Première soirée échangiste - histoire érotique

La soirée commençait doucement, nous avions siroté une bouteille de champagne dans le petit salon au sous-sol de cette grande maison. Julie s'était mise à l'aise, et avait enlevé le châle qui cachait son joli haut noir. Nous attendions cette soirée depuis plusieurs semaines, devant le fait accomplit, nous n'arrivions pas à avoir la même fougue. Le couple en face de nous était visiblement plus expérimenté, et semblait se moquer de notre état. Alex et Virginie étaient un couple agréable, qui savait meubler les silences mortels par une petite réflexion pour nous mettre à l'aise.

Julie est une fille que j'aime. J'en suis transit. Intellectuelle et jolie, 24 ans, libérée, un vrai charme. Un truc sublime en elle qui la plaçait au dessus de toutes les autres. Minces, de petits seins, des cheveux blonds, et des yeux bleus, je craquais littéralement pour elle. La communication était au centre de notre relation, et sur l'oreiller, après avoir fait l'amour, nous discutions de nos fantasmes, ce qui n'avait pour effet que de me refaire bander, pour pouvoir mieux lui donner du plaisir.

J'ai une confiance totale en Julie, je lui ai vite confié ma bisexualité et mes fantasmes de partouzes, de plaisirs nouveaux. SI elle n'avait pas grand chose contre l'idée de se laisser aller entre les mains de plusieurs hommes, faire l'amour avec une femme ne la laissait pas indifférente. Un soir, alors que avions bu une bouteille de blanc à deux, nous nous laissions aller à quelques rêveries érotiques. Je prenais un plaisir immense à la dessiner nue, à la photographier, à sublimer ses formes. Noter discussion arriva bientôt à mes fantasmes. Elle me fit glisser doucement vers celui qui était récurent chez moi. Finalement, toute rouge, mais sur d'elle, elle me dit, dans les yeux:

"Allons y mon amour, pourquoi pas ?"

Ni une ni deux, nous nous mîmes sur internet à la recherche d'un partenaire par le biais d'un tchat gratuit. Au bout d'une demi-heure, un couple accepta la discussion. De la même région, ils avaient quelques années de plus que nous, et revendiquaient une expérience alléchante. Nous fîmes les présentations par le biais de la webcam. Alex, notre interlocuteur, nous demanda alors de nous mettre nus. Je refusais, pris d'une montée de pudeur, qui contredisait tous mes fantasmes. Julie, toujours aussi rouge, enleva son t-shirt pour se mettre en soutien-gorge. Le sourire d'Alex paru encourageant. Elle dégrafa sous soutien-gorge, et m'enleva mon t-shirt. Virginie, mariée avec Alex, se présenta alors à l'image, et se mit en quelques secondes dans le plus simple appareil. Elle passa devant Alex pour taper au clavier, ses seins occupant le petit cadre de la webcam.

"Alors maintenant, c'est donnant-donnant ! Vous voulez vous amuser, nous aussi. Montrez nous de quoi vous êtes capable !"

Désemparé, les yeux rivés sur les seins de virginie, je perdais le contrôle de la situation. Virginie me fit me lever, me baissa le jean sur les chevilles, et saisit mon sexe pour le brandir fièrement à la webcam. La situation l'excitait autant qu'elle m'excitait, je bandais donc. De l'autre côté de la cam, Alex poussa Virginie vers son sexe, celle ci déboutonna elle aussi le jean de son homme, puis s'accroupit, et se mit à sucer son homme, sans préliminaires, ni fioritures. Julie dont le regard me terrifiait, se mit elle aussi à la tâche avec une ardeur que je ne lui connaissais pas. Je jouis assez vite, Alex me suivit de peu. Je me surpris à avoir regardé Virginie avaler le sperme de son mâle en rut. Julie, elle me regardait en rigolant, j'avais jouit sur ses seins, sans prévenir. J'aime qu'elle avale mon sperme.

Alex conclut cette soirée comme ça
"Vous êtes mignon tous les deux, est ce que ça vous dirait de se rencontrer bientôt ?"

Après leur avoir souhaité bonne nuit, nous nous couchâmes tous les deux. Ce soir là j'ai baisé Julie comme jamais. Sous la grosse couette, nos ébats avaient transformé le lit en étuve. Epuisés, nous nous sommes endormis dans les draps trempés de sueur de mouille de sperme.

Les soirées de dialogue avec Alex et Virgine ont continué pendant plus d'un mois. Chaque fois que l'ordinateur cessait son bruit de turbine, nous succombions à notre excitation en faisant l'amour comme des bêtes. Tantôt brutal, tantôt romantique, je la prenais sur le sol, sur le plan de travail, la salle à manger, le lit…

Un jeudi soir, après une journée éprouvante, Virginie nous dit enfin :
"Salut, le week-end prochain, vous êtes libre? On vous invite à dîner"

Déclaration mystérieuse, quoique finalement, le moment que nous attendions depuis longtemps était arrivé.

Le soir venu, Julie se fit plus belle que jamais. Elle avait acheté un ensemble de lingerie vert pâle brodé rouge, elle aimait la lingerie, mais n'osait en porter que rarement. Elle choisit des bas résille noir, avec un porte-jartelle assortit à son ensemble vert. Un moment, je me suis demandé si je n'allais pas annuler la soirée, pour ne pas partager ma sublime Julie. Elle avait enfilé un haut noir, avec un décolleté qui donnait envie de plonger dedans. Une jupe noire longue et fendue créait le mystère sur ses formes sublimes. Enfin Un grand châle brodé de noir et de rouge enveloppait sa silhouette pour achever de me rendre fou.

Je l'aimais à la folie, j'étais plein de doute. Cette soirée aurait-elle raison de notre amour ? Et pourtant je crevais d'envie de céder à mes pulsions. J'espérais intérieurement que tout allait bien se passer. En allant à la voiture, elle se blottit contre moi. Il faisait froid, on fila à la voiture, et commençâmes à prendre la route. J'étais nerveux, mais Julie souriait, plaisantait. Elle sentait ma nervosité, et me rassurait en me parlant de ses propres appréhensions, toujours en souriant.

"Ne t'inquiètes pas mon amour, je suis ta petite salope ce soir, tu vas voir, on va se faire du bien."
Elle remonta sa jupe, mis sa main dans sa culotte et mis les doigts sous le nez. Ils étaient trempés et imprégnés de cette odeur qui me retourne littéralement.
"Quoiqu'il arrive, je t'aime, après tout on en a envie tous les deux" marmonna-t-elle en regardant dans le rétro, puis en me regardant :
"Tu crois qu'il baise bien Alex ? Il te plait ? Tu seras jaloux si il me baise ? Ne t'inquiètes pas, pour moi ça compte pas !"
Je lui répondis
"Et Virginie elle te plaît ?"
On avait fixé nos règles avant, on voulait avant tout se faire plaisir, mais sans se quitter des yeux. C'était la clé de notre complicité.

Nous avions 50km à faire à la nuit tombante, c'était le début de l'hiver nous étions frigorifié. Nous arrivâmes finalement, après avoir traversé un petit village, dans la cour d'une grande maison moderne. Alex vient sur le pas de la porte pour nous accueillir, un grand sourire, sincère, aux lèvres. Nous sommes entrés dans la maison. Elle était grande. L'entrée était un long couloir, qui débouchait sur un grand salon. Une cheminée répandait une chaleur salvatrice dans la pièce, ainsi qu'une odeur agréable. Virginie attendait dans la cuisine en préparant un apéritif. Nous nous installâmes dans le salon, autour de la cheminée. Le sourire de Julie avait laissé place à la même nervosité que moi. Mais Alex déboucha une bouteille de champagne.

Après avoir descendu la bouteille de champagne, et quelques tapas. Alex nous invita à aller manger dans le petit salon.

Virginie tendit la main à Julie, un peu étourdit par l'alcool, et l'embrasse furtivement. Julie, surprise, ne sus comment réagir, et rougit à nouveau. Virginie la prit par la taille et nous allâmes dans une pièce contiguë séparée par une petite porte. Le plafond était plus bas, et à notre grande surprise, une deuxième cheminée nous attendait. Alex et Virginie avaient de l'argent. Nous n'en revenions pas. Alex déboucha une deuxième bouteille d'un très bon champagne, et nous commençâmes à manger des grillades au feu de la cheminée. La nourriture était relevée. Nous avions chaud. Julie fit tomber son châle, laissant Alex plonger des yeux dans son décolleté. Julie lui fit un sourire.

Après manger, Alex ouvrit une troisième bouteille de champagne. Affalée sur le sofa rouge, Julie se risqua :
"Tu es superbe Virginie"
Effectivement Virginie était superbe. La trentaine, brune, très bien foutue. Un charme très naturel. Elle avait des seins plus gros que Julie, sûrement un bon 95C. Virginie se glissa contre Julie et lui posa la main sur la cuisse. A ma grande surprise, Julie se tourna pour mieux savourer les caresses de Virginie. Elle éclata de rire, comme pour définitivement exorciser ses craintes.

Elle se mit franchement à l'aise, en desserrant légèrement la cordelette qui cintrait son haut.

Alex et moi savourions un digestif en regardant Julie se dévergonder. Je bandais, je suis sur qu'Alex aussi. Virginie lança bientôt les hostilités:
"Alors ma chérie, tu t'es jamais fait baiser par une nana ?"
"Tu seras la première, j'espère que t'es honorée, je suis pas rien quand même" répondit Julie.

Elle se releva et embrasse Virginie. Virginie mit son doigt sur la bouche de Virginie, puis la bascula dans le fond du sofa, et se mis à califourchon sur elle.
Julie, désemparée, se laissa faire. Elle n'opposa une résistance farouche. Virginie lui ôta rapidement son haut, puis fit glisser la fermeture de sa jupe. Ca allait presque trop vite. Elle marqua un temps d'arrêt devant l'ensemble de lingerie, puis se mit les genoux au sol pour embraser et caresser tout le corps de ma femme.

Les caresses de Virginie étaient diaboliques! Julie se tortillait de plus en plus sous les doigts expert de Virginie. Julie dégrafa le soutien gorge pour venir mordiller ses tétons. Julie, poussa un soupir, comme si elle n'avait attendu que ça. Puis ce fut le tour du porte-jartelle. Virginie détacha les attaches qui retenaient les bas, pour pouvoir enlever le string trempé de la jolie blonde allongée sur le canapé. Virginie lui glissa un doigt dans la vagin, ce qui arracha un son étrange, un marmonnement de plaisir qui me faisait fondre chez Julie.
Virginie se leva puis se mis à 4 pattes au dessus de Julie, pour entamer un 69. Je me mis derrière Julie pour la voir faire son premier cunnilingus. Elle me regardait, me mima un baiser, ferma les yeux et se lança à l'attaque du mont de Vénus par la face Nord. Elle embrassa d'abord le sexe de Virginie, celui ci était impeccablement rasé. Elle introduit sa langue dans le trou de Virginie, celle-ci soupira. Julie fut surprise par le goût, la sensation de bouffer la chatte d'une femme, après un petit temps, elle se mit à embrasser à pleine bouche son sexe. Elle partait du petit bouton, qu'elle suçait et aspirait, pour aller jusqu'à l'anus qu'elle léchait langoureusement.

Les deux femmes avaient la respiration plus rapide, et haletante. Julie jouit assez vite, ses jambes tremblaient, comme un violent frisson qui la traversait, elle rejeta sa bouche en arrière, je saisis cette occasion pour l'embrasser, ce qui eu pour effet une seconde secousse plus violente.

Virginie se releva, laissant Julie abattue et essoufflée, elle vint vers moi, me fit me rasseoir dans mon fauteuil.
"A ton tour mon grand, elle, elle a eu son compte pour le moment".

Alex se délectait, un verre toujours remplit à la main, étrangement calme. Virginie s'accroupit entre mes cuisses écartées.

Elle déboutonna mon pantalon, me l'enleva, et embrassa mon sexe au travers du caleçon. Je bandais comme un fou.
"Pas mal, c'est mieux qu'à la cam hein?"
Virginie avait le contrôle. Julie reprenait ses esprits et me regardait, pleine de curiosité. Mon amour de femme se délectait du spectacle de son homme au prise d'une autre femme. Je ne voyais pas un brin de jalousie dans ses yeux, elle fit descendre sa main vers son sexe comme pour chercher ce frisson qui l'avait terrassé quelques minutes auparavant.

Virginie se débarrassa vite de mon caleçon. Elle me caressa du bout des doigts, du gland jusqu'à l'anus. Elle mouilla son doigt, puis refit le même parcours en mouillant mon petit trou. C'était à moi de me laisser faire, de fermer les yeux.

Virginie pris mon sexe d'un seul coup dans sa bouche chaude et humide. Je soupirais, quel pied! Elle commença à aspirer mon sexe, en variant la vitesse, se risquant à une gorge profonde. Je la mis en garde
"Pas si vite, je vais jouir trop vite"
Alex me repris aussitôt
"Pas un mot, laisses toi faire!"
Julie n'en perdait pas une miette, elle se leva et vin se mettre dans le dos de Virginie, contre elle. Je la mis à nouveau en garde, sans réponse autre qu'une gorge profonde, j'éclatais dans sa gorge pendant que Ma Julie l'embrassait dans le cou. Virginie me sourit, me fit un clin d'oeil, et Julie, pris mon sexe ramollit en bouche, pour le nettoyer. Julie avait la bouche plus fraîche, ce qui n'était pas désagréable.

Virginie mit un fond musical, et invita Julie à danser, elle s'embrassait. J'étais gêné d'avoir le sexe au repos, devant ce couple. Je me risquais :
"Tu ne participes pas Alex ?"
"Tu ne trouves pas le spectacle superbe ?"
"Bien sur qu'elles sont belles toutes les deux ! Mais toi, tu vas rester toute la nuit dans ton fauteuil ?"
"Et bien, viens me montrer ce que tu sais faire alors!"

Je me levais, puis me mis derrière le fauteuil. Je l'embrassais dans le cou, et le caressais. Puis je me glissai entre ses jambes, enleva son jean, et mis au même ouvrage que Virginie précédemment. Je le suçais du mieux que je pouvais. Ca faisait longtemps que je n'avais pas eu un sexe d'homme en bouche. Lorsque j'ouvris les yeux, les deux femmes me regardaient. En croisant le regard de Julie, je me sentis un peu humilié. Ma femme vint contre moi, puis se mit à sucer Alex à son tour. Alex, quant à lui, se laissait faire sans un mot. Julie s'interrompit pour m'embrasser, puis je repris le travail, jusqu'à ce qu'Alex m'attrape par les cheveux, m'agrippe la tête et jouisse le long de ma joue, son liquide brûlant.

Dans cette soirée, seule Virginie n'avais pas jouit. Celle ci s'était d'ailleurs absentée. Je pris l'initiative de faire le service, nous avions soif. Virginie revint vite, rafraîchie par une douche rapide, un gode ceinture attachée à la taille.
"Alors t'aimes les mecs petite tafiole ?"
Virginie, me saisit par le cheveux et me fit sucer le gode. Alex se leva et quitta la pièce. Julie sirotait son verre, l'oeil brillant, en me regardant sucer le membre en latex. Virginie poussait plus loin le faux sexe dans ma gorge, me tirant un haut le coeur, puis le retira.

La maîtresse de la soirée se tourna alors vers Julie pour lui imposer le même sort. Celle-ci se laissa faire sans protestation. Quand Virginie enleva le gode de sa gorge, elle me regarda les yeux humides
"T’es fière de ta petite salope ?"
Virginie jubilait. Alex revient avec des préservatifs et du lubrifiant. Il me demanda de me mettre à 4 pattes, puis commença à me lécher l'anus. Il risqua un doigt en moi. Je mordais l'oreiller. Il glissa un deuxième doigt, puis commença à me sodomiser doucement de cette façon.
Julie avait fait le tour de notre mêlée masculine, nous avait caressé, pris nos sexe en bouche, puis était repartis avec une préservatif. Elle équipa le gode avec le capuchon, puis s'assit dessus, face à Virginie, pour mieux l'embrasser. Elle faisait de lents allers et retours, coulissait en soupirant sur cette bite plus grosse que nature, à la couleur fluo. Elle gémissait.

Alex mis du lubrifiant sur ma raie. Une espèce d'huile qui coulait au sol. Puis je sentis son sexe se présenter à l'entrée de mon cul. Il poussa doucement, l'entrée céda rapidement, m'arrachant un cri mêlant douleur et plaisir. Il resta quelques instants immobile, avant de commencer de violents va-et-vient. Je bandais à nouveau, sa queue, fine mais assez longue, tapait le fond de mon cul. Je sentais le plaisir me titiller de l'intérieur. Alex me défonça plusieurs minutes de cette façon, nous changeâmes de position, ce qui lui permettait de me pilonner plus fort. Il se retira sans jouir, le sourire aux lèvres. Il était plutôt beau mec. Julie étouffa un cri aigu, se cramponnant aux mèches brunes de Virginie. Je me relevais les jambes flageolantes, Julie restait enlacée avec la belle brune qui venait de lui offrir un deuxième orgasme. Virginie se releva, je lui mettais une main aux fesses, et la plaqua contre moi pour l'embrasser.

Julie, dans sa furie sexuelle, me regardait agir, se masturbant, tout sourire. J'intima l'ordre à Virginie de me sucer, elle ne se fit pas prier, et s'appliqua sur mon sexe encore collant de ma précédente fellation. Mais cette fois-ci, ma belle partenaire, s'appliquait à faire durer le plaisir. Julie attrapa un préservatif qu'elle me lança en disant :
"Baises cette salope comme elle vient de me baiser!"
Virginie, pris le sachet, déballa l'objet qu'elle mis dans la bouche, puis me le mis grâce à une habile pression des lèvres. Julie, détacha le gode ceinture, qu'elle posa sans un regard sur le côté, puis se jeta sur l'arrière train de Virginie, pour lui glisser sa langue dans l'anus, puis dans le sexe. Elle mit un doigt, sans trop de douceur. Ma Julie s'était transformé en diablesse, dominatrice. Elle réitéra l'ordre :
"Suces mon mec! Et suces le bien. Moi je vais baiser le tien"

Elle se plaça à genoux devant Alex, et pris son sexe en bouche. Celui ci n'avait pas jouit après m'avoir enculé, son sexe, restait dur. Elle ordonna à Alex de s'allonger, et s'assit sur sa bouche. Julie n'est pas vraiment amatrice de la sodomie. C'est toujours elle qui amène le sujet. C'est quand elle veut ! Et là, elle voulait Alex en elle, dans son petit trou ! J'étais fou d'excitation. Je ne quittais pas mon regard de mon amour de femme, le cul sur la bouche d’Alex.

Je retournais Virginie, l'allongeait sur le sofa, et la pénétrait doucement. Elle s'agrippait à mes hanches et chuchota :
"Vas y, donnes moi ce que tu as !"
Je commençais à lui faire l'amour, doucement, puis plus rapidement, alternant les rythmes, la puissance des coups au fond de son vagin.
Julie, s'était assise sur le sexe d'Alex et laissait échapper son marmonnement caractéristique à ses montées de plaisir.

Nous avons jouit tous les quatre dans un intervalles de quelques minutes. Puis nous reprîmes un verre, tous détendues et satisfaits. Nous parlâmes de choses et d'autres, puis tard dans la nuit, Alex et Virginie nous montrèrent une chambre avec un lit dans lequel nous nous sommes glissés, épuisés, après une petite douche, pour faire un long câlin amoureux.

"Mon amour, on recommenceras ?"
"Tu as aimé ?"
"J'ai baisé comme jamais, j'ai pris un pied d'enfer, j'ai adoré te voir baisé par Alex. Je t'aime comme jamais."