Premiers trios
Récit érotique écrit par Nanou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-06-2006 dans la catégorie Plus on est
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Premiers trios
<p>Comme je l'avais promis, voici, enfin, le récit de ma première expérience avec 2 hommes, qui s'est déroulée sur 2 ans. Je crois que Bernard a déjà écrit ce récit, mais j'avais envie de le raconter à ma manière. Donc, ne vous étonnez pas.
Le camp de naturistes que nous fréquentons régulièrement est situé au bord d'une rivière. Notre habitude est de nous éloigner des endroits les plus fréquentés pour être tranquille. Les coins isolés ne manquent pas et nous trouvons toujours un endroit où nous sommes seuls.
Cet été-là mon mari me fait part qu'il est certain que quelqu'un (un homme) nous épie et même nous photographie. Malgré ma surprise, car je ne vois pas l'intérêt du fait de notre nudité continuelle, cette information m'excite vivement. Aussi, quand Bernard me propose de me dévoiler plus, en épilant totalement mon minou, je proteste pour la forme. Je lui dis que je n'aime pas le rasage, que les gens que nous connaissons vont se poser des questions.
En fait, je sais très bien qu'il va me dire que je ne serai pas la seule, que les naturistes ont l'esprit ouvert, que le rasage n'est pas la seule méthode.
De fait, le soir même nous allons dans les douches pour qu'il m'épile avec la crème dépilatoire que j'utilise pour les aisselles et le maillot. De retour dans notre tente, il est tellement excité, que nous faisons l'amour.
Le lendemain, il va surprendre notre voyeur, qui est équipé d'un appareil photo. Dès qu'il arrive en face moi, je sais qu'il va se passer quelque chose. Nous nous présentons. Philippe est un adepte des photos volées, il sélectionne ses cibles en fonction de ses goûts et apparemment je suis à son goût, confidence qui me fait chaud au ventre.
Bernard fait asseoir Philippe en face de moi. Il a une vue imprenable sur ma chatte épilée et pleine de désir. Je lui demande s'il préfère me voir avec ou sans toison. Sa réponse est sans équivoque, il me préfère complètement nue, d'ailleurs à peine a-t-il répondu, qu'il commence à bander.
Je ne peux pas m'empêcher de tendre la main vers son sexe. Depuis que je connais mon mari, c'est le premier homme que je touche aussi intimement. Bernard commence à me caresser les seins, puis je me retrouve allongée, soumise aux caresses de ces deux hommes. Mes seins, mon ventre, mon clito, ma vulve, mes cuisses, je sens les quatre mains partout sur mon corps. Mon excitation grimpe très vite et l'envie d'être pénétrée arrive. Bernard se met sur le dos et je l'enfourche, son sexe pénètre le mien. Ma première intention est de faire une fellation à Philippe en même temps, mais cette situation inédite me donne une autre idée. Je me penche vers Bernard et je lui dis que j'ai envie que Philippe me sodomise, pourtant je ne suis pas une fana du sexe anal. Il me donne son accord.
Hélas, grosse déception, Philippe ne veut, car il n'a pas de préservatif. Je comprends sa décision et nous continuons quand même.
Je me couche sur le côté, pour que Bernard puisse venir dans mon petit trou. Je suis tellement excitée qu’il entre sans à-coup, Philippe me caresse le clito, puis il fait pénétrer ses doigts, ce qui me provoque un premier orgasme. Le sexe de Bernard va et vient dans mon anus, il accélère le rythme et quand il éjacule au fond de mon corps, je jouis à nouveau.
Ensuite, je me relève pour faire une fellation à Philippe, qui, le pauvre, est toujours dur comme du bois. Entre ma bouche et mes mains, il ne tarde pas à jouir à son tour.
Notre aventure ne s'est pas prolongée cette même année, car Philippe et sa compagne finissent leur séjour le soir même.
Heureusement, l'année d'après, nous nous rencontrons à nouveau rencontrés. Nous passons un week-end prolongé et Philippe a convaincu son épouse de passer leurs vacances au même endroit, dans l'espoir de nous revoir, avoue-t-il.
Il nous retrouve, alors que nous sommes allongés, entrain de nous faire bronzer. Sa présence me rappelle notre aventure de l'année précédente.
De plus, il s'est épilé totalement, pour faire comme moi. Cette année, mon buisson est taillé court, mais je me souviens de cette période où j'étais totalement nue et j'avoue que le fait de me montrer à tout le monde, comme cela, a été très excitant. Ce souvenir me fait chaud dans le bas-ventre. Avec le recul, je pense que cette expérience de me montrer totalement épilée devant des inconnus et des gens que nous connaissons (certains étaient presque des amis) m’a fait découvrir mon exhibitionnisme latent.
Philippe s'assoit en face de moi. Durant notre conversation, son regard se dirige souvent vers mon bas-ventre et il commence à bander. Bernard m'incite à le caresser. Une caresse en entraînant une autre, les deux hommes se retrouvent la tige bien droite et dure. Et moi, je suis excitée comme jamais. Comme l'année précédente, Bernard s'allonge sur la serviette et m'attire sur lui. D'ailleurs, je le soupçonne fortement de s'être aperçu que Philippe a une capote prête à l'usage. Car quand je me relève pour le caresser manuellement (ou buccalement), il est en train de finir d'enfiler son préservatif. Il caresse mes seins d'une main, il dirige l'autre dans mon dos, puis sur mon postérieur. Je me baisse vers la poitrine de mon mari. Philippe passe une de ses mains entre mes fesses, puis il pénètre mon anus avec un doigt, puis certainement deux. Ensuite, je le sens s’installer derrière moi. Il pose son sexe sur mon œillet et petit à petit, il s’introduit en moi. Mon excitation est telle, que la pénétration se passe sans difficulté, ni douleur, au contraire. Quand son bas-ventre touche mes fesses, il commence son va-et-vient dans mon cul. Cette sensation d’être remplie partout entraîne une jouissance fantastique chez moi. Je n’ai pas un seul orgasme, mais 2,3… Je ne sais plus.
Quand Philippe se retire après avoir joui, c'est moi qui bouge sur mon mari pour le faire jouir à son tour. Son éjaculation me déclenche encore un orgasme, et il me faut quelque temps pour reprendre mes esprits.
Le soir, Philippe nous invite à boire l'apéritif avec sa femme Dominique. C'est à cette soirée, que nous apprenons que Domi et Philippe fréquentent un club libertin. Par contre s'ils sont adeptes de l'exhibition et du mélangisme, ils n'ont pas encore essayé l'échangisme. Apparemment, Domi n'est pas franchement pour, surtout vis-à-vis de Philippe (qui n'a pas dû lui parler de notre après-midi.)
Cette soirée a été le début de nos relations. L'année d'après, nous avons passé une partie de nos vacances ensemble. Domi nous a démontré qu'elle a l'esprit plus ouvert que ne laissaient supposer leurs confidences de cette première rencontre. Nous avons partagé nos hommes, de toutes les manières possibles.
Mais, cela est une autre histoire que je ne manquerai pas de raconter
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Le camp de naturistes que nous fréquentons régulièrement est situé au bord d'une rivière. Notre habitude est de nous éloigner des endroits les plus fréquentés pour être tranquille. Les coins isolés ne manquent pas et nous trouvons toujours un endroit où nous sommes seuls.
Cet été-là mon mari me fait part qu'il est certain que quelqu'un (un homme) nous épie et même nous photographie. Malgré ma surprise, car je ne vois pas l'intérêt du fait de notre nudité continuelle, cette information m'excite vivement. Aussi, quand Bernard me propose de me dévoiler plus, en épilant totalement mon minou, je proteste pour la forme. Je lui dis que je n'aime pas le rasage, que les gens que nous connaissons vont se poser des questions.
En fait, je sais très bien qu'il va me dire que je ne serai pas la seule, que les naturistes ont l'esprit ouvert, que le rasage n'est pas la seule méthode.
De fait, le soir même nous allons dans les douches pour qu'il m'épile avec la crème dépilatoire que j'utilise pour les aisselles et le maillot. De retour dans notre tente, il est tellement excité, que nous faisons l'amour.
Le lendemain, il va surprendre notre voyeur, qui est équipé d'un appareil photo. Dès qu'il arrive en face moi, je sais qu'il va se passer quelque chose. Nous nous présentons. Philippe est un adepte des photos volées, il sélectionne ses cibles en fonction de ses goûts et apparemment je suis à son goût, confidence qui me fait chaud au ventre.
Bernard fait asseoir Philippe en face de moi. Il a une vue imprenable sur ma chatte épilée et pleine de désir. Je lui demande s'il préfère me voir avec ou sans toison. Sa réponse est sans équivoque, il me préfère complètement nue, d'ailleurs à peine a-t-il répondu, qu'il commence à bander.
Je ne peux pas m'empêcher de tendre la main vers son sexe. Depuis que je connais mon mari, c'est le premier homme que je touche aussi intimement. Bernard commence à me caresser les seins, puis je me retrouve allongée, soumise aux caresses de ces deux hommes. Mes seins, mon ventre, mon clito, ma vulve, mes cuisses, je sens les quatre mains partout sur mon corps. Mon excitation grimpe très vite et l'envie d'être pénétrée arrive. Bernard se met sur le dos et je l'enfourche, son sexe pénètre le mien. Ma première intention est de faire une fellation à Philippe en même temps, mais cette situation inédite me donne une autre idée. Je me penche vers Bernard et je lui dis que j'ai envie que Philippe me sodomise, pourtant je ne suis pas une fana du sexe anal. Il me donne son accord.
Hélas, grosse déception, Philippe ne veut, car il n'a pas de préservatif. Je comprends sa décision et nous continuons quand même.
Je me couche sur le côté, pour que Bernard puisse venir dans mon petit trou. Je suis tellement excitée qu’il entre sans à-coup, Philippe me caresse le clito, puis il fait pénétrer ses doigts, ce qui me provoque un premier orgasme. Le sexe de Bernard va et vient dans mon anus, il accélère le rythme et quand il éjacule au fond de mon corps, je jouis à nouveau.
Ensuite, je me relève pour faire une fellation à Philippe, qui, le pauvre, est toujours dur comme du bois. Entre ma bouche et mes mains, il ne tarde pas à jouir à son tour.
Notre aventure ne s'est pas prolongée cette même année, car Philippe et sa compagne finissent leur séjour le soir même.
Heureusement, l'année d'après, nous nous rencontrons à nouveau rencontrés. Nous passons un week-end prolongé et Philippe a convaincu son épouse de passer leurs vacances au même endroit, dans l'espoir de nous revoir, avoue-t-il.
Il nous retrouve, alors que nous sommes allongés, entrain de nous faire bronzer. Sa présence me rappelle notre aventure de l'année précédente.
De plus, il s'est épilé totalement, pour faire comme moi. Cette année, mon buisson est taillé court, mais je me souviens de cette période où j'étais totalement nue et j'avoue que le fait de me montrer à tout le monde, comme cela, a été très excitant. Ce souvenir me fait chaud dans le bas-ventre. Avec le recul, je pense que cette expérience de me montrer totalement épilée devant des inconnus et des gens que nous connaissons (certains étaient presque des amis) m’a fait découvrir mon exhibitionnisme latent.
Philippe s'assoit en face de moi. Durant notre conversation, son regard se dirige souvent vers mon bas-ventre et il commence à bander. Bernard m'incite à le caresser. Une caresse en entraînant une autre, les deux hommes se retrouvent la tige bien droite et dure. Et moi, je suis excitée comme jamais. Comme l'année précédente, Bernard s'allonge sur la serviette et m'attire sur lui. D'ailleurs, je le soupçonne fortement de s'être aperçu que Philippe a une capote prête à l'usage. Car quand je me relève pour le caresser manuellement (ou buccalement), il est en train de finir d'enfiler son préservatif. Il caresse mes seins d'une main, il dirige l'autre dans mon dos, puis sur mon postérieur. Je me baisse vers la poitrine de mon mari. Philippe passe une de ses mains entre mes fesses, puis il pénètre mon anus avec un doigt, puis certainement deux. Ensuite, je le sens s’installer derrière moi. Il pose son sexe sur mon œillet et petit à petit, il s’introduit en moi. Mon excitation est telle, que la pénétration se passe sans difficulté, ni douleur, au contraire. Quand son bas-ventre touche mes fesses, il commence son va-et-vient dans mon cul. Cette sensation d’être remplie partout entraîne une jouissance fantastique chez moi. Je n’ai pas un seul orgasme, mais 2,3… Je ne sais plus.
Quand Philippe se retire après avoir joui, c'est moi qui bouge sur mon mari pour le faire jouir à son tour. Son éjaculation me déclenche encore un orgasme, et il me faut quelque temps pour reprendre mes esprits.
Le soir, Philippe nous invite à boire l'apéritif avec sa femme Dominique. C'est à cette soirée, que nous apprenons que Domi et Philippe fréquentent un club libertin. Par contre s'ils sont adeptes de l'exhibition et du mélangisme, ils n'ont pas encore essayé l'échangisme. Apparemment, Domi n'est pas franchement pour, surtout vis-à-vis de Philippe (qui n'a pas dû lui parler de notre après-midi.)
Cette soirée a été le début de nos relations. L'année d'après, nous avons passé une partie de nos vacances ensemble. Domi nous a démontré qu'elle a l'esprit plus ouvert que ne laissaient supposer leurs confidences de cette première rencontre. Nous avons partagé nos hommes, de toutes les manières possibles.
Mais, cela est une autre histoire que je ne manquerai pas de raconter
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bonjour,
Je viens de découvrir six magnifiques histoires sur le site histoires de sexe.net
Situation étonnante ! J’ai connu une Nanou en cette époque (de son prénom Annette) Son mari ne s’appelait pas Bernard, mais il appréciait beaucoup de voir sa compagne prendre du plaisir avec un autre. C’est moi qui l’avais appelée Nanou. Ainsi que je leur disais, Annette c’est super chouette, mais Nanou c’est bien plus doux !
Je les ai connus en répondant à une annonce. Il cherchait un cadeau d’anniversaire pour elle. Je fus ce cadeau. Notre liaison a durée plusieurs mois. Et parce que des sentiments se sont installés entre elle et moi … La jalousie a contaminé son mari qui n’a pu se faire à l’idée qu’une femme pouvait être amoureuse de deux hommes !
Alors, pour préserver l’équilibre de leur couple, j’ai cessé cette relation.
Alors que j’étais en train de divorcer, ce fut une période de ma vie particulièrement heureuse et harmonieuse. J’ai retrouvé en vous lisant cette douceur libertine pleine de complicité qui permettait tant de plaisir sans prise de tête.
Le temps où vous avez écrit ces textes est un peu lointain, mais n’auriez-vous pas encore quelques belles histoires à nous conter ?
Belle fêtes de fin d’année et encore merci pour ces moments de bonheur à vous lire.
Gérard
Je viens de découvrir six magnifiques histoires sur le site histoires de sexe.net
Situation étonnante ! J’ai connu une Nanou en cette époque (de son prénom Annette) Son mari ne s’appelait pas Bernard, mais il appréciait beaucoup de voir sa compagne prendre du plaisir avec un autre. C’est moi qui l’avais appelée Nanou. Ainsi que je leur disais, Annette c’est super chouette, mais Nanou c’est bien plus doux !
Je les ai connus en répondant à une annonce. Il cherchait un cadeau d’anniversaire pour elle. Je fus ce cadeau. Notre liaison a durée plusieurs mois. Et parce que des sentiments se sont installés entre elle et moi … La jalousie a contaminé son mari qui n’a pu se faire à l’idée qu’une femme pouvait être amoureuse de deux hommes !
Alors, pour préserver l’équilibre de leur couple, j’ai cessé cette relation.
Alors que j’étais en train de divorcer, ce fut une période de ma vie particulièrement heureuse et harmonieuse. J’ai retrouvé en vous lisant cette douceur libertine pleine de complicité qui permettait tant de plaisir sans prise de tête.
Le temps où vous avez écrit ces textes est un peu lointain, mais n’auriez-vous pas encore quelques belles histoires à nous conter ?
Belle fêtes de fin d’année et encore merci pour ces moments de bonheur à vous lire.
Gérard