Premières I - histoire érotique

Vers 13-14 ans je suis passé de la SF à un genre plus en vogue de l’époque , c’est-à-dire l’érotisme. Depuis deux trois ans , j’avais eu l’occasion d’échanger avec des garçons de mon âge , sans doute un peu vantard sur leurs prouesses , mais tout de même l’un deux arrivait à me faire durcir dans le jogging avec ses histoires style hétéro, je précise. Tout de même un après-midi Il avait eu le culot de m’abandonner en pleine partie d’échec pour aller se branler dans ses toilettes , pris d’une envie subite me dit-il d’un coup. Et lorsqu’il m’a appelé pour que je lui apporte un double décimètre pour vérifier la taille de sa bite , ce fut un grand moment ….inqualifiable. Evidemment je n’ai rien vu car ce petit chenapan ne voulait surtout pas que je vois son sexe mais vu les questions qu’il me posait souvent , je devine qu’il complexait la dessus. Le clou ou comble de l’histoire c’est lorsqu’il est sorti de ses cabinets catastrophé d’avoir giclé sur sa belle chemise en soie offerte par sa mère lors de ses 12ans (ou 13 ?). Une belle traînée blanche maculait un des pans de la chemise et je n’ai jamais su comment il s’en était sorti envers le regard maternel … En revanche je suis certain qu’il était en effet plus précoce que moi, que nous n’avons jamais terminé la partie , et que nous étions le soir rentrés chez nous le cœur léger et oublieux de l’incident.
Pour revenir à ma maturation sexuelle, j’avais chipé dans la chambre de mes grandes sœurs un ouvrage bien sympathique , Emmanuelle 1 , très en vogue à cette époque. Je l’avais dévoré de chapitre en chapitre , en quelques jours ou semaines peut être , alors que mon corps changeait et qu’un rien m’émoustillait. Je me souviens particulièrement d’un dimanche après midi , ou un peu énervé , j’étais dans mes toilettes , et que mon sexe durci laissait s’échapper un filet de pré-cum , alors que je n’avais jamais encore éjaculé. Comme mes lectures étaient présentes dans mon esprit , faisant le parallèle avec ces nouvelles connaissances théoriques , je commençais à me caresser et manipuler l’engin , tout en réfléchissant à ce que je pourrais faire moi-même et découvrir les plaisirs décrits par l’ouvrage de Mme Arsan. Seulement j’ai été appelé pour le dîner , ce qui tombait bien vu que ni l’endroit ni l’heure ne se prêtait à l’entreprise.
Je ne sais plus si c’est le soir même , ou quelques jours plus tard que je passai à l’acte, décidé à voir ce qu’on allait voir, du haut de mes 14 ans à peine passés . Vu mon âge , j’avais depuis quelques temps hérité d’une chambre rien que pour moi tout seul, étant devenu le seul mâle de la maison.
Lors de cette première, sans avoir d’autre connaissance que livresque, la maison étant assez calme j’ai pris soin de m’enfermer dans ma chambre , et entrepris de revisiter quelques chapitres du Livre, ou il y a pas mal de passage hétéro , et quelques autres allusions à l’homosexualité (MARIO ) .
Excité comme pas permis, je me suis rapidement mis complètement nu , et n’ayant pas encore d’autre idée , allongé sur le ventre sur mon lit 1 place. Le sexe tendu et enserré dans mon poing droit , j’entamais mon premier coït en solo. Le couvre lit me procurait une bonne sensation, je me masturbais pour la première fois de ma vie. J’avais en tête les aventures sexuelles que je venais de lire , je ne savais plus trop ou j’en étais, mais l’orgasme est venu alors que je pensais au chapitre du samlo, rêvant donc de prendre une femme alors qu’un homme me sodomiserait. Mes muscles anaux ont palpité alors que je lâchais quelques gouttes de sperme, ce que je constatai quelques instants plus tard , inquiet d’ailleurs de voir mon gland totalement découvert, cramoisi, si sensible. Surpris aussi par cette sensation inouïe donnée par mes spasmes du cul , très forts déjà.

Je n’ai jamais connu d’orgasme sec , ni de pollution nocturne , et a partir de ce jour , j’ai beaucoup pratiqué l’exercice de la branlette, avec toujours beaucoup de plaisir. Voilà pour cette première là en solo.

Puis j’ai grandi et poussé comme beaucoup, me suis intéressé aux filles , en ai rencontré , et assez tardivement pour l’époque j’ai eu aussi cette première fois là , que je ne raconterai pas ici, ce n’est pas le bon endroit.
Devenu homme, marié et père , comme je n’avais pas oublié ce désir de mâle, mes fantasmes inchangés, je me suis débrouillé pour les réaliser . Vers 30 ans , ayant fréquenté quelques cinés louches à Paris , et surtout flirter sur le 36 14 , j’ai eu un RDV avec un homme d’environ mon âge , dans une autre métropole.
Ça c’est passé chez lui, sorti de mon cours , j’ai pris le chemin de son appart situé sous les toits. Nous nous sommes vu deux soirs de suite. Au premier soir, il était occupé à corriger des copies , ce qui fit que je dus attendre qu’il finisse ce travail. Assis dans un petit salon, lisant quelques revues homo qu’il m’avait prêté.
Lui , d’allure normale , un peu mois grand que moi , brun , cheveux courts , pas poilu ce qui à l’époque me satisfaisait bien , puisque étant moi dans le style blond nordique , imberbe. Je pense que c’était un jeune prof, je n’ai jamais su de quoi. Après quelques minutes , il me fit savoir que c’était bon , qu’on allait pouvoir gagner la chambre. Il m’a guidé vers cette pièce et nous nous sommes assis sur pied du lit commençant à nous caresser mutuellement. Je ne suis pas sur de lui avoir jamais dit qu’il serait mon premier homme et cela n’a rien changé . Je ne me souviens pas que l’on se soit embrassés ni mélangé nos langues . C’était doux et tranquille comme moment , câlin. Et c’est tout naturellement que je me suis retrouvé aussi nu que lui. Des lors nous nous sommes allongés plus haut sur le lit et enlaçés. Il m’attirait sur lui couché sur le dos , et repliait ses jambes. Son sexe comme le mien était tendu de désir, mais bien plus modeste en mensuration, bien an dessous de la moyenne nationale à laquelle je me rattache moi-même . c’est-à-dire 16+ et bon 4cm de diamètre. De ce que j’en vois , lui est plutôt dans les 11 12 , par 2,5. Il m’attire donc , m’installe entre ses cuisses , et je comprends qu’il désire se laisser prendre. N’étant pas expérimenté , j’essaie de me positionner , mais sans succès. Lui l’est plus, et guide de ma main ma bite en lui, ce qui me fait sourire , car c’est de la même manière que j’avais abandonné mon pucelage quelques années auparavant. Je l’ai donc enfin pénétré , et me suis comporté en doux actif , et il n’a pas trouvé à redire , appréciant d’être dans sa position , sur le dos , cuisses écartées et légèrement relevées.
Ce n’ était pas très différent que de pratiquer avec une femme , tout aussi plaisant.
Ce jour-là comme bien d’autre , je suis plutôt endurant. C’est une caractéristique acquise je ne sais comment , peut être à cause de mes fantasmes et habitudes passées. Souvent je fais appel à cette scène qui m’avait conduit à mon premier orgasme éjaculatoire. Ce soir là aussi sans doute , avec un petit bonus jamais éprouvé auparavant, étant donné que mon partenaire se branlait en même temps que je le baisais du mieux possible, et qu’il avait déclenché sa jouissance quelques infimes secondes après que la mienne eut commencé. Le bonus était que j’ai ressenti son anneau spasmer autour de la queue , tandis qu’il lâchait sa sauce, et que je lui larguait la mienne dans ses profondeurs. Putain quel effet ravissant dans ma tête !
C’est la première fois que je prenais un homme, pas la dernière.
Comme j’avais quelques jours à passer dans cette ville , nous avons convenu de nous revoir le lendemain , afin d’approfondir un peu.
Aussi , je suis rentré à mon hôtel fourbu, mais satisfait d’avoir réaliser cela.
Le lendemain , nous sommes allés manger un morceau en soirée, puis remonter à son petit appart sous les toits. Nous avons remis ça , je ne sais plus trop comment d’ailleurs jusqu’à ce qu’il comprenne mon envie d’être à mon tour possédé. Malheureusement , il n’avait ni la manière ni le tempo , et même s’il a tenté de m’enduire l’entrée d’une crème chauffante, cela me faisait mal et je lui ai demandé d’arrêter. Pourtant avec un son modeste gabarit cela aurait pu être un bon début, mais voilà il n’a pas su faire.
En fin de cette deuxième soirée , rentré à mon hôtel, je me suis dit que ce n’était peut être pas pour moi tout compte fait … et me suis quand même branlé afin de m’endormir , tellement l’excitation ne m’avait pas quitté.
Il y eut donc plus tard d’autres premières fois , que je vous relaterai très bientôt.