Premiers émois. Découverte des hommes
Récit érotique écrit par Carole2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 1 récit publié.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Carole2 ont reçu un total de 1 106 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-08-2009 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 106 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Premiers émois. Découverte des hommes
Ma première relation
J’avais juste 18 ans depuis quelques jours. L’année scolaire était enfin terminée et
j’allais enfin pouvoir prendre quelques jours de repos avant d’attaquer un petit boulot
chez un paysan du coin pour me faire un peu d’argent de poche.
J’habitais un petit village de la campagne bourguignonne et depuis quelques années,
j’étais pensionnaire dans un lycée à une vingtaine de kilomètres de chez mes parents.
Je ne connaissais rien à tout ce qui se rapportait au sexe, juste un petit flirt avec une
fille du lycée.
Physiquement j’étais déjà relativement grand 1.80 m, mince 70 kg cheveux noirs mi
long, yeux marrons verts, traits fins, imberbe. Ce qui entraîna qu’à plusieurs reprises
certaines personnes m’appelèrent Mademoiselle. A chaque fois je les reprenais par
un NON Monsieur.
En ce début d’après midi j’étais seul à la maison, habillé d’un short légèrement
moulant et d’un Tshort un peu ample. Par cette belle journée, je m’apprêtais à aller
faire un tour à la rivière histoire de me rafraîchir.
Soudain, la sonnette de l’entrée me fait sursauter. Je vais ouvrir et un homme d’une
quarantaine d’années est debout devant la porte. Grand, brun, yeux bleus, chemise
légèrement ouverte, il me salue par un grand "bonjour Mademoiselle". Je ne le reprend
pas, peut être par effet de surprise et lui répond par un petit "bonjour Monsieur" tout
timide.
Il se présente, je suis Denis …, commercial pour les éditions …, est ce que vos
parents sont là ?
Je lui répond que non, que je suis seul et qu’ils ne rentreront pas avant la fin de l’après
midi. Avec un grand sourire, il me demande si il peut entrer pour me montrer ce qu’il
vend et pour me laisser une brochure et un tarif à donner à mes parents. N’y voyant
pas de mal, je le fait entrer jusqu’au salon.
Là, il commence à me sortir quelques livres et encyclopédies tout en me faisant des
compliments sur ma ligne et mes jambes. Gêné en confus, je sens mes joues devenir
écarlates. Je ne sais que dire, voyant mon trouble il continu de plus belle. Tu as de
jolies lèvres et une belle bouche, as-tu déjà sucé un homme me demande t’il ? Je lui
balbutie que non. Ce n’est pas grave, il faut un début à tout, je vais t’apprendre.
Joignant les gestes à la parole il m’attire vers lui et m’embrasse tendrement sur les
lèvres. Au début par de petits baisers mais très vite sa langue cherche à aller plus loin.
Il force l’entrée de ma bouche et je sens sa langue virevolter en moi. Sous l’emprise
de je ne sais quoi, je sens des frissons et ma langue répond à ses assauts. Je n’ai
jamais embrassé ni été embrassé aussi fort, ce baiser à mi le feu en moi et je ne me
rend plus compte de rien. Je me laisse aller dans ses bras, je suis complètement
inconscient. Que fera t’il quand il s’apercevra que je suis homme.
Ses mains caressent mon dos puis descendent sur mes fesses, elles malaxent la
partie la plus charnue de mon anatomie. Denis continue à m’embrasser, entre deux
baisers il me parle doucement, me dit que je suis belle et qu’il va me faire découvrir le
plaisir et la jouissance.
Je suis incapable de réagir et il le sait. Tout à coup il me dit : met toi à genoux que je
commence ton éducation. Je me mets à genoux, il a déjà baissé son pantalon et son
slip et je me retrouve nez à nez avec son sexe. Je n’ai jamais rien vu de pareil, un sexe
long et large se dresse devant mon visage, je ne pensais pas que cela existe. Çà
c’est un belle grosse bite me dit il, tu n’en verras pas tout les jours. Tu vas te faire
dépuceler par une grosse queue et après tu ne pourras plus t’en passer. Denis pose
ses mains sur ma tête et l’approche de son sexe en me disant : suce moi les couilles,
lèche le de bas en haut, salive bien. Je m’applique à faire ce qu’il me demande du
mieux possible. Met le dans ta bouche et chatouille le avec ta langue, fais comme si tu
suçais une glace. J’essaie de faire de mon mieux, je l’entends respirer et suppose
qu’il apprécie. Petit à petit je m’enhardi, avale ce gros sexe et le fais tourner dans ma
bouche. La salive coule le long de sa tige, j’essai de la récupérer et je m’active à
continuer à le sucer. Tout compte fait cela à l’air relativement facile et plaisant. Je sens
ses mains sur ma tête qui resserrent leur étreinte et son bassin se met à onduler
d’avant en arrière. Je ne peux plus bouger et son sexe me pénètre de plus en plus fort
et profond. Il me dit que je suis une bonne petite salope, que j’ai de l’avenir, que je
serai une experte, qu’il m’éduquera, qu’il me débourrera tous mes trous, qu’il fera de
moi sa pute. Je n’en peux plus de se sexe qui me défonce la bouche, j’ai des haut le
cœur, je bave et la salive me coule sur le menton. Tout compte fait cela n’est plus
aussi plaisant. Denis gémit et continue de m’injurier. Il accélère encore la cadence, je
sens son gland et sa tige se durcir dans ma bouche, ses mains se crispent sur ma
tête, il la bloque et je sens un liquide chaud envahir ma bouche. Trois giclées viennent
s’écraser au fond de ma gorge, je vais m’étouffer. Il se retire et s’essuie sur mon
visage. Avale et nettoie moi me dit il en ne prenant par les cheveux. J’avale et suis
surpris par son goût et sa saveur chaude et sucrée. Je pense que c’est vraiment de la
liqueur d’amour. Il m’oblige à le lécher et à lui nettoyer sa queue redevenue molle
mais d’une taille conséquente.
Denis remonte son pantalon, se rhabille, me dit des mots tendres, me remercie et me
félicite pour ma prestation.
Il me dit qu’il doit voir des clients avec qui il a pris rendez vous, qu’il est sur le secteur
pour quelques jours, qu’il en a trouvé une bonne et qu’il aimerait poursuivre son
initiation. Qu’il lui faillait la totale. Il me donna rendez vous pour le lendemain après
m’avoir déposé un baiser sur les lèvres et mis la main au fesses.
Denis est parti en me laissant là avec mes interrogations. Il m’avait embrassé, baisé
la bouche, fait avalé son sperme et ne c’est pas rendu compte que je suis un homme.
Je ne savais plus où j’en étais. Est ce que j’étais homo, est ce que j’irais à ce rendez
vous ?
A suivre
J’avais juste 18 ans depuis quelques jours. L’année scolaire était enfin terminée et
j’allais enfin pouvoir prendre quelques jours de repos avant d’attaquer un petit boulot
chez un paysan du coin pour me faire un peu d’argent de poche.
J’habitais un petit village de la campagne bourguignonne et depuis quelques années,
j’étais pensionnaire dans un lycée à une vingtaine de kilomètres de chez mes parents.
Je ne connaissais rien à tout ce qui se rapportait au sexe, juste un petit flirt avec une
fille du lycée.
Physiquement j’étais déjà relativement grand 1.80 m, mince 70 kg cheveux noirs mi
long, yeux marrons verts, traits fins, imberbe. Ce qui entraîna qu’à plusieurs reprises
certaines personnes m’appelèrent Mademoiselle. A chaque fois je les reprenais par
un NON Monsieur.
En ce début d’après midi j’étais seul à la maison, habillé d’un short légèrement
moulant et d’un Tshort un peu ample. Par cette belle journée, je m’apprêtais à aller
faire un tour à la rivière histoire de me rafraîchir.
Soudain, la sonnette de l’entrée me fait sursauter. Je vais ouvrir et un homme d’une
quarantaine d’années est debout devant la porte. Grand, brun, yeux bleus, chemise
légèrement ouverte, il me salue par un grand "bonjour Mademoiselle". Je ne le reprend
pas, peut être par effet de surprise et lui répond par un petit "bonjour Monsieur" tout
timide.
Il se présente, je suis Denis …, commercial pour les éditions …, est ce que vos
parents sont là ?
Je lui répond que non, que je suis seul et qu’ils ne rentreront pas avant la fin de l’après
midi. Avec un grand sourire, il me demande si il peut entrer pour me montrer ce qu’il
vend et pour me laisser une brochure et un tarif à donner à mes parents. N’y voyant
pas de mal, je le fait entrer jusqu’au salon.
Là, il commence à me sortir quelques livres et encyclopédies tout en me faisant des
compliments sur ma ligne et mes jambes. Gêné en confus, je sens mes joues devenir
écarlates. Je ne sais que dire, voyant mon trouble il continu de plus belle. Tu as de
jolies lèvres et une belle bouche, as-tu déjà sucé un homme me demande t’il ? Je lui
balbutie que non. Ce n’est pas grave, il faut un début à tout, je vais t’apprendre.
Joignant les gestes à la parole il m’attire vers lui et m’embrasse tendrement sur les
lèvres. Au début par de petits baisers mais très vite sa langue cherche à aller plus loin.
Il force l’entrée de ma bouche et je sens sa langue virevolter en moi. Sous l’emprise
de je ne sais quoi, je sens des frissons et ma langue répond à ses assauts. Je n’ai
jamais embrassé ni été embrassé aussi fort, ce baiser à mi le feu en moi et je ne me
rend plus compte de rien. Je me laisse aller dans ses bras, je suis complètement
inconscient. Que fera t’il quand il s’apercevra que je suis homme.
Ses mains caressent mon dos puis descendent sur mes fesses, elles malaxent la
partie la plus charnue de mon anatomie. Denis continue à m’embrasser, entre deux
baisers il me parle doucement, me dit que je suis belle et qu’il va me faire découvrir le
plaisir et la jouissance.
Je suis incapable de réagir et il le sait. Tout à coup il me dit : met toi à genoux que je
commence ton éducation. Je me mets à genoux, il a déjà baissé son pantalon et son
slip et je me retrouve nez à nez avec son sexe. Je n’ai jamais rien vu de pareil, un sexe
long et large se dresse devant mon visage, je ne pensais pas que cela existe. Çà
c’est un belle grosse bite me dit il, tu n’en verras pas tout les jours. Tu vas te faire
dépuceler par une grosse queue et après tu ne pourras plus t’en passer. Denis pose
ses mains sur ma tête et l’approche de son sexe en me disant : suce moi les couilles,
lèche le de bas en haut, salive bien. Je m’applique à faire ce qu’il me demande du
mieux possible. Met le dans ta bouche et chatouille le avec ta langue, fais comme si tu
suçais une glace. J’essaie de faire de mon mieux, je l’entends respirer et suppose
qu’il apprécie. Petit à petit je m’enhardi, avale ce gros sexe et le fais tourner dans ma
bouche. La salive coule le long de sa tige, j’essai de la récupérer et je m’active à
continuer à le sucer. Tout compte fait cela à l’air relativement facile et plaisant. Je sens
ses mains sur ma tête qui resserrent leur étreinte et son bassin se met à onduler
d’avant en arrière. Je ne peux plus bouger et son sexe me pénètre de plus en plus fort
et profond. Il me dit que je suis une bonne petite salope, que j’ai de l’avenir, que je
serai une experte, qu’il m’éduquera, qu’il me débourrera tous mes trous, qu’il fera de
moi sa pute. Je n’en peux plus de se sexe qui me défonce la bouche, j’ai des haut le
cœur, je bave et la salive me coule sur le menton. Tout compte fait cela n’est plus
aussi plaisant. Denis gémit et continue de m’injurier. Il accélère encore la cadence, je
sens son gland et sa tige se durcir dans ma bouche, ses mains se crispent sur ma
tête, il la bloque et je sens un liquide chaud envahir ma bouche. Trois giclées viennent
s’écraser au fond de ma gorge, je vais m’étouffer. Il se retire et s’essuie sur mon
visage. Avale et nettoie moi me dit il en ne prenant par les cheveux. J’avale et suis
surpris par son goût et sa saveur chaude et sucrée. Je pense que c’est vraiment de la
liqueur d’amour. Il m’oblige à le lécher et à lui nettoyer sa queue redevenue molle
mais d’une taille conséquente.
Denis remonte son pantalon, se rhabille, me dit des mots tendres, me remercie et me
félicite pour ma prestation.
Il me dit qu’il doit voir des clients avec qui il a pris rendez vous, qu’il est sur le secteur
pour quelques jours, qu’il en a trouvé une bonne et qu’il aimerait poursuivre son
initiation. Qu’il lui faillait la totale. Il me donna rendez vous pour le lendemain après
m’avoir déposé un baiser sur les lèvres et mis la main au fesses.
Denis est parti en me laissant là avec mes interrogations. Il m’avait embrassé, baisé
la bouche, fait avalé son sperme et ne c’est pas rendu compte que je suis un homme.
Je ne savais plus où j’en étais. Est ce que j’étais homo, est ce que j’irais à ce rendez
vous ?
A suivre
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Carole2
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...