Pris en sandwich, récit homo - histoire érotique

Cette aventure s’est passée il y a quelques jours, pendant un déplacement professionnel dans une campagne reculée. J’avais une intervention à réaliser pour un client en plein pont du 8 Mai. Une fois ma tâche accomplie, je me retrouve dans un petit village calme pour 3 jours. Je trouve un petit hôtel de campagne qui fait office de restaurant également. Le soir venu, je décide de m’habiller simplement d’apparence avec un jean et un t-shirt en portant en dessous un porte-jarretelles, un string assorti, des bas et mes nouveaux escarpins à talons aiguilles Suadela. En arrivant au restaurant, le patron n’y prête guère attention, m’installe et me propose la carte. Je prends un apéritif et un homme seul arrive. Il semblait être habitué car dès qu’il fut assis, le patron lui amenait son apéritif sans avoir échangé de mots.
Je remarque que l’homme me jette des regards intrigués à plusieurs reprises. On était peu nombreux dans le restaurant, ainsi, une fois arrivé au café, l’homme me propose de le partager avec moi. On entame la discussion en traitant de sujets classiques et rapidement il glisse des allusions au sexe.
Il n’était pas très attirant, petit, brun, mal rasé, gros, la chemise ouverte largement, qui sentait fort. Bref, loin d’être un top model.
Au milieu de soirée il me propose de m’emmener faire un tour dans le village pour me « montrer les coins sympas ». J’accepte avec plaisir, cela peut être sympathique.
Tout en marchant, je baisse discrètement mon pantalon afin de faire apparaître mes dessous. Je jouais de la situation et en profitait pour me baisser dès que je pouvais.
Il est clair qu’il avait vu mon jeu et je le provoquais davantage. En s’appuyant au niveau de remparts, mon pantalon s’abaissait encore plus, laissant voir la quasi-totalité de mes fesses. Je lui dis que vu la fréquentation, une petite fellation à cet endroit passerait inaperçue. Je me retourne et le vois la bite à l’air en train de se caresser. Je me mets à genoux et commence à le sucer. Il a un sexe énorme, poilu et sentant l’urine. Il le ressort de ma bouche par moments pour me « gifler » avec. Il m’appuie sur la tête pour rentrer entièrement dans ma bouche. On entend des gens arriver, il se retire, referme son pantalon et commence à partir. Je le rejoins, les fesses à moitié à l’air et lui demande s’il veut finir ce qu’il a commencé. Il me jette comme une traînée. Je rentre à l’hôtel, m’installe dans ma chambre complètement excité. Je commence à me doigter mais ce n’est pas suffisant. Je décide de sortir le grand jeu, enfile une robe noire fendue jusqu’à la limite des fesses, une perruque brune et ressort. Je me promène féminisée à 23h dans un village que je ne connais pas.
Je ne rencontre pas grand monde dans le village, je passe près d’une sorte de discothèque où il n’y pas d’activités non plus. En revenant je passe près d’une petite place, un homme sort de sa voiture et se dirige vers une petite cabane reculée. Je m’en approche, c’est un homme assez grand, mince, la quarantaine, il me regarde et commence à se caresser. Il me propose d’en voir plus. Je lui dis de m’accompagner à mon hôtel, il accepte et on y va. Sur le chemin il me tripote un peu partout, il glisse ses doigts sous mon string etc. Il remarque des gens derrière et en profite pour me relever ma robe.
On arrive dans la chambre dans laquelle il commence à se déshabiller. Il me dit de danser pour lui. Pendant mon strip-tease, il prend une photo avec son téléphone qu’il envoie à un ami qui va nous rejoindre. Je m’approche de lui, commence à le sucer pendant qu’il est allongé sur mon lit. Il appuie sur ma tête pour s’enfoncer le plus possible. Son sexe bien proportionné rentre entièrement dans ma bouche au point de sentir ses boules me percuter le visage. Il s’arrête, me dit de me mettre à quatre pattes, il enfile une capote et commence à me doigter. Il commence à me pénétrer progressivement, il rentre petit à petit jusqu’à arriver au fond, il ressort pour rentrer à nouveau mais plus violemment. Je commence à prendre du plaisir, la robe remontée sur le dos, le string écarté, il me tient par un des talons pour m’écarter les jambes à sa convenance. Je sens que je deviens juste un vide couilles et ça me plait. Il reçoit un appel de son ami qui est en bas de l’hôtel. Il se retire en me laissant dans cette position, sort en laissant la porte ouverte et revient avec un son ami. Ils se déshabillent chacun, mon premier amant reprend son travail pendant que son ami me pénètre la bouche. Ils parlent de moi comme si je n’étais pas là. Je ne suis qu’un jouet pour eux. Mon second amant à un sexe bien plus gros, je redoute le moment où il va me sodomiser. Il dépasse les 20cm de long et fait bien 6cm de diamètre. Il n’arrive pas à rentrer entièrement dans ma bouche. Ils décident de changer de position et par la même occasion me mettent sur le dos. Mon premier amant me fait une gorge profonde pendant que le second va pour me pénétrer après avoir mis sa capote et dit : « mais elle a une queue, salope, je croyais que t’étais une chienne, sale pd ! Bon un trou reste un trou… » Il commence à me sodomiser sauvagement, j’ai mon pied sur son épaule, me prenant des claques sur les fesses par moments avec 2 bites en moi. Mon premier amant éjacule sur mon visage et ma robe sa semence. Je finis en léchant les dernières gouttes sur son sexe. Le second se retire, retire sa capote et me baise la bouche. Il s’arrête dans ma bouche et je sens son liquide chaud le long de ma gorge.
Il se retire et essuie son filet de sperme sur ma robe. Ils se rhabillent en discutant de foot, me disent de retirer ma robe. Je me retrouve en sous-vêtement, ils prennent ma clef et me disent que je la récupère une fois arrivé à leur voiture dans cette tenue.
Bien qu’on passait par les ruelles les mieux éclairées, on ne croisait personne sur le chemin. Une fois à leur voiture, ils me rendent la clef de ma chambre et je rentre.
Encore une fois, personne sur la route, j’ai de la chance. J’arrive à ma chambre, je vois ma robe souillée, je ma tête dans les semences et je commence à lécher. Je m’endors enfin sur mon lit avec cette satisfaction d’une bonne baise.