidement comme gêné et Gerard le raccompagna à la porte e le remerciant.
Revenu près de son épouse, Gérard la prit tendrement dans ses bras.
« Ma chérie, il me semble que cela t’a plu. Je ne t’avais jamais vue comme cela. Il semble que tu as le don de t’ouvrir à des inconnus sans retenue. J’ai apprécié, crois-moi à tel point que j’aimerais que l’on recommence puisque cela nous comble tous les deux. »
« Oui mon chéri, je t’avoue que, pour une baise assez rudimentaire, j’ai joui comme je ne l’avais jamais fait. Je suis prête à refaire des rencontres de ce genre, mais toujours avec des inconnus qui me traitent comme une putain, car c’est cela qui m’excite et en ta présence bien entendu. D’autre part je dois t’avouer que j’ai pris goût à la grosse bite noire et j’ai très envie d’en connaître d’autres. Cela me fait un effet extraordinaire sur moi. Leur couleur, leur odeur, leurs lèvres épaisses, leur langue gourmande et leur grosse bite, si j’en crois ce que l’on dit, me rendent folle. En plus, ils ne te ressemblent absolument pas à ce qui fait que j’ai l’impression de ne pas te tromper. Je t’aime tellement. Je veux être ta putain à noirs »
« Tu me rends heureux mon amour et je te promets que je vais te trouver l’objet de tes désirs le plus vite possible. »
« Fais-le mon amour et ne sois pas trop difficile sur le plan de l’âge, de l’aspect physique. Ce qui compte pour moi, c’est qu’il soit costaud et bien membré. J’aime tellement me sentir leur esclave sexuelle le temps de l’acte. Je vais même t’étonner, j’ai même envie de leur donner ce que je t’ai toujours refusé, mon cul. Pendant que Désiré me ravageait la chatte, je n’avais qu’une folle envie qu’il le défonce malgré sa grosseur. »
« Prends-patience, ma chérie, ton anus sera gâté, on dit qu’ils aiment cela »
Toutes ses attitudes étaient provocantes, mais, Gérard en était absolument sûr, l’amour qu’elle lui portait l’empêchait de goûter au fruit défendu de l’amour adultère. Et pourtant, il était de plus en plus certain que sa femme était faite pour l’amour et pour connaître le plaisir de s’offrir totalement à des inconnus. Cette pensée le troublait profondément, car chaque fois qu’elle lui venait à l’esprit, il sentait son sexe se durcir et éveillait en lui la certitude que de la voir sous ses yeux se conduire comme une véritable putain, non pour le fric, mais par concupiscence.
Gérard décida de lui parler du fantasme qu’il sentait grandir en lui. Un soir, il lui demanda si elle n’avait jamais eu envie d’un autre homme que lui. Rougissante, elle avoua que oui, mais qu’elle refrénait toujours son désir par fidélité envers lui, qu’elle l’aimait profondément et que céder à un homme qui lui plairait serait une trahison. « Et si c’était un inconnu que je choisirais et à qui je t’offrirais pour le plaisir de te voir te soumettre à toutes ses exigences sexuelles ». Muriel troublée répondit d’une petite voix « si cela t’excitait, cela me rendait folle de sexe. Je lui donnerais tout ce qu’il veut en te regardant dans les yeux pour y trouver ton bonheur ».
Gérard lui répondit « J’ai fait la connaissance d’un étudiant noir ce qui ferait que ton premier amant inconnu serait fort différent de moi. De plus, ils sont réputés bien membrés, ce qui ne gâcherait rien. Si tu veux, je pourrais lui en parler et l’inviter à la maison ». « Oui pour toi, pour moi, pour nous deux, je serais une vraie salope pour que tu m’aimes encore plus. Mais tu me jures que tu ne m’en voudras pas, si je jouis comme une dingue, car je dois t’avouer que rien que d’y penser, je mouille comme jamais je ne l’ai fait » répondit Muriel. « C’est bien, je vais arranger cela rapidement. Tu m’excites aussi très fort. » La prenant par la main, il l’entraîna vers la chambre à coucher et ils firent l’amour avec une passion qu’ils n’avaient encore jamais connue.
Quelques jours plus tard, Gérard ramena à la maison l’étudiant noir promis à sa femme. Il était grand et athlétique. Dès qu’elle le vit, Muriel eut une crainte instinctive, car elle sentait petite et faible face à ce colosse, mais en même temps elle ressentait une excitation terrible. À peine installé dans le salon, Désiré, c’était son nom, ne quitta plus du regard Muriel qui avait mis pour la circonstance un déshabillé vaporeux dont la couleur noire tranchait avec ses longs cheveux blonds tombant sur ses épaules. Gérard commença par parler de sa situation loin de sa famille tandis que Muriel exhibait ses longues jambes dans l’ouverture de son déshabillé créant manifestement un émoi chez Désiré. Il lui demanda s’il avait une petite amie et comme la réponse fut négative, il sourit amicalement en lui disant que dans la force sa jeunesse, l’abstinence sexuelle devait être pénible. « Tenez, un jeune homme comme vous, n’êtes-vous pas troublé quand vous voyez une jeune femme comme la mienne ? » l’interrogeât-il.
« Votre femme est très jolie, monsieur et vous avez de la chance »
« Si vous pouviez lui faire l’amour, cela vous plairait-il ? Si cette femme voulait se soumettre à vos désirs sexuels ? Refuseriez-vous ? »
« Votre question est gênante, monsieur. C’est votre femme »
« Je comprends votre embarras Désiré, mais si moi, son mari, je vous disais que je vous l’offre, que vous pourrez la soumettre à tous vos désirs à condition de vous regarder tout le deux ce qui me plairait énormément »
Désiré resta muet. Gérard se leva du divan, prit la main de Muriel, l’amena devant le noir interdit et ouvrit son déshabillé découvrant son corps complètement dénudé. « Elle est à toi, fais-lui tout ce que tu veux » et comme il ne bougeait pas, il poussa sa femme dans ses bras en commandant « embrasse-le pour le réveiller ce jeune homme »
Muriel, le cœur battant, approcha timidement ses lèvres de celles de Désiré et quand celui-ci introduisant la langue dans sa bouche - la serra dans ses bras puissants, elle sentit un spasme profond lui envahir le ventre. Un inconnu voulait la posséder et elle le désirait de tout son corps, de toute son animalité. Une brusque passion l’envahit et elle se mit à défaire fébrilement la ceinture de son pantalon, le fit tomber sur ses jambes pour voir ce sexe qui allait la posséder. Soudainement, une peur la saisit. Son sexe était nettement plus long et trop gros pour son vagin. Mais sa pulsion envers ce corps puissant et surtout la couleur de sa peau tellement différente effacèrent sa crainte. Elle serait à lui comme il le voudrait, elle serait sa chose. Elle jeta un coup d’œil vers son mari qui avait la main dans son pantalon et qui l’encouragea de la voix. « Montre-lui que tu le veux, prends-lui sa queue et suce-la bien. Goûte-le jusqu’au fond de ta gorge. Rends sa bite comme du fer pour qu’il te pénètre durement et te fasse bien jouir ».
Elle prit dans la main l’énorme engin, le caressa avec la paume, puis timidement, taquina du bout de sa langue le méat du gland avant d’ouvrir largement ses lèvres pour l’accueillir. Cette introduction lui donne l’envie de s’abandonner complètement à ce mâle en rut, de recevoir en elle la sève qu’elle sentait monter dans ce membre qu’elle voulait posséder. D’abord doucement sa succion se fit plus puissante, ivre de ce goût inconnu. Dieu qu’elle aimait cela, surtout quand elle regardait son mari qui semblait apprécier le spectacle. Désiré, lui, profitait de cette bouche qu’il envahissait violemment sans dire un mot. Seule sa respiration saccadée témoignait de son plaisir.
Au bout de quelques minutes, Muriel se tourna vers son mari et lui dit haletante, j’ai envie qu’il me pénètre, de le sentir dans mon ventre, de me sentir sa proie. Gérard répondit d’une voix troublée, vas-y ma chérie, j’ignorais la jouissance d’être cocu, j’ai peut-être encore plus envie que toi qu’il te prenne. J’aime te voir jouir dans les bras d’un étranger. Il n’y a rien de meilleur et je ne le savais pas.
Muriel saisit Désiré par la main et l’entraîna vers la chambre. Gérard les suivit, le cœur battant, et s’assit sur une chaise face au lit et aux deux amants.
Après avoir enlevé nerveusement ses vêtements, Désiré se tenait debout, hésitant le sexe érigé, le regard fixé sur la chatte rasée que Muriel lui présentait, allongée sur le dos écartant largement ses cuisses. Elle lui dit d’une voix rauque « Viens en moi, je veux que ta belle queue me pénètre fort et loin, je veux t’appartenir. Je t’ai eu dans ma bouche, je veux t’avoir dans mon ventre »
Gérard à son tour l’encouragea de la voix. Vas-y Désiré, je le l’offre, elle est complètement à toi. Donne-lui ce qu’elle veut. Elle veut être ma putain et j’adore. Prends-la sans ménagement, défonce-là, fais-la gémir et crier. »
À ces mots, Désiré, le souffle saccadé se jeta sauvagement sur ce corps dénudé, l’écrasant sous son poids, ses grosses lèvres cherchant la bouche ouverte pour l’envahir d’une langue ravageuse.
Muriel se sentit brusquement tout frêle dans ces bras vigoureux et eut la sensation étrange de subir un viol et d’aimer cela. Elle se donnait à ce mâle puissant plus femelle que femme, esclave de ses sens.
Tout aussi brutalement, la bite dure qu’elle sentait sur son ventre força le passage de sa fente trop étroite pour un calibre de cette taille. Elle poussa un grand cri et regarda son mari comme un appel de détresse, mais lui profitait manifestement du spectacle. Son vagin maintenant distendu sous les va-et-vient puissants d’un chibre en folie se lubrifiait et l’onde de son plaisir l’envahissait et augmentait au point d’aimer follement ce mâle qui la violentait. Oui, elle l’aimait d’autant plus que c’était la volonté de son mari, ce qui décuplait son plaisir.
Son esprit l’entraînait dans un délire sexuel inouï. Elle ferma fortement les cuisses pour sentir mieux encore cette bite pourtant énorme et remuait le bassin comme pour la malaxer avant d’en recueillir le jus. Reconnaissante, elle serrait convulsivement la main de son mari, qui s’était approché pour mieux profiter de ce moment privilégié où sa femme s’abandonnait complètement à cet autre.
Comme Désiré semblait arriver au paroxysme de la jouissance et Gérard qui s’en était aperçu, l’encouragea.
Vas-y, tu peux jouir en elle, elle prend la pilule. Inonde-là de ton sperme. Elle aimera cela, j’en suis sûr. Ne te retiens pas. »
À ces mots, Désiré en jeune étalon explosa littéralement en elle en poussant des rugissements rauques, s’immobilisa et se retira d’elle.
Elle gisait maintenant immobile et impudique, les lèvres du vagin dilaté laissant s’écouler un sperme épais. Cette vision bouleversa Gérard. C’était superbe et sa femme semblait tellement apaisée.
Désiré se rhabilla rapidement comme gêné et Gerard le raccompagna à la porte e le remerciant.
Revenu près de son épouse, Gérard la prit tendrement dans ses bras.
« Ma chérie, il me semble que cela t’a plu. Je ne t’avais jamais vue comme cela. Il semble que tu as le don de t’ouvrir à des inconnus sans retenue. J’ai apprécié, crois-moi à tel point que j’aimerais que l’on recommence puisque cela nous comble tous les deux. »
« Oui mon chéri, je t’avoue que, pour une baise assez rudimentaire, j’ai joui comme je ne l’avais jamais fait. Je suis prête à refaire des rencontres de ce genre, mais toujours avec des inconnus qui me traitent comme une putain, car c’est cela qui m’excite et en ta présence bien entendu. D’autre part je dois t’avouer que j’ai pris goût à la grosse bite noire et j’ai très envie d’en connaître d’autres. Cela me fait un effet extraordinaire sur moi. Leur couleur, leur odeur, leurs lèvres épaisses, leur langue gourmande et leur grosse bite, si j’en crois ce que l’on dit, me rendent folle. En plus, ils ne te ressemblent absolument pas à ce qui fait que j’ai l’impression de ne pas te tromper. Je t’aime tellement. Je veux être ta putain à noirs »
« Tu me rends heureux mon amour et je te promets que je vais te trouver l’objet de tes désirs le plus vite possible. »
« Fais-le mon amour et ne sois pas trop difficile sur le plan de l’âge, de l’aspect physique. Ce qui compte pour moi, c’est qu’il soit costaud et bien membré. J’aime tellement me sentir leur esclave sexuelle le temps de l’acte. Je vais même t’étonner, j’ai même envie de leur donner ce que je t’ai toujours refusé, mon cul. Pendant que Désiré me ravageait la chatte, je n’avais qu’une folle envie qu’il le défonce malgré sa grosseur. »
« Prends-patience, ma chérie, ton anus sera gâté, on dit qu’ils aiment cela »
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour ce récit des plus jouissif plus cuckolding que candauliste ! ce récit un peu court vaut bien pour moi 8,5 ou 9 sur 10 Didier
Très sympa, j'ai toujours eu envie de voir ma femme se faire prendre
je partage l avis de mme la lectrice avec ce 1er pas franchis...as tu recommencé gérard. Si oui raconte nous l évolution de muriel.
Quel mari n'a pas eu un jour un fantasme candauliste ? Offrir sa femme, la voir jouir sous les assauts d'un autre homme sachant qu'elle n'a plus un brin de pensée pour son mari, c'est si excitant. Certains ont franchi le pas, beaucoup d'autres non. En revanche, le cliché sur les noirs est un peu gros même s'ils ont la réputation d'être bien servi par la Nature. Le cuckolding est encore meilleur quand l'épouse se moque de la taille des attributs de son mari.
Un récit très troublant. Une vraie nature de candauliste.
Un texte très troublant qui montre une vraie nature candauliste.
Donc elle refuse la sodo à son mari mais l’accepte avec 1 étranger !!!
Les putes n’embrassent pas sur la bouche.
Niquer sans capotes et prendre des risques c’est jouer avec le feu.
Ça fait 5 ans et déjà il s’ennuie au point de refourguer sa femme a 1 étranger !!!
Encore 1 pute à black décidément c’est à la mode.
Les putes n’embrassent pas sur la bouche.
Niquer sans capotes et prendre des risques c’est jouer avec le feu.
Ça fait 5 ans et déjà il s’ennuie au point de refourguer sa femme a 1 étranger !!!
Encore 1 pute à black décidément c’est à la mode.