Première rencontre lesbienne

- Par l'auteur HDS Sexag -
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Auteur femme.
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Récit libertin : Première rencontre lesbienne Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-09-2016 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
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Première rencontre lesbienne
Ma première expérience de gouine.
En stage à pôle emploi à Bordeaux, un soir d’été après les cours j’avais une petite soif et m’installe à l’intérieur climatisé d’un café place de la gare.
Sur la même banquette que moi je ne remarque pas particulièrement une jeune femme le nez plongé dans un bouquin. Je commande ma boisson tout en pensant à ma journée.
Soudain, ma voisine fait tomber son stylo, se baisse pour le ramasser et je sens sa main se poser ostensiblement et avec insistance sur ma jambe puis ma cuisse, comme une caresse. La jeune femme me regarde en s’excusant, se lève et se dirige vers la sortie. Je remarque une allure féline drapée dans une robe très courte dévoilant de belles jambes gainées de noir.
Prise dans mes pensées, je revois le film « la vie d’Adèle » et sent monter en moi un désir indéfinissable et inhabituel.
Rentrée à mon hôtel, en m’apprêtant à prendre ma douche, je sens que mon slip est abondamment mouillé ce qui m’excite et me donne envie de me masturber.
Je m’approche du coin de ma table de travail et me frotte langoureusement la chatte au niveau de mon clito. Je mouille de plus en plus, empoigne un paquet de crayons et me les enfourne jusqu’à ce que le va et vient me déclenche un orgasme qui me fait crier de plaisir.
Me revient alors l’image et la sensation de cet après-midi au café.
Je ne pense plus qu’à retrouver cette femme et imagine la suite.
Le lendemain à la même heure je me rends au même endroit qu’hier.
Elle est là. Je la salue d’un bonjour timide et m’assoie à la même place à côté d’elle.
Après avoir passé ma commande au garçon, il me vient la même idée du stylo mais cette fois c’est moi qui agit.
Je me baisse pour ramasser et pose ma main sur sa cuisse. Le contact avec cette jambe gainée de soie me fait immédiatement de l’effet et je sens que ma chatte s’humidifie à travers mon collant. Aujourd’hui je n’ai pas mis de culotte.
Surprise ! ma voisine, sans me regarder saisit ma main fermement et la fait remonter vers le haut de ses bas. Elle me fait progresser vers son entrejambe et là, dans une forêt de pilosité, je sens une humidité intense. Je sens que me seins deviennent de plus en plus dures et je me dis » j’ai envie ».
Marie, appelons-la comme cela, se penche vers moi et me chuchote : « viens chez moi. » Je lui réponds « pas aujourd’hui, j’ai un rendez-vous dans une heure mais j’ai trop envie, suis moi dans les toilettes. »Nous nous dirigeons toutes les deux vers le lieu indiqué. Nous choisissons la cabine pour handicapés car elle offre plus d’espace et de commodités.
La porte refermée, Marie me plaque contre la cloison, nos bouches se cherchent et se fouillent rageusement. La main droite de Marie remonte mes collants trempés de mouille et d’un coup sec perce un orifice au niveau de mon clito. Elle me branle et de son autre main, me pétri un sein en faisant glisser mon soutiens gorge.
Non lui dis-je, pas tout de suite, j’ai envie que tu m’excites en te branlant sur la cuvette, je me branlerai en même temps et tu me boufferas après quand je serai prête à jouir.

Donc nous sommes face à face, marie assise jambes écartées une main se caressant une cuisse et l’autre s’excitant le clito. Moi debout la main dans mon collant avec des va et vient entre ma fente et mon petit trou arrière. L’excitation nous fait mouiller de plus belle. Marie me dit alors « viens me donner ton jus » je m’approche d’elle debout, j’élargis un peu plus la déchirure de mon collant et plaque ma chatte sur sa bouche, elle gémit de plaisir et me suce frénétiquement en aspirant et mordilla mon clito. Sa main passe vers mon arrière et me titille l’anus. « C’est bon vas-y enfonce tes doigts ». Le plaisir est sublime C’est alors que Marie me dit « j’ai envie que tu me fistes très fort. Regarde ma chatte est trempe de désir enfonce ta main entière j’ai trop envie. » je m’exécute et j’arrive à entrer jusqu’au poignet par mouvements de rotation. « Continue c’est trop bon ! chez moi j’ai un énorme gode tu verras comme c’est bon » Une idée me vient en voyant la balayette des toilettes dans son support. Je la saisis la passe sous l’eau et l’enfonce dans la chatte de Marie c’est alors qu’elle est prise d’un orgasme démesuré et particulièrement bruyant. Nous jouissons ensemble car sa réaction a déclenché mon orgasme à moi.
Rassasiées mais épuisée nous remettons de l’ordre dans nos habits et sortons de la cabine.
Surprise !! il y a quelqu’un au lavabo .
« Bonjour mesdames. C’était bon ? je vous ai entendu. Ça avait l’air très excitant. » Confuses nous ne répondons pas , la dame plus âgée que nous, s’approche et promène sa main sur nos jupes au niveau du pubis. Nous pourrions très bien nous entendre, voici mon n° de tel. Elle sort de son sac un mini gode avec le numéro inscrit dessue et le donne à Marie. «merci et peut être à plus indique Marie »Nous sortons et après avoir échangé également nos numéros nous promettons de nous revoir.
Après mes cours, le soir à la réception de l’hôtel, je me prends à regarder toutes femmes qui arrivent. Une attire particulièrement mon regard. Belle plante, belles jambes, jupe très courte, je repense à le séance au café . Après les formalités de réservation, la femme se baisse pour rassembler ses bagages ce qui lui remonte sa jupe à mi-cuisses et je m’aperçois qu’elle n’a pas de culotte. Mon sang ne fait qu’un tour et je sens que je viens d’envoyer un jet de cyprine dans mes collants. Je me ressaisis et mon te dans ma chambre.
N’en pouvant plus de désir, j’appelle Marie, lui donne l’adresse de l’hôtel et nous convenons d’un rendez-vous pour dîner à l’hôtel.
21h nous sommes attablées dans un coin un peu retiré sous une lumière tamisée.
Pendant le repas nous parlons très peu , nos mains se frôlent très souvent et je sens que marie me caresse les jambes de son pied déchaussé jusqu’à remonter dans mon entrejambes. Le doux frottement de ses bas contre mon collant n’excite au plus haut point et ma chatte commence à être moite.
Le repas se termine tout en excitations et nous décidons de monter dans la chambre.
Après avoir lié nos bouches et nos langues rageusement, Marie me demande à passer à la salle de bains. Je m’assieds sur le canapé en attendant et quand marie ressort, elle a gardé son long manteau noir mais visiblement elle est nue dessous car j’aperçois un sein qui déborde de l’encolure, sans soutien-gorge. Elle se plante devant moi, ouvre langoureusement son manteau et laisse émerger un énorme gode ceinture plaquée sur son pubis.
« Suce » me dit-elle Surprise mais envieuse, je m’exécute et enfourne la queue en la mouillant abondement de salive.
« Suce, suce, après je vais te baiser »Les mots crus m’excitent je sens que je mouille en me caressant. Marie n’attrape par les cheveux pour mieux accompagner les va et vient. Elle se retire et me demande : « Je te baise ou je t’encule ? » je lui réponds « les deux »Elle retire la queue de ma bouche, me bascule pour atteindre mon cul, me fais quelques tapes pour me décontracter, mouille abondamment mon trou de sa salive, le prépare avec ses doigts et enfourne la queue J’exulte ! « Vas-y ! plus profond ! baise-moi ! oui c’est bon, encore, encore ! » l’orgasme ne se fait pas attendre. J’éclate en envoyant un jet énorme de cyprine sur le parquet. Marie se baisse et lape goulument ma mouille. Sa croupe en l’air, je vois sa chatte béante trempée et la couvre de ma bouche pour la déguster. Marie pousse un cri de jouissance en m’inondant la bouche Epuisée nous nous affalons par terre et sombrons dans un sommeil profond.
Au milieu de la nuit nous nous réveillons enlacées, Marie me demande si elle peut rester jusqu’au petit matin et bien sûr j’acquiesce.
A 7h00 le réveille sonne et à ma grande surprise, Marie est partie. Elle a laissé un mot : « c’était merveilleux. »A suivreToute la journée j’ai pensé à cette folle nuit et en sortant du cours, je reçois un appel de Marie.
« Tu vas bien ? ça t’a plu hier ? en retrouvant le gode miniature que nous avait donné la femme des toilettes du café avec son tel, j’ai pensé qu’on pourrait l’inviter » « Oh oui, chez moi comme hier, ça me plairait ! »« OK je m’en occupe. » et elle raccroche.
Cette idée me fait tourner la tête, j’imagine cette femme plus âgée que nous, dont la poitrine me paraissait très agressive mais avec une croupe à faire envie.
A tout hasard, je passe par le café « des rencontres » et surprise : elle est là assise devant un verre.
Je m’assois à côté d’elle et d’emblée me dit « j’ai eu un coup de fil de votre copine et j’ai vraiment envie de baiser avec vous, je veux être votre jouet sexuel. J’accepterai tout, j’aime particulièrement l’uro. » Je passe ma main sous la table lui caresse la jambe et remonte jusqu’à son entrejambe. Elle n’a pas de culotte et je sens sa chatte humide. « Pas tout de suite » me dit-elle. Etes-vous d’accord pour ce soir ? » Je réponds oui, lui donne l’adresse de l’hôtel et le numéro de la chambre pour 21h. Je retire ma main, me lève et me dirige vers les toilettes en espérant qu’elle va me suivre. Après quelques minutes d’attente excitantes et pleines de fantasmes elle ne vient toujours pas. J’entre dans la cabine des WC que nous avions expérimentée et me souviens de la balayette. Je la saisis et me l’enfourne dans la chatte jusqu’à me faire jouir.
Je ressors, la dame a disparue.
J’appelle Marie et fixe le rendez-vous.
A 20h30 Marie sonne à la porte toujours avec son grand manteau noir. Elle n’a pas froid aux yeux, elle encore nue dessous avec juste une porte jarretelles et des bas noirs.
Nous convenons d’un scénario.
Nous attendrons notre invitée allongée nues sur le sol, dans la peine ombre les jambes écartées devant un récipient rempli d’urine et un énorme gode en ventouse sur le sol.
Ensuite, libre cours à notre imagination.

21h précises, notre hôte arrive. Sonne à la porte et sans réponse pousse le chambranle. Elle comprend la mise en scène et s’avance vers nous sans un mot. Dans la lumière tamisée nous découvrons son corps qui se dénude lentement. Appelons la Chris. Chris nous offre une poitrine opulente, de longues jambes gainées de bas noirs et une culotte à fente ouverte. Pendant qu’elle se caresse les seins, écarte les cuisses, nous lui intimons l’ordre de plonger sa tête dans le récipient de pisse de bien se mouiller de remplir sa bouche et de venir tour à tour remplir notre chatte de cette pisse. Lorsqu’elle se penche sur moi pour s’exécuter façon 69, ses seins me frôlent la figure et je sens un jet de mouille partir de ma chatte.
A la fin du jeu qu’on lui a imposé, nous lui intimons l’ordre de nous arroser de sa pisse et de nous nettoyer avec sa langue. Elle s’y était préparée et nous inonde le ventre et les seins de son champagne doré c’est chaud et très excitant. Pendant le nettoyage ses seins se balancent entre nous deux et elle nous offre un spectacle hyper sexy sur sa chatte velue et trempée.
Complétement nynpho, à la vue de l’énorme gode, sans nous prévenir, elle s’empale avec violence et se déchaine sur la queue artificielle. Elle a un orgasme violent et interminable qui nous subjugue.
Comme elle a souhaité être notre jouet sexuel, nous décidons de la fister à chacune notre orifice. Marie choisit sa chatte et moi son cul. Visiblement, elle a l’habitude car nos deux poings la ramonent jusqu’au coude. Du jamais vu ! nos va et vient lui procurent une multitude d’orgasmes accompagnés de cris de plaisir et de jets de mouille comme une fontaine.
Nous sommes tellement excitées que nous lui demandons à chacune de nous fister à son tour moi dans le cul et Marie dans la chatte. C’est à notre tour de jouir intensément et bruyamment.
Archi épuisées, nous nous couchons sur le sol et sombrons dans un sommeil digne du repos du guerrier.
A notre réveil, après le rhabillage, nous jurons de recommencer si possible dans un lieu insolite pour ajouter à l’excitation. Chris nous fait comprendre que le lieu pourrait nous amener vers un partenaire non moins insolite.
Quelques semaines se passent et nous nous voyons régulièrement avec Marie. J’ai fini ma formation et j’attends un emploi. Un peu à court d’argent, Marie me suggère de « vendre mon cul » mais ce n’est pas pour le moment mon envie.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Sublime récit dévoré avec une main dans ma culotte trempée de mouille. Merci pour ce plaisir.

1er texte récompensé...



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