Quand deux collègues se trouvent
Récit érotique écrit par AmantDesSens [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-03-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Quand deux collègues se trouvent
Encore une journée... Métro, boulot, dodo... Julien ne connait que trop bien ce train
train quotidien. Il passe son temps au téléphone, à dépanner à distance ses collègues,
parfois quelques clients. Enfermé dans son bureau, il étouffe.
Mais, dans cette morosité bureaucratique, il a découvert un plaisir : Sophie, une
collègue de leur agence de Lyon. Ils ont échangé par mail tout d'abord, pour problème
technique, croit-il se rappeler. Le ton était sympathique, avec une pointe d'humour.
Cela l'a marqué, car habituellement, il peut s'estimer heureux si on lui envoie un
simple "merci", voire même une réponse. Pourtant, il ne manque pas les réunions du CE,
les petits pots entre collègues. Mais, son travail, personne n'en voudrait. "Le
travail de l'ombre", "le locataire du bureau 17B"... voilà ce qu'il est.
Alors, lorsqu'il reçoit un mail de Sophie, pour lui, c'est un petit plaisir. Pas
grand'chose, juste quelques mots, une plaisanterie, un clin d'oeil, une anecdote sur
une situation. Il a eu la chance de l'avoir au téléphone, et sa voix douce l'a charmé.
Non seulement d'être sympathique, sa voix était un régal aux oreilles. Qui plus est,
il continuait alors leur discussion virtuelle en direct. Sophie, c'était sa bulle
d'oxygène. Au moins lorsqu'il faisait passer un de ses dossiers devant les autres,
elle savait le remercier chaleureusement. La réciproque était vraie aussi.
Forcément, cette entente lui a donné envie d'en savoir plus. Il y avait bien un
trombinoscope des salariés, mais elle n'y figurait pas : absente le jour de la photo
de classe ! Il aurait bien été tenté de lui demander sa photo, mais sous quel prétexte
sans que cela paraisse "louche".
Le courant passait très bien entre les collègues, n'hésitant pas au fil des mails, à
échanger de façon plus intime. Elle de lui confier qu'elle préférait gouter aux
plaisirs de la vie, sans attachement. Lui, aimant les situations inopinées, un peu
folles...
Mais ce lundi était un peu particulier. Une fois par an, tous les salariés du groupe
étaient conviés à une réunion au siège. Bilans, projets, objectifs... les réunions se
succédaient. Ce n'est pas forcément ce que Julien adore. Cependant, il espérait bien
rencontrer enfin Sophie.
Au matin, tous le monde fut réunis pour un petit déjeuner. Julien scruta le badge
nominatif de chaque femme, discrètement. Il y avait bien une Sophie, mais l'age et la
voix ne correspondaient pas. Sa quête fur vaine, et sans motivation qu'il alla
s'asseoir pour écouter parler une personne totalement inconnue. Il surveilla d'un
oeil les retardataires arrivant. Mais le flot se tarit. Il finit par se résoudre à ne
pas la voir, tout en étant inquiet de cette absence.
Les interventions se succédèrent, ponctuées par quelques poses. Il y croyait encore...
La journée se finit. Julien n'était plus du tout dans l'ambiance, pensant déjà au
travail en retard qui s'était accumulé. Les "modalités" de fin de séminaire expédiées,
Julien regagna son bureau. Il est clair que sa journée ne s'était pas déroulée comme
il l'espérait. Alors, le meilleur remède, c'était de travailler un peu. Les autres
bureaux étaient vides, ils ne serait pas dérangé. Il s'installa dans une forme
d'automatisme. Mais ce n'était pas évident de se concentrer sans penser à Sophie.
Il fronça les sourcils pour se faire violence, la tête dans l'écran. Il pensait être
seul, mais il entendit quelques collègues passer, certainement pour récupérer quelques
effets dans leurs bureaux. Il ne s'en inquiéta pas, même si leur présence le
dérangeait dans le silence de la soirée.
On frappa à sa porte.
- C'est pour quoi ? ronchonna-t-il sans prendre la peine de quitter son écran des yeux
- Et bien, je ne suis pas habituée à ce genre d'accueil de ta part
Julien leva la tête : cette voix lui semblait plus que familière. Dans l'embrasure de
la porte ouverte se tenait une jeune femme d'une trentaine d'années. Brune aux cheveux
divinement long, ses yeux bleu clairs illuminaient son visage. Il reste figé,
attendant encore qu'elle parle pour être rassuré.
- Je n'allais tout de même pas partir sans te voir, compléta-t-elle d'un large
sourire.
Cette fois, il n'avait aucun doute : c'était bien Sophie. Surpris qu'elle soit là,
surpris de la découvrir, surpris de voir combien elle était belle.
Julien se leva pour l'inviter à entrer. Il lui fit la visite de son "antre". Au moment
où ils passèrent derrière son bureau, Sophie fut surprise :
- J'ai la même photo en fond d'écran !
La similitude des goûts de ces deux personnes étaient surprenante. Et ça leur
plaisait. Ils en sourirent, avec un brin de complicité.
Julien la trouvait de plus en plus belle, évoluant ainsi dans son bureau. Il ne put
s'empêcher d'examiner sa silhouette. A tel point qu'elle le remarqua, les yeux fixés
sur ses fesses.
- Elles te plaisent ?
Julien était confus. Il n'allait pas dire non, mais qu'allait-elle en penser ?
- Fortement. Qui plus, parfaitement mises en valeur par ton jean...
Julie attendait sa réaction. Sophie souria, flattée. Visiblement, elle n'était pas
choquée. Elle s'approcha de Julien, prit sa main et la posa sur sa fesse.
- Et là, elle te plait mieux ?
Julien n'aurait pas espéré autant. Il la saisit par la taille et approcha son visage
pour l'embrasser. Elle ne le repoussa pas, bien au contraire. Son baiser fut fougueux.
Julien la serra tout contre lui.
- Oh là, on dirait bien que je te fais un sacré effet dit Saophie
Il faut dire qu'en plus de son baiser, une bosse dans son pantalon trahissait
visiblement son excitation. Elle passa sa main entre ses jambes pour le caresser et
bien lui faire comprendre qu'elle l'avait remarqué.
Julien passa sa main dans son dos sous son petit haut. Puis il saisit ses seins,
fermes. Sophie pencha la tête en arrière de plaisir et coinça une de ses jambes
derrière celle de Julien.
Un bruit se fit entendre dans un des bureaux : ils n'étaient pas seuls. Ils défirent
leur étreinte un instant pour écouter, puis Sophie proposa :
- Chut, suis moi.
Elle le prit par la main et se dirigèrent vers la porte de sortie. Sur le palier, elle
l'interrogea :
- Homme ou femme ?
Julien ne comprit pas, et devant son hésitation, elle les amena finalement dans les
toilettes des hommes. Julien se laissait faire, à la fois conquis et ne sachant trop
ses intentions.
Passé la première porte, ils entrèrent dans le box réservé aux handicapés, plutôt
grand. La lumière s'alluma automatiquement.
Julien voulut dire quelque chose. Sophie lui posa l'index sur les lèvres pour le faire
taire :
- Si tu veux savoir pourquoi, sache que cela fait un moment que j'en avais envie. Je
me sens bien avec toi, même si on ne s'est jamais vu. Alors aujourd'hui, je vois voir
si mes impressions sont justifiées.
Elle poussa Julien contre le mur et immobilisa ses mains. Elle l'embrassa
fougueusement. Elle ne relâcha son emprise que pour descendre les mains le long de son
torse jusqu'au bord de son pantalon. Là, elle le défit, entraina dans la foulé le
caleçon de Julien. Il lui était alors difficile de dissimuler son excitation. Ce
n'était pas pour déplaire à Sophie qui salua cette manifestation en prenant son sexe à
pleine main. Julien l'observait, toujours sous l'emprise de la surprise.
Sa main commença un lent et ferme mouvement de va-et-vient. Lorsque le sexe de Julien
atteignit sa longueur maximale, Sophie décida d'y gouter copieusement. Julien se
bloquait contre le mur, n'osant pas bouger de peur d'y perdre la moindre sensation.
Sophie continua à savourer son sexe, semblant vouloir lui donner autant de plaisir
qu'elle en ressentait. Puis, tout en le tenant encore en main, elle commença à
descendre avec sa langue le long de son sexe jusqu'à sa base. Elle remonta selon le
même rituel, le mordillant légèrement par moment.
Julien n'en pouvait plus et il sentait son plaisir monter. Sophie sentit sous ses
doigts, le sexe de Julien grossir et son bassin onduler pour accentuer la sensation
des caresses qu'elle lui prodiguait. Et très vite, Julien ne put se retenir, et se
laissa jouir sous les dernières caresses de Sophie.
Elle se releva pour l'embrasser tout en le laissant se remettre de ses émotions.
Julien la saisit par la tête pour l'embrasser avec autant de plaisir. Qu'il était bon
de la tenir, de sentir sa langue contre ses lèvres...
Il s'accroupit pour attraper son pantalon et s'habiller. Sophie le regarda un instant,
et alors qu'il allait le refermer, elle le regarda :
- Dis donc, où comptes tu alors comme ça ?
Elle lui fit volte face et tout en se penchant, plaqua ses mains contre la porte de
sortie. Il ne pouvait plus sortir. Elle tourna alors la tête vers lui par dessus son
épaule :
- Je n'en resterai pas là. Je t'ai témoigné mon envie de toi. Maintenant, à toi de
montrer la tienne !
Julien n'avait pas vraiment le choix, mais il n'allait pas s'en plaindre. Sa petite
jupe n'avait aucune raison de lui résister. Il la releva sur son dos, révélant ainsi
des très jolies fesses surlignées d'un string. Il ne put s'empêcher de les embrasser
ce qui provoqua un léger sursaut de Sophie au contact de ses lèvres chaudes et humides
sur sa peau.
Il passa les mains sur ses hanches pour retirer le petit tissu. Sophie se cambra à la
sensation du string qui glissait le long de ses jambes. Elle n'avait plus que quelques
instant à attendre avant qu'il ne décide de la prendre. Même si jusqu'à présent elle
avait pris les devants, il lui tardait que Julien prenne les initiatives. Elle voulait
s'offrir à lui autant qu'elle l'avait entrepris.
Julien passa la main entre les jambes de Sophie. Sa peau était douce ; son sexe rasé.
du bout des doigts il sentit la fraicheur de ses lèvres, pulpeuses, désireuses. Il se
hasarda au gré d'un de ses va-et-vient, à glisser son majeur toute le long de ce
sillon attentif. Sophie respira profondément lorsqu'elle sentit ses caresses. Qu'il
était bon de sentir ses mains sur elle.
Il remonta le long de ses fesses, pour en palper la fermeté et toute la rondeur,
parfaitement proportionnée. Julien s'approcha un peu plus pour sentir la chaleur de sa
peau tout contre ses cuisses. Bien sûr, son intention n'était pas limitée à cette
sensation. Et son sexe se positionna tantôt entre ses fesses, tantôt entre ses
cuisses. Il joua cette fois-ci en le passant là où il y a quelques instants seulement,
ses doigts s'étaient aventurés. Sophie sursautait légèrement à chaque fois qu'elle
sentait le sexe de Julien se plaquer de toute sa longueur contre le sien. Elle
s'attendait à chaque instant à ce qu'il la prenne. Et ces petits jeux ne faisaient
qu'accroitre son envie. Elle le voulait en elle, mais cette fois, dans son intimité
profonde. Elle passa à son tour la main entre les jambes pour caresser et saisir le
sexe de Julien. Il n'allait pas jouer à ça bien longtemps. Bien coincé entre ses
doigts et ses lèvres, le sexe de Julien était à sa merci. Julien ne comprit pas
l'appel au premier coup, alors Sophie dut lui indiquer clairement son envie immédiate.
Julien s'était légèrement retiré et allait très certainement encore jouer avec le sexe
de Sophie. Elle en profita pour presser sa verge contre elle tandis que Julien
s'avançait. Excitée depuis un moment, par ses envies et les caresses de Julien, son
sexe n'eut aucune difficulté à s'ouvrir pour laisser entrer le prétendant. Julien
soupira au contact chaud et humide du vagin de Sophie le long de son sexe. Sophie
maintint sa main sur tout contre la verge de Julien qui s'introduisait en elle pour
bien s'assurer qu'il ne parte pas. Elle se cambra autant qu'elle put pour offrir tout
la profondeur possible à Julien. Il s'enfonça d'un mouvement long et régulier jusqu'à
butter contre ses cuisses. Elle sentait son sexe grossir en elle, tenter d'aller le
plus loin possible. Elle l'accueillait avec délectation et soulagement. Enfin, il
était en elle.
A chaque fois qu'il se retirait, qu'elle sentait son sexe partir, elle aurait voulu le
retenir, se plaquer contre ses cuisses pour le sentir encore la remplir. Mais elle
n'avait qu'à attendre qu'il inverse le mouvement. Il la tenait maintenant fermement
par les hanches et accompagnait sa pénétration d'un mouvement attirant inexorablement
Sophie contre lui. Sophie ondulait à chaque passage, tantôt écartant ses fesses,
tantôt les resserrant. Elle ne savait plus que faire pour le sentir encore mieux. Les
bras tendus contre la porte, elle poussait autant qu'elle pouvait pour résister aux
assauts de Julien et jusqu'à ce qu'il vienne buter contre ses fesses. Tout son corps
tressaillait à chaque coup.
Julien ne ménageait pas ses efforts, après avoir déjà joui une première fois. Il
comptait bien la satisfaire à son tour. Le vagin de Sophie était parfaitement
lubrifié, et les mouvements qu'elle opérait était à chaque fois un délice. Il sentait
Sophie happer son sexe, vouloir le garder, le rechercher. Sa persévérance paya
bientôt. Il saisit Sophie par les fesses pour la plaquer une dernière fois tout contre
lui et la pénétrer aussi profondément que possible avant de jouir. Sophie se pencha
complètement au point de toucher le sol de ses mains : elle offrait à Julien une
dernière fois son sexe, accueillant, près à recevoir son plaisir. Elle sentit les
doigts de Julien se planter dans sa chair et une douce chaleur l'inonder... Ce moment
elle l'attendait aussi pour se laisser enfin aller à son propre plaisir.
Elle se redressa pour se plaquer de tout son corps contre celui de Julien. Elle tourna
la tête légèrement et passa la main sur sa joue tout en l'embrassant. Julien sortit
tout naturellement d'elle tandis que leur excitation retombait doucement dans une
tendre étreinte.
L'un après l'autre, ils sortirent prudemment des toilettes. Sur le palier, ils se
prirent délicatement la main. Ils rentrèrent dans le bureau. Sophie prit ses affaires
sans un mot puis s'approcha de Julien pour l'embrasser avant de partir. L'étreinte fut
délicieuse, douce, chaleureuse. Julien garda sa main dans la sienne, autant de temps
qu'il le put tandis qu'elle s'éloignait. A la porte de son bureau, elle se retourne
pour lui sourire et lui fit un dernier geste de la main.
Julien reste un instant debout, seul dans son bureau. Repensait à ces instants...
Avait-il rêvé ? En partant, il eut un dernier regard vers la porte des toilettes, un
sourire aux lèvres. Son téléphone vibra alors. C'était Sophie qui lui envoyait un mail
:
"Moi aussi, Julien, en partant, je suis resté à regarder la porte"
train quotidien. Il passe son temps au téléphone, à dépanner à distance ses collègues,
parfois quelques clients. Enfermé dans son bureau, il étouffe.
Mais, dans cette morosité bureaucratique, il a découvert un plaisir : Sophie, une
collègue de leur agence de Lyon. Ils ont échangé par mail tout d'abord, pour problème
technique, croit-il se rappeler. Le ton était sympathique, avec une pointe d'humour.
Cela l'a marqué, car habituellement, il peut s'estimer heureux si on lui envoie un
simple "merci", voire même une réponse. Pourtant, il ne manque pas les réunions du CE,
les petits pots entre collègues. Mais, son travail, personne n'en voudrait. "Le
travail de l'ombre", "le locataire du bureau 17B"... voilà ce qu'il est.
Alors, lorsqu'il reçoit un mail de Sophie, pour lui, c'est un petit plaisir. Pas
grand'chose, juste quelques mots, une plaisanterie, un clin d'oeil, une anecdote sur
une situation. Il a eu la chance de l'avoir au téléphone, et sa voix douce l'a charmé.
Non seulement d'être sympathique, sa voix était un régal aux oreilles. Qui plus est,
il continuait alors leur discussion virtuelle en direct. Sophie, c'était sa bulle
d'oxygène. Au moins lorsqu'il faisait passer un de ses dossiers devant les autres,
elle savait le remercier chaleureusement. La réciproque était vraie aussi.
Forcément, cette entente lui a donné envie d'en savoir plus. Il y avait bien un
trombinoscope des salariés, mais elle n'y figurait pas : absente le jour de la photo
de classe ! Il aurait bien été tenté de lui demander sa photo, mais sous quel prétexte
sans que cela paraisse "louche".
Le courant passait très bien entre les collègues, n'hésitant pas au fil des mails, à
échanger de façon plus intime. Elle de lui confier qu'elle préférait gouter aux
plaisirs de la vie, sans attachement. Lui, aimant les situations inopinées, un peu
folles...
Mais ce lundi était un peu particulier. Une fois par an, tous les salariés du groupe
étaient conviés à une réunion au siège. Bilans, projets, objectifs... les réunions se
succédaient. Ce n'est pas forcément ce que Julien adore. Cependant, il espérait bien
rencontrer enfin Sophie.
Au matin, tous le monde fut réunis pour un petit déjeuner. Julien scruta le badge
nominatif de chaque femme, discrètement. Il y avait bien une Sophie, mais l'age et la
voix ne correspondaient pas. Sa quête fur vaine, et sans motivation qu'il alla
s'asseoir pour écouter parler une personne totalement inconnue. Il surveilla d'un
oeil les retardataires arrivant. Mais le flot se tarit. Il finit par se résoudre à ne
pas la voir, tout en étant inquiet de cette absence.
Les interventions se succédèrent, ponctuées par quelques poses. Il y croyait encore...
La journée se finit. Julien n'était plus du tout dans l'ambiance, pensant déjà au
travail en retard qui s'était accumulé. Les "modalités" de fin de séminaire expédiées,
Julien regagna son bureau. Il est clair que sa journée ne s'était pas déroulée comme
il l'espérait. Alors, le meilleur remède, c'était de travailler un peu. Les autres
bureaux étaient vides, ils ne serait pas dérangé. Il s'installa dans une forme
d'automatisme. Mais ce n'était pas évident de se concentrer sans penser à Sophie.
Il fronça les sourcils pour se faire violence, la tête dans l'écran. Il pensait être
seul, mais il entendit quelques collègues passer, certainement pour récupérer quelques
effets dans leurs bureaux. Il ne s'en inquiéta pas, même si leur présence le
dérangeait dans le silence de la soirée.
On frappa à sa porte.
- C'est pour quoi ? ronchonna-t-il sans prendre la peine de quitter son écran des yeux
- Et bien, je ne suis pas habituée à ce genre d'accueil de ta part
Julien leva la tête : cette voix lui semblait plus que familière. Dans l'embrasure de
la porte ouverte se tenait une jeune femme d'une trentaine d'années. Brune aux cheveux
divinement long, ses yeux bleu clairs illuminaient son visage. Il reste figé,
attendant encore qu'elle parle pour être rassuré.
- Je n'allais tout de même pas partir sans te voir, compléta-t-elle d'un large
sourire.
Cette fois, il n'avait aucun doute : c'était bien Sophie. Surpris qu'elle soit là,
surpris de la découvrir, surpris de voir combien elle était belle.
Julien se leva pour l'inviter à entrer. Il lui fit la visite de son "antre". Au moment
où ils passèrent derrière son bureau, Sophie fut surprise :
- J'ai la même photo en fond d'écran !
La similitude des goûts de ces deux personnes étaient surprenante. Et ça leur
plaisait. Ils en sourirent, avec un brin de complicité.
Julien la trouvait de plus en plus belle, évoluant ainsi dans son bureau. Il ne put
s'empêcher d'examiner sa silhouette. A tel point qu'elle le remarqua, les yeux fixés
sur ses fesses.
- Elles te plaisent ?
Julien était confus. Il n'allait pas dire non, mais qu'allait-elle en penser ?
- Fortement. Qui plus, parfaitement mises en valeur par ton jean...
Julie attendait sa réaction. Sophie souria, flattée. Visiblement, elle n'était pas
choquée. Elle s'approcha de Julien, prit sa main et la posa sur sa fesse.
- Et là, elle te plait mieux ?
Julien n'aurait pas espéré autant. Il la saisit par la taille et approcha son visage
pour l'embrasser. Elle ne le repoussa pas, bien au contraire. Son baiser fut fougueux.
Julien la serra tout contre lui.
- Oh là, on dirait bien que je te fais un sacré effet dit Saophie
Il faut dire qu'en plus de son baiser, une bosse dans son pantalon trahissait
visiblement son excitation. Elle passa sa main entre ses jambes pour le caresser et
bien lui faire comprendre qu'elle l'avait remarqué.
Julien passa sa main dans son dos sous son petit haut. Puis il saisit ses seins,
fermes. Sophie pencha la tête en arrière de plaisir et coinça une de ses jambes
derrière celle de Julien.
Un bruit se fit entendre dans un des bureaux : ils n'étaient pas seuls. Ils défirent
leur étreinte un instant pour écouter, puis Sophie proposa :
- Chut, suis moi.
Elle le prit par la main et se dirigèrent vers la porte de sortie. Sur le palier, elle
l'interrogea :
- Homme ou femme ?
Julien ne comprit pas, et devant son hésitation, elle les amena finalement dans les
toilettes des hommes. Julien se laissait faire, à la fois conquis et ne sachant trop
ses intentions.
Passé la première porte, ils entrèrent dans le box réservé aux handicapés, plutôt
grand. La lumière s'alluma automatiquement.
Julien voulut dire quelque chose. Sophie lui posa l'index sur les lèvres pour le faire
taire :
- Si tu veux savoir pourquoi, sache que cela fait un moment que j'en avais envie. Je
me sens bien avec toi, même si on ne s'est jamais vu. Alors aujourd'hui, je vois voir
si mes impressions sont justifiées.
Elle poussa Julien contre le mur et immobilisa ses mains. Elle l'embrassa
fougueusement. Elle ne relâcha son emprise que pour descendre les mains le long de son
torse jusqu'au bord de son pantalon. Là, elle le défit, entraina dans la foulé le
caleçon de Julien. Il lui était alors difficile de dissimuler son excitation. Ce
n'était pas pour déplaire à Sophie qui salua cette manifestation en prenant son sexe à
pleine main. Julien l'observait, toujours sous l'emprise de la surprise.
Sa main commença un lent et ferme mouvement de va-et-vient. Lorsque le sexe de Julien
atteignit sa longueur maximale, Sophie décida d'y gouter copieusement. Julien se
bloquait contre le mur, n'osant pas bouger de peur d'y perdre la moindre sensation.
Sophie continua à savourer son sexe, semblant vouloir lui donner autant de plaisir
qu'elle en ressentait. Puis, tout en le tenant encore en main, elle commença à
descendre avec sa langue le long de son sexe jusqu'à sa base. Elle remonta selon le
même rituel, le mordillant légèrement par moment.
Julien n'en pouvait plus et il sentait son plaisir monter. Sophie sentit sous ses
doigts, le sexe de Julien grossir et son bassin onduler pour accentuer la sensation
des caresses qu'elle lui prodiguait. Et très vite, Julien ne put se retenir, et se
laissa jouir sous les dernières caresses de Sophie.
Elle se releva pour l'embrasser tout en le laissant se remettre de ses émotions.
Julien la saisit par la tête pour l'embrasser avec autant de plaisir. Qu'il était bon
de la tenir, de sentir sa langue contre ses lèvres...
Il s'accroupit pour attraper son pantalon et s'habiller. Sophie le regarda un instant,
et alors qu'il allait le refermer, elle le regarda :
- Dis donc, où comptes tu alors comme ça ?
Elle lui fit volte face et tout en se penchant, plaqua ses mains contre la porte de
sortie. Il ne pouvait plus sortir. Elle tourna alors la tête vers lui par dessus son
épaule :
- Je n'en resterai pas là. Je t'ai témoigné mon envie de toi. Maintenant, à toi de
montrer la tienne !
Julien n'avait pas vraiment le choix, mais il n'allait pas s'en plaindre. Sa petite
jupe n'avait aucune raison de lui résister. Il la releva sur son dos, révélant ainsi
des très jolies fesses surlignées d'un string. Il ne put s'empêcher de les embrasser
ce qui provoqua un léger sursaut de Sophie au contact de ses lèvres chaudes et humides
sur sa peau.
Il passa les mains sur ses hanches pour retirer le petit tissu. Sophie se cambra à la
sensation du string qui glissait le long de ses jambes. Elle n'avait plus que quelques
instant à attendre avant qu'il ne décide de la prendre. Même si jusqu'à présent elle
avait pris les devants, il lui tardait que Julien prenne les initiatives. Elle voulait
s'offrir à lui autant qu'elle l'avait entrepris.
Julien passa la main entre les jambes de Sophie. Sa peau était douce ; son sexe rasé.
du bout des doigts il sentit la fraicheur de ses lèvres, pulpeuses, désireuses. Il se
hasarda au gré d'un de ses va-et-vient, à glisser son majeur toute le long de ce
sillon attentif. Sophie respira profondément lorsqu'elle sentit ses caresses. Qu'il
était bon de sentir ses mains sur elle.
Il remonta le long de ses fesses, pour en palper la fermeté et toute la rondeur,
parfaitement proportionnée. Julien s'approcha un peu plus pour sentir la chaleur de sa
peau tout contre ses cuisses. Bien sûr, son intention n'était pas limitée à cette
sensation. Et son sexe se positionna tantôt entre ses fesses, tantôt entre ses
cuisses. Il joua cette fois-ci en le passant là où il y a quelques instants seulement,
ses doigts s'étaient aventurés. Sophie sursautait légèrement à chaque fois qu'elle
sentait le sexe de Julien se plaquer de toute sa longueur contre le sien. Elle
s'attendait à chaque instant à ce qu'il la prenne. Et ces petits jeux ne faisaient
qu'accroitre son envie. Elle le voulait en elle, mais cette fois, dans son intimité
profonde. Elle passa à son tour la main entre les jambes pour caresser et saisir le
sexe de Julien. Il n'allait pas jouer à ça bien longtemps. Bien coincé entre ses
doigts et ses lèvres, le sexe de Julien était à sa merci. Julien ne comprit pas
l'appel au premier coup, alors Sophie dut lui indiquer clairement son envie immédiate.
Julien s'était légèrement retiré et allait très certainement encore jouer avec le sexe
de Sophie. Elle en profita pour presser sa verge contre elle tandis que Julien
s'avançait. Excitée depuis un moment, par ses envies et les caresses de Julien, son
sexe n'eut aucune difficulté à s'ouvrir pour laisser entrer le prétendant. Julien
soupira au contact chaud et humide du vagin de Sophie le long de son sexe. Sophie
maintint sa main sur tout contre la verge de Julien qui s'introduisait en elle pour
bien s'assurer qu'il ne parte pas. Elle se cambra autant qu'elle put pour offrir tout
la profondeur possible à Julien. Il s'enfonça d'un mouvement long et régulier jusqu'à
butter contre ses cuisses. Elle sentait son sexe grossir en elle, tenter d'aller le
plus loin possible. Elle l'accueillait avec délectation et soulagement. Enfin, il
était en elle.
A chaque fois qu'il se retirait, qu'elle sentait son sexe partir, elle aurait voulu le
retenir, se plaquer contre ses cuisses pour le sentir encore la remplir. Mais elle
n'avait qu'à attendre qu'il inverse le mouvement. Il la tenait maintenant fermement
par les hanches et accompagnait sa pénétration d'un mouvement attirant inexorablement
Sophie contre lui. Sophie ondulait à chaque passage, tantôt écartant ses fesses,
tantôt les resserrant. Elle ne savait plus que faire pour le sentir encore mieux. Les
bras tendus contre la porte, elle poussait autant qu'elle pouvait pour résister aux
assauts de Julien et jusqu'à ce qu'il vienne buter contre ses fesses. Tout son corps
tressaillait à chaque coup.
Julien ne ménageait pas ses efforts, après avoir déjà joui une première fois. Il
comptait bien la satisfaire à son tour. Le vagin de Sophie était parfaitement
lubrifié, et les mouvements qu'elle opérait était à chaque fois un délice. Il sentait
Sophie happer son sexe, vouloir le garder, le rechercher. Sa persévérance paya
bientôt. Il saisit Sophie par les fesses pour la plaquer une dernière fois tout contre
lui et la pénétrer aussi profondément que possible avant de jouir. Sophie se pencha
complètement au point de toucher le sol de ses mains : elle offrait à Julien une
dernière fois son sexe, accueillant, près à recevoir son plaisir. Elle sentit les
doigts de Julien se planter dans sa chair et une douce chaleur l'inonder... Ce moment
elle l'attendait aussi pour se laisser enfin aller à son propre plaisir.
Elle se redressa pour se plaquer de tout son corps contre celui de Julien. Elle tourna
la tête légèrement et passa la main sur sa joue tout en l'embrassant. Julien sortit
tout naturellement d'elle tandis que leur excitation retombait doucement dans une
tendre étreinte.
L'un après l'autre, ils sortirent prudemment des toilettes. Sur le palier, ils se
prirent délicatement la main. Ils rentrèrent dans le bureau. Sophie prit ses affaires
sans un mot puis s'approcha de Julien pour l'embrasser avant de partir. L'étreinte fut
délicieuse, douce, chaleureuse. Julien garda sa main dans la sienne, autant de temps
qu'il le put tandis qu'elle s'éloignait. A la porte de son bureau, elle se retourne
pour lui sourire et lui fit un dernier geste de la main.
Julien reste un instant debout, seul dans son bureau. Repensait à ces instants...
Avait-il rêvé ? En partant, il eut un dernier regard vers la porte des toilettes, un
sourire aux lèvres. Son téléphone vibra alors. C'était Sophie qui lui envoyait un mail
:
"Moi aussi, Julien, en partant, je suis resté à regarder la porte"
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