première rencontre - histoire érotique

<p>Montréal, Québec, Canada

Pour Véro mon amie,

Ca fait long temps que nous vivons un jeu de chat et de souris.

Mais, le jeu de chat et souris, peut aussi se lire ‘’chat’’ (conversation électronique) qui à l’oreille sonne comme chatte, qui nous mène directement au vif du sujet… Ok, j’arrête mes jeux de mots… je me lance dans le vif du sujet.

Je disais donc que depuis un certain temps, Véro et moi partageons une relation imaginaire. Nous avons une correspondance érotique des plus agréable, parfois par envois de récits, parfois par appel, mais plus souvent qu’autrement par chat.

Pour vous dire, juste de voir son nom connecté à ma liste de chat, je suis excité. Mais par mauvaise fortune, nous n’avons jamais eu la chance de toucher ce fantasme.

Voici notre première rencontre.

Vendredi soir, 18:00

Le rendez-vous est prévu pour 20:00, je me prépare avec fébrilité. Dans la douche, des images sensuelles me traversent, déjà je suis excité. Penser à Véro qui, elle aussi, se prépare augmente l’excitation. Je l’imagine, se mettant belle, jouant avec sa chevelure, jonglant avec le choix de sa tenue, je sais qu’elle sera parfaite. Je me fais la barbe, me parfume, m’habille.

19:15 Je suis prêt, l’attente est un moment sublime. Le départ, je me rends chez elle. Bien que je ni suis jamais aller, j’ai l’impression de connaître le trajet par cœur. Je monte les marches quatre à quatre. Je cogne, mon cœur cogne à mes tempes.

Elle ouvre. Elle a choisi de m’accueillir en peignoir. Probablement de soie, il laisse deviner le corps superbe de Véro. Les pans de tissu forme un V profond découvrant le haut de cette poitrine généreuse. Retenu à la taille par une fine ceinture, le peignoir s’ouvrait dans une longue fente remontant jusqu’à mi cuisse. Ses cheveux sont détachés et flottent sur ses épaules comme un voile. Une étrange lueur brille au fond de ses yeux.

Comment resté insensible à tant de beauté et de sensualité ?

Refermant doucement la porte derrière moi, je l’embrasse. Pour l’instant, les paroles sont inutiles. Ma langue parcoure sa bouche. Ses lèvres s’ouvrent pour me laisser entrer. Nos salives se mêlent, je goûte enfin à mon fantasme. Instantanément, j’ai une érection du tonnerre.

Je passe mes mains autour des épaules de Véro et la colle à moi. La chaleur traverse nos deux corps comme une décharge électrique. Son odeur m’envahie, je m’en régale. Mes mains glissent dans son dos jusqu’au creux des reins. Je l’attire encore un peu plus contre moi. Sans quitter ma bouche, Véro masse mon torse. Ses doigts, comme dix feux, tournoient entre mes clavicules et mes abdos. Partant du haut, elle défait le premier bouton de ma chemise.

Un par un, elle l’ouvre au complet. Du regard, elle savoure mon corps sculpté au couteau. Puis elle pose deux doigts en plein centre de mon torse. Ils descendent doucement sur mon corps. Lorsque cette caresse passe sur mon ventre, douce comme une plume, un frisson chargé de désir et d’excitation me transperce de bord en bord. Fermement je caresse les fesses de Véro. Par un agile jeu de doigts et de poignets, j’ai fais remonter le peignoir suffisamment pour pouvoir y glisser mes mains en dessous. Comme je l’avais deviné elle ne portait rien d’autre en dessous. Je touchais une peau douce et chaude. Véro, pousse ses fesses dans mes mains pour me permettre de les prendre à ma guise.

Mon sexe dressé dans mon jeans, appuie sur le ventre de Véro. Elle s’attaque à la boucle de ma ceinture, puis ouvre ma braguette. Mon sexe sort de mon jeans comme un ressort. Elle commence à le caresser d’une main et elle s’accroupie devant moi. Toujours dans l’entré, je m’appuie le dos contre la porte

Dans le mouvement je fais glisser les pans de tissu des épaules de Véro. L’étoffe tombe de chaque coté et se replie sur les hanche retenue par la ceinture. Ses seins sont magnifiques. Alors que sa bouche s’active à me donner les plaisirs les plus merveilleux, d’une main elle caresse mes couilles, de l’autre main elle ouvre les pans de son peignoir et commence à se caresser.

Ses lèvres s’entourent sur mon pénis, elles montent et descendent le long de mon sexe. Je sens son corps onduler sous l’excitation. Mêlé à sa salive, sa langue tournoie à une vitesse folle sur mon gland. Mon dos est parcourue de spasme de plaisir, plus que jamais, je la désir.

Libérant mon membre viril de l’étreinte sensuelle de sa bouche, j’invite Véro à se relever. Mes mains ont remplacé la sienne sur son sexe. Je sens la moiteur de l’excitation, déjà mes doigts s’introduisent dans l’antre du bonheur. Véro se colle contre moi et son dos se cabre.

Dans un mouvement félin, elle me fait dos, et m’invite à la suivre. Je la suis sans résistance. Main dans la main, elle me guide au travers de la maison vers la chambre. L’ambiance entre nous est merveilleuse, toujours sans mot nous nous dirigeons vers le lit. Véro se couche sur le dos les fesses au bord du lit les jambes pendantes. Elle défait la ceinture du peignoir et écarte complètement les pans de tissu.

Je m’agenouille devant elle et commence à la manger. Je goûte les effluves de plaisirs, ma langue passe de haut en bas sur son sexe chaud. Prise de plaisirs, Véro caresse mes cheveux. Je joins mes mains à ma langue. Je masse son clito, tandis que ma langue tournoi à l’entré du vagin.

Je lèche ici et la, je caresse partout, à chaque passage Véro gagne en plaisir. Je suce son clito, j’entre mes doigts profondément en elle. Des fois en solo des fois en trio mes doigts dansent en elle. Pas un millimètre de peau n’est épargné de par mes caresses, même coup, j’effleure son anus bout des doigts. Véro se perd dans le plaisir. Soulevant les reins, poussant un long soupir, serrant ma tête entre ses cuisses, Véro se laisse aller à un premier orgasme libérateur.

Me relevant, je fini de me déshabiller. Véro est une beauté renversante. Elle referme ses cuisses autours de mes hanches et me tire vers elle. Attiré comment un aimant, mon pénis trouve le chemin de son sexe. Au premier contact, je donne un profond coup de rein pour la remplir totalement.

Le plaisir de Véro est instantané et très intense. Elle avance et rerucle son bassin à un rythme me fou. La pilonnant je suis le rythme qu’elle impose. À chaque passage, mon gland manque de glisser hors de son sexe, et lorsque que je reviens en elle c’est sur toute la longueur de son sexe qu’elle ressent la secousse. Sous les coups de nos corps, la poitrine de Véro, monte et descend sans arrêt.

Le rythme ralenti d’une manière imperceptible, tournant les hanches, Véro s’offre a moi en levrette. Le cul remonté, appuyée sur ses coudes elle est magnifique, Elle pousse vers l’arrière m’invitant à la prendre. Au lieu de la fougue du commencement, j’entre en elle avec une lenteur extrême.

Millimètre par millimètre, mon sexe caresse l’antre de Véro. Se rythme languissant enflamme ses sensations, chaque caresse devient une source de plaisir de plus en plus grande. Sans avertissement ni préambule, je la prends à pleine vapeur. Se changement de cadence comble Véro. Ni tenant plus, elle glisse une main entre ses cuisses et masse rapidement son clito. L’effet combiné de mon sexe qui se déchaîne en elle et de clito mille fois stimulé lui provoque une seconde jouissance.

Une vive chaleur parcours son corps. Partant de son ventre, cette boule de feu traverse son dos, remonte dans sa poitrine. Je sens son sexe serré le mien. Sans bougé, je pousse mon pénis en elle pour maintenir la pression et prolonger son orgasme.

Savourant le plaisir, elle se laisse glisser sur le dos. Les jambes passées sur mes épaules, je me sers de ses cuisses pour la tirer contre moi. Je m’enfonce en elle jusqu’à la garde. Le corps plié en deux, je ramène les genoux de Véro contre sa poitrine.

Sa respiration s’accélère.

Mon sexe est gonflé à bloque.

Elle ferme les yeux

Je cabre le dos.

Elle tremble de plaisir.

Ensemble nous poussons un râle incontrôlable. Dans un troisième et ultime orgasme, Véro me colle à elle. C’est exactement à ce moment que j’explose. Je me déverse en elle comme un torrent. Un violent spasme me parcourt , Véro, elle, comblée m’embrasse tendrement.

La vague de plaisir emporte tout sur son passage, ne laissant que nos deux corps en sueur.



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