Prit à son propre piège ! - histoire érotique

<p>Prit à son propre piège !

Jeune secrétaire dynamique, Sabrina la trentaine, un corps de rêve travaille pour une multinationale et son patron, un homme de 60 ans, avide de pouvoir et fort peu sympathique dirige sa société avec force et rigueur.
Sabrina qui est fort ambitieuse prend des cours du soir afin d’augmenter ses diplômes et un jour postuler à des plus haute fonction, voir même détrôner son patron. Lors d’un de ces cours du soir, elle confia à son professeur ses envies et ambitions, elle lui fait part de l’incompétences de son patron et de son désir d’obtenir au plus vite son nouveau diplôme afin d’aller ensuite voir le conseil d’administration de sa société et de prendre la place de son patron.
Le professeur, jeune lui aussi, se prénomme Steve et Sabrina ne lui est pas du tout indifférente, il faut dire que son corps ne pourrait laisser personne indifférent. Une poitrine petite mais bien ferme et bien dessinée, un fessier parfait, de longues jambes, un visage éblouissant, de longs cheveux noirs…
Mais Steve, même si il est professeur, assez mignon à toujours eu l’art de se compliquer la vie mais cette fois, il pense enfin tenir le bon bout avec Sabrina.
En effet, ce que notre belle secrétaire ignorait c’est que Steve dans un souci de se perfectionner en donnant ses cours prend soin de s’enregistrer afin de se réécouter et de se perfectionner encore plus. Et lorsque Steve c’est rendu compte que sa conversation avec Sabrina était totalement enregistrée sur sa bande, il lui vint une idée lumineuse pour arriver à ses fins.
Il prit rendez-vous avec le patron de Sabrina et lui fit écouter la bande en lui expliquant son idée. Le patron, ce vieux fossile et pervers trouva l’idée plutôt à son goût et accepta de jouer le jeu.
Le lendemain, Sabrina fût convoquée au bureau de son patron.
En rentrant, elle le salua et le patron lui dit sur un ton assez sec, resté debout ! Sabrina compris que le patron était de mauvaise humeur et qu’elle avait dû commettre une erreur sans ce douter toute fois de quoi il s’agissait.
Sabrina, dit-il : Vous êtes chez nous depuis bientôt 6 ans maintenant et vous avez déjà commis des erreurs sur lesquelles j’ai passé l’éponge et n’ai jamais rien dis mais ici c’est nettement différent.
De quoi s’agit-il demanda Sabrina à son patron.
A ce moment il sorti l’enregistrement d’un tiroir de son bureau et le fit écouter à sa jeune secrétaire qui restait pétrifiée par ce qu’elle entendait, ne sachant plus que dire, que faire tellement elle était mal à l’aise.
Après la bande finie, elle baissa les yeux n’osant plus affronter le regard de son patron quand soudain ce dernier lui dit : Il s’agit ici d’une faute grave car vous critiqué votre patron, vous parlez de détails personnels à la société, je peux vous licencier sur le champs et avec un renvoi pour faute grave jamais vous ne retrouverez de l’emploi, vous n’aurez même pas droit aux revenus garantit par le chômage et vous ne saurez plus vous occuper de vos enfants, fini la pension,… et pendant plus de dix minutes il lui expliqua tous ce quelle allait perdre et Sabrina se sentait perdue, elle commençait à penser à tous ce qu’elle avait et qu’elle allait perdre, les larmes lui montait au visage… Soudain, son patron lui lança : Si vous acceptez la punition que je vous donnerai pour ceci, je passerai l’éponge une dernière fois, c’est à vous de voir.
Là, elle le regarda et lui demanda : une punition avez-vous dit, mais de quoi parlez vous.
Votre geste est celui d’une gamine et cette faute aussi alors il vous faut une punition digne d’une sale gamine !
Mais à quoi pensez vous Monsieur le Directeur ?
A la fessée ma chère, je vais vous punir en vous donnant plusieurs fessées et ensuite vous irez au coin durant toute la matinée, puis nous oublierons cette punition, mais chaque premier du mois, vous viendrez me voir pour recevoir votre punition mensuel et ce temps que vous travaillerez sous mes ordres !
Sabrina était sur le choc et allait l’envoyer balader poliment avec ses rêves de pervers puis elle réfléchissait à ce quelle allait pouvoir faire ensuite car elle ne retrouverait rien, et comment vivre en attendant,…
Et d’un coup, elle regarda son patron et sans rien lui dire elle vint se positionner sur le bureau juste à côté de lui, elle se pencha sur le bureau, releva sa jupe abaissa sa culotte pour recevoir la fessée. Le patron content de son succès ne se fit pas prier et ajouta, vous avez bien fait d’accepter ma proposition sans quoi vous auriez tout perdu.
Il lui appliqua une fessée, puis une autre et une autre, le bruit de ses mains claquait sur ses jolies fesses qui commençaient à rougir avec force,… mais bizarrement, aucuns cris, aucunes larmes ne s’échappaient de Sabrina et son patron se rendant compte de ce fait se mit à la frapper de plus en plus fort.
Au bout de quelques minutes, il l’obligea à aller s’agenouiller dans le coin derrière la porte d’entrée, en tenant sa jupe relevé et sa culotte baissée sur ses genoux.
Là, tournant le dos a son patron elle laissa couler quelques larmes car ses fesses était brûlantes et elle avait fort mal.
Au bout d’une demi heure, que ne fût pas sa surprise de voir entrer dans le bureau son jeune professeur.
Elle comprit alors le complot qui venait de se jouer sur elle et aussi le complot avenir qu’on allait lui imposer si elle voulait obtenir son diplôme.
Comme de fait, son patron lui ordonna de se relever et de venir près de lui, elle s’exécuta.
Le professeur jeta sur le bureau son diplôme en lui disant : Voici votre diplôme et je vous le laisse sans que vous passiez l’examen, mais faudra aussi en échange que vous vous occupiez de moi, car si votre patron vous puni chaque mois pour vos bêtises, moi aussi, je veux que vous veniez me voir tous les mois et vous m’offrirez quelques plaisirs en échange de votre diplôme.
La secrétaire était prise des deux côtés et les deux hommes étaient assez content d’eux, d’autant plus qu’à leurs grands étonnement, Sabrina leurs dis : Ben j’ai pas le choix sinon je perds tous donc je suis obligé d’accepter.
Sur ce le professeur lui dit à son tour : Comme vous dites, vous n’avez pas le choix, alors maintenant rhabillez-vous, prenez votre diplôme et ce soir je vous ferez part de ma première exigence.
La jeune secrétaire remonta sa petite culotte sur ses fesses qui étaient rouge de douleur, elle prit son diplôme et sorti du bureau. Elle prit de la crème et se rendit aux toilettes afin de soulager ses fesses car la douleur était énorme et là elle se laissa aller et pleura toutes les larmes de son corps.
Après ce moment, elle est sorti des toilettes d’un pas décidé et à quitté le bureau sous le regard étonné des autres employés mais aussi du patron qui se demanda où elle allait. Et ce n’est qu’une heure plus tard qu’elle réapparu accompagnés d’un jeune homme aux allures assez sérieuse, on aurait dit un avocat et d’un autre plutôt BCBG.
Son patron voulant savoir le motif de son absence et la raison de la présence de ces individus l’appela. A ce moment, elle expliqua a son patron qu’elle avait été déposer plainte contre lui, que l’avocat en question était bien un avocat, celui du conseil d’administration et que l’autre individu était policier. Le patron rigola un peu disant qu’il s’agissait là d’un mensonge, d’une invention.
Et pendant qu’il essayait de se justifier la radio de l’inspecteur de police annonçait l’arrestation du jeune professeur et à ce moment son regard était soucieux, il comprit que c’était sérieux.
Et il prit la peine de finir sa plaidoirie par ces quelques mots : Monsieur l’inspecteur, vous ne pouvez pas venir ici faire un scandale et accuser des gens juste sous les dires d’une petite secrétaire qui est en colère car on lui a refusé sa promotion.
A ce moment, Sabrina s’approcha de son patron en lui disant, je l’ai eu ma promotion, elle se mit assise dans son fauteuil pour lui faire comprendre qu’elle était la nouvelle patronne et lui la regardait d’un air curieux car il ne comprenait pas comment elle avait fait ?
A ce moment, Sabrina appuya sur le bouton play de l’enregistreur qui l’avait trahi tôt se matin, celui là même qui lui valait de recevoir de sérieuses fessées, car ce que le patron n’avait pas vu, c’était que lorsque Sabrina était venu près de lui pour recevoir sa première fessée elle avait activer l’enregistreur et elle l’avait reprit avec elle en le cachant sous le diplôme du jeune professeur.

Futé la petite secrétaire !!!!!!!!!!!!!!!!


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