Pris à son propre jeu suite épisode 2
Récit érotique écrit par Tyran [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 4 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-05-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Pris à son propre jeu suite épisode 2
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
C'est au deuxième étage. Enlèves ta culotte et donnes la moi. Tu vas passer devant moi pour que je puisse reluquer ton cul.
Sans demander son reste, elle enlevait sa culotte et me la donnait puis commençait à monter les escaliers en dandinant du cul. J'entrevoyais une grosse moule aux lèvres charnues : Je savais que j'allais pas être à l'étroit là dedans!
Arrivé sur le palier je me mis derrière elle et je saisis sa chatte avec ma main et la crochetai aussitôt avec mes quatre doigts. Elle était inondée. Je glissai dans son oreille :
A partir de maintenant, ta chatte et ton cul m'appartiennent !
J'enfonçai mon pouce entièrement dans son cul si bien que j'empoignai sa chatte et son cul dans ma main, je l'entendis gémir, elle ne s'attendait pas à se faire dominer par un ptit jeune comme ça.
Allez avance ! tu vas ouvrir la porte, pendant que je fais de la place dans ton cul !
Surprise et vexée par mon audace, elle tenta de s'indigner sans trop de conviction en me disant :
Eh ! Doucement ! J'suis pas une Pute !
Je la tenais toujours par le sexe et l'anus puis d'un coup je saisis son sein gauche dans ma main, je tirai sur son téton et lui soufflai dans l'oreille :
Quand j'en aurai fini avec toi, t'envieras les putes Nath! Allez ! Ouvre la porte !
Décontenancée par mon assurance, Nath obéit et tourna la clé dans la serrure. Je la plaquai contre le mur du couloir et laissa la porte d'entrée grande ouverte sur les escaliers. Je commençai à fouiller sa chatte avec mes 4 doigts, elle coulait comme une fontaine! La vue de la cyprine qui giclait de cette énorme moule affamée me rendait dingue. Elle se tortillait en gémissant et me suppliait de fermer la porte, je lui répondis avec la plus grande assurance :
Le voisin d'en face est une vrai commère ! Il passe sa vie derrière l'oeilleton. Dès qu'il entend un bruit, il court jeter un œil pour voir ce qui se passe. Je vais te faire gueuler comme la chienne en rut que tu es Nath, pour lui offrir un beau spectacle!
Elle avait le regard ailleurs. Elle ne réagissais pas à ce que je venais de lui dire comme si elle n'avait pas compris le sens des mots que je prononçais. Sa respiration etait saccadée. Je sentais sa chatte se gonfler. Elle se tendit de tout son corps et se mit à hoqueter et soudain elle lâcha un vrai saut de cyprine en essayant autant que possible d'étouffer ses cris de jouissances dans la manche de sa veste! Je l'attrapai par la tignasse et lui montrai le bordel qu'elle avait foutu. Il y avait une vrai flaque de cyprine sur le carrelage. Je bandais tellement fort que le bout de mon gland dépassait légèrement de mon bas de survêtement. Le détail n'avait pas échappé à Nath qui se mit d'instinct à hauteur pour la prendre en bouche. Avant qu'elle n'eût le temps de saisir ma queue, je l'empoignai à nouveau par les cheveux et lui relevai la tête pour qu'elle me regarde dans les yeux tout en lui fichant une bonne baffe.
Crois pas que tu vas t'en tirer aussi simplement salope !
C'est au deuxième étage. Enlèves ta culotte et donnes la moi. Tu vas passer devant moi pour que je puisse reluquer ton cul.
Sans demander son reste, elle enlevait sa culotte et me la donnait puis commençait à monter les escaliers en dandinant du cul. J'entrevoyais une grosse moule aux lèvres charnues : Je savais que j'allais pas être à l'étroit là dedans!
Arrivé sur le palier je me mis derrière elle et je saisis sa chatte avec ma main et la crochetai aussitôt avec mes quatre doigts. Elle était inondée. Je glissai dans son oreille :
A partir de maintenant, ta chatte et ton cul m'appartiennent !
J'enfonçai mon pouce entièrement dans son cul si bien que j'empoignai sa chatte et son cul dans ma main, je l'entendis gémir, elle ne s'attendait pas à se faire dominer par un ptit jeune comme ça.
Allez avance ! tu vas ouvrir la porte, pendant que je fais de la place dans ton cul !
Surprise et vexée par mon audace, elle tenta de s'indigner sans trop de conviction en me disant :
Eh ! Doucement ! J'suis pas une Pute !
Je la tenais toujours par le sexe et l'anus puis d'un coup je saisis son sein gauche dans ma main, je tirai sur son téton et lui soufflai dans l'oreille :
Quand j'en aurai fini avec toi, t'envieras les putes Nath! Allez ! Ouvre la porte !
Décontenancée par mon assurance, Nath obéit et tourna la clé dans la serrure. Je la plaquai contre le mur du couloir et laissa la porte d'entrée grande ouverte sur les escaliers. Je commençai à fouiller sa chatte avec mes 4 doigts, elle coulait comme une fontaine! La vue de la cyprine qui giclait de cette énorme moule affamée me rendait dingue. Elle se tortillait en gémissant et me suppliait de fermer la porte, je lui répondis avec la plus grande assurance :
Le voisin d'en face est une vrai commère ! Il passe sa vie derrière l'oeilleton. Dès qu'il entend un bruit, il court jeter un œil pour voir ce qui se passe. Je vais te faire gueuler comme la chienne en rut que tu es Nath, pour lui offrir un beau spectacle!
Elle avait le regard ailleurs. Elle ne réagissais pas à ce que je venais de lui dire comme si elle n'avait pas compris le sens des mots que je prononçais. Sa respiration etait saccadée. Je sentais sa chatte se gonfler. Elle se tendit de tout son corps et se mit à hoqueter et soudain elle lâcha un vrai saut de cyprine en essayant autant que possible d'étouffer ses cris de jouissances dans la manche de sa veste! Je l'attrapai par la tignasse et lui montrai le bordel qu'elle avait foutu. Il y avait une vrai flaque de cyprine sur le carrelage. Je bandais tellement fort que le bout de mon gland dépassait légèrement de mon bas de survêtement. Le détail n'avait pas échappé à Nath qui se mit d'instinct à hauteur pour la prendre en bouche. Avant qu'elle n'eût le temps de saisir ma queue, je l'empoignai à nouveau par les cheveux et lui relevai la tête pour qu'elle me regarde dans les yeux tout en lui fichant une bonne baffe.
Crois pas que tu vas t'en tirer aussi simplement salope !
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