Quand Jeanne decouvre le trio et la transformation d'une banana split en cornet au chocolat (suite) - histoire érotique

Nous sommes donc au Pub sur les Champs Elysées ou nous avons dégusté une bonne glace, banana split pour Jeanne et un colonel pour moi, ceci servi par un bel antillais prénommé Max.

Nous regagnons notre véhicule, et Max monte à l'arrière, il demeure à une dizaine de minutes des Champs, il me guide, et nous arrivons devant un immeuble ancien ou il nous dit occupé une chambre de bonne au 6ème étage. Heureusement il y a un ascenseur jusqu'au 5ème, les chambres de bonne sont desservies par un étroit escalier plutôt raide.

J'invite Jeanne à passer la première ce qui est contraire aux usages mais cela n'est pas innocent, je laisse Max passer ensuite et je ferme la marche. Bien sur, Jeanne n'a toujours pas de culotte et Max peut à loisir lui mater le cul et la chatte sans vergogne.
Je dois avouer que je commence à bander ferme.

Nous arrivons sur le palier et Max malgré sa carnation laisse apparaître qu'il en a eu pour son "argent". Il ouvre la porte d'une chambrette propre et bien agencée, il nous désigne le lit pour nous asseoir, car il n'a que la place pour deux chaises, dont l'une est occupée par une mini chaîne Hi Fi. Il mets d'ailleurs une douce musique des îles et nous propose un punch dont il a parait-il un art consommé.

Le lit est bas et Jeanne a les genoux plus haut que les fesses ce qui l'oblige à écarter les jambes pour garder l'équilibre, et lorsque Max nous tend nos verres il a une vue plongeante sur la chatte de Jeanne qui s'est soigneusement épilée ce matin en faisant sa toilette. Voir Jeanne s'épiler la chatte est un vrai régal, de plus je sais que cela la fait mouiller toute la journée, de se savoir offerte aux regards vicieux des hommes.

Max va pour s'asseoir sur la chaise, mais je lui dit qu'il y a de la place pour trois car il a malgré tout un deux places. Jeanne se retrouve donc entre nous et le poids de Max la fait basculer en arrière, j'ai juste le temps de rattraper son verre qu'elle avait déjà bien attaqué heureusement, mais un peu de punch se renverse juste à la jointure de ses cuisses. Je goutte le breuvage et déclare, une si bonne potion il serait dommage de la perdre, Max dévoue toi, Jeanne va avoir les cuisses toutes collantes, il va pour se lever, et Jeanne cette chienne lui dit " non avec ta langue pas avec une serviette".
Elle se renverse alors complètement en arrière offrant ainsi ses cuisses et son sexe béant à la gourmandise de notre hôte, qui lentement passant d'une cuisse à l'autre remonte vers le divin con de mon épouse dont elle écarte les lèvres à deux mains pour mieux se faire bouffer.

De mon coté, j'ai déboutonné la robe et suce triture et torture ses seins qui bandent comme deux petites bites. Je ne l'ai jamais vu aussi excitée, elle appui sur la tête de Max pour qu'il la baise encore plus profond avec sa langue.

Max qui ressort d'entre les cuisses de Jeanne le visage maculé de mouille, dégrafe son pantalon et en sort un superbe sexe noueux d'une bonne vingtaine de cms et très large, le gland est violacé et la hampe noire et luisante.

Jeanne en reste bouche bée devant ce superbe "cornet glacé" avec ses deux belles boules, elle engloutit la queue comme une affamé et le pompe sur toute la longueur l'enduisant de salive, puis elle se met à lécher les couilles bien rondes remontant jusqu'à la raie, pour revenir titiller le gland de la langue

De mon coté, j'ai pris la place de Max et lui dévore le cul, lui mouillant la rondelle et l'enculant avec ma langue afin de la préparer à ce sandwich tropical.

Pendant qu'il se fait sucer, Max lui malaxe les seins en tirant sur les bouts ce que Jeanne adore. Ces préliminaires durent un bon moment, et Jeanne nous demande alors de nous mettre à poil, ce que nous faisons et elle se saisit de nos deux sexes et nous suce à tour de rôle, essayant même de nous prendre ensemble, mais Max est trop gros.

Je fais alors allonger Max sur le dos, Jeanne vient s'empaler sur la belle bite non sans mal malgré mes préparatifs et sa chatte gluante de mouille, elle commence alors à monter et descendre sur la queue de max qui lui écarte les fesses me présentant ainsi la rondelle de mon épouse. Je me place derrière Jeanne et pointe ma queue sur son oeillet plissé, je pousse et l'encule doucement mais fermement, jusqu'à ce que mes couilles giflent ses fesses.

Nous nous accordons alors avec Max pour imprimer un mouvement lent mais puissant tirant de Jeanne des cris de jouissance qu'elle ne peut étouffer.

Au moment de décharger je sors de l'anus de Jeanne et lui donne ma bite à sucer et nettoyer, pendant que Max plus endurant continu de lui limer le con comme un malade. Folle de jouissance Jeanne lui demande de l'enculer, il change alors de trou et devant la perversion de cette salope il lui décharge de longs jets de foutre dans les intestins lui faisant un vrai lavement.

Lorsqu'il se retire du foutre s'écoule du cul de Jeanne et vient se répandre sur sa moule encore béante et rouge du traitement subi par le gourdin de Max.

Nous allons tous sous la douche, grande pour la pièce, et nos mains continues à s'égarer sur le corps alangui et offert de Jeanne.

Nous regagnons alors la chambre ou nous nous endormons dans un sommeil réparateur.