Rappelles-toi…
Récit érotique écrit par Darti [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-05-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Rappelles-toi…
Ce soir-là tu avais accepté de me faire plaisir.
Ta tenue très sexe était composée, seulement d’une combinaison noire très fine, ouverte devant jusqu’à l’extrémité de ta raie des fesses, et simplement fermée par un double zip pouvant libéré en même temps tes deux splendides seins et l’accès à tes deux puits d’amour ; Le tout rehaussé par d’une paire de cuissarde noir à talon compensé et un collier de cuir noir ras le coup.
J’adore te voir évolué ainsi, mon émoi s’est durci dès que je t’ai aperçu dans l’encadrement de la porte de la salle de bain où tu t’étais réfugié pour te préparer.
Un manteau enfilé par-dessus et nous voici partie, direction en voiture, le parking des Salins.
Le temps du voyage, j’ai trouvé de mes doigts furtifs ton bouton d’amour tout chaud et près à subir tous mes supplices.
La chaleur à l’intérieur du véhicule augmente au fur et à mesure qu’il roule vers sa destination et ta chatte sous ma caresse incessante est trempée à notre arrivée.
Avant de pénétrer dans le parking, je te fais mettre à quatre patte sur ton fauteuil, le cul dirigé vers la vitre côté passager et ta bouche prête à me sucer.
C’est ainsi que nous faisons un premier tour dans la pénombre de la nuit en passant au raz des capots des voitures garées. Je sens le regard les personnes présentes qui cherche à comprendre ce qui se déroule dans l’habitacle de notre voiture. Juste une ombre blonde s’active devant la silhouette du conducteur quandun cul tendu (qui mérite son dû) n’apparait qu’au dernier moment.
Je te sens encore plus excitée et le rythme de ton vas et viens,imprimé par ta bouche, s’accélère sur ma queue.
Après un second passage je décide de stopper la voiture, le long de la clôture à l’opposer de l’ensemble des voitures stationnées au plus près de l’accès à la plage. Sans que cela t’arrête, tu continues à me sucer de plus belle sans changer de positon. Pour ma part, j’allonge le bras pour venir toucher ta chatte et commencer une longue caresse. J’écarte pour cela d’avantage ta combi et laisse apparaitre au clair de lune ta vulve dégoulinante.
Pour dégoulinante, elle est vraiment détrempée sans même pour cela que j’eu à la caresser.
Et déjà 3, 4 ombres se pressent devant la portière où ton cul toujours en position se fait admirer.
Je t’introduis un puis deux doigts et commence devant leurs yeux un aller venue d’un rythme de plus en plus rapide et que je sais irrésistible pour toi. Au moment où l’un deux éclaire la scène de la torche de son portable, alors que mes doigts s’agitent dans ta chatte grande ouverte et luisante d’humidité, je sens ton jus coulé en abondance dans ma main le tout salué par des commentaires des plus grivoisvenus de l’extérieur. Jamais tu ne m’avais inondé de la sorte et je montre à notre public au combien ta fontaine a coulé… J’adore et apparemment toi également, vue ton excitation et la démonstration que tu viens de m’apporter en te liquéfiant dans ma main alors que mes doigts te fouillent.
Ma queue également se régale, poussée par ta fièvre d’excitation, ta bouche se fait plus chaude. Ta langue joue avec mon gland et tu m’aspire de plus belle comme si tu voudrais par mon urètre me vider de tout mon nectar.
Après plusieurs minutes qui résonnent pour nous deux, comme des heures, l’atmosphère autour de la voiture se faisant plus pressante, le nombre d’ombres qui nous entoure n’ayant fait qu’augmenter depuis tout à l’heure, je démarre notre véhicule pour faire un nouveau tour de parking comme un chien s’ébroue pour tenter de faire tomber ses puces bien accrochées.
Le petit attroupement qui, y a quelques secondes, entouré notre voiture, se disperse comme une volée de moineau à l’arrivée d’un chat.
Certain se retrouvent à plusieurs, certainement pour commenter le spectacle auquel ils viennent d’assister. D’autre regagnent leurs véhicules, soucieux, je suppose de ne pas lâcher l’affaire et pouvoir s’ils le peuvent, en avoir plus. C’est bien sûr à eux que je pense après avoir fait accomplir à notre voiture le tour du parking à vitesse très réduite quand je marque un arrêt au passage du portique marquant la sortie du parking. Attirés comme des ours affamés devant un pot de miel qui s’enfuit, trois quatre voitures nous filent le train dans la rue qui nous mène vers une autre destination…Connaissant le coin, je me réfugie rapidement vers le stade. Endroit que je sais très discret, asses loin des habitions pour ne pas être dérangé et suffisamment visible pour qu’un cochon habitué des lieux puisse nous repérer et rejoindre la petite bande de vicieux qui de nouveau nous entoure la queue à la main.
Je te demande de te redresser de t’assoir au fond de ton fauteuil et de bien écarter ta chattes en posant tes pieds de chaque côté du tableau de bord. Ainsi offerte je t’assure que tu es bien bandante. Les mains qui s’agitent sur les bites qui nous entourent en témoignage. Tu me fais bandé comme jamais.
A ma demande tu te caresse et ton souffle saccadé fait preuve que tu apprécies.
Je te demande de regarder toutes ses queues dressées et de les faire gigler d’excitation.
Tes doigts se fond de plus en plus pressant à rechercher ta jouissance, tu commences à te laisser aller à râler soulignant que tu aimes ça.
Au son de ma voie qui t’encourage à les faire cracher, je me branle en me régalant du spectacle que tu m’offre.
Au bout d’un petit moment, je sens ton excitation à son comble, une de tes mains cherche ma queue, la trouve, et la porte vers ta bouche. Tes lèvres entourent mon gland et tes allers venues sur mon membre font preuve de ton extrême excitation. Toi qui me confiait ne pas trop aimer sucer, tu me suces avec une tel détermination que l’on pourrait croire que ta vie dépend du fait de me faire juter. Un spy analyserait que par ce geste, c’est toutes les queues qui s’agitent autour de nous que tu voudrais faire jouir.
Ce jeu dure suffisamment longtemps pour voir disparaitre certaines et remplacées par des nouvelles. Jusqu’à n’avoir plus qu’un seul spectateur. La magie s’estompe, et l’ambiance doit être remontée.
Pas la mienne, j’en veux encore.
Du coup je redémarre la voiture, sort de cet endroit et roule pour vérifier que plus personne nous suit. Après une boucle, je reviens au même endroit mais en m’enfonçant bien au fond, là où personne ne peut nous voir.
J’arrête la voiture, te fait descendre pour prendre appuie sur le capot. Là après ces instants où tu m’as montré ton coté salope que tu nies haut et fort, je te pénètre en levrette avec une vivacité empreint de toute l’excitation dont tu as su me donner.
Mon bâton de chaire te défonce littéralement et je t’entends pour la première fois gémir de plaisir. Tu prends ton pied et je te sens couler autour de ma queue en premier temps mais aussi le long de mes jambes, une vraie fontaine qui se vide sans fin.
Me sachant trop excité pour jouir de la sorte, je mets fin à la scène quand mon souffle dû à mon âge ne me permet plus de suivre la cadence dont tu mérites et qu’il me semble que tu attends.
S’en suit une discussion entre nous nous où tu me confirme avoir beaucoup apprécié ce qui vient de se passer et où je te propose de refaire un petit tour au premier parking où tout à commencer ce soir. Ton enthousiasme à me répondre oui, ne fait que me conforter dans l’idée que tu es celle que j’attendais depuis longtemps et qui sera ravir mes jours prochains.
De retour au grand parking des Salins, nous constatons que le nombre de voitures qu’il y avait tout à l’heure à nettement diminuer à cette heure très avancée de la nuit. Seul trois quatre voitures y stationnent encore. Près d’une de celle où nous apercevons un chauffeur, nous nous garons, suffisamment près pour que ce dernier puisse voir ce qu’il se passe dans notre véhicule.
Je me remets à te caresser et je constate que tu es restée réceptive à ta respiration saccadée qui souligne le plaisir que tu prends.
Le chauffeur de la voiture voisine, descend et vient se coller à la vitre d’où il peut mieux t’admirer. Il n’a certainement pas assisté à nos premiers pas ici et au stade, et te découvrir doit l’exciter au plus haut point. Pour rajouter un peu de piment, je te propose de descendre, faire le tour de la voiture et venir me faire sucer par ta bouche en ouvrant ta portière, juste sous ses yeux. Ce à quoi tu me réponds chiche…
…La suite n’a pas été comme je l’aurai imaginé mais j’aurai aimé que tu me dises en toute sincérité ce à quoi tu t’attendais sur l’instant et ce à quoi tu étais prête à faire.
Je sais que tu as beaucoup apprécié tout autant que moi, alors ne nous coupes pas les ailes et laisses toi aller à de nouveaux instants de magie.
Ta tenue très sexe était composée, seulement d’une combinaison noire très fine, ouverte devant jusqu’à l’extrémité de ta raie des fesses, et simplement fermée par un double zip pouvant libéré en même temps tes deux splendides seins et l’accès à tes deux puits d’amour ; Le tout rehaussé par d’une paire de cuissarde noir à talon compensé et un collier de cuir noir ras le coup.
J’adore te voir évolué ainsi, mon émoi s’est durci dès que je t’ai aperçu dans l’encadrement de la porte de la salle de bain où tu t’étais réfugié pour te préparer.
Un manteau enfilé par-dessus et nous voici partie, direction en voiture, le parking des Salins.
Le temps du voyage, j’ai trouvé de mes doigts furtifs ton bouton d’amour tout chaud et près à subir tous mes supplices.
La chaleur à l’intérieur du véhicule augmente au fur et à mesure qu’il roule vers sa destination et ta chatte sous ma caresse incessante est trempée à notre arrivée.
Avant de pénétrer dans le parking, je te fais mettre à quatre patte sur ton fauteuil, le cul dirigé vers la vitre côté passager et ta bouche prête à me sucer.
C’est ainsi que nous faisons un premier tour dans la pénombre de la nuit en passant au raz des capots des voitures garées. Je sens le regard les personnes présentes qui cherche à comprendre ce qui se déroule dans l’habitacle de notre voiture. Juste une ombre blonde s’active devant la silhouette du conducteur quandun cul tendu (qui mérite son dû) n’apparait qu’au dernier moment.
Je te sens encore plus excitée et le rythme de ton vas et viens,imprimé par ta bouche, s’accélère sur ma queue.
Après un second passage je décide de stopper la voiture, le long de la clôture à l’opposer de l’ensemble des voitures stationnées au plus près de l’accès à la plage. Sans que cela t’arrête, tu continues à me sucer de plus belle sans changer de positon. Pour ma part, j’allonge le bras pour venir toucher ta chatte et commencer une longue caresse. J’écarte pour cela d’avantage ta combi et laisse apparaitre au clair de lune ta vulve dégoulinante.
Pour dégoulinante, elle est vraiment détrempée sans même pour cela que j’eu à la caresser.
Et déjà 3, 4 ombres se pressent devant la portière où ton cul toujours en position se fait admirer.
Je t’introduis un puis deux doigts et commence devant leurs yeux un aller venue d’un rythme de plus en plus rapide et que je sais irrésistible pour toi. Au moment où l’un deux éclaire la scène de la torche de son portable, alors que mes doigts s’agitent dans ta chatte grande ouverte et luisante d’humidité, je sens ton jus coulé en abondance dans ma main le tout salué par des commentaires des plus grivoisvenus de l’extérieur. Jamais tu ne m’avais inondé de la sorte et je montre à notre public au combien ta fontaine a coulé… J’adore et apparemment toi également, vue ton excitation et la démonstration que tu viens de m’apporter en te liquéfiant dans ma main alors que mes doigts te fouillent.
Ma queue également se régale, poussée par ta fièvre d’excitation, ta bouche se fait plus chaude. Ta langue joue avec mon gland et tu m’aspire de plus belle comme si tu voudrais par mon urètre me vider de tout mon nectar.
Après plusieurs minutes qui résonnent pour nous deux, comme des heures, l’atmosphère autour de la voiture se faisant plus pressante, le nombre d’ombres qui nous entoure n’ayant fait qu’augmenter depuis tout à l’heure, je démarre notre véhicule pour faire un nouveau tour de parking comme un chien s’ébroue pour tenter de faire tomber ses puces bien accrochées.
Le petit attroupement qui, y a quelques secondes, entouré notre voiture, se disperse comme une volée de moineau à l’arrivée d’un chat.
Certain se retrouvent à plusieurs, certainement pour commenter le spectacle auquel ils viennent d’assister. D’autre regagnent leurs véhicules, soucieux, je suppose de ne pas lâcher l’affaire et pouvoir s’ils le peuvent, en avoir plus. C’est bien sûr à eux que je pense après avoir fait accomplir à notre voiture le tour du parking à vitesse très réduite quand je marque un arrêt au passage du portique marquant la sortie du parking. Attirés comme des ours affamés devant un pot de miel qui s’enfuit, trois quatre voitures nous filent le train dans la rue qui nous mène vers une autre destination…Connaissant le coin, je me réfugie rapidement vers le stade. Endroit que je sais très discret, asses loin des habitions pour ne pas être dérangé et suffisamment visible pour qu’un cochon habitué des lieux puisse nous repérer et rejoindre la petite bande de vicieux qui de nouveau nous entoure la queue à la main.
Je te demande de te redresser de t’assoir au fond de ton fauteuil et de bien écarter ta chattes en posant tes pieds de chaque côté du tableau de bord. Ainsi offerte je t’assure que tu es bien bandante. Les mains qui s’agitent sur les bites qui nous entourent en témoignage. Tu me fais bandé comme jamais.
A ma demande tu te caresse et ton souffle saccadé fait preuve que tu apprécies.
Je te demande de regarder toutes ses queues dressées et de les faire gigler d’excitation.
Tes doigts se fond de plus en plus pressant à rechercher ta jouissance, tu commences à te laisser aller à râler soulignant que tu aimes ça.
Au son de ma voie qui t’encourage à les faire cracher, je me branle en me régalant du spectacle que tu m’offre.
Au bout d’un petit moment, je sens ton excitation à son comble, une de tes mains cherche ma queue, la trouve, et la porte vers ta bouche. Tes lèvres entourent mon gland et tes allers venues sur mon membre font preuve de ton extrême excitation. Toi qui me confiait ne pas trop aimer sucer, tu me suces avec une tel détermination que l’on pourrait croire que ta vie dépend du fait de me faire juter. Un spy analyserait que par ce geste, c’est toutes les queues qui s’agitent autour de nous que tu voudrais faire jouir.
Ce jeu dure suffisamment longtemps pour voir disparaitre certaines et remplacées par des nouvelles. Jusqu’à n’avoir plus qu’un seul spectateur. La magie s’estompe, et l’ambiance doit être remontée.
Pas la mienne, j’en veux encore.
Du coup je redémarre la voiture, sort de cet endroit et roule pour vérifier que plus personne nous suit. Après une boucle, je reviens au même endroit mais en m’enfonçant bien au fond, là où personne ne peut nous voir.
J’arrête la voiture, te fait descendre pour prendre appuie sur le capot. Là après ces instants où tu m’as montré ton coté salope que tu nies haut et fort, je te pénètre en levrette avec une vivacité empreint de toute l’excitation dont tu as su me donner.
Mon bâton de chaire te défonce littéralement et je t’entends pour la première fois gémir de plaisir. Tu prends ton pied et je te sens couler autour de ma queue en premier temps mais aussi le long de mes jambes, une vraie fontaine qui se vide sans fin.
Me sachant trop excité pour jouir de la sorte, je mets fin à la scène quand mon souffle dû à mon âge ne me permet plus de suivre la cadence dont tu mérites et qu’il me semble que tu attends.
S’en suit une discussion entre nous nous où tu me confirme avoir beaucoup apprécié ce qui vient de se passer et où je te propose de refaire un petit tour au premier parking où tout à commencer ce soir. Ton enthousiasme à me répondre oui, ne fait que me conforter dans l’idée que tu es celle que j’attendais depuis longtemps et qui sera ravir mes jours prochains.
De retour au grand parking des Salins, nous constatons que le nombre de voitures qu’il y avait tout à l’heure à nettement diminuer à cette heure très avancée de la nuit. Seul trois quatre voitures y stationnent encore. Près d’une de celle où nous apercevons un chauffeur, nous nous garons, suffisamment près pour que ce dernier puisse voir ce qu’il se passe dans notre véhicule.
Je me remets à te caresser et je constate que tu es restée réceptive à ta respiration saccadée qui souligne le plaisir que tu prends.
Le chauffeur de la voiture voisine, descend et vient se coller à la vitre d’où il peut mieux t’admirer. Il n’a certainement pas assisté à nos premiers pas ici et au stade, et te découvrir doit l’exciter au plus haut point. Pour rajouter un peu de piment, je te propose de descendre, faire le tour de la voiture et venir me faire sucer par ta bouche en ouvrant ta portière, juste sous ses yeux. Ce à quoi tu me réponds chiche…
…La suite n’a pas été comme je l’aurai imaginé mais j’aurai aimé que tu me dises en toute sincérité ce à quoi tu t’attendais sur l’instant et ce à quoi tu étais prête à faire.
Je sais que tu as beaucoup apprécié tout autant que moi, alors ne nous coupes pas les ailes et laisses toi aller à de nouveaux instants de magie.
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