Premières étapes vers la soumission - histoire érotique

Cette histoire, la mienne, montre à quel point, en fonction des évènements d'une vie, la mentalité de chacun peut évoluer.

Première étape : prise de conscience.

J'avais 33 ans, 2 filles et une femme charmante.
Je vivais au Sénégal depuis quatre ans où j'exercais ma profession d'ingénieur.
La vie y était des plus agréables pour les expats et la population locale bien sympa.

La chaleur, l'ambiance générale apportaient comme un parfum d'érotisme permanent. Les occasions et les tentations dans le domaine étaient très fréquentes. Ma femme, que j'honorais quasi-quotidiennement, semblait attirée par la beauté des corps noirs et leur sensualité, homme et femme.
Souvent quand nous faisions l'amour, j'évoquais la présence d'un beau black et je sentais à ce moment comment la pression des cuisses et l'ondulation du bassin de ma femme se faisaient plus forte. Mais nous en étions restés à ce point.
Un soir où j'avais raccompagné un collégue parisien à son hotel, en bord de mer, je croisais la route d'un individu qui se mit à me suivre sitôt arrivé à sa hauteur. Il se mit à me héler ; mon premier réflexe fut de continuer mon chemin ; nouvel appel, cette fois je me retournai et m'arrêtai, je le vis me faire signe d'approcher, lui-même se dirigeait vers un petit square.
Ce que je fis. L'éclairage n'était pas très puissant aussi je ne distinguais pas très bien de qui il s'agissait ; je remarquais toutefois qu'il portait une de ses mains à sa braguette, comme une invitation.
Instantanément, je fus traversé par une onde de chaleur dans tout le corps ; vraiment très difficile à décrire. Il baissa son pantalon et sans une parole, instinctivement je me mis à genou et je gobais son joli sexe. Je l'engloutissais, c'était l'extase, je m'écartais pour mieux enfoncer sa belle bite tout au fond de ma gorge ; que c'était bon et une bonne odeur se dégageait de son sexe. Sans me prévenir, il se retira et me dit que nous risquions de nous faire surprendre et qu'il fallait aller ailleurs ; frustré mais tout à coup conscient des risques, je me relevais et nous allâmes à ma voiture.
Un quart d'heure plus tard, nous étions dans un espèce de terrain vague proche de la mer.
Tout le long du parcours je n'ai pas débandé et ma main droite s'est plus souvent servie de sa belle bite que du levier de vitesse. Il est interdit de téléphoner en conduisant mais est-il interdit de branler gentiment son passager.
Tout en défaisant nos pantalons, nous nous embrassions passionément, puis je repris une bonne fellation ; toujours aussi savoureuse.
Entièrement consacré à mon œuvre, les mains de mon bel africain sur ma tête, j'étais aux anges...
Le besoin impérieux de me faire prendre, se fit en moi. J'abandonnais un instant (vite, vite), ma gâterie. Vierge de tous mes orifices il me fallait trouver un lubrifiant quelconque ; mais allez donc trouver ce genre d'accessoire dans la voiture d'un homme, un vrai mâle...
Mais croyez moi, je finis par découvrir dans un sac dans le coffre, une crème -était elle de jour, de nuit, pour peau grasse, séche ou autre, je ne sais, mais la boite était bleue, ça je m'en souviens encore.
Mon bel amant me prit la crème et m'en enduisit le petit. Rien que ce contact faillit me faire exploser. Puis calmement il m'amena à me plier sur le capot de ma voiture et me pénétra fermement.
Instinctivement je roulais des hanches ; quel bonheur à nouveau.
Baise moi bien, prends du plaisir, longuement, indéfiniment...
Il me tenait fermement les fesses et je pensais à la vision qu'il devait avoir, ce cul blanc dans lequel il se démenait. Au bout de longues minutes merveilleuses, je sentis qu'il se tendait et je me collais à lui au maximum. Il s'épencha en moi et de le savoir me procurait une joie intense.
Je me relevai et lui se rajustai, quand il s'agenouilla devant moi et, à son tour, me fit une superbe fellation. Je lui caressais ses cheveux crépus et quand, à mon tour, je déchargeais dans sa gorge, je connu l'épanouissement d'après des ébats merveilleux.
Comment décrire, l'état dans lequel je rentrais chez moi. Mon épouse étant couchée, je n'eus pas à donner d'explication sur le regard brillant et de légère extase qui me possédait encore.
Une fois couché, le visage de mon bel africain revint et je le remerciai ; merci de m'avoir dépuceler de cette façon, merci de m'avoir révélé à moi-même. Je t'aime bel homme.
Je sentais confusément qu'une porte s'ouvrait et que ma petite vie sexuelle étriquée, que je ne rejette pas d'ailleurs, déboucherait sur d'autres moments de bonheur et de passion.

2ème étape : confirmation.
Durant plusieurs mois, ma vie reprit son cours habituel. J'essayais de ne pas tenir compte de cette révélation ; je ne pouvais pas, moi, chef de famille, hétérosexuel affirmé et fier de présenter aux amis le tableau de chasse féminin qui fût le mien, leur dire tout à coup :
_je me suis fait enculer par un mec et j'y ai pris du plaisir.
Je draguais plus que jamais les nanas de mon entourage, ma femme feignant de ne pas s'en apercevoir. J'essayais de noyer « cette absurdité » dans une débauche de machisme.

Oui mais voilà la vague était trop puissante.
Une fin d'après-midi, je décidais de retourner aux abords de mon hotel. J'espérais, tout en souhaitant le contraire, que je ne rencontrerais pas mon dépuceleur.
Après m'être garé sur le parking, je pris le chemin qui menait au petit jardin. Sur le trottoir se tenait un groupe de trois jeunes hommes.
Le même scénario que la fois précédente se produisit, sauf que cette fois s'était un trio et il y avait des sifflets admiratifs :
_tu as vu ce cul ! ...sifflets
_les blancs là, sont bons, hein ….
_eh toubab ! Tu connais chose là …
Je ne vous dis pas l'état dans lequel je me trouvais, ...en pamoison, j'en tremblais.
Je me faisais tout simplement draguer et j'aimais ça ; non seulement je ne fuyais pas, mais je me retournais et j'y allais.
Plus aucune remarque, plus de rires, mais une espèce de télépathie s'établit entre nous.
_Oui vous voulez quoi ?
_Tu veux venir avec nous ?
_ben !...
_Prends ta voiture, on va chez moi.
Seuls deux garçons vinrent, un très costaud et un autre à peu près de ma taille.
L'appartement, dans un quartier, était vétuste mais dans mon état, ce détail était tout à fait insignifiant.
Sans explication, dans la plus parfaite coordination, nous nous retrouvâmes tous les trois nus.
J'étais surtout impressionné par le plus gros, car ce qui ne se voyait pas trop habillé, c'était sa corpulence, proche de l'obésité. Je l'embrassais, ses grosses lèvres étaient bonnes, sa langue tournait, tournait...
Le plus petit, Youssouf, me caressait le dos et les fesses dans un mouvement tournant. Merveilleux.
N'y tenant plus, je m'agenouillais et d'une bouche démesurément grande ouverte j'enfournais le fabuleux sexe de mon bon gros partenaire ; qu'elle était belle, cette bite noire, majestueuse, tendue, dangereuse et pourtant si douce, hummm !
D'une main ferme, il me releva et m'emmena sur un lit, plutôt une couche peu élevée.
_Youssouf, prends le dans son cul ! Pas le casser hein ! Moi je prends après !

Tendu, dans l'attente d'une douleur aigue, comme lors d'une prise de sang (mais avec une plus grosse aiguille), j'étais à quatre pattes ; je sentais que Youssouf me caressait l'anus et y appliquait sa salive. Puis il présenta sa bite et força légérement mais progressivement le passage.
Je n'étais plus vierge mais je ressenti les mêmes sensations ;

Après l'admission, notre moteur à deux temps fonctionnait parfaitement, compression, explosion de bonheur.
Bernard, lui me représenta son énorme sexe à prendre en bouche ; ainsi appareillé, mes trous comblés, je l'étais aussi.
Je sentis que Youssouf s'essouflait et lorsqu'il me remplit le ventre de son bon sperme, je serrais au maximum les fesses pour tout garder en moi quand il se retira (échappement).
Aussitôt Bernard m'ordonna de me positionner sur le dos ; je m'exécutais, il se coucha sur moi en ayant au préalable, essayer de relever un peu mes fesses.
Je pensais que jamais je ne pourrai supporter ce poids -il devait bien peser 130, voire 140 kg-, mais au contraire, je désirais être couvert.
Quand, après bien des petits aller-retour, il me pénétra entièrement -aidé en cela par le sperme de Youssouf qui servait de lubrifiant-
Et là, ma tête à hauteur de sa poitrine ruisselante, mon ventre dans les plis tremblotants du sien, sa sueur mélangée à la mienne, son membre au plus profond de moi, comme j'étais bien.
Vas-y mon beau Bernard, domine moi, prends moi, engrosse moi.
Mais, meme si je n'y pensais pas sur le coup, ces termes sont plutôt utilisés au féminin ; n'étais je pas en train de me féminiser ?
Quand il me remplit à son tour, je jouis aussi -ma bite étant naturellement masturbée par son ventre durant nos ébats et ma main s'y étant portée.
Un long moment de repos après, je lui dis :
_j'aurais voulu avaler ton sperme.
Il me repondit, avec un beau sourire :
_la prochaine fois.

J'avais trouvé mon maitre, j'en étais sûr.
Et des prochaines fois, il y en eût, je vous assure.

Alors dites moi si vous voulez que je continue à narrer mon évolution sexuelle.