Première fois : ma cousine m'a donné goût au désir
Récit érotique écrit par Antoinelrh [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-04-2022 dans la catégorie Pour la première fois
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Première fois : ma cousine m'a donné goût au désir
J’ai toujours entendu dans la bouche des mes proches, notamment de mes parents que j’étais curieux et pressé de tout tester. Ce n’est pas complètement faux, j’ai toujours cette envie d’aller plus vite, de découvrir la vie.
Ma famille m’a toujours encouragé et m’a toujours aidé. Dans une famille comme la mienne, nous vivons avec passion. Enfant, j’ai toujours baigné dans la culture, dans les traditions et dans la culture de la fête. Lors des grandes fêtes religieuses, nous avons l’habitude de réunir cette grande famille. La dernière réunion, celle de Pessah (pâques juives pour les non-initiés), en voyant Sarah, ma cousine, de 4 ans plus vieille que moi je me suis souvenu de l’histoire que je vais vous raconter là …
Sarah et moi avons 4 ans d’écart mais nous avons toujours été complices. Je n’ai pas de soeur et Sarah n’a pas de frère, je pense que nous avons fait un transfert. Pour ajouter à cette proximité, Sarah est la fille de la soeur jumelle de ma mère. De plus, nous avons grandit proche l’un de l’autre puisque, enfant, nous habitions dans le même immeuble, eux au 3ème étage, et nous au quatrième. Autant vous dire que nous étions comme le dit l’expression : cul et chemise.
Jusqu’au 15 ans de Sarah, notre proximité était grande. L’adolescence passa par là. À 15 ans, ses priorité n’étaient plus les mêmes que le petit garçon de 11 ans que j’avais. Peu après ses 16 ans, Sarah et mon oncle et ma tante ont pris la décision de partir vivre en Israel. Pendant de nombreuses années, nous nous croisions qu’à l’occasion des fêtes juives quand ils rentraient en France ou quand nous allions les voir à Tel Aviv.
Pendant 3 ou 4 ans, j’en ai voulu à ma cousine de « m’abandonner » pour ses copines, surtout pour ses copains. Lorsque j’ai eu 15 ans moi-aussi, j’ai commencé à comprendre. Je ne pensais plus à m’amuser avec mes petits frères. J’avais comme tous les ados, plus envie de trainer avec mes potes et surtout fantasmer sur les filles. L’année de mes 15 ans, nous avions prévu, comme tous les ans depuis le départ de ma tante dans la Capital Israélienne, nous allions passé les deux mois des vacances au soleil du proche-orient.
Malheureusement, fin juin, nous avons appris que mon grand-père était malade. Mon père qui était son médecin n’a évidement pas voulu le quitter. Les vacances se passeraient donc en Normandie dans la maison de famille. J’avais repris contact avec ma cousine, cet été à Tel Aviv devait être le moment de nos retrouvailles.
Sarah était, avant son départ, très proche de mon grand-père et de ma mère. Début juillet, ma cousine m’appelle et me demande de parler à ma mère. Ma mère s’isola dans son bureau pour lui parler et revient dans le séjour :
Bon, mon chéri demain matin, tu viens avec moi. Il faut qu’on aille faire des courses et on va faire un aller-retour à Deauville pour préparer les chambres.
Pourquoi faire ? On ira ce week-end.
Non, il faut que je vois sur place comment s’organiser. Sarah vient passer un mois avec nous pour qu’elle puisse voir papou.
Elle vient à Deauville ou à Paris ?
Les deux.
J’étais tellement heureux à l’idée de la revoir. Je ne l’avais pas vu depuis 2 ans du fait de ses études aux Etats-Unis. Elle arrivera après le 14 juillet. Tous les jours, nous nous écrivions, elle avait l’air d’être aussi impatiente que moi. Trois jours plus tard, déception, elle arrivera quelques jours plus tard. Elle avait passé son permis, elle l’avait loupé et devait le repasser le 15 juillet. Le 15 au soir, toute heureuse, elle m’appelle :
J’arrive demain !
Chouette ! Et ton permis ?
C’est dans la poche petit cousin. Tu crois que ta mère voudras bien me prêter sa voiture ?
N’y compte pas ! Mais tu demanderas à Papy la sienne, il n’a jamais su te refuser quoi que ce soit.
C’est vrai, je n’y pensais pas.
Le lendemain soir, nous étions avec maman à l’aéroport pour récupérer Sarah. Je ne l’avais pas vu depuis longtemps. Comme tous les ados, en attendant son arrivée, je m’occupais à observer autour de moi, surtout à regarder les jolies filles ! J’avais un délire : en regardant les filles sortir de la salle de débarquement je me disais : ah celle-ci j’aimerais bien le faire pour la première fois, ah celle-là non, ah celle-là pourquoi pas … un ado quoi : pas très fin mais on est tous passé par là. Dans mes pensées, je ne regardais plus les visages mais plutôt les corps de ces demoiselles. L’une après l’autre, je fantasmais, je sentais que mon sexe n’était pas indifférent. Je vois une belle fille sortir de la salle : un beau décolleté, avec une belle poitrine généreuse. Après avoir regardé ses seins, je regarde son visage : oh, c’était Sarah ! Qu’elle avait changé ! Ce n’était plus une ado mais une sublime jeune femme !
Pour mieux comprendre la suite, je me dois de la décrire. Grande, brune aux yeux verts, Sarah avait dans mon souvenir un physique classique mais il n’en était rien. Deux ans avant, Sarah n’avait pas de seins ou presque, elle était très mince (maigre même).
Oh mais tu as changé dis-donc !
Pas autant que toi ma cousine, tu es trop belle.
Oh, tu es trop mignon, merci. Tu es devenu un beau mec toi aussi ! Tu t’es mis au sport ?
Oui, depuis un an. Mais toi aussi : c’est musclé tout ça.
Elle me serra fort dans ses bras. Je sentis sa grosse poitrine contre mon corps de puceau. Je me souviens parfaitement de son odeur. Elle était si belle, si charismatique, si sexy ! Je sentis aussitôt une demie-molle dans mon caleçon, j’avais peur que ça se voit. Ma mère était pressée, comme toujours mais j’étais content pour une fois, ça m’a permis d’écourter ces rapprochements.
Elle avait un gros sac en plus de deux valises. Je pris le sac. Elle me précéda. Mon dieu ! Elle avait de beaux gros seins mais elle n’avait pas que cet argument pour elle ! Sa robe moulante laissait deviner de belles fesses fermes. Je pouvais deviner un petit string lui mouler ses fesses (j’en suis encore tout excité en y repensant). Mes yeux n’arrivaient pas à se décoller de son fessiers. Je ne rêvais que d’une chose : y poser mes mains. Son déhanché me rendait fou. Le chemin jusqu’à la voiture fut à la fois trop court et long. Court parce que j’aurai passé des heures à lui mater le cul et long parce que j’avais peur d’avoir une forte érection et qu’elle s’en rende compte.
Arrivé à la voiture, ma mère monta directement et nous pressa :
Toujours aussi nerveuse ta mère !!
Ah ça oui, elle est toujours tendue, encore plus en ce moment vu l’état de santé de papy.
Apparement, il y a autre chose de tendue !
Hein ?
Coquin !
Elle jeta un oeil vers mon pantalon en se pinçant les lèvres avant d’éclater de rire.
Dieu a été généreux avec toi !
Sarah monta dans la voiture. Je ne savais plus où me mettre. Elle avait vu la demie-molle dans mon pantalon. Le voyage fut long. Je n’osais plus parler. J’étais honteux. Non pas de l’avoir maté mais de m’être fait chopé.
Une fois arrivé à la maison, Sarah demanda à maman d’aller chez papy. Maman n’avait pas envie, elle était attendue et ne pouvait pas l’emmener.
Tu viens avec moi petit cousin ?
Oui, si tu veux. On commande un taxi ?
Non, on prend le métro.
Après une petite douche, Sarah était prête. Elle avait mis un jean et un top noir, soft. Elle avait plutôt intérêt pour aller voir papy (cool mais à cheval sur les principes). Notre appartement était à 10 min à pied de la station de métro. Sur la route, Sarah me parla de sa vie d’étudiante, de ses amours … Moi, je me faisais discret. J’étais encore gêné. Je ne faisait que répondre à ses questions.
Après une heure au chevet de papy, on repris le chemin inverse pour rentrer mais en voiture ! Elle avait gagné : papy lui avais donné les clés de la voiture. Elle était toute excité de conduire pour la première fois seule.
Au bout de 5 min dans la voiture, elle me dit :
Bon, tu vas te détendre ?
Pourquoi tu me dis ça ?
Je ne sais pas, tu ne parles pas. Je parle toute seules, c’est soulant.
Ah désolé, je m’en rend pas compte.
Allez, c’est bon, je sais que tu es gênée, je suis désolée, j’aurai dû me taire. Tu me connais, je ne peux pas m’empêcher de provoquer. T’inquiètes, c’est pas grave, c’est de ton âge de mater. Tu n’es pas le premier à mater mon cul ou mes seins.
Oh je suis désolé, c’est la honte.
Mais non ! Ça m’a permis de mater moi aussi !
Hein ?
Bah quoi : tu me mates, j’ai bien le droit de mater aussi !
Genre ?
Bah quoi ? Ça te choque ? Tu sais, nous aussi les meufs on mate. Bon, on n’a pas souvent l’occasion de mater des kikis en érection mais bon. Quand je vais raconter ça à mes copines.
Arrêtes, c’est la honte.
Tu n’as pas à avoir honte, toi.
Comment ça : moi ?
Bah, tu es bien équipé, c’est pas le cas de tous les mecs.
Je sentais que j’avais chaud de honte. J’avais les oreilles rouges écarlates. Sarah, comme pour me rassurer posa sa main sur min genou. Ça eu l’effet inverse. Sa peau contre ma peau m’a de nouveau excité. J’eue immédiatement une puissante érection. Réaction visible vu ma tenue !
Ah oui, à ce point, tu es chaud p’tit cousin.
Désolé. Tu veux bien enlevé ta main ?
Euh, oui, promis je ne te touche pas.
Elle posa sa main 3 secondes son mon sexe à travers mon short.
Je confirme, elle est énorme ! Je dirai 17 cm !!!
Arrêtes !!!
Elle éclata de rire.
Il est loin le temps où on prenait des douches ensembles. Je ne tenterai pas, j’aurai trop peur de prendre une giclée.
Étant puceau, j’ai cru que j’allais éjaculé rien qu’avec ce petit geste et cette petite phrase …
Ma famille m’a toujours encouragé et m’a toujours aidé. Dans une famille comme la mienne, nous vivons avec passion. Enfant, j’ai toujours baigné dans la culture, dans les traditions et dans la culture de la fête. Lors des grandes fêtes religieuses, nous avons l’habitude de réunir cette grande famille. La dernière réunion, celle de Pessah (pâques juives pour les non-initiés), en voyant Sarah, ma cousine, de 4 ans plus vieille que moi je me suis souvenu de l’histoire que je vais vous raconter là …
Sarah et moi avons 4 ans d’écart mais nous avons toujours été complices. Je n’ai pas de soeur et Sarah n’a pas de frère, je pense que nous avons fait un transfert. Pour ajouter à cette proximité, Sarah est la fille de la soeur jumelle de ma mère. De plus, nous avons grandit proche l’un de l’autre puisque, enfant, nous habitions dans le même immeuble, eux au 3ème étage, et nous au quatrième. Autant vous dire que nous étions comme le dit l’expression : cul et chemise.
Jusqu’au 15 ans de Sarah, notre proximité était grande. L’adolescence passa par là. À 15 ans, ses priorité n’étaient plus les mêmes que le petit garçon de 11 ans que j’avais. Peu après ses 16 ans, Sarah et mon oncle et ma tante ont pris la décision de partir vivre en Israel. Pendant de nombreuses années, nous nous croisions qu’à l’occasion des fêtes juives quand ils rentraient en France ou quand nous allions les voir à Tel Aviv.
Pendant 3 ou 4 ans, j’en ai voulu à ma cousine de « m’abandonner » pour ses copines, surtout pour ses copains. Lorsque j’ai eu 15 ans moi-aussi, j’ai commencé à comprendre. Je ne pensais plus à m’amuser avec mes petits frères. J’avais comme tous les ados, plus envie de trainer avec mes potes et surtout fantasmer sur les filles. L’année de mes 15 ans, nous avions prévu, comme tous les ans depuis le départ de ma tante dans la Capital Israélienne, nous allions passé les deux mois des vacances au soleil du proche-orient.
Malheureusement, fin juin, nous avons appris que mon grand-père était malade. Mon père qui était son médecin n’a évidement pas voulu le quitter. Les vacances se passeraient donc en Normandie dans la maison de famille. J’avais repris contact avec ma cousine, cet été à Tel Aviv devait être le moment de nos retrouvailles.
Sarah était, avant son départ, très proche de mon grand-père et de ma mère. Début juillet, ma cousine m’appelle et me demande de parler à ma mère. Ma mère s’isola dans son bureau pour lui parler et revient dans le séjour :
Bon, mon chéri demain matin, tu viens avec moi. Il faut qu’on aille faire des courses et on va faire un aller-retour à Deauville pour préparer les chambres.
Pourquoi faire ? On ira ce week-end.
Non, il faut que je vois sur place comment s’organiser. Sarah vient passer un mois avec nous pour qu’elle puisse voir papou.
Elle vient à Deauville ou à Paris ?
Les deux.
J’étais tellement heureux à l’idée de la revoir. Je ne l’avais pas vu depuis 2 ans du fait de ses études aux Etats-Unis. Elle arrivera après le 14 juillet. Tous les jours, nous nous écrivions, elle avait l’air d’être aussi impatiente que moi. Trois jours plus tard, déception, elle arrivera quelques jours plus tard. Elle avait passé son permis, elle l’avait loupé et devait le repasser le 15 juillet. Le 15 au soir, toute heureuse, elle m’appelle :
J’arrive demain !
Chouette ! Et ton permis ?
C’est dans la poche petit cousin. Tu crois que ta mère voudras bien me prêter sa voiture ?
N’y compte pas ! Mais tu demanderas à Papy la sienne, il n’a jamais su te refuser quoi que ce soit.
C’est vrai, je n’y pensais pas.
Le lendemain soir, nous étions avec maman à l’aéroport pour récupérer Sarah. Je ne l’avais pas vu depuis longtemps. Comme tous les ados, en attendant son arrivée, je m’occupais à observer autour de moi, surtout à regarder les jolies filles ! J’avais un délire : en regardant les filles sortir de la salle de débarquement je me disais : ah celle-ci j’aimerais bien le faire pour la première fois, ah celle-là non, ah celle-là pourquoi pas … un ado quoi : pas très fin mais on est tous passé par là. Dans mes pensées, je ne regardais plus les visages mais plutôt les corps de ces demoiselles. L’une après l’autre, je fantasmais, je sentais que mon sexe n’était pas indifférent. Je vois une belle fille sortir de la salle : un beau décolleté, avec une belle poitrine généreuse. Après avoir regardé ses seins, je regarde son visage : oh, c’était Sarah ! Qu’elle avait changé ! Ce n’était plus une ado mais une sublime jeune femme !
Pour mieux comprendre la suite, je me dois de la décrire. Grande, brune aux yeux verts, Sarah avait dans mon souvenir un physique classique mais il n’en était rien. Deux ans avant, Sarah n’avait pas de seins ou presque, elle était très mince (maigre même).
Oh mais tu as changé dis-donc !
Pas autant que toi ma cousine, tu es trop belle.
Oh, tu es trop mignon, merci. Tu es devenu un beau mec toi aussi ! Tu t’es mis au sport ?
Oui, depuis un an. Mais toi aussi : c’est musclé tout ça.
Elle me serra fort dans ses bras. Je sentis sa grosse poitrine contre mon corps de puceau. Je me souviens parfaitement de son odeur. Elle était si belle, si charismatique, si sexy ! Je sentis aussitôt une demie-molle dans mon caleçon, j’avais peur que ça se voit. Ma mère était pressée, comme toujours mais j’étais content pour une fois, ça m’a permis d’écourter ces rapprochements.
Elle avait un gros sac en plus de deux valises. Je pris le sac. Elle me précéda. Mon dieu ! Elle avait de beaux gros seins mais elle n’avait pas que cet argument pour elle ! Sa robe moulante laissait deviner de belles fesses fermes. Je pouvais deviner un petit string lui mouler ses fesses (j’en suis encore tout excité en y repensant). Mes yeux n’arrivaient pas à se décoller de son fessiers. Je ne rêvais que d’une chose : y poser mes mains. Son déhanché me rendait fou. Le chemin jusqu’à la voiture fut à la fois trop court et long. Court parce que j’aurai passé des heures à lui mater le cul et long parce que j’avais peur d’avoir une forte érection et qu’elle s’en rende compte.
Arrivé à la voiture, ma mère monta directement et nous pressa :
Toujours aussi nerveuse ta mère !!
Ah ça oui, elle est toujours tendue, encore plus en ce moment vu l’état de santé de papy.
Apparement, il y a autre chose de tendue !
Hein ?
Coquin !
Elle jeta un oeil vers mon pantalon en se pinçant les lèvres avant d’éclater de rire.
Dieu a été généreux avec toi !
Sarah monta dans la voiture. Je ne savais plus où me mettre. Elle avait vu la demie-molle dans mon pantalon. Le voyage fut long. Je n’osais plus parler. J’étais honteux. Non pas de l’avoir maté mais de m’être fait chopé.
Une fois arrivé à la maison, Sarah demanda à maman d’aller chez papy. Maman n’avait pas envie, elle était attendue et ne pouvait pas l’emmener.
Tu viens avec moi petit cousin ?
Oui, si tu veux. On commande un taxi ?
Non, on prend le métro.
Après une petite douche, Sarah était prête. Elle avait mis un jean et un top noir, soft. Elle avait plutôt intérêt pour aller voir papy (cool mais à cheval sur les principes). Notre appartement était à 10 min à pied de la station de métro. Sur la route, Sarah me parla de sa vie d’étudiante, de ses amours … Moi, je me faisais discret. J’étais encore gêné. Je ne faisait que répondre à ses questions.
Après une heure au chevet de papy, on repris le chemin inverse pour rentrer mais en voiture ! Elle avait gagné : papy lui avais donné les clés de la voiture. Elle était toute excité de conduire pour la première fois seule.
Au bout de 5 min dans la voiture, elle me dit :
Bon, tu vas te détendre ?
Pourquoi tu me dis ça ?
Je ne sais pas, tu ne parles pas. Je parle toute seules, c’est soulant.
Ah désolé, je m’en rend pas compte.
Allez, c’est bon, je sais que tu es gênée, je suis désolée, j’aurai dû me taire. Tu me connais, je ne peux pas m’empêcher de provoquer. T’inquiètes, c’est pas grave, c’est de ton âge de mater. Tu n’es pas le premier à mater mon cul ou mes seins.
Oh je suis désolé, c’est la honte.
Mais non ! Ça m’a permis de mater moi aussi !
Hein ?
Bah quoi : tu me mates, j’ai bien le droit de mater aussi !
Genre ?
Bah quoi ? Ça te choque ? Tu sais, nous aussi les meufs on mate. Bon, on n’a pas souvent l’occasion de mater des kikis en érection mais bon. Quand je vais raconter ça à mes copines.
Arrêtes, c’est la honte.
Tu n’as pas à avoir honte, toi.
Comment ça : moi ?
Bah, tu es bien équipé, c’est pas le cas de tous les mecs.
Je sentais que j’avais chaud de honte. J’avais les oreilles rouges écarlates. Sarah, comme pour me rassurer posa sa main sur min genou. Ça eu l’effet inverse. Sa peau contre ma peau m’a de nouveau excité. J’eue immédiatement une puissante érection. Réaction visible vu ma tenue !
Ah oui, à ce point, tu es chaud p’tit cousin.
Désolé. Tu veux bien enlevé ta main ?
Euh, oui, promis je ne te touche pas.
Elle posa sa main 3 secondes son mon sexe à travers mon short.
Je confirme, elle est énorme ! Je dirai 17 cm !!!
Arrêtes !!!
Elle éclata de rire.
Il est loin le temps où on prenait des douches ensembles. Je ne tenterai pas, j’aurai trop peur de prendre une giclée.
Étant puceau, j’ai cru que j’allais éjaculé rien qu’avec ce petit geste et cette petite phrase …
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