prise dans un sex xhop - histoire érotique

Prise dans un sex-shop
Depuis longtemps, Mico me parlait de sexe toys et de son envie d’en avoir un ou deux ; nous avions regardé sur internet, mais cela n’avait pas accroché. Lors d’un déplacement, nous avons trouvé un sex-shop, à notre convenance ; pas le super marché du sexe, mais un magasin plus petit et plus discret et à priori bien fourni ; sans but bien défini, nous nous sommes promenés dans les rayons ; certains articles ont retenu notre attention, mais indécis, nous avons continué et sommes descendu dans le demi-étage plus particulièrement destiné aux objets de soumission. Soutien gorge cuir, ceinture de chasteté, menottes, cravache et divers fouets ; chaque objet est prétexte à commentaire et j’avoue que je commence à ressentir la douce chaleur de l’envie ; un coup d’œil autour, nous sommes seuls et je soulève la jupe et infiltre un doigt sous le string ; je ne suis pas le seul excité ; sa chatte est mouillée, même si elle est un peu gênée par la possibilité d’être surprise, elle n’en écarte pas moins les jambes et je peux la branler ; très vite elle gémit et son bassin s’avance sur mes doigts ; j’essaie d’aller le plus loin possible et je la fouille sans ménagement ; très vite elle jouit et se mord les lèvres, trop tard son cri résonne dans la pièce ; elle se rajuste et nous remontons ; au comptoir un asiatique nous regarde en souriant, et je découvre qu’il a tout vu sur sa caméra de surveillance ; je ne dis rien à Mico et quand il nous propose de nous conseiller, j’accepte au grand étonnement de ma petite femme ; c’est d’abord à la vitrine des gods qu’il nous emmène, il nous explique chaque modèle, mais je constate qu’il serre Mico de près et que sa main vient parfois lui effleurer les fesses ; je joue le jeu et je la caresse ouvertement ; je sens Mico sur la défensive et je l’embrasse ; il dépose plusieurs gods sur la table et nous laisse les toucher et se place derrière elle ; à la réaction de Mico je sais qu’il ne reste pas inactif ; en effet, voyant que je ne dis rien, il a relevé la jupe et ses doigts s’activent ; il doit bien s’y prendre car Mico gémit, écarte les jambes et recule son fessier vers la main bienfaitrice ; elle grogne de plaisir et pour la deuxième fois son plaisir la submerge . il nous demande alors si nous connaissons les boules de geishas et sans attendre il en sort une paire ; leur contact est surprenant ; c’est le choc des deux boules dans le vagin qui provoque la jouissance ; ce modèle n’est pas cher et plaisir garanti ; nous décidons de les prendre et Mico demande la façon de bien les mettre ; sa réponse est rapide : « «si vous voulez, je vais vous les mettre « et avec son accord, il relève la jupe, écarte le string et écarte les lèvres encore pleine de cyprine ; ses doigts pénètrent dans la chatte, jouent un peu dedans et il enfile les deux boules les vibrations quand elle bouge se propagent et la réaction est immédiate ; Mico frémit et ferme ses yeux de plaisir.
La sonnette de la porte nous surprend et notre vendeur nous propose de venir à la fermeture ; nous pourrons alors voir d’autres objets en toute tranquillité. Nous ne répondons pas et après réglé notre achat, nous quittons la boutique ;Nous reprenons notre ballade, Mico est tendue, et quand je lui demande ce qui ce passe, elle me dit que les boules , en s’entrechoquant, ne cessent de lui déclencher des ondes de plaisir et qu’ elle ne va pas pouvoir se retenir ; j’ai envie de jouir, aide moi ; une petite ruelle est à coté, nous la prenons , et comme deux amoureux, je l’enlace, mais je lui pince les mamelons ; sa jouissance se déclenche, ses jambes flageolent et son cri s’étouffe sur mes lèvres. Un arrêt dans un bar lui permette de se reprendre, mais aussi d’ôter son toy ; pour l’instant.
Fin d’après midi, nous prenons un café quand Mico se rend aux toilettes ; à son retour, un sourire éclaire son visage ; « on finit nos achats et on rentre « devant mon étonnement, elle me met discrètement la main entre ses cuisses et je touche le petit cordon ; elle a remis les boules et je comprends que nos achats sont d’ordre sextoys ; cela ne me déplait pas bien au contraire ; quand nous arrivons, il y a plusieurs personnes et tranquillement nous choisissons plusieurs articles, aussi bien pour elle, que pour moi ; cela nous promet de joyeuses soirées. Lors du règlement, un homme d’origine africaine prend un jeton et descend sans un regard ; il reste encore un client et notre vendeur nous propose de l’attendre 5 mm ; en attendant nous dit-il la salle ciné est ouverte ; « la salle « est en réalité une petite pièce, avec quatre ou cinq sièges devant un écran ; à l’intérieur, nous découvrons l’homme au jeton ; affalé sur un siège, il regarde le film en se branlant ; notre arrivée ne le gène pas ;j’hésite à rentrer, mais le regard de Mico vers le sexe bandé, me fait souvenir que Mico doit être excitée par ses boules ; finalement, nous prenons place et relevant la jupe, je lui caresse le pubis, son petit clito est bientôt entre mes doigts et je le triture ; elle a écarté ses cuisses et je pense que notre voisin ne perd rien du spectacle ; j’ai écarté le bord du string et je découvre ses petites lèvres rosées ;notre voisin s’est rapproché et continue sa branlette ; sa queue est énorme, longue (elle dépasse de la main qui la branle), épaisse, le gland turgescent ; retirant les boules, je les porte à me lèvres ; elles sont pleines de jute ;je tourne un peu le fauteuil, mettent sa chatte face à lui et relevant ses genoux, j’ouvre le triangle ; il hésite, puis devant l’invite de cette vulve béante, il se chausse d’une capote et présente son vit ;malgré son excitation, Mico n’est pas assez ouverte, et quand il s’enfonce, elle ne peut réprimer un cri de douleur ; il n’en tient pas compte et pousse de toutes ses forces ; Mico grimace, mais il est enfin complètement rentré, et il commence à la pilonner ; aucune douceur, il la baise sans ménagement ; pour lui l’occasion est trop belle et il prend son pied sans tenir compte de ce trou qu’il pénètre ; cette bestialité est loin de déplaire à Mico et sous l’effet de ce puissant pieu, son plaisir monte, monte et quand il se retire et verse son jus sur son ventre , elle se cambre et laisse exploser son plaisir ; comme un voleur, il se sauve ; j’ai la trique et j’investis sa chatte; elle est tellement dilatée que j’ai l’impression de « nager » et pourtant je suis loin d’avoir un petit membre ;de plus je baigne dans sa cyprine ; malgré tout je ne tarde pas à jouir et répand mon sperme dans ses entrailles.
Je me rajuste, et j’entends Mico me dire « j’aimerais être attachée et prise ainsi, tu me le feras ?je n’ai pas le temps de répondre car vient d’arriver notre vendeur, la bosse dans son pantalon est évocatrice et je suppose qu’il a tout vu par le réseau de surveillance ; Mico a encre le sexe découvert, et il lorgne franchement dessus. Il a entendu ce qu’elle m’a dit et la prenant par la main, il nous emmène dans la pièce où trônent les engins de torture ; il décroche une paire de menottes et la passant autour du pied d’une table, il lui attache les poignets ; surprise, elle panique un peu et se retrouve avec un sexe devant les lèvres ; prisonnière, elle me regarde désespérément « tu voulais , tu y es » , « espèce de salaud, c’est avec toi que je voulais » ; elle ne peut en dire plus car il la force à avaler sa queue ; elle est plus fine et c’est sans difficulté qu’il se branle entre ses lèvres ; la tête entre ses mains ,elle est obligée de le sucer ; elle ne se débat plus, bien au contraire et quand il se retire, un oh non de dépit que l’on entend ; il se positionne derrière elle et lui enduit le sillon de gel « non pas par là, pas mon cul » c’est à mon tour de lui planter ma queue dans la bouche, « laisse toi faire, de toute façon tu vas aimer ; il tourne son gland encapuchonné, enduit de gel sur l’anneau ; elle se débat , mais ne peut fuir la pénétration et quand son gland lui troue le cul, la douleur la transperce et quittant ma queue, elle crie son mal ; je ne la laisse pas et je plaque à nouveau la queue ; elle se débat , mais rien n’y fait, empalée des deux bouts, elle ne peut résister ; je sens que je vais jouir et la maintenant bien au fond, je lui largue ma giclée de sperme ; c’est le début de sa jouissance, maintenant libérée de mon emprise, elle râle sous le assauts dans son cul ; il se cabre et bruyamment , se retire et vient juter sur son visage ; ma langue lui nettoie le visage et dans un dernier baiser, nous échangeons le collant liquide ;
Pour la remercier de lui avoir donné du plaisir, ainsi qu’à son copain, il lui laisse une main emprisonnée par la menotte ; ce sera un souvenir dit-il, je te la donne. Et c’est ainsi qu’elle est rentrée à l’hôtel, cachant le souvenir de sa soumission ; inutile de vous dire que la suite est tout aussi mouvementée ;
A suivre