Première fois (1ère partie) - histoire érotique

La chose arriva pendant que je m'habillais. Comme une sensation que cela allait arriver...
Oui, vraiment, cette sensation que je connais bien... A chaque fois que se produit un fait pas ordinaire dans ma vie, je connais cette "anxiété", mais je ne sais jamais de quoi il s'agit.

Je me prépare, conviée à cette soirée intime. Je choisis des vêtements noirs : petit boxer lacet dans le dos assorti au soutien-gorge laçage entre les seins qui rehausse ma poitrine maintenant si menue, petite jupette dans le ton, tunique rehaussée d'un top blanc. Mes mains galbent mes jambes de bas noir soyeux et opaques. Je chausse mes pieds de ballerines montées sur talons de 15cm qui accentue la cambrure de mes reins. Une ceinture "papillon" blanche et noire sur la tunique mini.

Je me complais à regarder mon image dans le miroir en peaufinant mon maquillage noir qui met en valeur mes yeux verts... Et hop!Je me sens prête pour cette soirée.

La chose s'est insinuée en moi depuis que je sais que je vais le voir... Rendez-vous de sexe...hum...

Je m'impatiente. Pourquoi suis-je si nerveuse?
Musique à fond, je roule vers cette nouvelle aventure.
Arrivée devant le portail, je l'appelle pour l'inviter à m'ouvrir . Comme un supplice, je retarde à plaisir le moment de le revoir.
Je sort de la voiture, et debout près de la porte d'entrée, reste encore une minute à attendre qu'il m'ouvre..
Et, soudain, mue par un violent désir, je me dis qu'au contraire je devrais me presser afin de ne pas perdre un seul instant de ce précieux temps que nous allions passer ensemble.
La porte s'ouvrit, et je me jette tout contre lui, saisissant sa bouche entre mes lèvres.
Un large sourire de bienvenu éclaire son visage.Après une étreinte furtive il ferme la porte. Je le laisse passer sa main pour vérifier la moiteur de ma chatte sous ma jupe.

Le temps s'arrêta. Dans le bonheur et la joie de le revoir, je le suivis dans la chambre sans prendre le temps d'ôter mes souliers.

Sous son peignoir qu'il ôtât rapidement, je le vit vêtu pour la première fois dans ce sous-vêtement si affriolant qui me fit frissonner de désir.
Mes sens sont déjà en alerte lorsque nous nous allongeons sur le lit.
Je le caresse à travers son boxer qui révèle sa bite toute gonflée.. Son désir rehausse le mien, s'il eut fallu le raviver. Je ressent cette volupté me saisir tout le ventre, j'ai chaud, très chaud.
Mon entrejambe est déjà enflammé à la vue de ce corps qui me trempe d'envie.

Je me laisse guider malgré l'envie qui m'émoustille la minette devant son sexe déjà si bandé. Il me repousse doucement alors que mon envie de le sucer est déjà présente.
J'ai fait semblant de ne pas remarquer les godes installés sur le lit, et pourtant il se lève et m'attise en me les montrant , me faisant face ,se branlant debout devant moi, et me laissant seule avec eux sur le lit.
Je ne suis pas très fière, c'est la première fois que j'en ai des "vrais" à portée...

Sans me laisser démonter, je prends le plus petit,lol, en jargon texto, parce qu'il est moins important que sa queue qui me nargue là, devant! et pourtant déjà, d'une longueur et grosseur non négligeable!
Je commence à sucer ce morceau de plastique pour ne pas montrer ma décontenance... Comme j'ai déjà vu faire dans des films ... Je lui passe ma langue comme si la glace était bonne...
Je l'ai saisi entre mes deux mains et le lèche avidement même si l'intérêt ne me parait pas évident puisque j'ai à portée de bouche un joujou que j'aimerai saisir tout au fond de ma gorge. Puis tout lentement, et le tenant fermement je me caresse le visage et le cou, le descend sur ma poitrine tout en le fixant, attendant comme un encouragement pour savoir si c'est bien comme ça que l'on s'en sert...
Mais il ne dit mot et continue à me fixer en se branlant de plus en plus fort.
Je tente de désarçonner mon stress en avouant que c'est la première fois que je vois et que je touche des joujoux...

Il s'approche alors et commence à me caresser le corps et la danse sexuelle commence.

J'oublie où je suis, et qui je suis, la route, les joujoux, seules comptent ces caresses qui m'emportent vers cet autre monde. Sensations extrêmes, une force vivante traverse mon corps et me procure des ondes de voluptés au travers de ses mains et du frottement contre mon corps. Je perds le contrôle. Je veux qu'il me transperce sans préliminaire, mais il s'oppose, il continue les caresses. Il me laisse jouer mais jusqu'à un certain point. Je passe sa queue sur ma chatte mais sans droit à l'y enfoncer dedans comme je le voudrai...
Je la suce tendrement, puis me l'enfonce au fond de ma gorge, et il me la retire..
Il prend le relais et je sens sa bouche sur mon visage, dans mon cou, sur mes épaules, qui descend caresser mon ventre et s'arrête sur mon sexe que je lui tends, détrempé...
Il le goute. J'ai envie de le bloquer là, et pourtant je n'en fait rien, réceptive à la moindre de ses caresses et passive, attendant où il m'emmène...

A me frôler ainsi, les frissons deviennent internes et le désir se répand...les tétons, le ventre , la minette, je ne sais il est partout.
J'ai envie de crier :"Prends-moi" et j'attends haletante en le regardant...Ses yeux bleus me percutent encore et encore... Je feins la force et je n'en peux plus sentant la jouissance arriver .
Mes jambes tremblent de ce désir contenu que je laisse échapper dans un gémissement enfoui au creux de son épaule et sans avoir été pénétrée...
Sa langue gourmande me laisse à peine le temps de ressurgir et vient titiller à nouveau mon corps enflammé. Elle parcours mon sexe, excite à nouveau mon clito qui n'attend que ça et je sens ses mains empoigner mes fesses pour accentuer le mouvement au creux de sa bouche délicieuse...

Je m'assieds et saisis sa queue parée d'un cockring et qu'il branle toujours tout en me caressant.Il me tourne tout en continuant ses caresses et je sens ses doigts sur mon petit cul toujours vierge.
Sa bite à l'orée de mon minou s'introduit doucement et superficiellement dans ma chatte.Je n'en peux plus. Je tente de forcer la pénétration mais il se recule encore une fois..
Il me met sur le dos. Passive, je le regarde, lui et sa bite impressionnante et vibrante. J'attends. Il me caresse encore enduisant mon intérieur de ce gel dot je n'ai pas besoin tellement je suis excitée...
Peu importe, l'enduisage est une caresse de plus que ma minette apprécie. De haut en bas, et puis à l'intérieur, je le regarde, le suppliant des yeux d'accéder à mon désir d'être prise par ce gros sexe qu'il caresse devant mon sexe en rut..

Au moment où je désespère d'être possédée par un tel membre, il me sourit et me l'enfonce tout d'un coup au plus profond étouffant le râle qui perce dans ma gorge..
Là, tout au fond de mon ventre ressurgissent les ondes du plaisir. En même temps que l'envie de stopper et de rester immobile, mon corps commence une cadence lente au départ et de plus en plus frénétique, rythmée par la musique du plaisir qui monte et veut chanter au dehors. Il me possède et me relâche, doucement puis violemment et si puissamment...
J'ai posé mes mains sur ses fesses afin d'accentuer cette prise délicieuse.Mes mains glissent pour caresser ses boules que je sens vibrer.
Puis il me demande de lever mes jambes pour me prendre plus loin encore. Alors je pose mes pieds sur ses épaules, et là tout entièrement il me culbute sans ménagement. Son corps ruisselle et je me délecte du spectacle de sa queue défonçant ma minette dans un rythme endiablé maintenant. Je n'arrive plus à contenir mes gémissements ,ni à ralentir sa cadence. Mes mains crispées sur les draps, je m'offre à cette étreinte tant désirée et je craque encore une fois à ce plaisir qui arrive en saccades...
Un court instant pendant ma jouissance, mon esprit reprend le contrôle me soufflant qu'il eut certainement été bon de goûter sa bite dans mon cul en cet instant ...

Gérard me libère afin que j'aille rincer ce flux d'entre mes jambes. Je m'avance vers le lavabo et entreprends une rapide toilette car je sais que nos ébats ne sont pas terminés.
Sa queue est toujours aussi raide qu'au départ. Tout à mon vertige je l'ai laissé sur le lit, là à quelques mètres.
Et, alors que je reviens vers lui, je reste sans voix du spectacle offert, qui en une seconde me prend le ventre d'une envie jamais encore connue...