Première répétition
Récit érotique écrit par Solweig [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-08-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Première répétition
Lorsque je sonnai à la porte de Luka, j'étais nerveuse. J'avais mis un temps fou à me préparer, à trouver la tenue à la fois féminine et décontractée qui ne laisserait pas deviner que je m'étais décarcassée pour être aussi séduisante que possible.
L'été était caniculaire, la ville s'était vidée et nous avions convenu de démarrrer des répétitions chez lui pour un nouveau projet musical – un duo guitare/voix de jazz. Sa femme était partie dans sa famille en Bretagne avec leur garçon de 3 ans, Luka devait les y rejoindre trois semaines plus tard. Des concerts le retenaient pour l'heure en ville, il était guitariste.
Luka m'avait fait très forte impression dès notre première rencontre, à une fête chez un ami commun. Il chantait en croate, sa langue maternelle, s'accompagnant de sa guitare, dans le salon. Sa voix m'avait alors immédiatement séduite, peu travaillée, laissant passer une émotion brute, sans fard. Il était très grand, très brun, son regard était vert et perçant. La pointe d'accent croate ajoutait à son charme.
Nous avions eu l'occasion de jouer ensemble ponctuellement dans un groupe éphémère d'amis ; je faisais des choeurs dans un groupe de funk et lui était à la guitare. Lors de cette courte période de répétitions communes fréquentes, j'avais alors senti à plusieurs reprises son regard posé sur moi, mais toujours de manière très pudique. Il incarnait pour moi le père de famille tranquille, formant une petite cellule familiale stable et attachante avec sa femme et son fils. Il me semblait -mais à vrai dire je n'en savais rien- qu'il était du genre romantique super-fidèle, du genre à être en couple avec sa femme depuis ses 18 ans. J'avais alors été étonnée d'entrevoir chez lui une brèche – il me semblait que je ne le laissais pas indifférent. Il riait fort à mes blagues et m'observait du coin de l'oeil, détournant le regard lorsque je levais les yeux vers lui.
C'était une période de ma vie où j'étais dans une relation de couple monogame avec un homme très tendre, que j'aimais, mais notre vie sexuelle ronronnait et je m'ennuyais.
J'avais proposé à Luka avec un peu de trac de monter un répertoire de reprises de jazz pour le jouer dans des bars à la rentrée de septembre. Il avait tout de suite été enthousiate. Nous avions convenu de profiter du mois de juillet et de l'absence de sa femme et de son fils pour planifier des répétitions rapprochées et ainsi travailler efficacement.
Ma proposition musicale avait été guidée par mon fantasme. J'avais envie d'en savoir plus sur cet homme et je m'étais plusieurs fois surprise à imaginer comment il faisait l'amour dans des moments de rêverie. Au delà de la rencontre musicale, j'avais clairement l'intention de faire du sexe avec lui si mon intuition se confirmait, à savoir, si lui aussi avait cette envie.
J'avais donc fini par choisir, pour cette première répétition, une robe longue sans manches à rayures façon marinière assortie de sandales tressées nouées autour des chevilles. Comme souvent en été, je ne portais pas de soutien-gorge en dessous.
Luka m'ouvrit avec un grand sourire, décontracté en chemise en lin col mao, pantalon léger et tongs. Il m'invita à me mettre à l'aise dans le salon pendant qu'il préparait des citronnades à la cuisine.
L'appartement était douillet, chaleureux. Je m'assis sur une banquette, retirai mes sandales et saisis en tremblant un peu le verre de citronnade que Luka me tendait. Moi qui étais pourtant capable d'être très entreprenante, j'étais assez pétrifiée car impressionnée par cet homme plein de charisme, à l'aise, nonchalant, qui m'ouvrait la porte de son foyer pour y répéter pour la première fois.
Je te propose quelque chose, comme on n'a pas beaucoup joué en semble jusqu'à présent, dit-il.
Oui ?
On commence par une impro histoire de voir un peu le feeling entre nous.
Quand on parle musique, on peut vite penser à des sous-entendus...difficile de savoir à ce stade si Luka avait des idées derrière la tête ou non. J'acquiescai et il s'assit à côté de moi sur la banquette avec sa guitare. Il lança des accords de bossa nova et j'improvisai alors une mélodie sur des onomatopées.
Avait-il choisi intentionnellement un style musical aussi langoureux ?
A la fin de cette première impro, il n'avait pas quitté son masque de père-parfait. "Ah c'est cool, tu as vraiment une super voix. On reprend ? "
Je me lançai alors dans des phrases mélodiques plus complexes et il se mit à chanter des réponses par moments, plantant son regard vert dans le mien. En chantant, son expression était différente, sans filtre, et nous poursuivîmes ce duo improvisé les yeux dans les yeux. Je pus lire alors dans son regard son désir et son feu vert. A la fin d'une phrase, nos bouches se soudèrent en un baiser brûlant. Ces semaines de désir passé sous silence éclataient au grand jour, enfin.
Il posa sa guitare et me fit doucement basculer sur le dos sur la banquette, remontant ma robe au-dessus de mon nombril et humant le parfum de mon entre-jambe...
Je sentis son souffle sur ma culotte mais il se ravisa et entreprit de m'enlever ma robe et de m'attacher les poignets au-dessus de ma tête avec un foulard.
ça ne te dérange pas ?
Non...c'est l'impro suivante c'est ça ?
On peut dire ça, répondit-il dans un sourire. Tu veux bien que je prenne les commandes ? Tu me fais confiance ?
Mets une capote ok ?
Je ressentis un peu d'appréhension, j'étais toujours très impressionnée par lui et en même temps émoustillée et curieuse de voir à quel jeu il voulait que je joue avec lui.
ok. j'ai ça.
Rassurée, j'écartai les jambes pour l'inciter à venir s'occuper de mon sexe que l'on devinait brûlant à travers ma culotte en dentelle devenue translucide. J'avais très envie de le sentir en moi et de voir son anatomie.
Il retira sa chemise, dévoilant un torse large, imberbe, à la musculature développée naturellement, s'assit au sol au pied de la banquette et tira sur mes jambes pour les poser sur ses épaules, attirant mon sexe de son visage. Il écarta le tissu de ma culotte et entreprit un cunnilingus très lent et méthodique.
Par défiance, je ne laissai sortir aucun son de ma bouche, alors que le plaisir me submergeait.
Il perçut ma résistance et accéléra ses coups de langue autour du gland de mon clitoris pour me forcer à lâcher du lest. Je mouillais à mort mais me taisais toujours. Il tendit les bras pour me triturer les tétons tout en me bouffant le minou avec force bruits de succion.
J'essayai d'échapper à son étreinte dans un grand bruit de ventouse et il en profita pour m'administrer deux doigts puis trois dans la chatte. Cela me soulagea un peu, j'avais vraiment besoin qu'il me prenne mais j'étais incapable d'émettre un souhait. Je voulais juste sentir sa queue que j'espérais de bonne taille me fouiller le sexe mais il prenait son temps.
Mon silence semblait l'agacer. Il ajouta son pouce dans mon anus, ce qui m'arracha un soupir sonore.
Ah, quand même !
Cela le décida à se relever, à baisser son pantalon dévoilant son sexe tendu, imposant, avec un grain de beauté sur la hampe. Il enfila une capote et me fit plier les jambes sur ma poitrine pour me pénétrer lentement. Ce fut à mon tour de commenter en riant : Ah, quand même ! Il était temps !
Ne me dis pas qu'il n'y a que ma bite qui t'intéresse.
Non mais elle m'intéresse beaucoup... répondis-je, la voix défaillant sous les coups de rein de mon partenaire.
Je peux passer par derrière ? Me demanda Luka.
Je préférerais pas ça fait longtemps que j'ai pas...
Quoi il te baise pas ton mec ?
Si mais pas comme ça...
Il va falloir que je m'occupe de toi alors...
un autre jour oui...
ok, un autre jour...dit-il en me caressant la rondelle d'un doigt mouillé de ma cyprine.
Il me retourna à plat ventre, les mains toujours liées au-dessus de ma tête et il entreprit des coups de pilon copieux, me tenant par les reins sans toucher à mon cul, me caressant le clitoris d'une main. Cela fonctionna très bien, je n'étais à présent plus du tout silencieuse et il soupirait à chaque coup de rein. Je montai rapidement dans les tours.
Je...vais...jouir, vieeeeens, dis-je dans un râle.
Luka lâcha prise en gémissant de manière bestiale et se releva aussitôt pour aller chercher à boire à la cuisine.
Tu me détaches ?
Mmmm...pas tout de suite, me répondit-il depuis la cuisine, fouillant dans des tiroirs.
Il revint avec un petit gode doré qu'il me présenta en souriant :
Je te présente Luke, moins bien membré que moi, si tu vois où je veux en venir...
mmm...oui je vois, répondis-je, soudainement à nouveau excitée et prête à repartir pour un tour.
Il s'agenouilla à côté de la banquette et présenta le petit gode doré devant ma bouche, je le suçai avec amusement, toujours allongée à plat ventre sur la banquette.
Luka trempa un index dans ma chatte béante avant de le présenter à l'entrée de mon anus. Il put sans peine l'enfoncer et titiller l'entrée pour m'exciter davantage.
Quelque chose me dit que tu en veux plus...je me trompe ?
On peut essayer Luke, si tu n'es pas jaloux...
Luka présenta doucement Luke à l'entrée de mon anus et l'y enfonça lentement.
J'ai hâte de prendre sa place...
J'ai hâte de la sentir dans mes fesses...
Tous ces échanges m'excitaient beaucoup. Ils étaient crus, directs, emprunts d'une grande sensualité.
Cette fois le gode coulissait sans peine dans mon anus du fait de sa petite taille. Les sensations étaient amplifiées par les petits picots qui recouvraient le gode.
J'ondulais du bassin pour me frotter le sexe sur la banquette en même temps, l'inondant de cyprine.
Tu es en train de me faire agir comme une chienne.
Ce n'est pas pour me déplaire, dit-il en m'administrant une fessée qui m'arracha un cri de plaisir intense.
Je ne pensais pas que j'aimerais autant baiser avec toi comme ça putain.
Je ne pensais pas que tu aurais un si bon appétit.
Je jouis à nouveau étouffant mon cri dans les coussins de la banquette.
Entretemps, Luka avait retrouvé sa forme, à savoir, une queue imposante dressée me caressant entre les fesses. Il me détacha le mains, me laissant ainsi m'asseoir et m'embrassa à pleine bouche alors que je pouvais enfin saisir son membre, en apprécier la douceur et frotter mon sexe contre sa hampe pour faire monter la température.
Il s'assit sur un fauteuil et m'invita à m'asseoir à califourchon sur lui.
J'ai plus de capotes.
ok...tu es safe ? Je prends la pilule.
La tentation de sentir la peau de son sexe dans ma chatte était grande.
Oh moi tu sais j'ai eu qu'une seule partenaire dans ma vie...
elle est bien chanceuse dis moi...
Je m'empalai sur lui dans un soupir pendant qu'il aspirait mes tétons.
Nous continuâmes ainsi les yeux dans les yeux en silence, ou du moins sans parler, nos gémissements se croisant dans une ultime improvisation à deux, avant de parvenir à jouir en même temps.
Qu'est ce que j'avais envie de ça depuis le début...lâcha-t-il.
Moi aussi... le feeling passe bien non ? On bosse le morceau suivant ?
L'été était caniculaire, la ville s'était vidée et nous avions convenu de démarrrer des répétitions chez lui pour un nouveau projet musical – un duo guitare/voix de jazz. Sa femme était partie dans sa famille en Bretagne avec leur garçon de 3 ans, Luka devait les y rejoindre trois semaines plus tard. Des concerts le retenaient pour l'heure en ville, il était guitariste.
Luka m'avait fait très forte impression dès notre première rencontre, à une fête chez un ami commun. Il chantait en croate, sa langue maternelle, s'accompagnant de sa guitare, dans le salon. Sa voix m'avait alors immédiatement séduite, peu travaillée, laissant passer une émotion brute, sans fard. Il était très grand, très brun, son regard était vert et perçant. La pointe d'accent croate ajoutait à son charme.
Nous avions eu l'occasion de jouer ensemble ponctuellement dans un groupe éphémère d'amis ; je faisais des choeurs dans un groupe de funk et lui était à la guitare. Lors de cette courte période de répétitions communes fréquentes, j'avais alors senti à plusieurs reprises son regard posé sur moi, mais toujours de manière très pudique. Il incarnait pour moi le père de famille tranquille, formant une petite cellule familiale stable et attachante avec sa femme et son fils. Il me semblait -mais à vrai dire je n'en savais rien- qu'il était du genre romantique super-fidèle, du genre à être en couple avec sa femme depuis ses 18 ans. J'avais alors été étonnée d'entrevoir chez lui une brèche – il me semblait que je ne le laissais pas indifférent. Il riait fort à mes blagues et m'observait du coin de l'oeil, détournant le regard lorsque je levais les yeux vers lui.
C'était une période de ma vie où j'étais dans une relation de couple monogame avec un homme très tendre, que j'aimais, mais notre vie sexuelle ronronnait et je m'ennuyais.
J'avais proposé à Luka avec un peu de trac de monter un répertoire de reprises de jazz pour le jouer dans des bars à la rentrée de septembre. Il avait tout de suite été enthousiate. Nous avions convenu de profiter du mois de juillet et de l'absence de sa femme et de son fils pour planifier des répétitions rapprochées et ainsi travailler efficacement.
Ma proposition musicale avait été guidée par mon fantasme. J'avais envie d'en savoir plus sur cet homme et je m'étais plusieurs fois surprise à imaginer comment il faisait l'amour dans des moments de rêverie. Au delà de la rencontre musicale, j'avais clairement l'intention de faire du sexe avec lui si mon intuition se confirmait, à savoir, si lui aussi avait cette envie.
J'avais donc fini par choisir, pour cette première répétition, une robe longue sans manches à rayures façon marinière assortie de sandales tressées nouées autour des chevilles. Comme souvent en été, je ne portais pas de soutien-gorge en dessous.
Luka m'ouvrit avec un grand sourire, décontracté en chemise en lin col mao, pantalon léger et tongs. Il m'invita à me mettre à l'aise dans le salon pendant qu'il préparait des citronnades à la cuisine.
L'appartement était douillet, chaleureux. Je m'assis sur une banquette, retirai mes sandales et saisis en tremblant un peu le verre de citronnade que Luka me tendait. Moi qui étais pourtant capable d'être très entreprenante, j'étais assez pétrifiée car impressionnée par cet homme plein de charisme, à l'aise, nonchalant, qui m'ouvrait la porte de son foyer pour y répéter pour la première fois.
Je te propose quelque chose, comme on n'a pas beaucoup joué en semble jusqu'à présent, dit-il.
Oui ?
On commence par une impro histoire de voir un peu le feeling entre nous.
Quand on parle musique, on peut vite penser à des sous-entendus...difficile de savoir à ce stade si Luka avait des idées derrière la tête ou non. J'acquiescai et il s'assit à côté de moi sur la banquette avec sa guitare. Il lança des accords de bossa nova et j'improvisai alors une mélodie sur des onomatopées.
Avait-il choisi intentionnellement un style musical aussi langoureux ?
A la fin de cette première impro, il n'avait pas quitté son masque de père-parfait. "Ah c'est cool, tu as vraiment une super voix. On reprend ? "
Je me lançai alors dans des phrases mélodiques plus complexes et il se mit à chanter des réponses par moments, plantant son regard vert dans le mien. En chantant, son expression était différente, sans filtre, et nous poursuivîmes ce duo improvisé les yeux dans les yeux. Je pus lire alors dans son regard son désir et son feu vert. A la fin d'une phrase, nos bouches se soudèrent en un baiser brûlant. Ces semaines de désir passé sous silence éclataient au grand jour, enfin.
Il posa sa guitare et me fit doucement basculer sur le dos sur la banquette, remontant ma robe au-dessus de mon nombril et humant le parfum de mon entre-jambe...
Je sentis son souffle sur ma culotte mais il se ravisa et entreprit de m'enlever ma robe et de m'attacher les poignets au-dessus de ma tête avec un foulard.
ça ne te dérange pas ?
Non...c'est l'impro suivante c'est ça ?
On peut dire ça, répondit-il dans un sourire. Tu veux bien que je prenne les commandes ? Tu me fais confiance ?
Mets une capote ok ?
Je ressentis un peu d'appréhension, j'étais toujours très impressionnée par lui et en même temps émoustillée et curieuse de voir à quel jeu il voulait que je joue avec lui.
ok. j'ai ça.
Rassurée, j'écartai les jambes pour l'inciter à venir s'occuper de mon sexe que l'on devinait brûlant à travers ma culotte en dentelle devenue translucide. J'avais très envie de le sentir en moi et de voir son anatomie.
Il retira sa chemise, dévoilant un torse large, imberbe, à la musculature développée naturellement, s'assit au sol au pied de la banquette et tira sur mes jambes pour les poser sur ses épaules, attirant mon sexe de son visage. Il écarta le tissu de ma culotte et entreprit un cunnilingus très lent et méthodique.
Par défiance, je ne laissai sortir aucun son de ma bouche, alors que le plaisir me submergeait.
Il perçut ma résistance et accéléra ses coups de langue autour du gland de mon clitoris pour me forcer à lâcher du lest. Je mouillais à mort mais me taisais toujours. Il tendit les bras pour me triturer les tétons tout en me bouffant le minou avec force bruits de succion.
J'essayai d'échapper à son étreinte dans un grand bruit de ventouse et il en profita pour m'administrer deux doigts puis trois dans la chatte. Cela me soulagea un peu, j'avais vraiment besoin qu'il me prenne mais j'étais incapable d'émettre un souhait. Je voulais juste sentir sa queue que j'espérais de bonne taille me fouiller le sexe mais il prenait son temps.
Mon silence semblait l'agacer. Il ajouta son pouce dans mon anus, ce qui m'arracha un soupir sonore.
Ah, quand même !
Cela le décida à se relever, à baisser son pantalon dévoilant son sexe tendu, imposant, avec un grain de beauté sur la hampe. Il enfila une capote et me fit plier les jambes sur ma poitrine pour me pénétrer lentement. Ce fut à mon tour de commenter en riant : Ah, quand même ! Il était temps !
Ne me dis pas qu'il n'y a que ma bite qui t'intéresse.
Non mais elle m'intéresse beaucoup... répondis-je, la voix défaillant sous les coups de rein de mon partenaire.
Je peux passer par derrière ? Me demanda Luka.
Je préférerais pas ça fait longtemps que j'ai pas...
Quoi il te baise pas ton mec ?
Si mais pas comme ça...
Il va falloir que je m'occupe de toi alors...
un autre jour oui...
ok, un autre jour...dit-il en me caressant la rondelle d'un doigt mouillé de ma cyprine.
Il me retourna à plat ventre, les mains toujours liées au-dessus de ma tête et il entreprit des coups de pilon copieux, me tenant par les reins sans toucher à mon cul, me caressant le clitoris d'une main. Cela fonctionna très bien, je n'étais à présent plus du tout silencieuse et il soupirait à chaque coup de rein. Je montai rapidement dans les tours.
Je...vais...jouir, vieeeeens, dis-je dans un râle.
Luka lâcha prise en gémissant de manière bestiale et se releva aussitôt pour aller chercher à boire à la cuisine.
Tu me détaches ?
Mmmm...pas tout de suite, me répondit-il depuis la cuisine, fouillant dans des tiroirs.
Il revint avec un petit gode doré qu'il me présenta en souriant :
Je te présente Luke, moins bien membré que moi, si tu vois où je veux en venir...
mmm...oui je vois, répondis-je, soudainement à nouveau excitée et prête à repartir pour un tour.
Il s'agenouilla à côté de la banquette et présenta le petit gode doré devant ma bouche, je le suçai avec amusement, toujours allongée à plat ventre sur la banquette.
Luka trempa un index dans ma chatte béante avant de le présenter à l'entrée de mon anus. Il put sans peine l'enfoncer et titiller l'entrée pour m'exciter davantage.
Quelque chose me dit que tu en veux plus...je me trompe ?
On peut essayer Luke, si tu n'es pas jaloux...
Luka présenta doucement Luke à l'entrée de mon anus et l'y enfonça lentement.
J'ai hâte de prendre sa place...
J'ai hâte de la sentir dans mes fesses...
Tous ces échanges m'excitaient beaucoup. Ils étaient crus, directs, emprunts d'une grande sensualité.
Cette fois le gode coulissait sans peine dans mon anus du fait de sa petite taille. Les sensations étaient amplifiées par les petits picots qui recouvraient le gode.
J'ondulais du bassin pour me frotter le sexe sur la banquette en même temps, l'inondant de cyprine.
Tu es en train de me faire agir comme une chienne.
Ce n'est pas pour me déplaire, dit-il en m'administrant une fessée qui m'arracha un cri de plaisir intense.
Je ne pensais pas que j'aimerais autant baiser avec toi comme ça putain.
Je ne pensais pas que tu aurais un si bon appétit.
Je jouis à nouveau étouffant mon cri dans les coussins de la banquette.
Entretemps, Luka avait retrouvé sa forme, à savoir, une queue imposante dressée me caressant entre les fesses. Il me détacha le mains, me laissant ainsi m'asseoir et m'embrassa à pleine bouche alors que je pouvais enfin saisir son membre, en apprécier la douceur et frotter mon sexe contre sa hampe pour faire monter la température.
Il s'assit sur un fauteuil et m'invita à m'asseoir à califourchon sur lui.
J'ai plus de capotes.
ok...tu es safe ? Je prends la pilule.
La tentation de sentir la peau de son sexe dans ma chatte était grande.
Oh moi tu sais j'ai eu qu'une seule partenaire dans ma vie...
elle est bien chanceuse dis moi...
Je m'empalai sur lui dans un soupir pendant qu'il aspirait mes tétons.
Nous continuâmes ainsi les yeux dans les yeux en silence, ou du moins sans parler, nos gémissements se croisant dans une ultime improvisation à deux, avant de parvenir à jouir en même temps.
Qu'est ce que j'avais envie de ça depuis le début...lâcha-t-il.
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