Querelle d'Alpha
Récit érotique écrit par Manonsoumise [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-08-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Querelle d'Alpha
Je savoure un instant la sensation de ce membre se gorgeant de désir contre mes lèvres.
J'écarte le bas de son boxer, au niveau de la cuisse droite, pour faire sortir son gland, que je commence à titiller avec ma langue. D'une main je caresse ses couilles à travers le boxer.
Je lève les yeux et je vois que Romain me fixe, la bouche entrouverte, d’où s’échappe une respiration de plus en plus forte.
Sa bite commence à prendre de l'ampleur alors je décide de lui retirer son boxer. Sa queue a grandit depuis la fois où je l’ai sucé, sans être du même calibre que celle de mon Julien, elle reste suffisante pour me remplir la bouche.
J’entame une pipe dans les règles, à genou, les mains croisées derrière le dos, et je garde les yeux fixés sur lui. Son sexe est dur dans ma bouche, son gland, gonflé à bloc, tressaute sur ma langue, et de son méat s'échappe du liquide séminal. Je me régale.
Romain met ses mains autour de ma tête et commence des va et viens, me limant doucement la bouche. Je gémis en le suçant, l’excitation est réelle, et j’espère que le plaisir viendra. Je me sens trempée au niveau de l’entrejambe, ma chatte, déjà bien utilisée, en réclame davantage.
Quand je le sens se raidir, je stoppe ma pipe et je lui gobe les couilles. Je veux garder son jus au maximum, que son éjaculation soit explosive.
J’entends alors les mecs s'exclamer derrière mois, je me tourne, en continuant à branler Romain doucement, et je vois Julien, assit sur l’accoudoir du canapé, en train de nous filmer Romain et moi. À côté, les 4 mecs nous regardent. Un rapide coup d’œil me montre qu’ils bandent tous. L’un d’entre eux, Mathéo, se lève et dit : « c’est moi qui ai gagné, viens là que je prenne mon prix ».
Je jette un coup d’œil à Julien, qui acquiesce, il bande lui aussi. Je laisse alors Romain, raide au milieu du salon, et je m’avance vers Mathéo. Il m’attrape par la taille et me colle contre lui. Il est de taille moyenne, environ 1m70, mince, imberbe, et je sens sa queue contre mon ventre. Il me roule une grosse pelle, sans s’offusquer du goût de la bite de son pote dans ma bouche, tandis que je glisse une main dans son boxer et que j’empoigne sa queue. Elle n’est pas très grosse, mais il doit faire 16cm de long tout de même.
Il me retire mon short, mon string, et fait jaillir mes seins de mon débardeur. Je mouille comme une folle, et je gémis à chaque fois qu’il me touche. Être dans une pièce avec 6 mecs en rut, à moitié nue, me fait sentir chienne, et c’est passionnément que je lui rends son baiser, tout en le branlant. Tout à coup, il me fait mettre à 4 pattes sur le canapé, appuyer ma tête sur la cuisse de Julien, et me pénètre à sec, du moins autant qu’on peut le faire dans une chatte trempée comme la mienne.
Je jouis rapidement, en regardant Julien dans les yeux tandis que celui ci me maintient la tête face à lui. Mathéo continue à me baiser, encouragé par ses potes il me lime à fond. Ma chatte bien ouverte ne sent pas tellement sa queue, mais l’excitation de la situation me plonge dans une sorte de transe. Je suis une salope, un objet pour le plaisir des hommes depuis plusieurs années déjà, et ces mecs ont tous les droits de m’utiliser à leur guise.
Mathéo ne tient pas longtemps, il jouit bruyamment en moi, puis se retire. Je reste là où il m’a baisée, attendant les ordres de Julien. Tandis que Mathéo se pose dans un fauteuil pour se rouler un joint, Julien m’attrape par les cheveux et me jette sur les 3 mecs encore assis sur le canapé. Je me retrouve assise sur les genoux de Raphaël, au milieu. Je sens sa bite raide dans mon dos, et je remue sensuellement sur lui. Les 3 commencent à me toucher les seins, le ventre, Raphaël me met un doigt dans la chatte, recueille du sperme et me le met dans la bouche. J’empoigne les bites des deux mecs à mes côtés, alors que Raphaël me plante sur sa queue. Je crie une nouvelle fois mon plaisir, sans honte, lui disant de me baiser comme une chienne. Il jouit en moins d’une minute, puis me fait me lever. Les deux mecs restants, ainsi que Romain, me font mettre à genou et se branlent face à mon visage. Les deux giclent en même temps sur moi, m’aspergeant les seins et le visage, puis Romain gicle une quantité exceptionnelle de sperme, me recouvrant le visage, puis coulant sur mon corps, mes seins, jusqu’à ma chatte.
Les mecs se posent ensuite dans le canapé, faisant tourner des joints. Je me dirige vers la salle de bain, mais Julien me rattrape, et me dit : « non tu restes comme ça, je te veux puante de sperme pour que tu ailles voir mon père ». Je me rhabille alors, sentant le tissu de mon débardeur coller à ma peau à cause de tout le jus recouvrant mon corps. Puis, avec Julien, je repars, sans que les mecs m’accordent un regard.
Je n’ai été qu’un vide couilles pour eux, et j’aime ça, je suis fière d’avoir satisfait les amis de mon jeune maître.
De retour à la maison, Julien me laisse et va dans sa chambre. J’envisage de prendre une douche rapide, mais Albert, qui est dans le salon, m’appelle.
Je rentre dans la pièce, honteuse, des traces de sperme séché sur mon visage et mon haut, je m’arrête à 1 mètre de lui, les yeux baissés, attendant la sentence.
_ « tu pues le foutre petite salope, tu m’as désobéi, explique toi ».
Je lui raconte alors mon après midi, ce qui s’est passé avec son fils, comment il m’a offerte à ses potes, je lui dis que je suis une mauvaise fille, que je suis désolée.
Il ne dit rien, se lève, m’attrape par le bras, et m’entraîne avec lui. On se dirige vers la chambre de Julien. Sans frapper il entre, je le suis. Julien est allongé sur son lit, sur son téléphone, et semble étonné de nous voir faire irruption dans sa chambre.
Albert me fait mettre à genou, sort son sexe et se positionne devant moi. Croyant que je dois le sucer je m’avance, bouche ouverte.
Je reçois alors un jet d’urine en plein visage, qui se transforme en un flot ininterrompu. Albert me pisse dessus, en plein milieu de la chambre de son fils qui nous regarde, médusé. Albert, sans s’arrêter de pisser, me dit de me mettre à poil. Toujours en me faisant arroser, je retire mes vêtements, et je me tiens droite, me faisant laver par mon maître.
L’odeur est forte, c’est la première fois qu’un homme me pisse dessus, me remettant à ma place.
Quand Albert a terminé, il me fait un signe. Je le prends alors en bouche et je suce son énorme queue molle.
Albert dit alors : « Julien, cette salope m’appartient, tu n’as aucun droit sur elle, j’espère que ce que je viens de faire te le fera comprendre. »Je continue de sucer mon maître, déjà pour me rattraper pour ma désobéissance, mais surtout parce que cette queue m’envoute, je lui suis totalement dévouée. Julien ne répond pas, Albert continue« Tu me déçois mon fils, je pensais que tu avais compris les règles. Cette fille que tu fréquentes depuis quelques semaines, tu vas la faire venir à la maison, je vais te donner une leçon ».
Le goût et L’odeur du sexe de mon Pap’s retient l’essentiel de mon attention, mais, à cette dernière phrase, je marque un temps d’arrêt, mais je suis vite rappelée à l’ordre par une gifle. Je reprends ma pipe, tout en réalisant que mon beau frère, ce sale connard, à profité de moi avec ses potes alors qu’il a une meuf !
Je me met alors à faire une succession de gorges profondes à mon maître, ce qui me fait baver, pleurer, mais je veux montrer que j’appartiens a Albert, totalement désormais, et que je n’obéirai plus à Julien.
Albert, son énorme chibre bien raide, me redresse d’un coup, me jette sur le lit, sur le ventre. Il se met à califourchon sur moi et me pénètre.
Je suis nue, trempée de pisse, écrasée sur le lit par Albert qui me baise profondément sous les yeux de son fils. Je hurle de plaisir, Albert me tient par les cheveux, m’obligeant à fixer Julien tandis que je crie ma jouissances. Je suis traitée comme une poupée sexuelle et utilisée pour une leçon père /fils.
Albert finit par se retirer, et éjacule sa semence chaude sur mes fesses et mon dos_ « allez maintenant va te laver sale pute, demain je t’amène chez le gynéco, et toi Julien, tu as 3 jours pour le ramener cette jeune fille, il est temps de te remettre à ta place ».
J'écarte le bas de son boxer, au niveau de la cuisse droite, pour faire sortir son gland, que je commence à titiller avec ma langue. D'une main je caresse ses couilles à travers le boxer.
Je lève les yeux et je vois que Romain me fixe, la bouche entrouverte, d’où s’échappe une respiration de plus en plus forte.
Sa bite commence à prendre de l'ampleur alors je décide de lui retirer son boxer. Sa queue a grandit depuis la fois où je l’ai sucé, sans être du même calibre que celle de mon Julien, elle reste suffisante pour me remplir la bouche.
J’entame une pipe dans les règles, à genou, les mains croisées derrière le dos, et je garde les yeux fixés sur lui. Son sexe est dur dans ma bouche, son gland, gonflé à bloc, tressaute sur ma langue, et de son méat s'échappe du liquide séminal. Je me régale.
Romain met ses mains autour de ma tête et commence des va et viens, me limant doucement la bouche. Je gémis en le suçant, l’excitation est réelle, et j’espère que le plaisir viendra. Je me sens trempée au niveau de l’entrejambe, ma chatte, déjà bien utilisée, en réclame davantage.
Quand je le sens se raidir, je stoppe ma pipe et je lui gobe les couilles. Je veux garder son jus au maximum, que son éjaculation soit explosive.
J’entends alors les mecs s'exclamer derrière mois, je me tourne, en continuant à branler Romain doucement, et je vois Julien, assit sur l’accoudoir du canapé, en train de nous filmer Romain et moi. À côté, les 4 mecs nous regardent. Un rapide coup d’œil me montre qu’ils bandent tous. L’un d’entre eux, Mathéo, se lève et dit : « c’est moi qui ai gagné, viens là que je prenne mon prix ».
Je jette un coup d’œil à Julien, qui acquiesce, il bande lui aussi. Je laisse alors Romain, raide au milieu du salon, et je m’avance vers Mathéo. Il m’attrape par la taille et me colle contre lui. Il est de taille moyenne, environ 1m70, mince, imberbe, et je sens sa queue contre mon ventre. Il me roule une grosse pelle, sans s’offusquer du goût de la bite de son pote dans ma bouche, tandis que je glisse une main dans son boxer et que j’empoigne sa queue. Elle n’est pas très grosse, mais il doit faire 16cm de long tout de même.
Il me retire mon short, mon string, et fait jaillir mes seins de mon débardeur. Je mouille comme une folle, et je gémis à chaque fois qu’il me touche. Être dans une pièce avec 6 mecs en rut, à moitié nue, me fait sentir chienne, et c’est passionnément que je lui rends son baiser, tout en le branlant. Tout à coup, il me fait mettre à 4 pattes sur le canapé, appuyer ma tête sur la cuisse de Julien, et me pénètre à sec, du moins autant qu’on peut le faire dans une chatte trempée comme la mienne.
Je jouis rapidement, en regardant Julien dans les yeux tandis que celui ci me maintient la tête face à lui. Mathéo continue à me baiser, encouragé par ses potes il me lime à fond. Ma chatte bien ouverte ne sent pas tellement sa queue, mais l’excitation de la situation me plonge dans une sorte de transe. Je suis une salope, un objet pour le plaisir des hommes depuis plusieurs années déjà, et ces mecs ont tous les droits de m’utiliser à leur guise.
Mathéo ne tient pas longtemps, il jouit bruyamment en moi, puis se retire. Je reste là où il m’a baisée, attendant les ordres de Julien. Tandis que Mathéo se pose dans un fauteuil pour se rouler un joint, Julien m’attrape par les cheveux et me jette sur les 3 mecs encore assis sur le canapé. Je me retrouve assise sur les genoux de Raphaël, au milieu. Je sens sa bite raide dans mon dos, et je remue sensuellement sur lui. Les 3 commencent à me toucher les seins, le ventre, Raphaël me met un doigt dans la chatte, recueille du sperme et me le met dans la bouche. J’empoigne les bites des deux mecs à mes côtés, alors que Raphaël me plante sur sa queue. Je crie une nouvelle fois mon plaisir, sans honte, lui disant de me baiser comme une chienne. Il jouit en moins d’une minute, puis me fait me lever. Les deux mecs restants, ainsi que Romain, me font mettre à genou et se branlent face à mon visage. Les deux giclent en même temps sur moi, m’aspergeant les seins et le visage, puis Romain gicle une quantité exceptionnelle de sperme, me recouvrant le visage, puis coulant sur mon corps, mes seins, jusqu’à ma chatte.
Les mecs se posent ensuite dans le canapé, faisant tourner des joints. Je me dirige vers la salle de bain, mais Julien me rattrape, et me dit : « non tu restes comme ça, je te veux puante de sperme pour que tu ailles voir mon père ». Je me rhabille alors, sentant le tissu de mon débardeur coller à ma peau à cause de tout le jus recouvrant mon corps. Puis, avec Julien, je repars, sans que les mecs m’accordent un regard.
Je n’ai été qu’un vide couilles pour eux, et j’aime ça, je suis fière d’avoir satisfait les amis de mon jeune maître.
De retour à la maison, Julien me laisse et va dans sa chambre. J’envisage de prendre une douche rapide, mais Albert, qui est dans le salon, m’appelle.
Je rentre dans la pièce, honteuse, des traces de sperme séché sur mon visage et mon haut, je m’arrête à 1 mètre de lui, les yeux baissés, attendant la sentence.
_ « tu pues le foutre petite salope, tu m’as désobéi, explique toi ».
Je lui raconte alors mon après midi, ce qui s’est passé avec son fils, comment il m’a offerte à ses potes, je lui dis que je suis une mauvaise fille, que je suis désolée.
Il ne dit rien, se lève, m’attrape par le bras, et m’entraîne avec lui. On se dirige vers la chambre de Julien. Sans frapper il entre, je le suis. Julien est allongé sur son lit, sur son téléphone, et semble étonné de nous voir faire irruption dans sa chambre.
Albert me fait mettre à genou, sort son sexe et se positionne devant moi. Croyant que je dois le sucer je m’avance, bouche ouverte.
Je reçois alors un jet d’urine en plein visage, qui se transforme en un flot ininterrompu. Albert me pisse dessus, en plein milieu de la chambre de son fils qui nous regarde, médusé. Albert, sans s’arrêter de pisser, me dit de me mettre à poil. Toujours en me faisant arroser, je retire mes vêtements, et je me tiens droite, me faisant laver par mon maître.
L’odeur est forte, c’est la première fois qu’un homme me pisse dessus, me remettant à ma place.
Quand Albert a terminé, il me fait un signe. Je le prends alors en bouche et je suce son énorme queue molle.
Albert dit alors : « Julien, cette salope m’appartient, tu n’as aucun droit sur elle, j’espère que ce que je viens de faire te le fera comprendre. »Je continue de sucer mon maître, déjà pour me rattraper pour ma désobéissance, mais surtout parce que cette queue m’envoute, je lui suis totalement dévouée. Julien ne répond pas, Albert continue« Tu me déçois mon fils, je pensais que tu avais compris les règles. Cette fille que tu fréquentes depuis quelques semaines, tu vas la faire venir à la maison, je vais te donner une leçon ».
Le goût et L’odeur du sexe de mon Pap’s retient l’essentiel de mon attention, mais, à cette dernière phrase, je marque un temps d’arrêt, mais je suis vite rappelée à l’ordre par une gifle. Je reprends ma pipe, tout en réalisant que mon beau frère, ce sale connard, à profité de moi avec ses potes alors qu’il a une meuf !
Je me met alors à faire une succession de gorges profondes à mon maître, ce qui me fait baver, pleurer, mais je veux montrer que j’appartiens a Albert, totalement désormais, et que je n’obéirai plus à Julien.
Albert, son énorme chibre bien raide, me redresse d’un coup, me jette sur le lit, sur le ventre. Il se met à califourchon sur moi et me pénètre.
Je suis nue, trempée de pisse, écrasée sur le lit par Albert qui me baise profondément sous les yeux de son fils. Je hurle de plaisir, Albert me tient par les cheveux, m’obligeant à fixer Julien tandis que je crie ma jouissances. Je suis traitée comme une poupée sexuelle et utilisée pour une leçon père /fils.
Albert finit par se retirer, et éjacule sa semence chaude sur mes fesses et mon dos_ « allez maintenant va te laver sale pute, demain je t’amène chez le gynéco, et toi Julien, tu as 3 jours pour le ramener cette jeune fille, il est temps de te remettre à ta place ».
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