première nuit
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-12-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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première nuit
La lumière nous a réveillé.
-Approche Rémi monte faire le café je te détache mais ne te branle pas. Je vois que tu as fait connaissance du cul de Dominique tu te laveras le temps que le café passe. Lui va rester encore un peu. Il a du travail après.
Dans l’escalier il m’a souri et montré ses fesses. Il était vraiment mignon. J’ai essayé de me rendormir mais sans sa chaleur, impossible. Je voyais un peu de jour passer par l’escalier et Éric est redescendu.
-Viens déjeuner.
Il a ouvert la porte en fer et je suis monté. Ils étaient tous là attablé à me regarder arriver. Le café était passé et j’ai vu Rémi entre les cuisses de Pierre. Ce dégueulasse se vidait la vessie tranquillement en me matant.
-Il aime boire ce qu’il appelle son thé, sers-nous le café pendant ce temps.
Pendant que je les servais Remi a fini et est allé se rincer la bouche. Et nu comme moi il s’est assis sur le banc. Éric était au bout et m’a fait assoir près de lui.
-Tout le monde est au courant que Dominique sait que notre frère est une vraie femelle et donc connaît sa tache ici. Nous aurons deux femelles à notre disposition. Domi comme l’appelle Pierre et Rémi. L’un à la maison et l’autre aux travaux de la ferme. Le café avalé il rentrera les vaches pour la traite du matin je m’occuperais du taureau. Ce matin le livreur d’Amazon vient livrer. Rémi nous appellera. Il vient assez tôt en début de tournée. Revenez le saluer. Il est sympa et le reste vous le savez.
-Ils ont tous ri grassement.
Éric m’a tendu mon tablier que j’ai enfilé. J’ai vite fait d’avaler mon café et on est sorti. Dehors un peu de brume de chaleur annonçait une belle journée. Au pré les vaches meuglaient attendant la traite, les pis lourds. Elles ont suivi le taureau tranquillement et se sont installées devant leurs places. J’ai passé le désinfectant et mis les embouts, aspirés sur la tétine.
-Monte à côté d’elles m’a dit Éric. A quatre pattes !
J’ai vu ce qu’il avait bricolé. Un seul embout pendait. Il a passé du gras sur mon sexe et ajusté l’embout. Tout de suite j’ai senti les aspirations saccadées de vide qui pompait ma bite.
-T’es marrant comme ça. Genre petit taureau avec des boules qui se fait traire. Laisse-toi aller j’arrêterais la machine à la troisième jouissance.
Le salaud guettait le bol et a souri en voyant la première giclée mais à ma tentative d’arracher l’embout j’ai reçu une claque sur les fesses.
-Je t’ai dit trois jets j’arrêterais après.
La machine ne s’arrêtait pas et de le savoir mater m’excitait même si je ressentais une envie que je ne pouvais contrôler. J’ai joui une deuxième fois et il m’a pris le cul d’un coup. Dans la position où j’étais il n’a pas eu de mal à me pénétrer. Son va et vient a déclenché la troisième petite giclée. Il a éteint la machine mais a continué à me bourrer le cul.
-Je profite de ta rondelle avant qu’elle soit détruite.
Les vaches étaient parties quand il s’est vidé.
-Guide les au pré.
Le temps de les amener j’ai entendu crier Rémi. Remontant le tablier aux genoux j’ai couru à la ferme. Une camionnette blanche était là, un black en sortait, serrant la main d’Éric.
-Ha vous avez un nouveau ?
Je m’étais arrêté net, comprenant que c’était le mec d’Amazon.
Éric m’a fait signe d’approcher et m’a fait tourner pour montrer mes fesses.
-Eh ! jolies petites fesses bombées. Il les a caressés doucement. Tu sais j’ai des habitudes ici quand je viens. Rémi me suce et je le défonce. Il ne t’a rien dis ?
Il a pris ma main pour la poser entre ses cuisses. C’était chaud et gros !
-Je n’ai pas trop de temps alors tu vas défaire ma ceinture et sortit mon engin un peu à l’étroit avant de le sucer. Salive le bien car je vais te défoncer le cul après.
Ce que j’ai sorti était en effet le plus gros sexe que j’avais vu et je n’ai pas pu le prendre tout en bouche.
-Pierre, il faudra que pour la prochaine fois sa gorge accepte le gland. Je t’ai déjà livré ce qu’il faut.
-Il arrive juste d’hier mais ne t’inquiètes pas, il aura mal aux amygdales.
-En tout cas il salive bien. Il a compris ce qui l’attend. Allonge-toi sur l’herbe et tenez-lui les cuisses écartées je veux voir sa tronche quand je vais lui défoncer le cul.
J’étais en plein délire. Il allait m’enculer avec ça ? Son engin se balançait sous le poids et en me fixant des yeux il l’a fait disparaître entre mes cuisses. J’ai gueulé quand le gland a forcé mon anus, restant un moment juste dans l’entrée de mon cul avant de passer à l’intérieur et me ramoner.
-Petit tu ne seras plus jamais comme un vrai mec avec le trou que tu vas avoir.
Il a pris le temps de se dégager en sortant pour me reprendre aussi lentement.
-Tu as mal ? Je vois que oui mais à mon prochain passage ça ira mieux. Rien ne remplace une queue de mec mais Pierre a de quoi entretenir ta fente bien souple.
Il a commencé à aller et venir plus rapidement, dérapant de temps en temps et la remettant en place pour bien ouvrir mon trou. Quand il a senti et vu dans mes yeux que je n’offrais plus de résistance Il est venu se coller à mes fesses , sa bite loin en moi il a joui.
-Une vraie petite femelle bien souple maintenant. T’as pris tes paquets Éric ?
-Oui c’est bon et j’ai signé ra feuille.
-C’est vraiment un plaisir de venir chez vous. Rémi ! Viens me nettoyer la queue.
Il est venu en vitesse il avait du tout voir et a léché ce qui restait collé à son sexe.
-Aller amusez-vous bien j’ai encore du boulot moi.
-Approche Rémi monte faire le café je te détache mais ne te branle pas. Je vois que tu as fait connaissance du cul de Dominique tu te laveras le temps que le café passe. Lui va rester encore un peu. Il a du travail après.
Dans l’escalier il m’a souri et montré ses fesses. Il était vraiment mignon. J’ai essayé de me rendormir mais sans sa chaleur, impossible. Je voyais un peu de jour passer par l’escalier et Éric est redescendu.
-Viens déjeuner.
Il a ouvert la porte en fer et je suis monté. Ils étaient tous là attablé à me regarder arriver. Le café était passé et j’ai vu Rémi entre les cuisses de Pierre. Ce dégueulasse se vidait la vessie tranquillement en me matant.
-Il aime boire ce qu’il appelle son thé, sers-nous le café pendant ce temps.
Pendant que je les servais Remi a fini et est allé se rincer la bouche. Et nu comme moi il s’est assis sur le banc. Éric était au bout et m’a fait assoir près de lui.
-Tout le monde est au courant que Dominique sait que notre frère est une vraie femelle et donc connaît sa tache ici. Nous aurons deux femelles à notre disposition. Domi comme l’appelle Pierre et Rémi. L’un à la maison et l’autre aux travaux de la ferme. Le café avalé il rentrera les vaches pour la traite du matin je m’occuperais du taureau. Ce matin le livreur d’Amazon vient livrer. Rémi nous appellera. Il vient assez tôt en début de tournée. Revenez le saluer. Il est sympa et le reste vous le savez.
-Ils ont tous ri grassement.
Éric m’a tendu mon tablier que j’ai enfilé. J’ai vite fait d’avaler mon café et on est sorti. Dehors un peu de brume de chaleur annonçait une belle journée. Au pré les vaches meuglaient attendant la traite, les pis lourds. Elles ont suivi le taureau tranquillement et se sont installées devant leurs places. J’ai passé le désinfectant et mis les embouts, aspirés sur la tétine.
-Monte à côté d’elles m’a dit Éric. A quatre pattes !
J’ai vu ce qu’il avait bricolé. Un seul embout pendait. Il a passé du gras sur mon sexe et ajusté l’embout. Tout de suite j’ai senti les aspirations saccadées de vide qui pompait ma bite.
-T’es marrant comme ça. Genre petit taureau avec des boules qui se fait traire. Laisse-toi aller j’arrêterais la machine à la troisième jouissance.
Le salaud guettait le bol et a souri en voyant la première giclée mais à ma tentative d’arracher l’embout j’ai reçu une claque sur les fesses.
-Je t’ai dit trois jets j’arrêterais après.
La machine ne s’arrêtait pas et de le savoir mater m’excitait même si je ressentais une envie que je ne pouvais contrôler. J’ai joui une deuxième fois et il m’a pris le cul d’un coup. Dans la position où j’étais il n’a pas eu de mal à me pénétrer. Son va et vient a déclenché la troisième petite giclée. Il a éteint la machine mais a continué à me bourrer le cul.
-Je profite de ta rondelle avant qu’elle soit détruite.
Les vaches étaient parties quand il s’est vidé.
-Guide les au pré.
Le temps de les amener j’ai entendu crier Rémi. Remontant le tablier aux genoux j’ai couru à la ferme. Une camionnette blanche était là, un black en sortait, serrant la main d’Éric.
-Ha vous avez un nouveau ?
Je m’étais arrêté net, comprenant que c’était le mec d’Amazon.
Éric m’a fait signe d’approcher et m’a fait tourner pour montrer mes fesses.
-Eh ! jolies petites fesses bombées. Il les a caressés doucement. Tu sais j’ai des habitudes ici quand je viens. Rémi me suce et je le défonce. Il ne t’a rien dis ?
Il a pris ma main pour la poser entre ses cuisses. C’était chaud et gros !
-Je n’ai pas trop de temps alors tu vas défaire ma ceinture et sortit mon engin un peu à l’étroit avant de le sucer. Salive le bien car je vais te défoncer le cul après.
Ce que j’ai sorti était en effet le plus gros sexe que j’avais vu et je n’ai pas pu le prendre tout en bouche.
-Pierre, il faudra que pour la prochaine fois sa gorge accepte le gland. Je t’ai déjà livré ce qu’il faut.
-Il arrive juste d’hier mais ne t’inquiètes pas, il aura mal aux amygdales.
-En tout cas il salive bien. Il a compris ce qui l’attend. Allonge-toi sur l’herbe et tenez-lui les cuisses écartées je veux voir sa tronche quand je vais lui défoncer le cul.
J’étais en plein délire. Il allait m’enculer avec ça ? Son engin se balançait sous le poids et en me fixant des yeux il l’a fait disparaître entre mes cuisses. J’ai gueulé quand le gland a forcé mon anus, restant un moment juste dans l’entrée de mon cul avant de passer à l’intérieur et me ramoner.
-Petit tu ne seras plus jamais comme un vrai mec avec le trou que tu vas avoir.
Il a pris le temps de se dégager en sortant pour me reprendre aussi lentement.
-Tu as mal ? Je vois que oui mais à mon prochain passage ça ira mieux. Rien ne remplace une queue de mec mais Pierre a de quoi entretenir ta fente bien souple.
Il a commencé à aller et venir plus rapidement, dérapant de temps en temps et la remettant en place pour bien ouvrir mon trou. Quand il a senti et vu dans mes yeux que je n’offrais plus de résistance Il est venu se coller à mes fesses , sa bite loin en moi il a joui.
-Une vraie petite femelle bien souple maintenant. T’as pris tes paquets Éric ?
-Oui c’est bon et j’ai signé ra feuille.
-C’est vraiment un plaisir de venir chez vous. Rémi ! Viens me nettoyer la queue.
Il est venu en vitesse il avait du tout voir et a léché ce qui restait collé à son sexe.
-Aller amusez-vous bien j’ai encore du boulot moi.
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