Réalisation d'un fantasme
Récit érotique écrit par Stringueusex [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-11-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Réalisation d'un fantasme
Cela fait plusieurs années que je fréquente un sex-Shop dans lequel il y a un cinéma porno au sous-sol avec également des cabines plus ou moins grandes. Il y a environ deux ans j’y ai rencontré un homme qui semblait capter particulièrement mon attention. En effet, il était plutôt grand fort et semblait actif dominant… Justement ce que je recherchais. Nous nous sommes au début enfermés dans une cabine et le feeling est tout de suite passé… Il a senti que j’étais passif et moi qu’il était actif. Je me suis donc tout naturellement mis à genoux pour lui déboutonner son jeans et faire descendre tous les tissus qui donnaient accès à l’objet de mes désirs. Je fus un peu surpris, mais néanmoins satisfait de ce que je découvrais. Il avait une verge déjà grosse au repos et une paire de couille digne d’un véritable étalon. À ce moment-là je n’ai eu qu’une envie : prendre cette grosse verge dans la bouche et lui faire une bonne fellation dont moi seul est le secret…Rapidement elle prit de l’ampleur, non seulement elle est grosse, bien épaisse et bien dure, mais aussi elle longue et doit avoisiné les 20 cm et lui commençait à avoir du plaisir et haletait de plus en plus fort. Après un moment, j’ai senti qu’il avait envie de plus, tout comme moi, je sorti une capote et la lui enfilais, je prenais une inhalation de poppers et me mettais à quatre pattes sur la banquette sans dossier qui équipait la cabine, je lubrifiais mon entre-fesses et également son monstre qui tendait bien fort. Il me pénétra alors lentement mais avec force et je fus très rapidement rempli par son membre. Au début je sentais son énorme queue qui me pénétrait et me disais qu’elle était quand trop grosse, mais avec le poppers et l’excitation, je fini par admettre qu’il prenait toute la place à l’intérieur de moi et je le trouvais même confortable. Il entama alors les va et viens en augmentant la vitesse au fur et à mesure pendant de longues minutes (et oui, j’ai la chance qu’il soit en plus bien endurant). Après environ 10 bonnes minutes de ce traitement, je sentais qu’il ne tiendrait pas longtemps. Il finit par jouir dans un râle pas très fort, mais qui montrait sa satisfaction. Je jouis quasiment en même temps pendant de nombreuses secondes. Il me fallut quelques minutes pour reprendre mes esprits puis il me donna une petite tape sur les fesses, de manière de dire merci. Il se nettoya, se rhabilla, me lan135a un sourire satisfait et nous nous revîmes plus ou moins régulièrement depuis.
Entre deux rencontres il pouvait parfois se passer plusieurs semaines, alors je fantasmais souvent sous la douche qu’il me prenait sans capote et cette simple idée m’excitait énormément, je me branlais et jouissais alors rapidement. Un jour, juste avant de commencer, nous étions déjà bien excités, ayant déjà pris position, il pointa sa verge à l’entrée de mon petit cul, je lui demandais s’il voulait me prendre avec ou sans capote, il hésita un moment, puis me dit qu’il préférait avec. Je lui en enfilai une, la lubrifia et nous partîmes de nouveau dans un rodéo endiablé. Je dois dire que je n’ai jamais autant jouis qu’avec lui et que j’y étais devenu accros…tout comme lui également. D’autres fois cependant on se contentait d’une simple fellation et il jouissait sur mon visage, j’en avais partout, car ses couilles étaient non seulement grosses, mais également bien remplies et je pu prendre toute l’ampleur de la quantité qu’il avait à donner.
Plus récemment, il y a quelques semaines, nous commencions notre programme habituel, mais pris sous le feu de l’action et de l’excitation, il pointa sa grosse verge contre mon anus que je venais de lubrifier et me pénétra sans capote, je savais qu’il en avait envie, j’en étais aussi très excité, mais après 2 ou 3 minutes de va et viens cadencés, je lui demandais de bien vouloir quand même mettre une capote car je ne voulais pas qu’il jouisse en moi. Il s’exécuta et me repris une nouvelle fois « habillé » Il ne lui fallut plus que quelques secondes et il se vida complètement dans le préservatif. Il ressorti d’en moi et je pu m’apercevoir que la capote était bien remplie. L’idée de penser que j’ai failli tout prendre en moi m’excitait et me terrifiait à la fois. Nous venions de franchir un cap et je ne savais pas encore à quoi je devais m’attendre.
Lors de chaque relation, quand je lui faisais une fellation, c’est toujours lui qui me disait qu’il avait envie de me baiser et donc, par ces propos me faisait comprendre d’arrêter mes massages buccaux et de me mettre en position pour l’assaut final. J’aime ce côté dominant chez un homme, que c’est lui qui décide et moi je m’exécute.
La semaine dernière, après plusieurs semaines où nous ne nous étions plus rencontrés, il était l’a, assis sur un canapé devant une grande cabine vide, l’écran TV était cassé, mais on entendait la bande son du film tout de même. Il y avait de la pénombre dans la cabine, je passais alors devant lui et entrais dans cette cabine en le fixant du regard. Je commençais à me déshabiller en le regardant, mais lui ne bougeait pas, je pensais qu’il n’avait pas envie de moi en ce jour, comme c’était déjà arrivé une fois, où j’avais dû arriver trop tard et Monsieur s’était déjà allégé et donc j’étais resté sur ma faim. Mais une fois en string, il tourna la tête et me fixa du regard, une demi seconde après il se levait et venais me rejoindre tout en dégrafant son pantalon. Il arriva près de moi, la verge déjà à moitié bandée, je me mis comme à l’accoutumée à genoux et lui faisais ce que je savais faire de mieux…Son sexe grossissait rapidement et j’avais l’impression qu’il était encore plus gros et plus dur que les fois précédentes. Je me délectais et je voyais qu’il y prenait vraiment plaisir. Je jouais alors avec mes lèvres et ma langue à lui caresser les couilles, lui lécher la verge, à la prendre entièrement dans la bouche jusqu’en gorge profonde et à lui astiquer son meilleur ami comme si je voulais qu’il finisse dans ma bouche. Je vis qu’il n’en pouvait plus et il me dit sur un ton franc et direct : « Je veux te baiser….. et sans capote ! » J’étais en transe, il faisait en plus chaud par cette après-midi de fin Juillet, je me mis dans notre position préférée, en levrette, tout en cherchant le gel au fond de mon sac à dos. Je m’enduisis la rondelle et prenais quelques inhalations de poppers, à ce moment je m’abandonnais totalement à lui.
Il me pénétra alors sans rencontrer la moindre résistance et me laboura pendant de longues minutes, je me sentais bien, je savais ce que je faisais et lui était fier de pouvoir me prendre à nu. Je voulais lui offrir ce plaisir, car lui m’en donne `chaque fois. Il positionna à un moment ses mains sur mes hanches pour imprimer encore plus de rythme à nos ébats, je reprenais des inhalations de poppers et me laisser totalement aller à ses coups de boutoir qui ne semblaient jamais vouloir s’arrêter. Je m’offrais totalement à lui et subissais ses assauts de mâle en rut. À un moment, sa verge sorti complètement après avoir quelque peu dérapé et je commençais à éjaculer dans des soupirs qui montraient ma satisfaction, en même temps, il me la refourgua aussi rapidement et continuait de me limer comme il savait si bien le faire. Je me suis dit que j’allais lui faire sortir la queue pour qu’il jouisse sur mes fesses et non à l’intérieur, mais il avait le contrôle et me maintenait fortement par les hanches.
Il commença alors à pousser un gros râle caractéristique et sa verge était à nouveau ressortie. Après quelques secondes, une fois quelques esprits repris, je constatais qu’il n’y avait pas de sperme par terre, comme ça aurait dû être le cas. Je lui demandais alors s’il avait jouit, je ne voulais pas que lui n’ai pas jouit et que pour moi s’était fait. Il me répondit alors que oui, il s’était bien vidé les couilles.
Il me fit un grand sourire et me donna une petit tape sur les fesses comme à l’accoutumée. Il se nettoya et se rhabilla, puis quitta la cabine sans même me rire au revoir. Quant à moi je me nettoyais et m’accroupis au-dessus de la poubelle pour faire ressortir son jus qu’il m’avait giclé dans l’anus. J’étais à la fois pris d’effroi par ce que je venais de faire, c’était la première fois qu’un homme s’était vidé les couilles dans mon petit cul, mais également fier que je venais de le faire et avec lui, car je le connaissais un peu plus que n’importe quel inconnu avec lequel ça aurait pu se passer.
Je ne voudrais pas le refaire sans protection, mais je crains que cette barrière franchie, il ne comprendrait pas que nous le refassions avec protection. Je ne sais pas encore comment sera notre prochaine rencontre, j’ai d’un côté envie de le satisfaire car il me donne beaucoup de plaisir et d’un autre côté, je ne voudrais plus prendre de risque…J’y retournerai demain en espérant le revoir et en appréhendant le moment, tout en étant excité…
Il se passa plusieurs semaines où je ne le vis plus, j’allais régulièrement, mais peut-être trop dans ce Sex-Shop en espérant le revoir, mais rien n’y faisait ! Il ne venait plus, j’étais à la fois déçu et excité de pouvoir le revoir. Puis un mardi, je me suis dit que c’était ce jour-là que j’avais le plus de chance de le trouver, je retournais au Sex-Shop un peu plus tôt que d’habitude, car quelque chose me disait que peut-être il y serait aussi plus tôt que les autres jours.
Il n’y était pas. J’étais déçu à nouveau et j’espérais qu’il viendrait. Après environ 15 minutes, je le vis passer devant la cabine où je m’étais installé. Il vint me rejoindre après quelques minute, il avait, je pense, envie de me faire languir, pour obtenir tous ses désirs. Alors recommença notre habituelle cérémonie, il dégrafa son pantalon, le fit descendre aux genoux et baissa son caleçon. Sa bite était déjà au garde à vous et je me mettais à genoux pour lui faire une bonne fellation.
Après quelques minutes, il me dit qu’il avait envie de me baiser. Ni une ni deux, je me mis à quatre patte sur le canapé en lui tendant mes fesses,je n’étais vêtu que d’un tout petit string noir, car j’adore cette sensation en faisant l’amour et j’enduisis mon petit trou de gel lubrifiant, je sniffait du poppers et lui me présenta sa verge tendue entre les fesses, il ne fallut pas longtemps pour qu’elle puisse me pénétrer. Je repris une nouvelle bouffée de poppers et m’abandonnais totalement à lui.
Il me bourrinait depuis de longues minutes déjà et ce sans capote, je crois qu’il appréciait particulièrement, car c’était la première fois qu’il pouvait me prendre à nu aussi longtemps sans protection. Je savais aussi qu’il y avait un risque, mais l’excitation était plus forte que tout.
Après sans doute une bonne vingtaine de minutes je sentais son membre en moi qui semblait devenir encore plus gros et encore plus dur, il me remplissait complètement et tellement bien, j’étais aux anges et haletais très, très, fort, tout comme lui d’ailleurs. Il me serrait très fort les hanches tout en me limant à fond et je fini par sentir des vibrations dans mon intimité, comme-ci j’avais un vibromasseur en moi, je me demandais quelques instants ce que cela pouvait être et pourquoi ça vibrait comme ça, mais je remarquais rapidement que Werner haletait fortement, autrement dit qu’il était tout simplement en train de se vider les couilles complètement en moi et me serrait très fermement, sans doute de peur que je fasse sortir sa queue, car les fois précédentes je ne voulais pas qu’il jouisse en moi. Mais il savait y faire et sa force, sa détermination, ma soumission et mon excitation aidant, il a enfin pu se libérer totalement en moi.
Il ressorti après quelques minutes sa bite toute trempée de mon cul, j’essayais de mon côté de reprendre mon souffle en restant un moment à quatre pattes. Puis je finis par enfin me lever et constatais que tout son foutre qui avait giclé en moi l’avait été très profond (il est bien membré aussi) et donc rien ne ressortait. J’étais quelque part fier de ce traitement, car je dois l’avouer, je suis une petit chienne en chaleur qui avait besoin de ce traitement. J’adore être dominé par un homme et obéir à toutes ses volontés. Ce jour-là, Werner avait gagné et atteint son but!
Depuis nous nous revoyons de temps en temps et il me baise toujours sans capote, je suis à son service, tout simplement comme vide-couilles et cela me va très bien!
Merci mon homme, j’aime être à ton service et faire ce que tu veux…
Entre deux rencontres il pouvait parfois se passer plusieurs semaines, alors je fantasmais souvent sous la douche qu’il me prenait sans capote et cette simple idée m’excitait énormément, je me branlais et jouissais alors rapidement. Un jour, juste avant de commencer, nous étions déjà bien excités, ayant déjà pris position, il pointa sa verge à l’entrée de mon petit cul, je lui demandais s’il voulait me prendre avec ou sans capote, il hésita un moment, puis me dit qu’il préférait avec. Je lui en enfilai une, la lubrifia et nous partîmes de nouveau dans un rodéo endiablé. Je dois dire que je n’ai jamais autant jouis qu’avec lui et que j’y étais devenu accros…tout comme lui également. D’autres fois cependant on se contentait d’une simple fellation et il jouissait sur mon visage, j’en avais partout, car ses couilles étaient non seulement grosses, mais également bien remplies et je pu prendre toute l’ampleur de la quantité qu’il avait à donner.
Plus récemment, il y a quelques semaines, nous commencions notre programme habituel, mais pris sous le feu de l’action et de l’excitation, il pointa sa grosse verge contre mon anus que je venais de lubrifier et me pénétra sans capote, je savais qu’il en avait envie, j’en étais aussi très excité, mais après 2 ou 3 minutes de va et viens cadencés, je lui demandais de bien vouloir quand même mettre une capote car je ne voulais pas qu’il jouisse en moi. Il s’exécuta et me repris une nouvelle fois « habillé » Il ne lui fallut plus que quelques secondes et il se vida complètement dans le préservatif. Il ressorti d’en moi et je pu m’apercevoir que la capote était bien remplie. L’idée de penser que j’ai failli tout prendre en moi m’excitait et me terrifiait à la fois. Nous venions de franchir un cap et je ne savais pas encore à quoi je devais m’attendre.
Lors de chaque relation, quand je lui faisais une fellation, c’est toujours lui qui me disait qu’il avait envie de me baiser et donc, par ces propos me faisait comprendre d’arrêter mes massages buccaux et de me mettre en position pour l’assaut final. J’aime ce côté dominant chez un homme, que c’est lui qui décide et moi je m’exécute.
La semaine dernière, après plusieurs semaines où nous ne nous étions plus rencontrés, il était l’a, assis sur un canapé devant une grande cabine vide, l’écran TV était cassé, mais on entendait la bande son du film tout de même. Il y avait de la pénombre dans la cabine, je passais alors devant lui et entrais dans cette cabine en le fixant du regard. Je commençais à me déshabiller en le regardant, mais lui ne bougeait pas, je pensais qu’il n’avait pas envie de moi en ce jour, comme c’était déjà arrivé une fois, où j’avais dû arriver trop tard et Monsieur s’était déjà allégé et donc j’étais resté sur ma faim. Mais une fois en string, il tourna la tête et me fixa du regard, une demi seconde après il se levait et venais me rejoindre tout en dégrafant son pantalon. Il arriva près de moi, la verge déjà à moitié bandée, je me mis comme à l’accoutumée à genoux et lui faisais ce que je savais faire de mieux…Son sexe grossissait rapidement et j’avais l’impression qu’il était encore plus gros et plus dur que les fois précédentes. Je me délectais et je voyais qu’il y prenait vraiment plaisir. Je jouais alors avec mes lèvres et ma langue à lui caresser les couilles, lui lécher la verge, à la prendre entièrement dans la bouche jusqu’en gorge profonde et à lui astiquer son meilleur ami comme si je voulais qu’il finisse dans ma bouche. Je vis qu’il n’en pouvait plus et il me dit sur un ton franc et direct : « Je veux te baiser….. et sans capote ! » J’étais en transe, il faisait en plus chaud par cette après-midi de fin Juillet, je me mis dans notre position préférée, en levrette, tout en cherchant le gel au fond de mon sac à dos. Je m’enduisis la rondelle et prenais quelques inhalations de poppers, à ce moment je m’abandonnais totalement à lui.
Il me pénétra alors sans rencontrer la moindre résistance et me laboura pendant de longues minutes, je me sentais bien, je savais ce que je faisais et lui était fier de pouvoir me prendre à nu. Je voulais lui offrir ce plaisir, car lui m’en donne `chaque fois. Il positionna à un moment ses mains sur mes hanches pour imprimer encore plus de rythme à nos ébats, je reprenais des inhalations de poppers et me laisser totalement aller à ses coups de boutoir qui ne semblaient jamais vouloir s’arrêter. Je m’offrais totalement à lui et subissais ses assauts de mâle en rut. À un moment, sa verge sorti complètement après avoir quelque peu dérapé et je commençais à éjaculer dans des soupirs qui montraient ma satisfaction, en même temps, il me la refourgua aussi rapidement et continuait de me limer comme il savait si bien le faire. Je me suis dit que j’allais lui faire sortir la queue pour qu’il jouisse sur mes fesses et non à l’intérieur, mais il avait le contrôle et me maintenait fortement par les hanches.
Il commença alors à pousser un gros râle caractéristique et sa verge était à nouveau ressortie. Après quelques secondes, une fois quelques esprits repris, je constatais qu’il n’y avait pas de sperme par terre, comme ça aurait dû être le cas. Je lui demandais alors s’il avait jouit, je ne voulais pas que lui n’ai pas jouit et que pour moi s’était fait. Il me répondit alors que oui, il s’était bien vidé les couilles.
Il me fit un grand sourire et me donna une petit tape sur les fesses comme à l’accoutumée. Il se nettoya et se rhabilla, puis quitta la cabine sans même me rire au revoir. Quant à moi je me nettoyais et m’accroupis au-dessus de la poubelle pour faire ressortir son jus qu’il m’avait giclé dans l’anus. J’étais à la fois pris d’effroi par ce que je venais de faire, c’était la première fois qu’un homme s’était vidé les couilles dans mon petit cul, mais également fier que je venais de le faire et avec lui, car je le connaissais un peu plus que n’importe quel inconnu avec lequel ça aurait pu se passer.
Je ne voudrais pas le refaire sans protection, mais je crains que cette barrière franchie, il ne comprendrait pas que nous le refassions avec protection. Je ne sais pas encore comment sera notre prochaine rencontre, j’ai d’un côté envie de le satisfaire car il me donne beaucoup de plaisir et d’un autre côté, je ne voudrais plus prendre de risque…J’y retournerai demain en espérant le revoir et en appréhendant le moment, tout en étant excité…
Il se passa plusieurs semaines où je ne le vis plus, j’allais régulièrement, mais peut-être trop dans ce Sex-Shop en espérant le revoir, mais rien n’y faisait ! Il ne venait plus, j’étais à la fois déçu et excité de pouvoir le revoir. Puis un mardi, je me suis dit que c’était ce jour-là que j’avais le plus de chance de le trouver, je retournais au Sex-Shop un peu plus tôt que d’habitude, car quelque chose me disait que peut-être il y serait aussi plus tôt que les autres jours.
Il n’y était pas. J’étais déçu à nouveau et j’espérais qu’il viendrait. Après environ 15 minutes, je le vis passer devant la cabine où je m’étais installé. Il vint me rejoindre après quelques minute, il avait, je pense, envie de me faire languir, pour obtenir tous ses désirs. Alors recommença notre habituelle cérémonie, il dégrafa son pantalon, le fit descendre aux genoux et baissa son caleçon. Sa bite était déjà au garde à vous et je me mettais à genoux pour lui faire une bonne fellation.
Après quelques minutes, il me dit qu’il avait envie de me baiser. Ni une ni deux, je me mis à quatre patte sur le canapé en lui tendant mes fesses,je n’étais vêtu que d’un tout petit string noir, car j’adore cette sensation en faisant l’amour et j’enduisis mon petit trou de gel lubrifiant, je sniffait du poppers et lui me présenta sa verge tendue entre les fesses, il ne fallut pas longtemps pour qu’elle puisse me pénétrer. Je repris une nouvelle bouffée de poppers et m’abandonnais totalement à lui.
Il me bourrinait depuis de longues minutes déjà et ce sans capote, je crois qu’il appréciait particulièrement, car c’était la première fois qu’il pouvait me prendre à nu aussi longtemps sans protection. Je savais aussi qu’il y avait un risque, mais l’excitation était plus forte que tout.
Après sans doute une bonne vingtaine de minutes je sentais son membre en moi qui semblait devenir encore plus gros et encore plus dur, il me remplissait complètement et tellement bien, j’étais aux anges et haletais très, très, fort, tout comme lui d’ailleurs. Il me serrait très fort les hanches tout en me limant à fond et je fini par sentir des vibrations dans mon intimité, comme-ci j’avais un vibromasseur en moi, je me demandais quelques instants ce que cela pouvait être et pourquoi ça vibrait comme ça, mais je remarquais rapidement que Werner haletait fortement, autrement dit qu’il était tout simplement en train de se vider les couilles complètement en moi et me serrait très fermement, sans doute de peur que je fasse sortir sa queue, car les fois précédentes je ne voulais pas qu’il jouisse en moi. Mais il savait y faire et sa force, sa détermination, ma soumission et mon excitation aidant, il a enfin pu se libérer totalement en moi.
Il ressorti après quelques minutes sa bite toute trempée de mon cul, j’essayais de mon côté de reprendre mon souffle en restant un moment à quatre pattes. Puis je finis par enfin me lever et constatais que tout son foutre qui avait giclé en moi l’avait été très profond (il est bien membré aussi) et donc rien ne ressortait. J’étais quelque part fier de ce traitement, car je dois l’avouer, je suis une petit chienne en chaleur qui avait besoin de ce traitement. J’adore être dominé par un homme et obéir à toutes ses volontés. Ce jour-là, Werner avait gagné et atteint son but!
Depuis nous nous revoyons de temps en temps et il me baise toujours sans capote, je suis à son service, tout simplement comme vide-couilles et cela me va très bien!
Merci mon homme, j’aime être à ton service et faire ce que tu veux…
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