Première exhibe - histoire érotique

Il y a une dizaine d’années , nous remontions de vacances en Espagne, et là, il m’est arrivé un évènement qui a changé ma vie. Nous nous sommes arrêtés pour faire le plein dans une station d’autoroute espagnole. Il était assez tard et ma femme dormait , il faisait chaud et elle avait une mini-jupe. A cette époque j’étais super jaloux. Je vois arriver le pompiste pour faire les carreaux du pare-brise. J’ai vite remarqué son petit jeu , en fait, il essayait de mater sous la jupe de ma femme et là, au lieu d’être en colère, cela m'a excité un maximum. Après en avoir discuté avec ma femme quelques années plus tard, on a commencé à en discuter sur l’oreiller, puis à fantasmer, jusqu’au jour où on s’est lancé, quoique j’ai un peu forcé la main ce soir-là, car elle dormait, mais… vous allez voir.
On avait été manger chez des amis à Paris. Là elle s’était habillée comme d’habitude : jupe au dessus du genou et chemise. Donc, après le repas et une bonne soirée, nous voilà sur le chemin de retour. On avait l’habitude de jouer à la maison à des jeux à gages et bien sûr ce soir madame m’en devait un, donc je lui demandai d’enlever sa culotte et son soutien gorge, ce qu’elle fit en souriant tout en pensant ce que j’allai lui demander. Puis avec un petit sourire, je lui demandais si elle voulait aller dans la rue des voyeurs (nous étions novices et n’avions encore jamais rien fait). Là, à ma grande surprise elle me dit oui.
Super étonné mais avec la queue bien raide, nous voilà partis pour cette rue enfin trouvée avec du mal. Nous voilà roulant doucement à la recherche d’un voyeur qui lui plaisait. A vrai dire, à chaque fois que l’on en voyait un mme me disait non. On continuait et un peu plus tard, elle me dit « tiens, celui-là n’est pas mal » donc je le laisse s’approcher .
Une fois collé au carreau, mme était pétrifiée et n’osait pas le regarder. Pendant ce temps là, je commençais à remonter sa jupe pour lui faire voir son minou, mais rien à faire, elle paniquait , je n’ai pas insisté et nous sommes partis. J’étais déçu mais je ne disais rien. Puis elle me dit regretter, elle m’avoua qu’elle était trempée d’excitation. Je mis ma main sous sa jupe , je l’avais rarement vu mouiller autant. J’avais le pantalon qui allait exploser, en plus, elle voulait y retourner pour se lâcher complètement. On avait déjà fait beaucoup de chemin. Sur l’autoroute, alors qu’elle s’était endormie, je m’arrêtais sur un parking pour aller aux toilettes et quand je sortis, je vis un routier garé à côté en train de la regarder dormir ou plutôt d’essayer de voir un peu. C’est là que je me rappelais le retour d’Espagne avec le pompiste. Je le laissais un peu pour qu’il profite et en revenant je lui fit signe s’il voulait mater , c’était un beau mec, on avait de la chance, il me dit oui sans hésiter et descendit doucement du camion.
Je montais doucement dans la voiture et commençais par ouvrir le chemisier pour montrer ses seins merveilleux. Le routier, collé à la fenêtre se touchait à travers son pantalon, puis quand j’ai commencé à vouloir soulever la jupe, elle se reveilla, surprise dans un premier temps, mais alors là, elle m’étonna car en voyant le manège, elle me regarda et commença à se toucher les seins puis doucement elle descendit ses mains pour remonter sa jupe lentemant avec les jambes serrées.
Le routier était en extase et avait sorti une belle queue et se masturbait. Là, elle tourna la tête pour le regarder et écarta doucement les cuisses pour lui dévoiler son entre-cuisse qui était trempée , elle commença à se masturber gentiment avec ses doigts qui entraient et sortaient du vagin trempé , j’ai cru jouir sans me toucher , mais alors quand elle m’a demandé si elle pouvait descendre la glace pour le toucher : au secours ! Une fois la glace descendue, elle le branla en même temps que moi, mais le routier en voulait plus , il approcha sa queue vers sa bouche, là, elle se tourna et me demanda « je peux ? » Je lui dis « oui au contraire ! » car moi j’étais dans un autre monde avec l’excitation. Elle le suça presque à le faire jouir car là, c’est sa spécialité, elle s’arrête toujours au bon moment. Il était fou , je suis sorti de la voiture je fis le tour et ouvrit la porte, le parking était désert. je fis sortir mme pour l’emmener vers les toilettes. Là, je l’ai prise debout pendant qu’elle recommençait avec le routier , puis, nous avons inversé , elle poussait des petits gémissements de plaisir, c’était terriblement génial. On l’a prise par les deux trous et avons joui deux fois chacun , elle a joui je ne peux dire combien, en tout cas, je n’aurais pas cru que la soirée se terminerai comme ça. Elle, si terrifiée et timide une heure avant.
Nous sommes repartis et elle m’a caressée la queue tout le long. Au retour, sans dire un mot, sans bouger, à moitié allongée sur moi, elle avait l’air d’être dans un autre monde.
Voilà comment nous avons commencé et maintenant on s’éclate dans le libertinage et notre amour est encore plus grand, plus imprégné par la passion.
L et L