Première soumission 3

- Par l'auteur HDS Probus -
Récit érotique écrit par Probus [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Première soumission 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-12-2008 dans la catégorie Dominants et dominés
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Première soumission 3
<p>Première soumission 3



La semaine est longue, le soir jusque tard, je fabrique et imagine mes propres supplices. J'en oublie mes problèmes, les travaux dans la maison n'avance pas, il faut choisir. Me faire humilier par des femmes, me procure beaucoup de plaisir, le choix est vite fait. Samedi quinze heures Marie est devant la grange, on embarque les objets de mes supplices futur. On arrive chez Marie, elle habite une maison ancienne, très bien restaurée, avec une cour fermée et un grand terrain entouré de haies. Je suis dans la cour Marie ferme la porte, elle vient vers moi, Emilie sort pour m'accueillir.

Marie -- Déshabille toi tu vas mettre un string,

Me voilà nu dans la cour, Marie revient me tend le string, je l'enfile. Ce n'est qu'une poche transparente, tenue par des ficelles, dans laquelle j'ai des difficultés a y loger mon sexe, a la première érection tout va sortir

Marie -- C'est presque parfait, il faut juste que tu te rase les poils, Emilie va s'en occuper

Emilie m'entraîne dans la salle de bain, j'enlève le string. A l'aide d'une petite tondeuse elle me rase les poils sur tout le corps, je suis plus que nu. Cette première humiliation me provoque une érection, impossible de remettre le string, Emilie se recule me regarde tenter d'entrer mon sexe dans le string

Emilie -- Sans poils c'est parfait, tu as cinq minutes, pour que tout entre dans la poche, sinon ma mère va s'en charger, sort d'ici, les invitées vont bientôt arriver

Me voilà dans la cour, le sexe a moitié sorti, en fait il n'y a que mes couilles qui sont dans la poche transparente. Marie est face a moi.

Marie -- rentre tout dans le string
Moi -- plus je vais essayer de le rentrer plus je vais bander.

Marie s'éloigne, revient avec un linge rempli de glaçons, qu'elle me fait tenir sur le sexe, c'est radical, deux minutes plus tard j'ai le zizi tout rabougris. Elle me tend une pilule.

-- Prend ça je veut que tu sois en forme, pour les deux jours, c'est efficace trente six heures. Tu te mets à l'extérieur quand quelqu'un arrive tu ouvres la grand porte, tu places les gens, au fond près des dépendances, pour qu'il n'y ait pas de voitures a travers toute la cour.
--Dans cette tenue ?
--Oui estime toi heureux de ne pas être nu, et même le string, je pense que tu ne l'auras pas longtemps. Je suis contente, mes copines vont être surprises, elles ne sont pas prévenues de ta présence, il est l'heure va attendre dehors

Je sort, j'attends devant la porte, nous sommes dans une petite rue, qui conduit dans les champs, il y a beaucoup plus de chance qu'il passe quelqu'un ici, que devant ma grange. Une voiture arrive, j'ouvre la grille, passe devant la voiture, je lui désigne une place, j'ouvre la portière, la femme sort, me regarde des pieds a la tête. Je sens mon sexe s'agiter dans le string, j'arrive heureusement à me contrôler. Je suis de nouveau devant la porte, elles sont deux dans la voiture qui arrive, j'ouvre la porte leurs montre l'endroit où se garer, et reprend mon poste devant la porte. Mon sexe s'agite, la pilule commence à faire effet, et être exposé quasiment nu dans la rue n'arrange pas les choses, je pense à autre chose, je regarde des oiseaux se battre dans les buissons en face de moi. Marie vient me trouver.

Marie -- Tu ouvres la portière à tout le monde
Moi -- Si une femme me regarde de trop près, mon sexe sort de son logement
Marie -- Si tu préfères tu te mets nu

Une voiture arrive, j'obéis, je précède la voiture, j'ouvre la portière, la femme me regarde, et dit

-- Bonjour, pourquoi as tu mis cette chose ridicule, de toute façon on voie ton sexe, tout nu tu aurais été plus beau

Il n'en fallait pas autant, mon sexe sort, laà je suis vraiment ridicule, le string ne cache plus que mes couilles. Elle sourit et s'éloigne, me laissant seul avec mon problème.

Je suis devant la porte, j'essaie de tout faire rentrer, impossible, j'abandonne, je met les mains devant mon sexe, une voiture approche, je la précède ouvre la portière, la femme me retire le string, et dit

-- Tu es plus à l'aise comme ça, sans cet accessoire inutile. C'est une belle surprise que Marie nous fait là jusque où peut on aller avec toi ?
-- Je ne sais pas, il faut demander à Marie

Elle part en emportant le string, les deux dernières voitures tout fût plus facile je suis simplement nu et en érection, la dernière voiture est entrée, je n'ai pas de consigne, je me met dehors devant la porte et j'attends, car je ne suis pas sur que c'est la dernière. Une demie heure plus tard Emilie vient me chercher, elles sont toutes autour d'une table un verre à la main

Marie -- Mes copines ont presque toutes des problèmes à régler avec un homme, je leur propose de te faire subir ce qu'elles aimeraient faire à leur ancien compagnon. Tu es notre prisonnier jusque demain soir. J'ai installé dans une pièce de la maison tout ce qu'elles peuvent utiliser pour te torturer. Dans l'immédiat tu restes ou tu es, mains dans le dos, jambes écartées. Je vais faire les présentations, Alexandrine, Carole, Adeline, Dorothée, Elisabeth, voici Clotilde, il faut t'en méfier, elle aime faire souffrir les hommes, et la timide Emmanuelle (s'adressant à ses copines) vous marquez sur un papier ce que vous voulez lui faire, il tire lui même dans la boite son gage, et on lui applique collectivement. Vous pouvez aller voir les 'jouets' dans la salle, cela vous donneras des idées.

Clotilde chuchote à l'oreille de Marie, je n'arrive pas à comprendre ce qu'elles se disent, Carole approuve d'un signe de tête, elle se penche vers Adeline qui hoche la tête avec un grand sourire. Elles semblent avoir décidé de mon sort, Clotilde me tend un couteau et me dit
-- Coupe dans les buissons, en face de la maison une branche de quatre à cinq centimètres de diamètre,un mètre cinquante de long, tu tailles une pointe d'un coté, et tu fais un cône lisse de l'autre, enlève l'écorce ce sera plus confortable pour toi..

Je prends le couteau, je sort traverse la rue. Malgré les ronces, je m'enfonce dans les buissons, pour ne pas être visible de la route. Je choisis une branche, je la coupe facilement, le couteau coupe bien, je la taille comme il m'a été demandé. Je retraverse rapidement la route, Clotilde prend le bâton, elles se lèvent toutes les neufs, et m'entraînent au milieu du terrain derrière la maison, Marie place le bâton contre moi, fait un repère en prenant le bout de mon sexe dressé, et plaqué contre mon ventre. Emilie arrive avec un maillet, elles me font enfoncer le bâton jusqu'au repère. Emilie lubrifie le haut du bâton, j'ai peur de comprendre ce qui va m'arriver, je n'ai pas le temps de réfléchir plus longtemps. Elles se mettent à quatre pour me soulever, deux sous les bras, deux sous les fesses. Clotilde écarte mes fesses, ouvre mon anus, le place sur le haut du bâton. Mes jambes sont lâchées, le bâton s'enfonce lentement, car je suis heureusement, maintenu sous les bras. J'ai les pieds qui maintenant posent sur le sol, et le bâton dans le cul, sur plus de vingt centimètres. Je suis cloué au sol par l'anus, impossible de me libérer, je ne peut que tourner sur moi même, Marie avec un grand sourire dit

-- Tu es là pour un moment, pendant ce temps on va préparer les humiliations qu'on va t'infliger, voir avec qui tu vas passer la nuit, et distribuer les chambres, nous allons être à deux ou trois par chambre.

Je suis nu un bâton dans le cul, au milieu de ce grand terrain, j'essaie de me libérer, mais impossible. Il ne me reste plus qu'à attendre. Toutes les cinq minutes j'aperçois Emilie, a l'entrée du terrain, qui vient voir ce que je fais. Enfin les voilà, Carole porte un escabeau,

Carole -- Monte la dessus, ce sera plus facile pour te libérer le cul sans te faire mal, maitenant tu as intérêt à bander, tu as deux minutes, je n'aime pas voir un sexe mou...

Je me masturbe, et rapidement je retrouve mon érection. Nous sommes de retour dans la cour devant la table, sur laquelle est posé une boite, remplit de papiers soigneusement pliés. Marie me fait tirer un papier, il est écrit Adeline, je pensais y lire un gage,

Adeline -- Tu es mon esclave, mais tout le monde peut participer, j' ai vu qu'il y a une grande planche, en deux partie où je peut emprisonner ton sexe, va la chercher.

je reviens avec la planche et ses pieds, je m'allonge sur sur le sol, je place la base de mon sexe dans l'encoche, je fait joindre les deux parties, et vérouille l'ensemble a l'aide des deux pieds. J'ai les couilles et le sexe posé sur la planche, moi allongé en dessous,

Adeline -- Cela a l'air parfait, mais un peut trop confortable, je vais faire quelques modifications

Elle attache une corde à la base du gland, me fait lever la tête attache la corde à ma nuque. Si je pose la tête sur le sol je tire sur mon sexe. Elle attache une corde à la base de mes couilles me fait lever un pied, et attache l'autre bout a un orteil,

Adeline -- Comment te sens tu, je vais t'obliger à poser ta tête et ta jambe sur le sol, par contre je veut voir tes fesses soulevées.

Elle va dans un coin de la cour chercher quelques briques, un reste des travaux de restauration, qu'elle place sous les pieds qui soutiennent la planche, ce qui exerce une traction sur mon sexe, et m'oblige à soulever les fesses. Elle se recule pour mieux voir, et prends des photos elle tend l'appareil à Marie. Elle enlève ses chaussures monte sur la planche, pose son pied sur mes couilles, tendues par la corde, liée à mon pied. Elle augmente progressivement la pression, elle pose l'autre pied sur ma verge tendue. Puis fait porter son poids alternativement, sur un pied, puis sur l'autre, Marie prend des photos de mon supplice, (supplice que j'aime) je me contrôle pour ne pas éjaculer. Adeline descend, fait signe aux autres de prendre la suite, seule Clotilde profite de l'occasion, elle me fait mal en posant son talon de chaussures, sur mes couilles qui ne peuvent s'échapper, tenue par la corde. Elles me laissent, dans cette position inconfortable, pendant un bon quart d'heure

Marie -- il va être dix neuf heures, encore un gage, et ensuite il va tirer celle avec qui il va passer la nuit.

Je tire un papier, Clotilde j'ai mal choisi, je crois que je vais souffrir, elle va chercher
les objets de mon supplice, elle enroule à la base de mes couilles une corde, en faisant joindre les spires, de façon à allonger mes couilles au maximum, elle prend deux planchettes, de ma fabrication, reliée entre elles par quatre vis, elle place mes couilles entre elles et commence à serrer (heureusement j'ai mis une butée) pour l'instant cela ne comprime que faiblement mes couilles, mais je les ai faites un peu lourdes, cela tire sur mes testicules, et quand je marche, mes cuisses les poussent vers l'avant, et allonge encore plus mes testicules. Si je dois me baisser, cela risque d'être difficile, et douloureux.

Clotilde – Tu vas nous servir à table, avec cela aux couilles, chacun peut serrer un peu plus...

--Marie me tend la boite avec petits billets, je tire et c'est Carole, je ne sais pas ce qu'elle me réserve, et en ce moment elle non plus, elle va certainement réfléchir pendant le dîner...

Marie -- Tu es avec qui cette nuit? A oui ! avec dorothé et elisabeth, il est à toi mais tu peux le partager si tu veux, car il n'a pas éjaculé de la journée. Paul tu vas manger tout de suite, comme cela tu pourras nous servir, va dans la cuisine Emilie est là.

Emilie commence par serrer les vis, elle me fait asseoir, les planchettes font remonter mes couilles, qui buttent sur le tiroir de la table, je mange rapidement,

A la fin du dîner les planchettes sont en buttée, j'ai les couilles étirées et comprimées. Clotilde s'approche enlève la corde et les planchettes en me disant qu'elle ne veut pas me rendre impuissant. Elles discutent encore pendant un bon moment, je suis debout à deux mètres de la table, j'attends un ordre. Il est maintenant vingt trois heures, la journée il a fait chaud, mais maintenant il commence à faire frais, et je suis nu. Carole à qui j'appartiens jusque demain matin neuf heures, me met un collier et une laisse. Elle me fait traverser la cour à quatre pattes, tiré par la laisse, sa chambre ouvre directement sur la cour. Elle m'attache à un crochet qui sert à tenir les volets ouvert, dorothé et elisabeth arrivent, et entrent dans la chambre. Une demie heure plus tard Carole me fait entrer toujours à quatre pattes. Dans la chambre il y a un lit pour deux personnes et un pour une personne. Les trois femmes sont en robe de chambre, elles m'attachent les bras et les jambes en croix sur le grand lit. Carole s'approche avec un tube, elle a les mains gantées. elle m'enduis le gland d’une pommade, en fait pénétrer un peu dans l’urètre, à l'aide d'un coton tige, en rajoute une noisette, me malaxe le sexe afin de bien répartir le produit. Quelques instant plus tard j'ai le sexe complètement insensible, mais je garde une forte érection. La petite pilule peut être. Carole se met nue, elle m'oblige à lui lécher le sexe un long moment j'ai le menton dégoulinant de ses sécrétions. Je ne sens plus mon sexe, je ne sais pas si je bande encore, elle se recule, je bande, elle entre mon sexe en elle, je la regarde faire, mais je ne ressens rien. Elle va me baiser, je vais la regarder faire, sans rien ressentir. C'est frustrant et humiliant, Dorothé et Elisabeth regarde, carole s'agiter sur mon sexe, elle émet des petits cris, elle a un orgasme, et moi aucune sensation. Dorothé la remplace, elle s'assoie sur mon visage, frotte son sexe, m'oblige à ouvrir la bouche, puis s'empale sur mon sexe insensible, monte et descend, en me regardant dans les yeux, d'un regard dominateur, elle se retourne, pour cacher son émotion durant l'orgasme. Elle se retire, j'ai le bas ventre et les cuisses humide, le sexe toujours insensible et en érection,

Carole -- A toi Elisabeth, profite en il n'éjaculera pas en toi, il a le sexe insensible, avec la dose de pommade anesthésiante que j'ai mise, il en a pour une grande partie de la nuit,

Elisabeth semble hésiter, se déshabille, s'empale sur mon sexe, entre en mouvement. Carole se tient juste a coté du lit, elle très belle complètement épilée, je regarde son sexe légèrement ouvert, je ne regarde pas Elisabeth, et je ne la sent pas monter et descendre, le long de mon pénis. Je ne quitte pas Carole des yeux, qui maintenant, pour m'exciter, écarte les jambes. Elisabeth se retire

Dorothée – Maintenant on va le vider complètement, je vais lui masser la prostate, toi Carole tu vas le traire, quand le sperme commencera à sortir .

Dorothée m'entre deux doigts dans l'anus, commence à masser, Carole s'installe de l'autre coté, je sens la pression des doigts de Dorothée sur ma prostate, après une dizaine de minutes, un plaisir diffus envahit mon bas ventre. Un liquide sort de ma verge, sans saccade et sans orgasme. Carole prend entre ses doigts la base de mon sexe et remonte en serrant pour aider à la sortie du sperme. Elles insistent jusque ce que plus rien ne sorte. Elles ont finis de me traire

Dorothée -- Il va dormir sur le tapis au pied du lit, moi je m'installe dans celui d'une personne

J'ai froid, le sol est dur, je m'installe en chien de fusil, le temps passe lentement, mon sexe peu à peu redevient sensible. Tard dans la nuit, je finis par m'endormir.

A suivre




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