Prise de sang
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-11-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Prise de sang
La prise de sang.
Quoi de plus banal qu'une prise de sans dans un laboratoire, agréé de surcroît ?
J'étais assis , la laborantine se tenait près de moi quand, avant qu'elle ne commence, elle est remplacé par la fille de l'accueil : une nana comme ça que je connais par ailleurs sans avoir pu l'approcher. Mes yeux doivent être éloquents : elle me sourit, ne sort pas les aiguilles, ni les flacons.
Elle s'assoit près de moi, me sourit toujours.
Je la regarde en espérant un baiser. Je ne reçois pas sa bouche, une main se pose sur moi, descend doucement vers mon entre jambes.
Je regarde la main descendre vers mon sexe. Sa main me touche, me masse la queue. J'étais au calme, me voici en train de bander.
Elle s'approche encore plus, elle est tout près, je pourrais en tendant à peine la main lui mettre la main au panier.
Elle me masse doucement, elle semble attendre la suite ma suite.
Je n'ose pas bouger, elle si : elle sort ma bite du pantalon, la regarde :
- Elle me plaît bien.
J'attends qu'elle commence à faire des choses interdites entre le personnel et le client. Elle ne fait rien de plus que la regarder. Mais de son coté, ça bouge, elle passe une main sous son jean, la descend vers le bas, je vois qu'elle ne reste pas immobile : ce n'est pas possible, elle regarde ma queue, elle se chatouille la chatte.
Elle m'excite trop, je mets ma main sur son genou, je fais comme si elle portait une jupe. Je la caresse plus fort que la normale en montant vers son trésor, celui qu'elle chouchoute là sous mon nez.
Son sourire ne change pas, sauf qu'elle se lèche la lèvre inférieures.
J'arrive à sa fourche, sa main la caresse toujours. Je commence à défaire la fermeture éclair pour passer ma main.
Elle se lève un peu pour descendre et le pantalon et la culotte en dentelle. Elle me permet sans dire un seul mot d’aller sur son intimé. Je ne me fais pas prier, pour moi voir une chatte en pleine chaleur me donne envie d'y poser mes doigts.
Je commence à la caresser, elle me répond de la même façon. A la voir derrière son bureau à la réception , je ne pensait jamais lui voir sa chatte.
Elle me masturbe avec efficacité, je suis obligé de l'arrêter sinon je jaillissais sur elle.
Je me fais la réflexion qu'il faut toujours arrêter une main féminine qui vous donne du plaisir : ou c’est trop ou pas assez.
Si elle arrête la masturbation, elle ne cesse pas pour autant. C'est une affamée, quand elle pose sa bouche pour lécher le gland.
- Tu sens bon de la queue. Tu as bon goût, mon salaud.
Elle enfourne à fond le gland et la suite : ma queue y passe presque toute. Je sens son souffle sur les testicules. Quand à sa langue, si elle continue elle va la faire fondre dans la bouche.
Je me tends vers elle, même si par ailleurs je continue la branlette sur sa chatte, ce qu'elle ne me fait pas cesser.
Heureusement que peu avant de venir je m'étais masturbé. C'est sans doute pour ça qu'elle me trouve un bon goût, celui du reste de sperme. Je lui en mettrais bien ailleurs de la semence. Je tiens assez le coup pour notre première fois.
Elle se crispe un petit moment après : elle jouit certainement, mais je continu à lui donner du plaisir. Je change un peu d'endroit, du clitoris je passe au petit trou. Elle ne veut tout d'abord pas.
J'entre presque malgré moi dans son petit trou. Il se lâche, il me laisse entrer sans forcer. Le laisse après le premier essai mon doigt va et vient en elle.
Elle en accélère son rythme pour me branler. La vache elle va me faire jouir, mais où. C'est elle qui a la réponse quand j'éjacule : elle continue son va et vient je gicle dans sa min. Elle fini de me branler, garde précieusement le sperme dans sa main fermée.
C'est la seule qui jusqu'à présent fait une telle chose devant moi, elle lèche la main pour récolter la semence, elle n'en laisse aucune trace. Sa main est nickel. Il reste une goutte sur le gland, elle la récolte comme une rareté pour la mettre dans sa bouche.
Pour finir, elle m'embrasse sur la bouche, me donne sa langue plein encore de sperme, je me goûte : ce n'es as désagréable, un peu salé sans doute. Nous nous remettons en tenues plus normales.
Je regrette de ne pas venir chaque matin me faire prendre deux gouttes de sang.
Nous avons rendez vous ce soir à 19 heures dans un bistro. Je pense pouvoir passer une bonne nuit avec elle.Je n'accepterais de me faire sucer qu'après lui avoir mis la pine au cul.
Quoi de plus banal qu'une prise de sans dans un laboratoire, agréé de surcroît ?
J'étais assis , la laborantine se tenait près de moi quand, avant qu'elle ne commence, elle est remplacé par la fille de l'accueil : une nana comme ça que je connais par ailleurs sans avoir pu l'approcher. Mes yeux doivent être éloquents : elle me sourit, ne sort pas les aiguilles, ni les flacons.
Elle s'assoit près de moi, me sourit toujours.
Je la regarde en espérant un baiser. Je ne reçois pas sa bouche, une main se pose sur moi, descend doucement vers mon entre jambes.
Je regarde la main descendre vers mon sexe. Sa main me touche, me masse la queue. J'étais au calme, me voici en train de bander.
Elle s'approche encore plus, elle est tout près, je pourrais en tendant à peine la main lui mettre la main au panier.
Elle me masse doucement, elle semble attendre la suite ma suite.
Je n'ose pas bouger, elle si : elle sort ma bite du pantalon, la regarde :
- Elle me plaît bien.
J'attends qu'elle commence à faire des choses interdites entre le personnel et le client. Elle ne fait rien de plus que la regarder. Mais de son coté, ça bouge, elle passe une main sous son jean, la descend vers le bas, je vois qu'elle ne reste pas immobile : ce n'est pas possible, elle regarde ma queue, elle se chatouille la chatte.
Elle m'excite trop, je mets ma main sur son genou, je fais comme si elle portait une jupe. Je la caresse plus fort que la normale en montant vers son trésor, celui qu'elle chouchoute là sous mon nez.
Son sourire ne change pas, sauf qu'elle se lèche la lèvre inférieures.
J'arrive à sa fourche, sa main la caresse toujours. Je commence à défaire la fermeture éclair pour passer ma main.
Elle se lève un peu pour descendre et le pantalon et la culotte en dentelle. Elle me permet sans dire un seul mot d’aller sur son intimé. Je ne me fais pas prier, pour moi voir une chatte en pleine chaleur me donne envie d'y poser mes doigts.
Je commence à la caresser, elle me répond de la même façon. A la voir derrière son bureau à la réception , je ne pensait jamais lui voir sa chatte.
Elle me masturbe avec efficacité, je suis obligé de l'arrêter sinon je jaillissais sur elle.
Je me fais la réflexion qu'il faut toujours arrêter une main féminine qui vous donne du plaisir : ou c’est trop ou pas assez.
Si elle arrête la masturbation, elle ne cesse pas pour autant. C'est une affamée, quand elle pose sa bouche pour lécher le gland.
- Tu sens bon de la queue. Tu as bon goût, mon salaud.
Elle enfourne à fond le gland et la suite : ma queue y passe presque toute. Je sens son souffle sur les testicules. Quand à sa langue, si elle continue elle va la faire fondre dans la bouche.
Je me tends vers elle, même si par ailleurs je continue la branlette sur sa chatte, ce qu'elle ne me fait pas cesser.
Heureusement que peu avant de venir je m'étais masturbé. C'est sans doute pour ça qu'elle me trouve un bon goût, celui du reste de sperme. Je lui en mettrais bien ailleurs de la semence. Je tiens assez le coup pour notre première fois.
Elle se crispe un petit moment après : elle jouit certainement, mais je continu à lui donner du plaisir. Je change un peu d'endroit, du clitoris je passe au petit trou. Elle ne veut tout d'abord pas.
J'entre presque malgré moi dans son petit trou. Il se lâche, il me laisse entrer sans forcer. Le laisse après le premier essai mon doigt va et vient en elle.
Elle en accélère son rythme pour me branler. La vache elle va me faire jouir, mais où. C'est elle qui a la réponse quand j'éjacule : elle continue son va et vient je gicle dans sa min. Elle fini de me branler, garde précieusement le sperme dans sa main fermée.
C'est la seule qui jusqu'à présent fait une telle chose devant moi, elle lèche la main pour récolter la semence, elle n'en laisse aucune trace. Sa main est nickel. Il reste une goutte sur le gland, elle la récolte comme une rareté pour la mettre dans sa bouche.
Pour finir, elle m'embrasse sur la bouche, me donne sa langue plein encore de sperme, je me goûte : ce n'es as désagréable, un peu salé sans doute. Nous nous remettons en tenues plus normales.
Je regrette de ne pas venir chaque matin me faire prendre deux gouttes de sang.
Nous avons rendez vous ce soir à 19 heures dans un bistro. Je pense pouvoir passer une bonne nuit avec elle.Je n'accepterais de me faire sucer qu'après lui avoir mis la pine au cul.
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