Première expérience, du fantasme à la réalité - histoire érotique

récemment j'ai cédé au fantasme. J'ai 48 ans, en couple, hétéro, une vie rangée mais pleine de déception sexuelle avec les femmes.
Comme si j'étais décalé.
Depuis 2 ans j'ai commencé à fantasmer sur les hommes, personne en particulier mais des hommes plus âgés.
C'est devenu de plus en plus présent. Je me suis rendu compte que j'avais envie de donner du plaisir.
J'ai commencé à m'inscrire sur un site mais étant plutôt timide je n'ai jamais imaginé faire les rencontres.
Ces rencontres autour d'un café me semblaient impossible émotionnellement. Le regard de l'autre peut être.
Un jour en lisant des articles et des histoires sur ce site j'ai vu le mot glory hole. Je ne savais pas exactement ce que c'était.
J'avais une petite idée quand même mais pas comment cela se passait.
Après quelques recherches je n'ai plus que pensé à cela. Pouvoir avoir une relation que purement sexuelle sans le contact si impressionant.
J'ai mis beaucoup de temps à voir où aller, mais la volonté n'était pas là.
Pourtant j'avais envie de m'occuper d'un sexe. De l'avoir à moi, de le faire jouir.

Je suis passé devant l'établissement plusieurs fois guettant de l'activité. Je voyais juste des hommes entrer et sortir.
Juste avant le confinement je me suis retrouvé seul pour 2 semaines et l'idée m'a retravaillé.
Je me suis complètement épilé, me disant que c'était juste pour voir. Puis je suis allé là-bas.
Il m'a fallu du temps pour entrer, je me demande encore comment j'ai fait.

Je n'avais aucune idée de comment cela se passe, le stress. J'ai été un peu bloqué.
Finalement cela ressemblait plus à un bar mais avec quelque chose de très spécial. Au final une personne est venu vers moi et a vu que j'étais nouveau.
J'ai failli ne pas pouvoir parler, tant ma gorge était sèche.
Il m'a demandé si c'était ma première visite, si je voulais rester au bar ou passer à côté.
Je lui ai demandé une bouteille d'eau dans un quasi murmure et que je voulais aller visiter.
Il m'a alors tout expliqué, j'ai payé et il m'a fourni une serviette, des tongs, des préservatifs et je suis passé dans les vestiaires.
Ce fût le premier choc. Quelques hommes étaient là, s'habillant ou se déshabillant, peu de discussion, quasi que des personnes seules.
De tout âge aussi mais avec une moyenne d'âge de 50 ans. Tout physique aussi.
J'avais les yeux au sol, presque rouge de honte. Ils m'ont regardé à mon arrivée puis ils ont repris leur activité.
J'ai donc tout enlevé, mis ma serviette autour de ma taille, et j'ai passé le sas.
Je tremblais des pieds à la tête, j'explorais un univers effrayant mais également terriblement excitant.
Je me suis promené comme un voyeur, évitant les regards, les contacts, les salles. Je m'arrêtais juste pour jeter un oeil.
Le temple du sexe n'aurait pas eu d'autre définition. Je voyais des scènes qui m'excitaient et me faisaient honte à la fois.
Là à la vue de tous, des scènes de sexe crues. Malgré la musique, les gémissements, les encouragements, les bruits de sexe se faisaient entendre.

Plusieurs fois des mains m'ont touché mais j'ai fuit. La première fois j'ai même sursauté.
Puis j'ai aperçu un mur avec 2 trous, j'ai été comme fasciné. Il y avait du monde qui passait d'une pièce à l'autre et là un peu à l'écart ces 2 trous.
Je suis resté voir un moment. Puis j'ai vu sortir une main qui s'est posée.
Comme un appel, un homme est venu se placer devant. Je n'ai plus pu voir mais l'homme semblait prendre son pied.

J'ai pris comme une décharge, je voulais ça. En faisant le tour j'ai vu les deux cabines donnant sur les trous. Lorsque je suis arrivé, un homme en sortait.
Sûrement celui qui avait dû donner du plaisir.
Je suis entré dans cette petite salle. Très faiblement éclairée. Elle sentait le sexe.
J'ai accroché ma serviette, je dégoulinais déjà. Puis j'ai passé ma main.
J'ai attendu un moment et j'ai senti enfin un sexe contre mes doigts. Un beau sexe s'est tendu vers moi, deux bourses l'accompagnaient.
Pendant un moment j'ai hésité, puis j'ai commencé à le caresser. Mes deux mains, l'une le masturbant, l'autre passant sous ses couilles.
Je l'ai senti frissonner, cela m'encourageait. Me reprenant j'ai lui ai mis un préservatif.
Puis prenant de l'assurance j'ai commencé à l'embrasser, dessous, sur la tige et enfin sur le gland.
Mes baisés étaient de plus en plus appuyés, mes lèvres plus ouvertes, bavant légèrement.
Puis j'ai commencé par enfourner son gland, je me rappelle de cette sensation. J'ai passé ma langue partout.
Mes mains ne lâchaient pas ce sexe, ma bouche non plus. Je le sentais bouger légèrement.
Puis je l'ai sucé entièrement, tout ce que j'ai pu. Je me laissais aller complètement.
Masturbant, pompant, malaxant. Je me masturbais parfois mais j'étais déjà au bord de la jouissance.
D'un coup j'ai senti l'homme avoir des mouvements de bassins, j'alternais alors ma bouche et mes mains et enfin il éjacula.
J'avais fait éjaculé cet homme. Il se retira. Je ne savais même pas qui c'était.
Avidement je remis ma main ! encore ! après moins d'une minute, une autre verge apparue. Plus large.
Je devenais fou, encore une fois je le suçais, engloutissant son sexe, avide. Je l'embrassais, le léchais comme un objet de culte.
J'étais complètement excité. Je sentais qu'il allait jouir.
Je me suis alors redressé, tenant toujours son sexe j'ai mis du gel et je me rappelle m'être tourné, glissant cette queue dans ma raie.
d'une main je me masturbais, de l'autre je la glissais contre mon cul.
J'avais la bouche ouverte de désir, le cerveau avait décroché.
je l'ai branlé sur mon cul, je sentais ses mouvements, parfois je butais contre mon trou.
Lorsque la jouissance est montée, j'ai failli me l'enfiler. J'en mourrai d'envie. La mettre en moi.
Mais il a joui, je l'ai entendu gémir. Et j'ai joui aussi, c'était tellement bon.
J'ai relâché cette queue, je l'ai libéré.
J'ai un peu repris conscience et je suis parti. J'avais un peu honte de ce que j'avais fait. Mais quel pied.

Depuis je ne pense plus qu'à la sensation de cette queue si près de mon trou, la pression sur lui que j'avais ressenti.
L'envie terrible de me la mettre. De la sentir coulisser.
Mais tout est fermé pour l'instant.