Prof de fac
Récit érotique écrit par Pam [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-11-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Prof de fac
Etudiante à la fac, je flashe comme beaucoup sur un de mes profs. Très banal en somme...Mais je n'aurais jamais pensé me retrouver dans son appartement. C'est un homme qui m'aide pas mal pour rédiger mon mémoire et avec qui j'aime beaucoup discuter. le plaisir semble être réciproque, ce qui me laisse aller à toute sortes de fantsame une fois seule chez moi.
Nous nous croisons un jour dans un couloir de l'université, alors que je sortais de cours, et il me dit qu'il vient d'acquérir un livre intéressant pour mon sujet de recherche. Le bouquin en question se trouve chez lui. Etant disponible je lui dis que s'ilo a fini sa journée je peux faire un saut et l'emprunter. Je sais qu'il habite à côté de la fac. Un peu surpris, il regarde sa montre. Mais il accepte.
Quelques minutes plus tard je suis au pied de l'immeuble. Va me fait déjà bizarre, c'est la première fois que je vais entrer au domicile d'un de mes professeurs. Lui semble plus détendu. Dans lascenceur je ne dis rien et regarde mes pieds. Ce lieu m'évoque déjà trop de choses, et je commence à rougir, car nous sommes également à l'étroit. La montée me paraît intemrinable. Je sens le parfun de sa peau et sa respiration. Nous arrivons dans un couloir sombre. Il ouvre la porte de l'appartmeent, je reste sur le seuil. Lui est entré et retire son manteau, pose sa sacoche et disparaît de ma vue. Quelques secondes s'écoulent et je l'entend me parler, mais je penche la tête pour mieux comprendre.
S'apercevant que je suis restée dans le couloir il plaisante et m'invite à rentrer, s'excusant du "désordre". Il me propose de m'assoir ainsi qu'un thé. Je le remercie pour l'accueil chaleureux. Je fuis son regard car il est profond. ses gestes sont assurés et il émane une grande douceur de cet homme. Il se sert également un verre puis parcours sa bibliothèque à la recherche de sa nouvelle acquisition. j'ai le temps de lever ma tête pour jeter un coup d'oeil. L'appart est assez lumineux, la déco est sobre. On se rend compte que cet homme est toujours en trainde travailler, il y a un nompbre impressionant de feuilles et de dossiers sur la table, l'ordinateur est sous tension. Mais mon inspectionn furtive s'arrête là, mon prf est revenu avec son bouquin et s'assoit à côté de moi. Il me présente les chapitres intéressant. J'écoute à moitié, la situation que je vis me dépasse, je n'ai qu'une envie, accomplir mes fantasmes en lui sautant dessus, et en tant qu'étudiante mon devoir est de le cacher. Voyant que je suis ailleurs il me demande si tout va bien. Je le regarde, souris et acquièce. Je prétexte juste une dure journée et de l'a fatigue accumulée.
Puis, je ne sais pas comment mais l'on se met à parler de tout et de rien. L'heure se fait tardive. Je me presse vers la porte avec un salut rapide. Il 'marrête un instant en me disant :
-"Tu ne veux pas que je te raccompagne ? Il est tard, et c'est pas très prudent pour une jeune fille de sortir seule dans la rue à cette heure-ci."
C'est vrai que j'ai une trouille bleue quand je dois rentrer chez moi la nuit toute seule. je ne résiste pas:
-"Oh ce serait abusé, mais j'avoue que je préfèrerais rentrer accompagnée en effet !
- Mais non c'est normal, j'ai aps fais gaffe à l'heure non plus".
Il me tend mon manteau, va chercher le sien. Je ne le quitte pas du regard, je suis très attirée par lui. En arrivent vers moi, près de la porte il s'arrête. Ouvre la bouche à demi. Rien en sort. Je rêve de l'étreindre. Il tente de me dire quelque chose mais au final ne cesse de me regarder. Il rougit un peu. Je sais qu'il se passe quelque chose entre nous. Je lui demande alors s'il se sent bien. Il cale son bras contre la porte. Je lève ma main vers son bras pour lui faire comprendre qu'il serait raissonnable que je franchisse cette porte et m'en aille. Mais il interprète mon geste d'une autre façon. Au moment où je saisis son poignet il referme sa main et pause l'autre sur ma hanche.. petrifiée, et erriblement excitée, je ne fais que serrer un peu plus son bras. Il se penche doucement. Voyant que je ne recule pas, continue et pose ses lèvres ocntre les miennes. Nous nous embrassons langoureusement. Je me plaque contre la porte, il se sert plus et je sens la chaleur de son corps. Ses mains pressent mes hanches, les caressent et descendent timidement sur mes fesses.
Nous nous retrouvons au mileu du salon et je retire mon manteau, ainsi que le sien. J'ai déjà en tête toute une panoplie d'images érotiques. J'ouvre les premiers boutons de mon chemisier. et sprend sa main pour la poser sur mon torse. Il doit sentir que mon coeur cogne fort dans ma poitrine déjà brûlante. J'agrippe ses fesses et il s'aventure plus loin dans le décolleté. A travers mon soutien-gorges il titille du bout des doiugts mes tétons déjà dressés. Puis il prend mons ein à pleine main et le malaxe. je laisse echapper un gémissement sourd, je veux lui faire comprendre que ça me plaît et que j'en veux plus.
Je me colle fort contre lui, pressant mon pubis contre son sexe en érection dans son pantalon. Je lève une jambe et la frotte doucement contre la sienne. Nous reculons vers le canapé. Je finis par le repousser doucement et déboutonne totalement mon chemisier. Je reviens vers lui et l'attire sur le canapé. Assis nous continuons nos cälin et je soupire de plus belle. je lui lèche du bout de la langue le lobe de ses oreilles et les mordille. Je lui retire son pull. J'embrasse et lèche doucement son torse en prenant de grandes inspirations, je veux sentir son odeur. Il me retire mon soutien-groges tandis que je m'affaire à l'exciter. Je me redresse une fois les seins nus, qu'il puisse jouir de la vue, et m'assois les jambes écartées pour qu'il sente où se situe mon désir très exactement. Il plonge sa tête dans mes seins et les lèche, les caresse, les pince, les mordille. Ses mains toujorus sur mes hanches glissent dans mon dos, et descendent sur ma croupe. Il passe sous ma jupe et s'attarde sur mes fesses. Je suis de plus en plus chaude et ne pense qu'à lui ôter son pantalon. Mais il s'assoit au fond du canapé, m'invite à me lever, et à m'assoir entre ses jambes. Dos à lui je me laisse caresser les seins. Il amène mes mains sur ma poitrine pour que je prenne le relais. Je remarque à cet instant le miroir en face. Je rougis en voyant mes mains caressant et pinçant mes tétons, et les siennes qui soulèvent ma jupe. Mon prof passe alors rapidement une main sur ma cuisse et me caresse la vulve et le clitoris. Soin doigt passe très vote sous mon string, atteigant enfin la peau de mon sexe déjà humide et chaud. Je gémis et frotte mes fesses contre son sexe. J'écarte plus les jambes pour apprécier la vue dans le miroir. Je me vois un peu rouge, et pour la première fois je vois ma vulve. Et je le vois qui enfonce un doigt au plus profond de ma chatte. Je gémis toujours. Et je veux que ce moment soit torride. Je pose ma main sur la sienne et pousse plusierus de ses doigts au fond de mon sexe. Je mouille de plus belle, sa main est trempée, mes fesses aussi. Une tache sombre aparaît sur son canapé, dû à mon désir sans bornes. Son souffle s'intensifie, sa main entière me pénètre et mon bassin ne cesse de s'activer. Il me repousse retirent son poing dégoulinant. Il me retourne, colle sa main moite sur mon visage, je sens alors l'odeur de mon désir, il m'embrasse et je retire son pantalon ainsi que son caleçon. Je me retourne et enlève totalement mon string tout à fait mouilleé, il soulève ma jupe et voit le haut de mes cuisses encore trempé. Dans mon dos il repasse deux doigts contre ma vulve qui continue de se dilater, et mouiller le long de mes jambes. Son autre main parcours mes seins puis s'arrête sur ma nuque. Il me tient un peu fermement. Les doigts qui caressait ma chatte remontent jusqu'àmon anus. Il fait des aller-retours histoire de le lubrifier. J'adore qu'on me foulle l'anus. Par pur plaisir j'écarte un peu les jambes. Je sens son gland humide contre mes fesses. Je gémis encore. Il carese nerveusement mon anus et m'embrasse dans le cou. Puis me doigte doucement. Je sens alors son doigt qui pénètre mon anus, un peu, puis plus profondément. Je cambre, je veux qu'il me prenne, il me rend folle. Je veux qu'il me pénètre. Il me doigte la chatte et l'annus, je mouille le sol. Le désir devient intense mais je veux sa queue. Alors je me retire et me retourne. Je m'agenouille et sais son sexe. Son gland est gros est bien découvert. Je le lèche en le regardant dans les yeux. Puis je le suçe avec application. Je joue avec la langue et caresse parfois mon visage avec son gland. Il s'assoit dans le canapé et m'invite à continuer. Je suis à quatre pattes en train de le sucer, je sais qu'il a une vue ilprenable sur ma chatte et mon anus grâce au miroir. Cette idée m'excite. Sans m'en rendre compte, mon prof avait sais quelque chose. Je sens une main qui presse un peui ma tête. Il voulait être sûre que je continuer alors qu'il se penchait un peu pour m'enfoncer un objet phallique en me sodomisant. Je tend mes fesses, je mouille et gémis. J'adore le va et vient qu'il effectue avec cette objet. c'est la première fois que je me fais sodomiser par un accessoire. Je le sens de plus en mplus excité, sa verge est grosse et raide. Il me repousse un peu brutalement. je suis à terre. Il se relève me regarde. Il jette l'objet avec lequel il m' a sodomisé. Il s'avance, j'écarte les cuisses. Il se couche sur moi et me baise avec une ardeur telle ! C'est un amant attentionné qu'i m'embrasse et me caresse. Il se retire et recule pour lécher ma chatte. Il enfince même sa langue et me doigte l'anus en même temps. Il s'allonge et je m'assois au dessus de sa bouche, je veux qu'il me lèche encore tandis que mon bassin s'agite au dessus de lui. Je me colle parfois plus contre la langue, son visage est mouillé, il passe parfois sa main pour l'essuyer. Il m'agrippe par les fesses et doihgte avec intermittence mon anus et ma chatte.Je me retourne et plonge sur sa verge que je suce rapidement en le masturbant. Il me lèche et m'enfonce ceux doigts dans l'anus, je pousse un cri de plaisir, et je sens sa langue qui me lèche l'anus à présent. Cet homme m'aura tout fait. Il se redresse et saisit mes hanches fermement., et me dis :
-"Ne te retourne pas. Mais dis moi si ça te fais mal"
J'obéis. Je sens un objet plutôt froid qu'il enfonce dans mon vagin, il est assez gros. Je mouille à la pensée de ce qui va suivre et m'appuie sur mes avant bras, pour lui offrir mes fesses sans pudeur. Il les écarte un peu et guide son gland contre man anus. En deux ruades, sa verge est en moi. Il me sodomise doucment mais profondément. Je suis pleine avec ce truc dans ma chatte et sa bite qui me bourre le cul. J'aime tellement ça (j'en ai un peu honte). Puis la sodomie se fait de plus en plus forte. Je me surprend même à sortir "oui... plus fort" et il s'éxécute. Son ventre tape sur mes fesses il ls écarte encore pour une pénétration toujours plus profonde. J'ai le l'anus explosé et la chatte écartelée. Dix minutes de sodomie sauvage plus tard il retire son sexe, et me retourne sur le tapis du sol. Je suis en nage, mouillé par le jus de ma chatte. Il approche ma amin pour que je le masturbe et il éjacule violemment sur mes seins. Il rammse avec son index un peu de sperme sur mes tétons, le pore à ma bouche. Je le lèche. Et nous terminons la nuit dans un bon lit, nus l'un contre l'autre.
Il n'y a rien de séireux en tre nous mais on s'est revu parfois pour une baise aussi sauvage, et il m'arrive de le retrouve dans divers endroits ou après les cours pour une fellation ou une sodomie en vitesse. Ce prof me fait littéralement craquer !
Nous nous croisons un jour dans un couloir de l'université, alors que je sortais de cours, et il me dit qu'il vient d'acquérir un livre intéressant pour mon sujet de recherche. Le bouquin en question se trouve chez lui. Etant disponible je lui dis que s'ilo a fini sa journée je peux faire un saut et l'emprunter. Je sais qu'il habite à côté de la fac. Un peu surpris, il regarde sa montre. Mais il accepte.
Quelques minutes plus tard je suis au pied de l'immeuble. Va me fait déjà bizarre, c'est la première fois que je vais entrer au domicile d'un de mes professeurs. Lui semble plus détendu. Dans lascenceur je ne dis rien et regarde mes pieds. Ce lieu m'évoque déjà trop de choses, et je commence à rougir, car nous sommes également à l'étroit. La montée me paraît intemrinable. Je sens le parfun de sa peau et sa respiration. Nous arrivons dans un couloir sombre. Il ouvre la porte de l'appartmeent, je reste sur le seuil. Lui est entré et retire son manteau, pose sa sacoche et disparaît de ma vue. Quelques secondes s'écoulent et je l'entend me parler, mais je penche la tête pour mieux comprendre.
S'apercevant que je suis restée dans le couloir il plaisante et m'invite à rentrer, s'excusant du "désordre". Il me propose de m'assoir ainsi qu'un thé. Je le remercie pour l'accueil chaleureux. Je fuis son regard car il est profond. ses gestes sont assurés et il émane une grande douceur de cet homme. Il se sert également un verre puis parcours sa bibliothèque à la recherche de sa nouvelle acquisition. j'ai le temps de lever ma tête pour jeter un coup d'oeil. L'appart est assez lumineux, la déco est sobre. On se rend compte que cet homme est toujours en trainde travailler, il y a un nompbre impressionant de feuilles et de dossiers sur la table, l'ordinateur est sous tension. Mais mon inspectionn furtive s'arrête là, mon prf est revenu avec son bouquin et s'assoit à côté de moi. Il me présente les chapitres intéressant. J'écoute à moitié, la situation que je vis me dépasse, je n'ai qu'une envie, accomplir mes fantasmes en lui sautant dessus, et en tant qu'étudiante mon devoir est de le cacher. Voyant que je suis ailleurs il me demande si tout va bien. Je le regarde, souris et acquièce. Je prétexte juste une dure journée et de l'a fatigue accumulée.
Puis, je ne sais pas comment mais l'on se met à parler de tout et de rien. L'heure se fait tardive. Je me presse vers la porte avec un salut rapide. Il 'marrête un instant en me disant :
-"Tu ne veux pas que je te raccompagne ? Il est tard, et c'est pas très prudent pour une jeune fille de sortir seule dans la rue à cette heure-ci."
C'est vrai que j'ai une trouille bleue quand je dois rentrer chez moi la nuit toute seule. je ne résiste pas:
-"Oh ce serait abusé, mais j'avoue que je préfèrerais rentrer accompagnée en effet !
- Mais non c'est normal, j'ai aps fais gaffe à l'heure non plus".
Il me tend mon manteau, va chercher le sien. Je ne le quitte pas du regard, je suis très attirée par lui. En arrivent vers moi, près de la porte il s'arrête. Ouvre la bouche à demi. Rien en sort. Je rêve de l'étreindre. Il tente de me dire quelque chose mais au final ne cesse de me regarder. Il rougit un peu. Je sais qu'il se passe quelque chose entre nous. Je lui demande alors s'il se sent bien. Il cale son bras contre la porte. Je lève ma main vers son bras pour lui faire comprendre qu'il serait raissonnable que je franchisse cette porte et m'en aille. Mais il interprète mon geste d'une autre façon. Au moment où je saisis son poignet il referme sa main et pause l'autre sur ma hanche.. petrifiée, et erriblement excitée, je ne fais que serrer un peu plus son bras. Il se penche doucement. Voyant que je ne recule pas, continue et pose ses lèvres ocntre les miennes. Nous nous embrassons langoureusement. Je me plaque contre la porte, il se sert plus et je sens la chaleur de son corps. Ses mains pressent mes hanches, les caressent et descendent timidement sur mes fesses.
Nous nous retrouvons au mileu du salon et je retire mon manteau, ainsi que le sien. J'ai déjà en tête toute une panoplie d'images érotiques. J'ouvre les premiers boutons de mon chemisier. et sprend sa main pour la poser sur mon torse. Il doit sentir que mon coeur cogne fort dans ma poitrine déjà brûlante. J'agrippe ses fesses et il s'aventure plus loin dans le décolleté. A travers mon soutien-gorges il titille du bout des doiugts mes tétons déjà dressés. Puis il prend mons ein à pleine main et le malaxe. je laisse echapper un gémissement sourd, je veux lui faire comprendre que ça me plaît et que j'en veux plus.
Je me colle fort contre lui, pressant mon pubis contre son sexe en érection dans son pantalon. Je lève une jambe et la frotte doucement contre la sienne. Nous reculons vers le canapé. Je finis par le repousser doucement et déboutonne totalement mon chemisier. Je reviens vers lui et l'attire sur le canapé. Assis nous continuons nos cälin et je soupire de plus belle. je lui lèche du bout de la langue le lobe de ses oreilles et les mordille. Je lui retire son pull. J'embrasse et lèche doucement son torse en prenant de grandes inspirations, je veux sentir son odeur. Il me retire mon soutien-groges tandis que je m'affaire à l'exciter. Je me redresse une fois les seins nus, qu'il puisse jouir de la vue, et m'assois les jambes écartées pour qu'il sente où se situe mon désir très exactement. Il plonge sa tête dans mes seins et les lèche, les caresse, les pince, les mordille. Ses mains toujorus sur mes hanches glissent dans mon dos, et descendent sur ma croupe. Il passe sous ma jupe et s'attarde sur mes fesses. Je suis de plus en plus chaude et ne pense qu'à lui ôter son pantalon. Mais il s'assoit au fond du canapé, m'invite à me lever, et à m'assoir entre ses jambes. Dos à lui je me laisse caresser les seins. Il amène mes mains sur ma poitrine pour que je prenne le relais. Je remarque à cet instant le miroir en face. Je rougis en voyant mes mains caressant et pinçant mes tétons, et les siennes qui soulèvent ma jupe. Mon prof passe alors rapidement une main sur ma cuisse et me caresse la vulve et le clitoris. Soin doigt passe très vote sous mon string, atteigant enfin la peau de mon sexe déjà humide et chaud. Je gémis et frotte mes fesses contre son sexe. J'écarte plus les jambes pour apprécier la vue dans le miroir. Je me vois un peu rouge, et pour la première fois je vois ma vulve. Et je le vois qui enfonce un doigt au plus profond de ma chatte. Je gémis toujours. Et je veux que ce moment soit torride. Je pose ma main sur la sienne et pousse plusierus de ses doigts au fond de mon sexe. Je mouille de plus belle, sa main est trempée, mes fesses aussi. Une tache sombre aparaît sur son canapé, dû à mon désir sans bornes. Son souffle s'intensifie, sa main entière me pénètre et mon bassin ne cesse de s'activer. Il me repousse retirent son poing dégoulinant. Il me retourne, colle sa main moite sur mon visage, je sens alors l'odeur de mon désir, il m'embrasse et je retire son pantalon ainsi que son caleçon. Je me retourne et enlève totalement mon string tout à fait mouilleé, il soulève ma jupe et voit le haut de mes cuisses encore trempé. Dans mon dos il repasse deux doigts contre ma vulve qui continue de se dilater, et mouiller le long de mes jambes. Son autre main parcours mes seins puis s'arrête sur ma nuque. Il me tient un peu fermement. Les doigts qui caressait ma chatte remontent jusqu'àmon anus. Il fait des aller-retours histoire de le lubrifier. J'adore qu'on me foulle l'anus. Par pur plaisir j'écarte un peu les jambes. Je sens son gland humide contre mes fesses. Je gémis encore. Il carese nerveusement mon anus et m'embrasse dans le cou. Puis me doigte doucement. Je sens alors son doigt qui pénètre mon anus, un peu, puis plus profondément. Je cambre, je veux qu'il me prenne, il me rend folle. Je veux qu'il me pénètre. Il me doigte la chatte et l'annus, je mouille le sol. Le désir devient intense mais je veux sa queue. Alors je me retire et me retourne. Je m'agenouille et sais son sexe. Son gland est gros est bien découvert. Je le lèche en le regardant dans les yeux. Puis je le suçe avec application. Je joue avec la langue et caresse parfois mon visage avec son gland. Il s'assoit dans le canapé et m'invite à continuer. Je suis à quatre pattes en train de le sucer, je sais qu'il a une vue ilprenable sur ma chatte et mon anus grâce au miroir. Cette idée m'excite. Sans m'en rendre compte, mon prof avait sais quelque chose. Je sens une main qui presse un peui ma tête. Il voulait être sûre que je continuer alors qu'il se penchait un peu pour m'enfoncer un objet phallique en me sodomisant. Je tend mes fesses, je mouille et gémis. J'adore le va et vient qu'il effectue avec cette objet. c'est la première fois que je me fais sodomiser par un accessoire. Je le sens de plus en mplus excité, sa verge est grosse et raide. Il me repousse un peu brutalement. je suis à terre. Il se relève me regarde. Il jette l'objet avec lequel il m' a sodomisé. Il s'avance, j'écarte les cuisses. Il se couche sur moi et me baise avec une ardeur telle ! C'est un amant attentionné qu'i m'embrasse et me caresse. Il se retire et recule pour lécher ma chatte. Il enfince même sa langue et me doigte l'anus en même temps. Il s'allonge et je m'assois au dessus de sa bouche, je veux qu'il me lèche encore tandis que mon bassin s'agite au dessus de lui. Je me colle parfois plus contre la langue, son visage est mouillé, il passe parfois sa main pour l'essuyer. Il m'agrippe par les fesses et doihgte avec intermittence mon anus et ma chatte.Je me retourne et plonge sur sa verge que je suce rapidement en le masturbant. Il me lèche et m'enfonce ceux doigts dans l'anus, je pousse un cri de plaisir, et je sens sa langue qui me lèche l'anus à présent. Cet homme m'aura tout fait. Il se redresse et saisit mes hanches fermement., et me dis :
-"Ne te retourne pas. Mais dis moi si ça te fais mal"
J'obéis. Je sens un objet plutôt froid qu'il enfonce dans mon vagin, il est assez gros. Je mouille à la pensée de ce qui va suivre et m'appuie sur mes avant bras, pour lui offrir mes fesses sans pudeur. Il les écarte un peu et guide son gland contre man anus. En deux ruades, sa verge est en moi. Il me sodomise doucment mais profondément. Je suis pleine avec ce truc dans ma chatte et sa bite qui me bourre le cul. J'aime tellement ça (j'en ai un peu honte). Puis la sodomie se fait de plus en plus forte. Je me surprend même à sortir "oui... plus fort" et il s'éxécute. Son ventre tape sur mes fesses il ls écarte encore pour une pénétration toujours plus profonde. J'ai le l'anus explosé et la chatte écartelée. Dix minutes de sodomie sauvage plus tard il retire son sexe, et me retourne sur le tapis du sol. Je suis en nage, mouillé par le jus de ma chatte. Il approche ma amin pour que je le masturbe et il éjacule violemment sur mes seins. Il rammse avec son index un peu de sperme sur mes tétons, le pore à ma bouche. Je le lèche. Et nous terminons la nuit dans un bon lit, nus l'un contre l'autre.
Il n'y a rien de séireux en tre nous mais on s'est revu parfois pour une baise aussi sauvage, et il m'arrive de le retrouve dans divers endroits ou après les cours pour une fellation ou une sodomie en vitesse. Ce prof me fait littéralement craquer !
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