Séjour libertin - suite et fin - histoire érotique

Mico a dormi comme une souche et je dois la réveiller pour le petit déjeuner ; elle s’étire et la folle nuit revient à son esprit et à son corps ; sa chatte et son cul sont sensibles tant ils ont été perforés ; doucement nous évoquons cette soirée ; la sentant un peu bloquée , je lui caresse doucement les seins en lui assurant du plaisir que j’ai pris en la voyant jouir sous les multiples possessions ; peu à peu elle se détend et enfin exprime ses sensations.
Elle se love contre moi et reconnait le plaisir « si tu savais combien j’ai jouis tout au long de la soirée, surtout à la première double pénétration » je lui dis que c’est moi qui lui ai pris le cul « tant mieux, mais quand je t’ai vu te faire sucer, j’ai d’abord été jalouse puis ensuite cela m’a stimulé » je lui dis que pendant qu’ elle se faisait baiser, j’avais enculée une voisine « vieux salaud tu as été prendre ton pied pendant qu’on me violait » elle s’assoie sur mon ventre et s’occupe de ma queue ; celle-ci ne tarde pas à grossir et elle la rentre dans son ventre ; elle grimace, puis peu à peu sa chatte s’humidifie « j’avais envie d’avoir de nombreux sexes en moi, d’être une petite salope, d’ouvrir mes trous à des inconnus, je sais que pour ces mecs , je suis une pute, mais je ne regrette rien et si cela se représente je le recommencerais , si tu es d’accord ». Je lui avoue mon plaisir à la voir se faire prendre ainsi et que je l’envie, et que suis d’accord pour le refaire ; l’envie remplace les paroles et Mico imprime le rythme et me chevauche avec ardeur ; à grand coup de rein je la pilonne et rapidement notre plaisir nous submerge et nos jus se mélangent dans son sexe ; épanoui, elle s’affale contre moi « je suis heureuse ».
Comme prévu Alain vient nous chercher et nous demande notre programme ; un bon restaurant à ton choix, nous verrons ensuite. Le restaurant est intime, chaud et Alain choisit un petit box à l’écart ; tant mieux nous pourrons ainsi discuter tranquillement ; Mico s’installe ente nous, épanouie, joyeuse et il l’a complimente encore pour la soirée ; je pense qu’elle en est fière ; notre conversation reste sur le sujet et nous évoquons ensemble notre parcours et nos expériences ; Alain évoque la sienne, célibataire et joyeux libertin prêt à toutes les expériences
« Tu es bisexuel ? » c’est Mico ; la phrase me surprend et je sens sa main sur ma cuisse ; la réponse est claire
« Oui à condition que les circonstances s’y prêtent et que l’homme me plait »
« J’aimerais voir mon homme pris par un autre, il m’a raconté ses aventures mais je ne l’ai jamais vu » en même temps elle serre ses doigts, « et toi mon cœur tu aimerais ? »
« Bien sur et tu le sais ; comme toi j’aime me livrer devant toi, mais ce n’est pas facile car toi tu ne serais pas accepter dans un club homo »
« À paris c’est possible dans certains clubs » c’est Alain qui a pris la parole, « si vous voulez, nous pourrons y aller dans la soirée, simplement Mico devra être discrète » ; la tension est plus grande ; j’ai la queue tendue et l’envie me chauffe les entrailles. Maintenant Mico une main sur ses deux hommes et fière de son charme elle mène le jeu
« J’ai envie de repasser à l’hôtel avant d’aller au club » sur le moment j’ai pensé qu’elle voulait se changer.

Nous voilà à l’hôtel, sans encombre car personne à la réception ; la porte fermée, je comprends pourquoi elle voulait revenir à la chambre ; elle nous attire près d’elle et nous roule des pelles, sa langue s’infiltrant dans notre bouche, puis elle se met nue, nous provoquant, tournoyant sur elle-même, se caressant les seins, se frottant le pubis ; les bosses sont évidentes dans nos pantalons ; nous la laissons faire ; avec application elle commence à nous dévêtir et bientôt nous sommes nus, la tige en érection ; elle s’agenouille et vient nous sucer à tour de rôle ; sa main prend la mienne et la pose sur la queue d’Alain ; j’ai compris son désir ; je le regarde et je le branle doucement, puis je prends la place de Mico et ma bouche se pose sur le gland, ma langue essaie de pénétrer le méat, puis se promène sur la tige dressée ; je lui lèche les couilles et mes mains lui enserrent les fesses, mes doigts lui caressant la raie et l’anneau ; dans ma bouche sa bitte me pénètre et j’ouvre à fond mes lèvres ; son gland touche par moment le fond ; Mico a englouti mon sexe et me prodigue sa sucette ; très douée, elle me stimule et ses mains me triturent les fesses, son doigts essayant de forcer mon cul ;pour y arriver, elle prend de sa mouille dans son sexe et l’applique sur l’anneau ; progressivement celui-ci s’ouvre et fièrement elle dit à Alain « son cul est prêt à te recevoir » il me relève et me retourne, me plaquant sur le lit ; son gland se présente sur le trou, mais sa verge est plus grosse qu’un doigt et il ne peut y entrer ;il m’enduit de salive, j’essaie de me détendre, mais le passage reste serré. Soudain une grosse claque me surprend et il en profite ; d’une seule poussée il fait rentrer son gland ; la douleur est intense, je lui demande d’arrêter mais il ne bronche pas, restant immobile, laissant se calmer la douleur, puis doucement il pousse sa queue dans mon antre ; Mico se branle devant nous ; doucement une chaleur remplace la douleur et c’est la mon tour de réclamer la pénétration « vas-y encule moi, prend moi « une poussée vient clore mes paroles et sa bite s’enfonce en entier ; maintenant il me pilonne les fesses à grands coups ; je sens monter mon plaisir et sans me toucher j’éjacule , ma jouissance est intense, je gémis sous la puissance de la verge qui me prend ; j’ai oublié le plaisir de Mico de me voir pris par un autre, je ne suis qu’au plaisir de la bite qui me saillie ; soudain je ressens les contractions et je sens qu’il va me remplir ; l’arrivée de ses jets brulants provoque une nouvelle montée de plaisir et je ne peux m’empêcher de crier ; je mords la couverture car il continue de me pilonner et l’onde de jouissance me dévore et je sombre dans une douce torpeur. Mico de son coté, par ses caresses et la vue de nos ébats s’est fait jouir et elle nous regarde, les cuisses écartées, brillantes de son plaisir. Le repos est salutaire , mais l’évocation de se qui vient de se passer ne tarde pas à faire remonter nos sexes ; Alain me demande s’il peut l’ enculer ; je m’allonge sur le lit et , je plante Mico sur moi ; sa chatte est trempée et je n’ai aucune difficulté ; Alain prend un peu de jute et enduit l’anneau ; sa queue est grosse et quand il pousse, Mico gémit sous la pénétration ; je lui écarte les fesses et doucement son gland ouvre le passage ; je sens sa queue contre la fine paroi ; une dernière poussée et il est au fond ; il commence alors un doux va et vient ; c’est lui qui dirige la double pénétration, et petit à petit il accélère le rythme, pour finalement la pilonner avec vigueur ; je sens ses couilles battent contre ma queue ; Mico a le regard perdu dans son plaisir, et sur ma queue je sens couler son jus, son plaisir est intense et elle rugit à chaque coup de butoir ; je ressens les jets dans son cul ; chacun notre tour nous avons pris notre pied ; seul Alain n’a pas été enculé.
Ce n’est que vers 18h que nous arrivons au club ; en réalité c’est plus un sauna hammam, qu’un club ; notre trio ne passe pas inaperçu et le gérant nous fait remarquer que c’est un endroit pour mec, et c’est Alain qui règle le problème ; avec beaucoup d’appréhension je le suis et nous passons aux vestiaires ; ceint d’une simple serviette ( un peignoir pour Mico) nous découvrons le lieu un bar ouvrant par des glaces sur un sauna, un jacuzzi et deux salles nues, avec sur le sol un grand lit ; nous déambulons un peu pour découvrir un couloir noir en chicane, avec de petits dégagements ; je pensais que nous étions seuls, mais au fur et à mesure, je sens des mains qui nous frôlent ; dans un recoin, ma serviette est défaite et une main s’empare de mon sexe, puis une bouche cherche à me sucer ; je rattrape Alain et Mico et après une douche nous allons dans le hammam ; cela me rappelle des souvenirs et ma queue reprend du volume ; celui-ci est différent ; c’est juste une pièce pleine de vapeur et sur les bancs des silhouettes ; à peine assis je suis entouré et des mains se posent sur ma queue ; entre autre celle d’Alain ; mes tétons sont triturés et deux lèvres se posent sur ma bouche ; c’est la première fois qu’un homme m’embrasse, et une langue me fouille avec avidité ; je réponds à ce baiser et mes mains partent à l’aventure ; d’un coté je pense que c’est celle d’Alain et de l’autre une bite noueuse, courte et épaisse ; je frémis à l’idée d’un tel engin dans moi ; me mettant à genoux, je prends le sexe d’Alain dans ma bouche, ses mains décident du mouvement ; mon postérieur est investi et plusieurs mains essaient de me pénétrer ; un liquide froid se répand sur mon sillon, c’est du gel et à son contact je sens mon anneau s’ouvrir ; un gland se glisse dans mon sillon et bute sur l’anneau ; la poussée est lente mais continue et bientôt je suis investi à fond ; pris en double je ne peux rien faire, je subis les assauts de mes deux partenaires ; il me baise avec vigueur ; je sens monter mon plaisir d’autant plus grand que je sais que Mico n’en perd pas une goutte ; je ne sais ce qu’elle fait mais j’ai envie de m’offrir comme elle l’a fait cette nuit ; dans ma bouche , Alain vient de jouir et sa jute me remplit la bouche, pendant ce temps je sens la queue qui m’encule grossir et je sens les jets, mais surprise rien dans le cul (il découvert ensuite l’emploi de capote, je n’ai pas le temps de réagir qu’une nouvelle bite me prend, mais son diamètre est beaucoup plus gros ; il doit forcer et c’est sans ménagement qu’il m’encule ; un seul coup et ses couilles viennent frapper mes fesses, il ne prend pas de gants, il me laboure brutalement et s’enfonçant une dernière fois il me jute ; mon plaisir n’a pas de limite , je jouis bruyamment ; à mon tour je ressens le plaisir de plusieurs queues ; quittant cette position douloureuse (pour mes genoux), nous quittons le hammam et nous nous refugions dans une des salles ; Mico me prend la main et me dit qu’elle a joui rien qu’en me voyant ; Alain a repris sa vigueur, et j’ai envie de le prendre ; je lui caresse les fesses et mon doigt lui pénètre l’anus ; il se laisse faire, et se retourne ; j’ai son cul sous mes yeux ; Mico me branle et me fait bander ; j’enduit de gel le sillon, et je fais tourner mon doigt, puis deux sur son anneau, il s’ouvre doucement, je me positionne et comme lui cette après midi, je m’enfonce, mais lui son cul est déjà ouvert et c’est sans problème que ma queue s’enfonce ; je prends mon temps , j’ai envie de le limer , là aussi c’est la première fois et je veux en profiter ; j’ai oublie l’entourage quand soudain deux mains me bloquent le bassin et je sens un sexe qui pousse, j’essaie de me libérer, mais rien n’y fait et déjà il est en moi ; c’est lui maintenant lui donne le rythme et à chaque coup de butoir je m’enfonce dans le cul d’Alain ; je ne peux me retenir et chaque pénétration d’éclanche des élans de jouissance ; je rugis, je crie mon bonheur ; sous moi Alain aussi prend son pied et quand j’éjacule je sens son corps se tendre ; derrière moi, mon cul est toujours pilonné , il me faibli pas et quand dans un dernier cri ,il m’inonde, je ne sais plus ou je suis ; mon corps frémit , je me colle à lui, je ne veux pas perdre son sexe ; devant Mico, je me fais prendre plusieurs fois ; un sexe dans la bouche et dans le cul, je ne suis que jouissance ; ma queue me fais mal à force de bander ; je ne me reconnais pas ; je suis plein de sperme et j’aime cela ; dans un coin Mico se fait prendre par Alain qui en profite ; elle aussi profite de la soirée, je l’entends jouir bruyamment et cela s’ ajoute à mon bonheur
Repos bien mérité au bar, et je découvre alors que de cet endroit, tous les consommateurs pouvaient nous voir à travers la glace sans teint ; nous décidons de partir ; la journée ayant été très chargée, nous souhaitons finir la soirée tous les deux et Alain nous quitte et nous promets de venir nous dire au revoir le lendemain.
De retour à l’hôtel, nous faisons le point ; tendrement enlacés nous revoyons tous les événements et le plaisir que nous en retirons ; il est immense ; que de chemin depuis notre aventure dans le midi ; sans aucune gène, nous évoquons notre plaisir de la possessions multiples et Mico, tendrement n’avoue sa jouissance de me voir avec un homme, elle en rêvait depuis le Maroc. Et nous terminons la journée par un combat sexuel des plus harde, mais plein d’amour