Qui l'eut cru VIII

- Par l'auteur HDS GALONA BIS -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Qui l'eut cru VIII Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-11-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Qui l'eut cru VIII
LA BELLE NUIT DE NOELMercredi 24 décembre 2014 22 heures:

Stéphane jubile, le voici installé dans le fauteuil en cuir noir de l’immense séjour décoré avec soin par Françoise pour ces fêtes de fin d’année.
Dans un coin de la pièce trône un grand sapin qu’il a lui-même installé, tout comme les nombreuses guirlandes électriques.
Françoise s’est chargée d’accrocher les boules multicolores et de la réalisation de la crèche au pied du sapin.
Stéphane qui à cette occasion a pu revivre des moments agréables et beaucoup trop rares de son enfance, s’est presque surpris à prendre plaisir à participer à cette décoration.
Le résultat est une belle réussite et le petit Hugo depuis son arrivée a des étoiles plein les yeux, ce qui a ravi ses parents.

Et dire qu’il y a à peine deux mois, il était encore dans son studio sordide, que de chemin parcouru et à une vitesse phénoménale.
Reste cependant un dernier écueil à franchir pour s’enraciner dans la place, amadouer Alexandra, la fille de Françoise.
Les présentations ont été faites, elle s'est montrée à peine aimable.
Il sait que la partie est encore loin d’être gagnée, la jeune femme n’est pas de caractère facile selon Françoise et il sait très bien qu’elle est opposée à sa présence en ces lieux.

Elle est assise auprès de son mari, face à lui, dans le canapé.
Sa tenue pour le moins stricte pour un soir de réveillon reflète assez bien cette personnalité, un pantalon noir, un chemisier en soie blanche boutonné jusqu’au cou, avec une chaîne en or, des chaussures à talons noires laissant paraître un collant ou des mi-bas transparents couleur chair.
D'après Françoise, Alexandra s'est métamorphosée lorsqu'elle a débuté sa vie professionnelle, la douce jeune fille qu'elle était a pris de l'assurance, est devenue exigeante autant avec elle-même qu'avec les autres, très organisée et carrée, elle a un peu de mal à tolérer ce qui sort un peu du cadre.
Jean-Pierre pensait que ce changement était vraisemblablement imputable à son métier de prof de maths, qu'elle exerce dans un lycée de bonne renommée de la capitale.
Peu après elle a rencontré Antoine, conseiller patrimonial au Crédit de France.
De caractère souple, il n'a pas eu trop de mal à s'accommoder de son épouse un peu psychorigide, mais qui comme Françoise le répète souvent, a gardé au-delà des apparences un très bon fond.

Ainsi Alexandra est une maman formidable, dévouée, douce et aimante, et aussi une fille très prévenante pour sa mère, s’inquiétant même un peu trop pour elle, allant jusqu’à l’appeler plusieurs fois par semaine.
De même, elle n’hésite pas à donner gratuitement sur son temps libre des cours de soutien à ses élèves les plus en difficulté, notamment avant les examens.

Incorrigible, Stéphane ne peut s'empêcher de penser, que malgré son air « cul serré », cette petite emmerdeuse est tout à fait baisable, comme il avait d'ailleurs pu le constater sur les quelques photos qu'il a eu l'occasion d'observer.
De taille moyenne, mince, des cheveux noirs mi-longs lisses un peu accentués en longueur sur la nuque, un visage fin avec des yeux noirs et un joli sourire, une poitrine menue, notre ami Stéphane ne se ferait pas prier s'il devait donner de sa personne.
En attendant, comme il s'y attendait, le voici tenu de répondre calmement à l'interrogatoire qu'elle ne manque pas de lui faire subir depuis le début de la soirée.
Heureusement Stéphane qui ne s'attendait pas à moins, en a vu d'autres et dans des circonstances beaucoup moins confortables, au gré des différentes auditions avec la police auxquelles il a du faire face au cours de son passé tumultueux.
Il a suivi encore une fois les conseils avisés de son mentor et codétenu, Serge LEBORGNE , rester toujours au plus près de la réalité afin d'éviter toute contradiction qui pourrait être dramatique pour le confort de son avenir et de répondre plus facilement aux questions imprévues.
Il s'est inventé auprès de Françoise un passé d'artisan électricien, c'est bien pratique puisqu'il avait créé une petite entreprise à cet effet et qu'il est assez doué dans ce domaine, surtout en ce qui concerne les alarmes, il oublie toutefois de préciser que son activité a fonctionné à peine deux semaines, puisque à l'époque il a du monter sur un coup très intéressant et surtout beaucoup plus lucratif et moins fatiguant.
Il enchaîne donc avec l'histoire de l'associé indélicat qui a mis un terme à son rêve et la chance qu'il a eu de rencontrer Françoise qui lui a fait une si généreuse proposition, même s'il a bien conscience du caractère temporaire de la solution.
Il se doute bien que la jeune femme, prudente, a déjà vraisemblablement vérifié l'existence de cette entreprise sur les sites internet adéquats.

La soirée avançant, il a le sentiment qu'Alexandra, même si elle ne souhaite pas trop le montrer, est un peu plus rassurée après l'avoir entendu.

En attendant, celle qui est la plus tendue, c'est bien Françoise, elle redoute qu'Alexandra découvre le pot aux roses, ce qui lui ferait perdre totalement la face auprès de sa fille et son gendre.
Aussi essaie-t-elle d'intervenir avec un peu d'humour pour modérer la curiosité de sa fille, ce qui permet à l'occasion à Stéphane, de mettre en avant le fait qu'il n'est absolument pas gêné d'évoquer son passé.

Il n'a pas échappé à Stéphane qui évite pourtant de trop tourner son regard vers Françoise afin de ne faire naître le moindre doute sur la nature de leur relation, que sa maîtresse s'est mise sur son trente et un pour l'occasion.
Une jupe noire qui s'arrête juste au dessus des genoux, lui permet d'apprécier ses jambes gainées de soie noire transparente, dont l'aspect trop galbé est atténué par la paire de talons bordeaux, qui rappelle opportunément la couleur de son chemisier.
Depuis qu'il partage son lit, Stéphane ne se lasse pas de Françoise, contrairement à ses craintes initiales, malgré les différences, il éprouve toujours de l'attirance pour son corps mature, il prend un plaisir formidable à lui faire l'amour, il apprécie même sa présence quotidienne à ses côtés.
En y réfléchissant, aussi surprenant que cela soit, c'est la première fois de sa vie qu'il se sent aussi bien avec une femme.
Alors que la pression d'Alexandra se relâche un peu, Stéphane se promet d'être un peu plus attentif à la façon dont sa compagne se vêt, elle a un peu trop tendance à porter des pantalons, il ne lui déplairait pas en effet qu'elle s'habille d'une façon plus sexy à l'avenir, voir même un peu provocante.
Il a toujours bien apprécié que ses conquêtes plaisent aux autres hommes.

Pendant que Françoise demande à sa fille et à son gendre, des nouvelles concernant la dernière bronchite du petit Hugo, Stéphane laisse vagabonder son esprit et se souvient des premiers instants de la journée, lorsque après s'être réveillé avec une belle érection, il a pris plaisir à la baiser avant de se lever.
Il sait que cela lui est un peu pénible au réveil, mais il ne se prive pas, histoire qu'elle s'habitue à être toujours prête pour son plaisir.


-La table est superbe Françoise.
-Ah tu as cassé un verre maman, il reste un petit morceau ici, attention ça pourrait être dangereux.

Françoise rougit, elle a sorti pour ce soir son plus beau service, et ce qui est arrivé tout à l’heure lui revient inévitablement à l’esprit.

Françoise était heureuse de retrouver Stéphane à la maison en revenant du salon de coiffure. Comme beaucoup en cette veille de Noël, il a pu exceptionnellement quitter son travail plus tôt.
Impatiente de lui montrer sa nouvelle coiffure, elle l'a rejoint sans attendre dans le séjour, où assis à la grande table en marbre déjà dressée, il feuilletait un magazine.
Plantée devant lui, elle portait sa doudoune couleur taupe qu'elle n'avait pas encore ôtée avec un simple pantalon beige et des bottines.

- A lors, comment me trouves-tu ?
- Je le savais, cela te va très bien ma puce.
- Tu crois ?
- Bien sûr, il faut oser un peu de changement parfois tu sais.
….....................................................................
- Approches.

Il descend lentement le zip de la doudoune.

- Tu l'as fait pour moi ?
- Bien sûr.

Il l'attire plus près de lui en posant ses deux mains sur ses fesses sur lesquelles il fait pression.

- Ils arrivent dans combien de temps ?
- J'ai reçu un message d'Alexandra, ils seront là vers 19 heures, ils sont partis plus tard que prévu.
- Cela nous laisse du temps, tu ne crois pas ?
- J'ai encore un tas de choses à faire, puis il faut que je me prépare.

Stéphane porte une main à l'entrejambe de Françoise qui trésaille.

- Humm ma chérie, moi j'ai l'impression que ta petite chatte a besoin qu’on s’occupe d'elle tout de suite, tu ne crois pas ?
- Non Stéphane, ce n'est pas raisonnable, j'ai la dinde à préparer et ...

Stéphane, obstiné, dégrafe le bouton du pantalon, descend le zip de la braguette, puis tire en même temps sur la culotte et le pantalon, la chatte poilue apparaît, il passe lentement le majeur entre les lèvres.

- Voyez vous ça, sa fille chérie va bientôt arriver et pourtant cette petite cochonne est en chaleur.

- Oh Stéphane, s'il te plaît, ne fais pas ça....pas maintenant.
- Ecoutes juste ton corps ma chérie, le reste n'a aucune importance.

Stéphane plonge son visage entre les jambes de Françoise et hume bruyamment ses flagrances intimes tout en lui caressant les fesses.

- Hum Françoise, j'aime l'odeur de ta chatte ma chérie, tu sens bon la femme.
- Oh Stéphane je ne suis même pas propre.
- Aucune importance ma chérie, ça m'excite aussi quand tu sens un peu la pisse....tu as encore mouillé aujourd'hui ?
- Oui, je fais que ça, répond-elle timidement.

Françoise ne peut s'empêcher de porter une main derrière la nuque de Stéphane tout en fermant les yeux, sur sa joue une larme s'écoule.

- Assieds-toi sur la table, ordonne-t-il en écartant sans précaution deux assiettes.
- Non, non !
- Arrêtes de faire la sainte nitouche maintenant, tu en as autant envie que moi, dit-il autoritairement en se levant.

Il la pousse contre la table et la soulève légèrement pour l'assoir sur le bord, en quelques secondes les bottines sont enlevées sans ménagement, suivies du pantalon et de la culotte, seuls les mi bas transparents de couleur marron restent aux pieds de Françoise qui a toujours sa longue doudoune sur elle.

Stéphane se rassoit après avoir placé la chaise face à Françoise.

- Humm j'aime regarder ton minou Françoise, c'est tellement excitant.... Humm écartes les cuisses.
…............................................................................................................................
- Si tu voyais comme tu es ouverte chérie.
…............................................................................................................................
- Touches toi le clito.
…..........................................................................................................................
- Allez branles-toi je te dis.

Depuis le début de leur relation, Françoise a découvert qu'elle était sensible aux expressions osées de Stéphane, à ses prises d'initiatives déstabilisantes, mais aujourd'hui il se surpasse et une fois encore, elle pressent qu'elle ne peut lui résister.

Françoise se caresse devant Stéphane.

- Oui vas-y, joue avec ton petit berlingot, continues....voilà, écartes les lèvres avec ton autre main, je veux bien te voir, dit Stéphane.
- Humm !
- Oh tu me fais bander salope !

Françoise, la tête en arrière, les yeux mi clos, fait tourner son index sur son clitoris en faisant de petits mouvements concentriques alors qu’à l’aide de son autre main elle maintient ses grandes lèvres ouvertes.
Assis face à elle, Stéphane ne perd pas une miette du spectacle en se touchant machinalement le sexe à travers son pantalon.
Françoise mesure toute l’obscénité de sa position, ainsi assise et exposée sur la table de Noël en train de se caresser pour la première fois devant quelqu’un.
Honteuse comme peut-être jamais, Françoise ressent paradoxalement un plaisir immense, un sentiment ambivalent délicieux qui lui devient presque familier ces derniers temps.

-Hum…hum… Mon chéri…. Oh Stéphane, lèches-moi mon amour !
-Hum demandes moi mieux que ça ma chérie.
-J’ai envie que tu me lèches la chatte.
-Voila qui est mieux, tout de suite ma puce.

Stéphane plonge alors son visage entre les jambes de Françoise qui s’abandonne en arrière provoquant ainsi la chute d’un verre à pied en cristal du service du mariage, qui vient se briser au sol sans interrompre pour autant les deux amants.


******************************************************************

Alexandra s’avance sans bruit vers le lit d’enfant dans lequel le petit Hugo dort paisiblement, elle l’observe quelques secondes avec tendresse, parcourt des yeux avec un peu de nostalgie ce qui fut autrefois sa chambre de jeune fille puis, rassurée, éteint la petite veilleuse que Françoise avait laissé volontairement allumée pour rassurer l’enfant et quitte la pièce.

-Il dort bien ? demande Françoise qui montait se coucher.
-Oui maman, ne t’inquiètes pas, allez à demain, tu dois être fatiguée avec tout le travail que tu as fait, il est presque deux heures dit-elle en ouvrant la porte de la chambre qu’elle occupe avec Antoine, contiguë à celle de Françoise .
-Non ça va, puis, ce n’est pas tous les jours que vous venez, je suis contente de vous avoir, à demain ma chérie, dors bien.

Alexandra referme la porte, observe la pièce, incorrigible, la jeune femme ne peut s’empêcher de penser qu’à cause de ce Stéphane, ils ne peuvent dormir comme d’habitude dans la chambre d’amis du rez-de-chaussée qu’ils occupent habituellement.
Elle ôte son peignoir beige parcouru de discrètes fleurs rouge, elle porte un pantalon de pyjama écossais en coton avec un T shirt blanc.

-Alors ma chérie, te voilà rassurée je suppose, il a l’air sympathique ce Stéphane, murmure Antoine déjà couché.
-Tu crois, j’en sais rien, il a un drôle de genre quand même, répond Alexandra pensive-ça ne veut rien dire, je l’ai trouvé très gentil et patient, surtout avec toutes les questions que tu lui as posées.
-Mouais…si tu le dis, tu ne m’enlèveras pas de l’idée que tout ça c’est quand même du grand n’importe quoi, ajoute Alexandra en se couchant.

Antoine, qui a légèrement forcé sur le Pomerol, se rapproche de son épouse tournée vers le mur, passe sa main sous le T shirt, caresse le ventre plat appuyant en même temps son sexe en érection contre les fesses..

-Tu étais très belle ce soir.
-Tu n’y penses pas non ! Tu sais bien que je ne veux pas quand on est chez maman ! En plus, elle dort juste à côté cette fois ci.
-Quand c’est qu’on va le faire ce bébé alors ?
-Quand nous serons chez nous, sois patient, allez éteint la lumière, il est tard de toute façon.

Alexandra ferme les yeux, elle pense à cette soirée qui dans l’ensemble s’est bien passée, chaque fois ses pensées reviennent vers cet homme, il doit avoir à peu près son âge, il est tellement différent d’Antoine et des hommes qu’elle côtoie habituellement.
Elle a du mal à le cerner, elle perçoit pourtant quelqu’un d'intelligent et d’assez cultivé, assez drôle, sûr de lui, charmeur aussi, mais il y a quelque chose qu'elle ne parvient pas à définir qui la gêne, et son look ne correspond pas vraiment à la personnalité qu’il veut bien montrer.
En tout cas, il lui faut reconnaître que son côté viril un peu voyou ne la laisse pas insensible.
La façon dont il l’a regardée à deux ou trois reprises ne lui a pas échappé non plus.

Elle se demande encore une fois ce qui a bien pu passer par la tête de sa mère, de laisser ce type s’installer chez elle, elle qui habituellement est si réfléchie.
Elle sait qu’elle lui était redevable après cette agression, mais cela ne peut tout justifier non plus.
Elle l’a trouvé un peu tendue ce soir, un peu différente aussi, elle la connaît tellement bien qu’elle sent ces choses là.
Et cette nouvelle couleur, cela ne lui ressemble pas, elle a toujours été brune.
Alexandra ne trouve pas le sommeil, elle essaie de refaire le film de la soirée, c’est vrai qu’elle a beaucoup questionné Stéphane, les réponses étaient cohérentes, très précises même.
Elle revoit aussi Françoise rougissante lorsqu’elle a remarqué qu’un verre avait été brisé, pourquoi un tel émoi pour un simple verre, même en cristal ?
Et ensuite, le même émoi pendant le repas, elle était écarlate, à tel point qu’elle s'est crue obligée de lui demander à deux reprises si elle n’avait pas trop chaud.

Cet homme dort ici tous les soirs et passe les week-ends aussi, Françoise lui a dit qu’il reste la plupart du temps dans sa chambre, qu’il est très discret et qu’il ne la dérange pas, il n’empêche qu’ils prennent la plupart du temps les repas ensemble, elle lui fait la cuisine, son linge peut-être, un peu comme un couple en somme.
Alexandra réalise que cette conclusion lui est venue tout naturellement, logiquement même.
Elle se demande comment elle n'y a pas pensé plus tôt, un peu comme si elle s'était fixé un interdit.

Un nœud se forme au creux de son ventre, y aurait-il quelque chose entre eux ?
L'image de Françoise au lit avec cet homme lui traverse furtivement l'esprit.
Non c’est ridicule, il pourrait être son fils, puis sa mère avec un homme, et ce genre d'homme en plus, elle ne peut y croire sérieusement.
Deux ou trois ans après le décès de son père, elle s'est crue obligée une fois de lui demander si elle avait envisagé de refaire un jour sa vie, sa réponse fut catégorique, elle ne voulait pas en entendre parler.
Elle a compris par la suite qu'elle avait en fait abordé ce sujet seulement pour se rassurer elle-même, mais elle ne doutait pas vraiment de la réponse, car comment pouvait-elle imaginer sa mère avec un autre homme, quand on a vu au jour le jour comme elle le couple exceptionnel que formaient ses parents.

Et pourtant aujourd'hui avec la présence de Stéphane chez elle, elle commence à se poser réellement des questions.
Après tout, elle ne s'est jamais vraiment interrogée sur la vie de Françoise, elle sait seulement que ses parents se sont rencontrés assez jeunes.
A-t-elle connu un homme avant ? Aime-t-elle faire l'amour ? Est-ce que cela lui manque aujourd'hui?
Il est impossible de connaître cet aspect de la personnalité d'une personne, elle ne le sait que trop.

Cet homme et sa mère, c'est improbable, est-ce pour autant impossible ?....
Alexandra glisse dans le sommeil.

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