Premiers pas dans la soumission - histoire érotique

<p>Je m'appelle Lisa, j'ai 23 ans.
J'ai partagé pendant 4 ans la vie d'un homme de dix ans mon ainé, avec qui j'ai vécu une très belle histoire d'amour, sans pourtant jamais être pleinement épanouie sexuellement.
L'année dernière, alors que je m'étais presque résignée à garder à l"état de fantasmes mes envies sexuelles grandissantes, une nouvelle rencontre à bouleversé ma vie. Un homme viril, puissant, magnifique... et ayant d'énormes besoins sexuels.
Au début, je me contentais de vivre pleinement cette relation, m'abandonnant au sexe et découvrant progressivement à quel point j'aimais ça. Nous faisions l'amour plusieurs fois par jour, parfois tendrement, parfois violemment. Il était insatiable. Plus le temps passait, plus je me découvrais chienne..
Nous parlions beaucoup de sexe, de nos envies, de nos fantasmes. Jusqu'à ce que je me sente suffisamment en confiance pour lui parler de mes envie de soumission.

Pendant un moment, nous ne faisions qu'en parler, pimentant d'images obscènes sussurées nos ébats. Et puis à force d'en parler, ce qui devait arriver arriva.

Un jour de juin, nous devions traverser la France en voiture pour nous rendre à une manifestation sportive. Nous avions convenu que toute cette journée, je devrais lui appartenir, lui obéir en tout. Terriblement excitée par cette perspective, c'est presque timide que je pris place sur le siège passager. Tête basse, absence de sous-vêtements, jupe vaporeuse, sextoy dans mon sac à main posé à mes pieds.
Nous ne parlions pas. Nous étions autres, rentrant peu à peu dans nos personnages.
J'étais prête à tout pour lui procurer du plaisir, plongeant avec volupté dans cet oubli de soit.

Il commença par m'ignorer, me laissant espérer des gestes ou des paroles qui ne venait pas, torturant mon imagination. Puis, au détour d'un changement de vitesse, sa main vient enfin effleurer mon genoux, puis l'intérieur de mes cuisses. Doucement, il remonte jusqu'à mon sexe, qu'il à lui même rasée le matin même. Constatant son humidité, il s'y attarde quelques secondes, avant de me lacher:

-"quelle salope, déjà si humide... tu aimerai bien que je te baise, là, maintenant , n'est-ce pas ?"

J'en meurs d'envie, mais n'ose pas répondre.

-"réponds, chienne ! répond à ton maitre quand il te parle !"
Et sur ces mots, il m'assène une claque du plat de la main sur le clitoris.

-"oui, j'aimerai que tu me baises, j'en crève d'envie,j'ai besoin de ta bite dans ma chatte..."

-"Vouvoies moi, salope ! Pour qui te prends tu ?"
Et de nouveau, une claque sur le clito.

Je me confond en excuses, en le vouvoyant bien sur, je suis plus excitée que jamais et commence à me caresser.

"qui t'a dit de te caresser ? Tu vas devoir apprendre à te comporter correctement... Tu demandes l'autorisation pour tout, tu réponds avec respect. Viens me sucer."

Je m'exécute immédiatement, désireuse de lui témoigner de la bonne volonté. Je me penche sur le côté, ouvre les boutons de son pantalon et commence à embrasser sa bite gonflée à travers son caleçon. Je l'embrasse, le mordille. Fais durer le plaisir. Puis doucement, je dégage sa bite de son caleçon et l'enfonce dans ma bouche. C'est la première fois que je suce un homme dans une voiture, et qui roule en plus ! Nous sommes alors sur l'autoroute, et je ne peut n'empêcher de penser aux chauffeurs de camions que nous ne manquons pas de croiser, et à ceux d'entre eux qui ne manqueront pas de remarquer mes activités. Surprenant un de mes coups d'œil sur la route, mon ami m'enfonce la tête plus profondément sur son sexe.

-"concentre toi"

De mes cheveux, sa main court le long de mon dos, puis sur mes fesses. Doucement, il remonte ma jupe jusqu'au bas de mon dos, dévoilant mes fesses à tout véhicule surélevé que nous pourrions croiser..

-"ça t'excite, hein ? Que des hommes puisse voir ton cul ? Qu'ils voient quelle genre de chienne tu es ?

Je ne réponds pas, j'ai la bouche pleine et je suis une chienne bien élevée. Je m'applique à le sucer du mieux que je peux. Quand je commence à percevoir ses râles, je sais que je suis proche du but. Je m'active encore plus, montant et descendant avec voracité le long de sa bite. Ma salive recouvre sa tige, ma mâchoire me fait mal, mais je sais que je n'ai pas le droit de m'arrêter tant qu'il n'est pas satisfait.
Enfin, il jouit. Je prends soin de bien tout avaler.
Je me redresse, m'essuie le coin de la bouche.

-"c'est bien, tu as été obéissante. Prends ton vibro, caresse toi"

Satisfaite du travaille accompli, je me redresse sur mon siège, et sans dire un mot, commence à me caresser...



(à suivre...)

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