Quand une mère m'offre sa fille.
Récit érotique écrit par Clopin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-02-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Quand une mère m'offre sa fille.
Mon copain Éric partait dans le sud pour deux semaines sous le chaud soleil de Cuba durant les vacances d’hiver. Il m’avait demandé si je pouvais aller aider sa mère durant son absence au cas où elle aurait besoin. Sa mère était divorcée depuis trois ans et n’avait toujours pas d’homme pour l’aider à la maison. Éric m’avait dit que si sa mère m’appelait ça serait surement pour déneiger la cour ou rentrer du bois de chauffage, rien de bien malin. J’ai accepté sans problème, car Éric est un bon ami et qu’en plus j’aurais peut-être la chance de croiser sa charmante petite sœur Nadine. Une vraie beauté, elle a 20 ans soit que deux ans de moins que moi et quelle fille ! De beaux cheveux blond platine, une silhouette splendide et un teint pâle qui la rendait encore plus craquante. Pas besoin de vous dire qu’Éric en bon grand frère déteste quand je lui parle de sa petite sœur. De plus il refuse catégoriquement qu’on l’invite dans nos partys par peur qu’un de nous ne lui touche. Malheureusement pour lui, les charmes de sa sœur son ravageur et sa beauté en fait parlés plus d’un.
Bref, Éric était parti depuis trois jours. Le chanceux se dorait la couenne au soleil, alors qu’ici le temps froid était glacial et les bordées de neige s’accumulait bien vite. Il n’en fallut pas bien longtemps pour que la mère d’Éric m’appelle en renfort le mardi matin.
-Bonjour, c’est la mère d’Éric. Il m’avait dit de t’appeler si j’avais besoin et avec toute la neige tombée cette nuit la cour est pleine ce matin. Pourrais-tu venir déneiger la cour, ça m’aiderait énormément.
-Parfait, je vais passer dans quelques minutes. Il n’y a pas de problème.
-Merci, vient et je te ferai à déjeuner en échange.
En moins de 15minutes j’avais mon manteau sur le dos et mes bottes dans les pieds. J’ai marché trois rues plus loin et je suis arrivé devant la maison de la mère à Éric. J’ai cogné à la porte et tout de suite sa mère est venue me répondre. Elle belle dame début quarantaine, de beaux cheveux châtain bouclés et avec quelques taches de rousseur au visage. Son sourire était magnifique et que dire, une belle femme comme elle ne resterait pas célibataire encore longtemps, j’en étais sûr. Elle me montra où était les pelles et me m’indiqua où je devais déneiger. Le vent était froid et la neige pesante, il me fallut une bonne demi-heure pour tous déneiger. Je suis rentré tout de suite pour me réchauffer, j’avais l’estomac dans les talons. La mère d’Éric est venue me voir et rangea mon manteau.
-Encore merci ! C’est vraiment gentil d’être venu, normalement c’est Éric qui le fait, mais bon, il est loin de l’hiver celui-là !
-Ça m’a fait plaisir Madame Tremblay.
-Voyons, tu peux m’appeler Natalie ! Allez vient je t’ai préparé un déjeuner.
La table était mise et deux bonnes assiettes bien remplies attendaient. Natalie prie place à mes côtés et je lui ai demandé si Nadine était là. Elle me regarda avec un petit sourire en coin et m’expliqua qu’elle dormait encore. Que Nadine avait été dansée toute la nuit avec des copines et qu’elle ne se réveillerait pas avant une bonne heure. Elle me questionna alors sur moi.
-Alors, un charmant gars comme toi, dois surement avoir une copine quelque part?
-Désolé, pas copine à l’horizon. Je ne suis pas un grand charmeur. C’est plus votre fils Éric qui est convoité quand on sort.
-Voyons, tu parais bien, tu es gentil et très poli. Tu dois bien avoir eu quelques histoires d’un soir ou une amie avec qui tu passes quelques bonnes nuits ?
La question me fit l’effet d’une bombe. La mère d’Éric venait vraiment de me demander si j’avais une fuck friend ou des one nights ? Ma bouchée de bacon stoppa net et en une minute je devins rouge et j’ignorais quoi dire. Natalie s’emblait amuser de me voir gêné et avec un léger rire continua.
-Ne soit pas timide, j’ai déjà été jeune tu sais ? J’ai vécu peins d’histoire et je sais ce que sait d’être jeune et de pouvoir flirté, dragué et avoir toutes sortes d’histoires. Je m’ennuie de cette époque. J’aimerais tellement pouvoir vivre sa à nouveau.
-Pourquoi pas ? Vous êtes célibataire.
-À mon âge ? Je ne crois pas, je n’ai plus les charmes que j’avais à 20 ans.
-Voyons, vous paraissez super bien. Je suis sûr que y’a plein d’hommes qui se battrait pour vous sur un plancher de danse.
Ma remarque fit bien rire Natalie qui ne semblait pas vraiment me croire, mais qui me regardait avec un drôle de sourire. Malgré tout, je l’observais et je devais avouer que j’avais raison. Natalie était une de ses femmes qui prend soin d’elle, s’entraine pour garder la forme, s’habille de belle façon et qui a le charme d’une belle personnalité. En plus je devais avouer que sa camisole me laissait apercevoir une poitrine de rêve.
-Vous pouvez me croire, vous êtes encore très jolie.
-Alors comme sa tu me trouves belle?
-Heee…bien oui, vous paraissez encore très bien.
Ces yeux me jetaient des regards narquois et son sourire en coin me laissait croire qu’elle adorait me mettre mal à l’aise. Je devais être rouge comme une tomate, heureusement pour moi, la belle Nadia fit son entrée dans la cuisine. Elle ne portait qu’une simple robe de chambre blanche. Ses yeux étaient légèrement cernés et ses cheveux blonds tous emmêlés. Elle me fit un léger sourire et elle prit une rôtie en expliquant à sa mère qu’elle passerait la journée chez une amie. Pendant que les discutait mon regard fixait cette douce beauté. Sa robe de chambre était courte et me laissait le plaisir d’observer ses petites jambes blanches et cachait à la limite le commencement de ses fesses. Une fine chaine en or venait tomber dans le léger creux de sa poitrine. Quel délice pour les yeux, juste la voir ainsi valait la peine de venir déneiger. Nadine finit par remonter dans sa chambre. J’espérais pouvoir reprendre une conversation normale et moins gênante, mais comble de moi ce fît pire. Natalie me lança un regard de démone.
-Alors, ma fille Nadine te plait, bien je crois.
-Heeee, oui un peu. Elle est jolie, disons.
-Juste jolie ? Tu es trop timide, je crois que tu trouves ma fille un peu plus que jolie? Tu sais, elle a presque ton âge. Je suis sûr que tu lui plais.
- Heee, je ne crois pas que je suis son genre. Alors, sinon, merci pour le déjeuner.
-Ha haha, ça me fait plaisir. Désolé de t’avoir gêné. Veux-tu un peu de café avant de partir ?
-Avec plaisir.
Son regard était terrible à la limite entre celui d’une démone et d’une tigresse. Elle prépara deux tasses de café et m’invita à la suivre au salon. Durant ce temps, la belle Nadine descendit l’escalier, cette fois-ci habillée d’un jeans bien moulant et d’une simple camisole blanche. J’adorais ses cheveux blond coupé court et ses yeux fins mis en évidence par un trait de crayon noir. Elle passa au salon pour saluer sa mère avant de partir. Elles discutèrent de l’heur qu’elle rentrerait pendant que moi je me rinçais l’œil de cette Beauté. Mon regard se baladait sur le dos de Nadine et s’attarda plus bas, mais soudain j’ai remarqué combien Natalie venait de me surprendre à matté le derrière de sa fille. Tout de suite j’ai baissé la tête pour fixer mes souliers et faire comme si de rien n’était. C’est alors que Natalie demanda à Nadine de bien vouloir lui donner la télécommande qui se trouvait sur la petite table de salon près de la télé. Nadine c’est penchée et quelles fesses! Elle portait un petit sting mauve qui avait fait surface de ses jeans taille basse. Puis elle donna la bise à sa mère et parti en coup de vent. J’avais presque terminé mon café, Natalie me regardait et semblait rire toute seule. Sachant qu’elle m’avait vu, je n’osais même pas lui demander ce qui était drôle.
-Mmmm juste jolie? C’est drôle, car avec le physique qu’elle a, la plupart des garçons diraient de Nadine qu’elle est très sexy. Elle a un corps de rêve, comme moi quand j’avais son âge. Bref, tu n’as jamais pensé à l’inviter à sortir ?
-Hee, j’aimerais bien, mais je ne crois pas qu’Éric aimerait que je sorte sa petite sœur, Désolé.
-Ha haha, c’est vrai. Par contre, il n’est pas là cette semaine et tu es un charmant jeune homme. Je suis sûr que tu ferais un très bon parti pour ma fille.
-Merci, beaucoup…c’est très gentil.
La dernière remarque de Natalie m’avait terriblement gêné, mais je pouvais clairement voir dans son jeu. Je devais avouer que si elle voulait me matcher avec sa fille, je ne m’en plaindrais pas. J’ai terminé mon café et je me suis préparé à repartir. La neige continuait de tomber et il était certain que je devrais revenir ce soir pour déneiger à nouveau. J’étais dans l’entrée à mettre mon manteau quand Natalie me demanda d’attendre. Elle monta à l’étage et revint en souriant. Elle me remercia pour mes services et me dit qu’elle voulait me donner un petit cadeau pour me remercier. Sans que je puisse refuser, elle glissa sa main dans une de mes poches et me fit un clin d’œil complice.
-Natalie, non. J’ai dit à Éric que je viendrais avec plaisir. Je ne veux pas d’argent, c’est très gentil, mais non.
-Ne t’inquiète pas, ce n’est pas de l’argent. Allez, dehors, et reviens ce soir.
Elle me mit littéralement à la porte et referma en vitesse afin d’être sûr que je ne proteste pas davantage. J’ai glissé ma main dans ma poche et j’ai senti du tissu légèrement humide. Intrigué j’ai tout de suite regardé pour savoir ce qu’il en était. C’était un string rose bien humide, je l’ai tout de suite recaché dans ma poche. Gêné et terriblement excité de ce présent. Je suis revenu chez moi avec le sourire aux lèvres et la certitude de revenir ce soir.
Chez-moi, bien seul dans ma chambre. J’ai ressorti le bout de tissu. Le string était d’un beau rose bonbon. Il était clair que Natalie avait été fouillée dans la chambre de sa fille pour me le ramener. Quelle mère terrible, elle voulait donc me caser avec sa fille à ce point. Je touchais le tissu humide et je n’ai pu m’empêcher de le sentir. Une odeur de sexe s’en dégageait à plein nez. J’imaginais la belle Nadine qui avait portée ceci sur sa chatte et qui s’était peut-être même caressée avec. Quel délice à imaginer !
La journée fût atrocement longue, mais le soir venu vers 9h, un appel que j’attendais avec impatience est fini par venir. En moins de deux secondes, j’étais chez la mère d’Éric et je déneigeais sa cour avec grand plaisir. En quelques minutes j’avais fini et je cognais à la porte pour venir me réchauffer. Natalie est venue me répondre avec grande joie. Tout de suite elle m’invita à venir prendre une coupe de vin dans la cuisine. On jasait tranquillement, parlant du voyage d’Éric et de la météo, mais il y avait dans l’air, une drôle d’ambiance. Natalie me semblait terriblement complice et sans qu’elle m’en parle je savais qu’elle pensait au cadeau qu’elle m’avait offert. J’espérais qu’elle n’en parle pas, car je ne voulais pas rougir de nouveau. La bouteille de vin était maintenant à moins que la moitié et je n’avais toujours pas osé demander si Nadine était là. Puis Natalie s’excusa et me dit qu'elle devait monter à la salle de bain. Elle me laissa seul dans la cuisine, mais revint bien vite avec aux lèvres, un sourire malicieux.
-Nadine est dans sa chambre. Elle aimerait te parler un peu. Tu as juste à monter la voir, la porte de sa chambre n’est pas fermée.
J’ai fini ma coupe d’un trait et je suis monté. Avec un tel sourire, il était clair que Natalie était bien contente que sa fille veuille me parler. J’ai monté les marches et j’ai vu que la porte de la chambre de Nadine était légèrement entrée ouverte. Je suis donc entré sans cogner et quel ne fut pas ma surprise. Seule une petite lumière de chevet était ouverte et sur le lit je la vis. Mon cœur s’est arrêté. Nadine était là, allongée sur le lit, la main glissée entre ses cuisses blanches. Elle ne portait qu’une simple camisole et sa petite culotte mauve. Elle gémissait et je fixais la main qui était glissée sous sa culotte. Sa langue glissant sur ses lèvres, son souffle coupé par le plaisir, ses seins qui pointaient sous le tissu, tout cela était offert à ma vue. Quand elle me vit, elle figea complètement. Je venais de la surprendre en pleines caresses intimes. Je venais de m’être fait prendre au piège. Natalie avait simplement montée, avait ouvert la porte pour voir et m’avait invitée à surprendre sa fille. Figé moi aussi, Nadine semblait aussi gênée que moi. Je me suis retourné et je me suis excusé en refermant la porte derrière moi. J’étais terriblement mal à l’aise et j’ignorais quoi faire. J’étais toujours devant la porte fermée de Nadine et je ne pouvais la retirer de mes pensées. Puis j’ai senti une présence tous près de moi. Natalie sortit de la salle de bain qui était tous près et est venue vers moi. Sa démarche était lente et son sourire plus malicieux que jamais. Elle posa une main sur moi, caressant délicatement mon torse tout en se mordant les lèvres. Son index glissa doucement vers mon pantalon pour venir sentir mon érection. Elle me lança un dernier sourire et est venue me murmurer délicatement à l’oreille :
-Avec ce que tu as vu, la trouves-tu encore…juste, jolie? Allez, retourne s’y et n’oublie pas que tu m’en devras une. Allez, retourne finir ce qu’elle avait commencé.
Elle termina sa phrase et me fit signe d’entrer. Je croyais rêver et j’ignorais comment je devais agir. Donc j’ai regardé Natalie et je suis retourné dans la chambre. Cette fois-si, Nadine était sous les couverts, ses petits yeux félins m’épiaient et pouvait remarquer ma gêne. Je me suis approché doucement et je me suis assis sur le lit à ces côtés. Elle ne disait rien et sans y réfléchir j’ai osé l’embrasser. Elle me rendit mon baiser de somptueuse façon. Sans langue caressait la mienne et quel plaisir que de passer une main dans ses petits cheveux blonds. Nadine retira les draps qui la cachaient et sa main me guida sur ses seins. Je me suis mis à l’embrasser dans son cou et à descendre, elle retira sa camisole et me fit découvrir sa jolie poitrine. Deux petits seins aux mamelons bien pointus que j’ai doucement caressés, embrassés et sucés. Elle retira mon t-shirt et couvrit mon corps de doux baisers, alors que ses mains commençaient déjà à détacher mon pantalon. Couché contre elle, elle grimpa sur moi comme une chatte en chaleur. Nadine m’embrassait sur le cou, sur le torse et me mordilla légèrement un mamelon. Cette divine tigresse continua sa descente et retira mes sous-vêtements. Elle prit mon sexe dressé entre ses mains et me caressa avec un diabolique sourire. Son regard était fixé sur le mien et je pouvais voir sa langue qui se baladait sur ses lèvres. Elle licha de tout son long ma verge et l’engloutit avec gourmandise. Le plaisir était fou, un temps elle me suçait, l’autre me lichait. Son regard demeurait fixé sur le mien et jamais elle baissa les yeux. Voyant tout l’effet qu’elle me causait, elle accéléra la cadence. Utilisant sa main, ça bouche, sa langue et son regard avec encore plus d’envie! Je sentais le plaisir monter à un rythme fou et incontrôlable.
-Doucement, je sens que …
-Mmmm, t’inquiète pas, j’adore avaler et te sentir jouir dans ma bouche.
Nadine se mordit les lèvres et sa bouche reprit d’assaut mon sexe avec une hargne déchainée. Je ne pouvais tenir encore plus longtemps, elle me fit perdre la tête. Je sentais mon sperme coulé dans sa bouche et sa langue qui récoltait le tout. Sa bouche quitta alors mon sexe et passa sa langue sur sa lèvre pour récolter la dernière goutte. Elle retira sa petite culotte et me regarda droit dans les yeux.
-Mmmm, un délice! Mange-moi, donne-moi du plaisir!
Elle se coucha sur le dos et écarta les jambes en souriant. Quelle beauté ! Au centre de sa peau pâle, je pouvais voir les lèvres humide et rosée de sa petite chatte. J’ai embrassé ses cuisses de partout, plongeant ma tête entre ses jambes. Couvrant de baiser la moindre partielle de peau. Je pouvais sentir son doux parfum, le nez coller contre sa fleur bien humide. J’ai doucement caressé de mes doigts son mont de vénus parfaitement épilée et j’ai doucement passé ma langue sur sa fente. J’ai tout de suite senti son clito sur ma langue et quelle ne fut pas ses gémissements à se contact. Elle avait un goût délicieux, c’est avec passion que je me régalais de son sexe. Ses cris motivaient ma langue à toujours continuer et quel plaisir de sentir sa main dans mes cheveux qui me suppliait de ne pas arrêter. Je respirais sa fleur et ma bouche savourait pleinement son sexe, pendant que mes mains caressaient ses douces et longues jambes. Au début, elle souleva doucement ses fesses et puis j’ai entendu sa respiration et ses cris s’arrêter…son dos s’est cambré et je l’ai senti jouir. Son corps était parcouru de spasmes, ma langue semblait provoquer un émoi à chaque contact. Elle criait de plaisir et me supplia de lui faire l’amour.
J’ai remonté en prenant bien soin d’embrasser chacune de ses cuisses, de souffler doucement dans le creux de ses hanches et de licher ses seins. Dans un élan de passion, j’ai remonté mes baisés sur son cou. Ses mains griffaient mon dos et ses jambes me prirent au piège. Nous nous sommes fixés droit dans les yeux et j’ai doucement poussé la porte de son jardin. Je pouvais sentir ses lèvres se resserrer sur mon sexe. Elle poussa un grand cri et se mordit de nouveau lèvres, alors que mon sexe s’enfonçait en elle. La chaleur était douce et sa caverne bien humide. Ses yeux me fixaient avec envie et une passion dévorante. Ses jambes se ressaieraient sur mes hanches. J’accélérais mes mouvements, allant un peu plus vite et beaucoup plus fort. Ses cris, sa bouche dans mon cou et ses ongles dans mon dos, quel plaisir incendiaire. Sa peau était chaude et je pouvais sentir qu’elle jouirait de nouveau. Redoublant d’effort et de baisés, son dos se courba de nouveau. Son sexe se resserra sur le mien et ses jambes refusaient de me libérer. Elle poussa quelques cris et relâcha doucement son étreinte. Nadine m’embrassa doucement en me murmurant quel plaisir elle avait sentie. Elle m’en demanda encore, mais un sourire félin apparut sur son visage. Je me suis retiré doucement après tant de plaisir. Nadine se retourna délicatement pour se coucher sur le ventre.
-Mmmmm, s’il te plaît…Mange-moi les fesses et encule-moi. J’ai envie de sentir ta verge à cet endroit.
Elle roula ses hanches pour faire remonter et descendre ses fesses en signe d’invitation. J’ai embrassé Nadine sur la nuque et sur toute la longueur de son dos, pour venir jusqu’au début de sa raie. J’ai pétri ses jolies fesses blanches et je les ai écartées doucement. Sur la ligne de sa raie, je pouvais voir son joli anus bien rose. J’ai liché patiemment son cul et j’ai peu à peu descendu dans la fente. L’odeur était insolite, mais non repoussante. Ma langue toucha légèrement sa rosette et en fit le tour plusieurs fois. Nadine poussait de longs soupirs de plaisir qui me motivait à aller plus loin. Respirant l’odeur de ses fesses, j’ai glissé ma langue dans sa rosette. Elle remonta les fesses et me dit combien c’était bon. Ma salive coulait peu à peu sur son anus et toute sa raie fût bien humide. J’ai paisiblement remonté le long de son dos pour embrasser de nouveau sa nuque. Puis j’ai glissé mon sexe dans sa raie. Quelle douceur de sentir la peau de ses fesses caresser mon sexe jusqu’à sa rosette. Prenant tout mon temps, j’ai forcé légèrement l’entrée. Nadine gémit légèrement et resserra les fesses sur moi. Elle gémit encore et me dit de continuer. J’ai peu à peu entré mon sexe dans son anus bien serré. Ses longs soupires et ses gémissements prirent l’allure de plaisir et elle me murmura qu’elle adorait. Je goûtais au bonheur, chacun de mes mouvements me donnait un plaisir fou dans ce joli cul bien étroit.
-Allez, prends moi plus fort. J’aime que tu m’encules. Mmmmm oui continue!
Plus fort, encore plus vite, j’ai continué mes vas et viens avec acharnement. J’agrippais son cul à pleine main et j’adorais pouvoir la prendre ainsi. Entre deux cris elle tourna légèrement la tête, passa sa langue sur ses lèvres avec envie. Jamais je n’avais vu un regard aussi sexy ! Ses yeux bleus, ces cheveux blond coupé court et son sourire étaient mortels. Dans un élan de folie, j’ai légèrement giflé son cul et elle me répondit simplement oui, encore, oui ! Encore une petite claque sur sa fesse et je n’en pouvais plus. Je sentais mon plaisir monter à son apogée. Je ne pouvais plus sentir ma verge tellement le plaisir était intense ! J’ai joui d’un plaisir complément fou. J’ai doucement continué mes mouvements avant de ralentir la cadence. Puis après un dernier moment de plaisir, j’ai retiré mon sexe de son cul divin. Nadine se retourna pour m’embrasser et nous nous sommes couchés dans les bras l’un de l’autre. Ma main continuait de caresser son corps de rêve. Sa bouche ne quittait pas la mienne et c’est dans cette folie de baisés que je me suis endormi auprès d’elle.
Au matin, j’étais sur un nuage, mais je devais partir pour aller travailler. Nadine m’embrassa une dernière fois et me dit qu’on pouvait remettre ça quand je voulais. Je suis sorti de la chambre avec le sourire aux lèvres. J’ai descendu l’escalier et alors que je mettais mon manteau pour retourner chez moi, la mère de Nadine est venue me voir. Natalie avait encore son regard de démone et me dévorait des yeux. J’étais un peu gêné, mais c’était quand même elle, qui m’avait poussé à coucher avec sa fille.
-Je crois que tu as passé du bon temps hier avec Nadine ?
-Oui, j’ai passé une super nuit.
-Parfait, si tu as aimé la fille…tu aimeras certainement la mère. Tu m’en dois une, ne l’oublies surtout pas. Bonne journée et à très bientôt.
Natalie m’embrassa subitement et prit mon sexe à pleine main. Son baisé était long et sa main me caressait vigoureusement. Elle me relâcha doucement et me souhaita une bonne journée avec un clin d’œil moqueur. Natalie disparut dans la cuisine et je suis parti sans rien comprendre. Je me demandais même si tout cela était bel et bien arrivé. Mais je me demandais surtout …quand allait-elle me rappeler ?
Bref, Éric était parti depuis trois jours. Le chanceux se dorait la couenne au soleil, alors qu’ici le temps froid était glacial et les bordées de neige s’accumulait bien vite. Il n’en fallut pas bien longtemps pour que la mère d’Éric m’appelle en renfort le mardi matin.
-Bonjour, c’est la mère d’Éric. Il m’avait dit de t’appeler si j’avais besoin et avec toute la neige tombée cette nuit la cour est pleine ce matin. Pourrais-tu venir déneiger la cour, ça m’aiderait énormément.
-Parfait, je vais passer dans quelques minutes. Il n’y a pas de problème.
-Merci, vient et je te ferai à déjeuner en échange.
En moins de 15minutes j’avais mon manteau sur le dos et mes bottes dans les pieds. J’ai marché trois rues plus loin et je suis arrivé devant la maison de la mère à Éric. J’ai cogné à la porte et tout de suite sa mère est venue me répondre. Elle belle dame début quarantaine, de beaux cheveux châtain bouclés et avec quelques taches de rousseur au visage. Son sourire était magnifique et que dire, une belle femme comme elle ne resterait pas célibataire encore longtemps, j’en étais sûr. Elle me montra où était les pelles et me m’indiqua où je devais déneiger. Le vent était froid et la neige pesante, il me fallut une bonne demi-heure pour tous déneiger. Je suis rentré tout de suite pour me réchauffer, j’avais l’estomac dans les talons. La mère d’Éric est venue me voir et rangea mon manteau.
-Encore merci ! C’est vraiment gentil d’être venu, normalement c’est Éric qui le fait, mais bon, il est loin de l’hiver celui-là !
-Ça m’a fait plaisir Madame Tremblay.
-Voyons, tu peux m’appeler Natalie ! Allez vient je t’ai préparé un déjeuner.
La table était mise et deux bonnes assiettes bien remplies attendaient. Natalie prie place à mes côtés et je lui ai demandé si Nadine était là. Elle me regarda avec un petit sourire en coin et m’expliqua qu’elle dormait encore. Que Nadine avait été dansée toute la nuit avec des copines et qu’elle ne se réveillerait pas avant une bonne heure. Elle me questionna alors sur moi.
-Alors, un charmant gars comme toi, dois surement avoir une copine quelque part?
-Désolé, pas copine à l’horizon. Je ne suis pas un grand charmeur. C’est plus votre fils Éric qui est convoité quand on sort.
-Voyons, tu parais bien, tu es gentil et très poli. Tu dois bien avoir eu quelques histoires d’un soir ou une amie avec qui tu passes quelques bonnes nuits ?
La question me fit l’effet d’une bombe. La mère d’Éric venait vraiment de me demander si j’avais une fuck friend ou des one nights ? Ma bouchée de bacon stoppa net et en une minute je devins rouge et j’ignorais quoi dire. Natalie s’emblait amuser de me voir gêné et avec un léger rire continua.
-Ne soit pas timide, j’ai déjà été jeune tu sais ? J’ai vécu peins d’histoire et je sais ce que sait d’être jeune et de pouvoir flirté, dragué et avoir toutes sortes d’histoires. Je m’ennuie de cette époque. J’aimerais tellement pouvoir vivre sa à nouveau.
-Pourquoi pas ? Vous êtes célibataire.
-À mon âge ? Je ne crois pas, je n’ai plus les charmes que j’avais à 20 ans.
-Voyons, vous paraissez super bien. Je suis sûr que y’a plein d’hommes qui se battrait pour vous sur un plancher de danse.
Ma remarque fit bien rire Natalie qui ne semblait pas vraiment me croire, mais qui me regardait avec un drôle de sourire. Malgré tout, je l’observais et je devais avouer que j’avais raison. Natalie était une de ses femmes qui prend soin d’elle, s’entraine pour garder la forme, s’habille de belle façon et qui a le charme d’une belle personnalité. En plus je devais avouer que sa camisole me laissait apercevoir une poitrine de rêve.
-Vous pouvez me croire, vous êtes encore très jolie.
-Alors comme sa tu me trouves belle?
-Heee…bien oui, vous paraissez encore très bien.
Ces yeux me jetaient des regards narquois et son sourire en coin me laissait croire qu’elle adorait me mettre mal à l’aise. Je devais être rouge comme une tomate, heureusement pour moi, la belle Nadia fit son entrée dans la cuisine. Elle ne portait qu’une simple robe de chambre blanche. Ses yeux étaient légèrement cernés et ses cheveux blonds tous emmêlés. Elle me fit un léger sourire et elle prit une rôtie en expliquant à sa mère qu’elle passerait la journée chez une amie. Pendant que les discutait mon regard fixait cette douce beauté. Sa robe de chambre était courte et me laissait le plaisir d’observer ses petites jambes blanches et cachait à la limite le commencement de ses fesses. Une fine chaine en or venait tomber dans le léger creux de sa poitrine. Quel délice pour les yeux, juste la voir ainsi valait la peine de venir déneiger. Nadine finit par remonter dans sa chambre. J’espérais pouvoir reprendre une conversation normale et moins gênante, mais comble de moi ce fît pire. Natalie me lança un regard de démone.
-Alors, ma fille Nadine te plait, bien je crois.
-Heeee, oui un peu. Elle est jolie, disons.
-Juste jolie ? Tu es trop timide, je crois que tu trouves ma fille un peu plus que jolie? Tu sais, elle a presque ton âge. Je suis sûr que tu lui plais.
- Heee, je ne crois pas que je suis son genre. Alors, sinon, merci pour le déjeuner.
-Ha haha, ça me fait plaisir. Désolé de t’avoir gêné. Veux-tu un peu de café avant de partir ?
-Avec plaisir.
Son regard était terrible à la limite entre celui d’une démone et d’une tigresse. Elle prépara deux tasses de café et m’invita à la suivre au salon. Durant ce temps, la belle Nadine descendit l’escalier, cette fois-ci habillée d’un jeans bien moulant et d’une simple camisole blanche. J’adorais ses cheveux blond coupé court et ses yeux fins mis en évidence par un trait de crayon noir. Elle passa au salon pour saluer sa mère avant de partir. Elles discutèrent de l’heur qu’elle rentrerait pendant que moi je me rinçais l’œil de cette Beauté. Mon regard se baladait sur le dos de Nadine et s’attarda plus bas, mais soudain j’ai remarqué combien Natalie venait de me surprendre à matté le derrière de sa fille. Tout de suite j’ai baissé la tête pour fixer mes souliers et faire comme si de rien n’était. C’est alors que Natalie demanda à Nadine de bien vouloir lui donner la télécommande qui se trouvait sur la petite table de salon près de la télé. Nadine c’est penchée et quelles fesses! Elle portait un petit sting mauve qui avait fait surface de ses jeans taille basse. Puis elle donna la bise à sa mère et parti en coup de vent. J’avais presque terminé mon café, Natalie me regardait et semblait rire toute seule. Sachant qu’elle m’avait vu, je n’osais même pas lui demander ce qui était drôle.
-Mmmm juste jolie? C’est drôle, car avec le physique qu’elle a, la plupart des garçons diraient de Nadine qu’elle est très sexy. Elle a un corps de rêve, comme moi quand j’avais son âge. Bref, tu n’as jamais pensé à l’inviter à sortir ?
-Hee, j’aimerais bien, mais je ne crois pas qu’Éric aimerait que je sorte sa petite sœur, Désolé.
-Ha haha, c’est vrai. Par contre, il n’est pas là cette semaine et tu es un charmant jeune homme. Je suis sûr que tu ferais un très bon parti pour ma fille.
-Merci, beaucoup…c’est très gentil.
La dernière remarque de Natalie m’avait terriblement gêné, mais je pouvais clairement voir dans son jeu. Je devais avouer que si elle voulait me matcher avec sa fille, je ne m’en plaindrais pas. J’ai terminé mon café et je me suis préparé à repartir. La neige continuait de tomber et il était certain que je devrais revenir ce soir pour déneiger à nouveau. J’étais dans l’entrée à mettre mon manteau quand Natalie me demanda d’attendre. Elle monta à l’étage et revint en souriant. Elle me remercia pour mes services et me dit qu’elle voulait me donner un petit cadeau pour me remercier. Sans que je puisse refuser, elle glissa sa main dans une de mes poches et me fit un clin d’œil complice.
-Natalie, non. J’ai dit à Éric que je viendrais avec plaisir. Je ne veux pas d’argent, c’est très gentil, mais non.
-Ne t’inquiète pas, ce n’est pas de l’argent. Allez, dehors, et reviens ce soir.
Elle me mit littéralement à la porte et referma en vitesse afin d’être sûr que je ne proteste pas davantage. J’ai glissé ma main dans ma poche et j’ai senti du tissu légèrement humide. Intrigué j’ai tout de suite regardé pour savoir ce qu’il en était. C’était un string rose bien humide, je l’ai tout de suite recaché dans ma poche. Gêné et terriblement excité de ce présent. Je suis revenu chez moi avec le sourire aux lèvres et la certitude de revenir ce soir.
Chez-moi, bien seul dans ma chambre. J’ai ressorti le bout de tissu. Le string était d’un beau rose bonbon. Il était clair que Natalie avait été fouillée dans la chambre de sa fille pour me le ramener. Quelle mère terrible, elle voulait donc me caser avec sa fille à ce point. Je touchais le tissu humide et je n’ai pu m’empêcher de le sentir. Une odeur de sexe s’en dégageait à plein nez. J’imaginais la belle Nadine qui avait portée ceci sur sa chatte et qui s’était peut-être même caressée avec. Quel délice à imaginer !
La journée fût atrocement longue, mais le soir venu vers 9h, un appel que j’attendais avec impatience est fini par venir. En moins de deux secondes, j’étais chez la mère d’Éric et je déneigeais sa cour avec grand plaisir. En quelques minutes j’avais fini et je cognais à la porte pour venir me réchauffer. Natalie est venue me répondre avec grande joie. Tout de suite elle m’invita à venir prendre une coupe de vin dans la cuisine. On jasait tranquillement, parlant du voyage d’Éric et de la météo, mais il y avait dans l’air, une drôle d’ambiance. Natalie me semblait terriblement complice et sans qu’elle m’en parle je savais qu’elle pensait au cadeau qu’elle m’avait offert. J’espérais qu’elle n’en parle pas, car je ne voulais pas rougir de nouveau. La bouteille de vin était maintenant à moins que la moitié et je n’avais toujours pas osé demander si Nadine était là. Puis Natalie s’excusa et me dit qu'elle devait monter à la salle de bain. Elle me laissa seul dans la cuisine, mais revint bien vite avec aux lèvres, un sourire malicieux.
-Nadine est dans sa chambre. Elle aimerait te parler un peu. Tu as juste à monter la voir, la porte de sa chambre n’est pas fermée.
J’ai fini ma coupe d’un trait et je suis monté. Avec un tel sourire, il était clair que Natalie était bien contente que sa fille veuille me parler. J’ai monté les marches et j’ai vu que la porte de la chambre de Nadine était légèrement entrée ouverte. Je suis donc entré sans cogner et quel ne fut pas ma surprise. Seule une petite lumière de chevet était ouverte et sur le lit je la vis. Mon cœur s’est arrêté. Nadine était là, allongée sur le lit, la main glissée entre ses cuisses blanches. Elle ne portait qu’une simple camisole et sa petite culotte mauve. Elle gémissait et je fixais la main qui était glissée sous sa culotte. Sa langue glissant sur ses lèvres, son souffle coupé par le plaisir, ses seins qui pointaient sous le tissu, tout cela était offert à ma vue. Quand elle me vit, elle figea complètement. Je venais de la surprendre en pleines caresses intimes. Je venais de m’être fait prendre au piège. Natalie avait simplement montée, avait ouvert la porte pour voir et m’avait invitée à surprendre sa fille. Figé moi aussi, Nadine semblait aussi gênée que moi. Je me suis retourné et je me suis excusé en refermant la porte derrière moi. J’étais terriblement mal à l’aise et j’ignorais quoi faire. J’étais toujours devant la porte fermée de Nadine et je ne pouvais la retirer de mes pensées. Puis j’ai senti une présence tous près de moi. Natalie sortit de la salle de bain qui était tous près et est venue vers moi. Sa démarche était lente et son sourire plus malicieux que jamais. Elle posa une main sur moi, caressant délicatement mon torse tout en se mordant les lèvres. Son index glissa doucement vers mon pantalon pour venir sentir mon érection. Elle me lança un dernier sourire et est venue me murmurer délicatement à l’oreille :
-Avec ce que tu as vu, la trouves-tu encore…juste, jolie? Allez, retourne s’y et n’oublie pas que tu m’en devras une. Allez, retourne finir ce qu’elle avait commencé.
Elle termina sa phrase et me fit signe d’entrer. Je croyais rêver et j’ignorais comment je devais agir. Donc j’ai regardé Natalie et je suis retourné dans la chambre. Cette fois-si, Nadine était sous les couverts, ses petits yeux félins m’épiaient et pouvait remarquer ma gêne. Je me suis approché doucement et je me suis assis sur le lit à ces côtés. Elle ne disait rien et sans y réfléchir j’ai osé l’embrasser. Elle me rendit mon baiser de somptueuse façon. Sans langue caressait la mienne et quel plaisir que de passer une main dans ses petits cheveux blonds. Nadine retira les draps qui la cachaient et sa main me guida sur ses seins. Je me suis mis à l’embrasser dans son cou et à descendre, elle retira sa camisole et me fit découvrir sa jolie poitrine. Deux petits seins aux mamelons bien pointus que j’ai doucement caressés, embrassés et sucés. Elle retira mon t-shirt et couvrit mon corps de doux baisers, alors que ses mains commençaient déjà à détacher mon pantalon. Couché contre elle, elle grimpa sur moi comme une chatte en chaleur. Nadine m’embrassait sur le cou, sur le torse et me mordilla légèrement un mamelon. Cette divine tigresse continua sa descente et retira mes sous-vêtements. Elle prit mon sexe dressé entre ses mains et me caressa avec un diabolique sourire. Son regard était fixé sur le mien et je pouvais voir sa langue qui se baladait sur ses lèvres. Elle licha de tout son long ma verge et l’engloutit avec gourmandise. Le plaisir était fou, un temps elle me suçait, l’autre me lichait. Son regard demeurait fixé sur le mien et jamais elle baissa les yeux. Voyant tout l’effet qu’elle me causait, elle accéléra la cadence. Utilisant sa main, ça bouche, sa langue et son regard avec encore plus d’envie! Je sentais le plaisir monter à un rythme fou et incontrôlable.
-Doucement, je sens que …
-Mmmm, t’inquiète pas, j’adore avaler et te sentir jouir dans ma bouche.
Nadine se mordit les lèvres et sa bouche reprit d’assaut mon sexe avec une hargne déchainée. Je ne pouvais tenir encore plus longtemps, elle me fit perdre la tête. Je sentais mon sperme coulé dans sa bouche et sa langue qui récoltait le tout. Sa bouche quitta alors mon sexe et passa sa langue sur sa lèvre pour récolter la dernière goutte. Elle retira sa petite culotte et me regarda droit dans les yeux.
-Mmmm, un délice! Mange-moi, donne-moi du plaisir!
Elle se coucha sur le dos et écarta les jambes en souriant. Quelle beauté ! Au centre de sa peau pâle, je pouvais voir les lèvres humide et rosée de sa petite chatte. J’ai embrassé ses cuisses de partout, plongeant ma tête entre ses jambes. Couvrant de baiser la moindre partielle de peau. Je pouvais sentir son doux parfum, le nez coller contre sa fleur bien humide. J’ai doucement caressé de mes doigts son mont de vénus parfaitement épilée et j’ai doucement passé ma langue sur sa fente. J’ai tout de suite senti son clito sur ma langue et quelle ne fut pas ses gémissements à se contact. Elle avait un goût délicieux, c’est avec passion que je me régalais de son sexe. Ses cris motivaient ma langue à toujours continuer et quel plaisir de sentir sa main dans mes cheveux qui me suppliait de ne pas arrêter. Je respirais sa fleur et ma bouche savourait pleinement son sexe, pendant que mes mains caressaient ses douces et longues jambes. Au début, elle souleva doucement ses fesses et puis j’ai entendu sa respiration et ses cris s’arrêter…son dos s’est cambré et je l’ai senti jouir. Son corps était parcouru de spasmes, ma langue semblait provoquer un émoi à chaque contact. Elle criait de plaisir et me supplia de lui faire l’amour.
J’ai remonté en prenant bien soin d’embrasser chacune de ses cuisses, de souffler doucement dans le creux de ses hanches et de licher ses seins. Dans un élan de passion, j’ai remonté mes baisés sur son cou. Ses mains griffaient mon dos et ses jambes me prirent au piège. Nous nous sommes fixés droit dans les yeux et j’ai doucement poussé la porte de son jardin. Je pouvais sentir ses lèvres se resserrer sur mon sexe. Elle poussa un grand cri et se mordit de nouveau lèvres, alors que mon sexe s’enfonçait en elle. La chaleur était douce et sa caverne bien humide. Ses yeux me fixaient avec envie et une passion dévorante. Ses jambes se ressaieraient sur mes hanches. J’accélérais mes mouvements, allant un peu plus vite et beaucoup plus fort. Ses cris, sa bouche dans mon cou et ses ongles dans mon dos, quel plaisir incendiaire. Sa peau était chaude et je pouvais sentir qu’elle jouirait de nouveau. Redoublant d’effort et de baisés, son dos se courba de nouveau. Son sexe se resserra sur le mien et ses jambes refusaient de me libérer. Elle poussa quelques cris et relâcha doucement son étreinte. Nadine m’embrassa doucement en me murmurant quel plaisir elle avait sentie. Elle m’en demanda encore, mais un sourire félin apparut sur son visage. Je me suis retiré doucement après tant de plaisir. Nadine se retourna délicatement pour se coucher sur le ventre.
-Mmmmm, s’il te plaît…Mange-moi les fesses et encule-moi. J’ai envie de sentir ta verge à cet endroit.
Elle roula ses hanches pour faire remonter et descendre ses fesses en signe d’invitation. J’ai embrassé Nadine sur la nuque et sur toute la longueur de son dos, pour venir jusqu’au début de sa raie. J’ai pétri ses jolies fesses blanches et je les ai écartées doucement. Sur la ligne de sa raie, je pouvais voir son joli anus bien rose. J’ai liché patiemment son cul et j’ai peu à peu descendu dans la fente. L’odeur était insolite, mais non repoussante. Ma langue toucha légèrement sa rosette et en fit le tour plusieurs fois. Nadine poussait de longs soupirs de plaisir qui me motivait à aller plus loin. Respirant l’odeur de ses fesses, j’ai glissé ma langue dans sa rosette. Elle remonta les fesses et me dit combien c’était bon. Ma salive coulait peu à peu sur son anus et toute sa raie fût bien humide. J’ai paisiblement remonté le long de son dos pour embrasser de nouveau sa nuque. Puis j’ai glissé mon sexe dans sa raie. Quelle douceur de sentir la peau de ses fesses caresser mon sexe jusqu’à sa rosette. Prenant tout mon temps, j’ai forcé légèrement l’entrée. Nadine gémit légèrement et resserra les fesses sur moi. Elle gémit encore et me dit de continuer. J’ai peu à peu entré mon sexe dans son anus bien serré. Ses longs soupires et ses gémissements prirent l’allure de plaisir et elle me murmura qu’elle adorait. Je goûtais au bonheur, chacun de mes mouvements me donnait un plaisir fou dans ce joli cul bien étroit.
-Allez, prends moi plus fort. J’aime que tu m’encules. Mmmmm oui continue!
Plus fort, encore plus vite, j’ai continué mes vas et viens avec acharnement. J’agrippais son cul à pleine main et j’adorais pouvoir la prendre ainsi. Entre deux cris elle tourna légèrement la tête, passa sa langue sur ses lèvres avec envie. Jamais je n’avais vu un regard aussi sexy ! Ses yeux bleus, ces cheveux blond coupé court et son sourire étaient mortels. Dans un élan de folie, j’ai légèrement giflé son cul et elle me répondit simplement oui, encore, oui ! Encore une petite claque sur sa fesse et je n’en pouvais plus. Je sentais mon plaisir monter à son apogée. Je ne pouvais plus sentir ma verge tellement le plaisir était intense ! J’ai joui d’un plaisir complément fou. J’ai doucement continué mes mouvements avant de ralentir la cadence. Puis après un dernier moment de plaisir, j’ai retiré mon sexe de son cul divin. Nadine se retourna pour m’embrasser et nous nous sommes couchés dans les bras l’un de l’autre. Ma main continuait de caresser son corps de rêve. Sa bouche ne quittait pas la mienne et c’est dans cette folie de baisés que je me suis endormi auprès d’elle.
Au matin, j’étais sur un nuage, mais je devais partir pour aller travailler. Nadine m’embrassa une dernière fois et me dit qu’on pouvait remettre ça quand je voulais. Je suis sorti de la chambre avec le sourire aux lèvres. J’ai descendu l’escalier et alors que je mettais mon manteau pour retourner chez moi, la mère de Nadine est venue me voir. Natalie avait encore son regard de démone et me dévorait des yeux. J’étais un peu gêné, mais c’était quand même elle, qui m’avait poussé à coucher avec sa fille.
-Je crois que tu as passé du bon temps hier avec Nadine ?
-Oui, j’ai passé une super nuit.
-Parfait, si tu as aimé la fille…tu aimeras certainement la mère. Tu m’en dois une, ne l’oublies surtout pas. Bonne journée et à très bientôt.
Natalie m’embrassa subitement et prit mon sexe à pleine main. Son baisé était long et sa main me caressait vigoureusement. Elle me relâcha doucement et me souhaita une bonne journée avec un clin d’œil moqueur. Natalie disparut dans la cuisine et je suis parti sans rien comprendre. Je me demandais même si tout cela était bel et bien arrivé. Mais je me demandais surtout …quand allait-elle me rappeler ?
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C'est clair que la maman avait une idée derière la tête, de là à l'avoir en bas du dos il n'y a qu'un pas. Et puis tant qu'à se faire tuer pour avoir couché avec la soeur autant rajouter la mère