Réaliser notre fantasme (1)
Récit érotique écrit par Bignick [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-06-2006 dans la catégorie Plus on est
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Réaliser notre fantasme (1)
...et cette idée m'excitait aussi. Presque un an passa sans refaire allusion à cette conversation. À l'époque J'avais 36 ans et Maria 32 (le prénom est modifié). C'est une belle femme, rousse aux yeux bleus, grande et bien proportionnée, avec une poitrine superbe et un sexe non épilé. Elle n'a aucun tabou sexuel et est plutôt le genre à aimer le sexe. Puis un jour, elle pris l’initiative : ‘Tu sais la discussion que nous avons eu un jour, nos fantasmes ? Et bien c’est d’accord. Mais tu choisi les hommes et je veux avoir les yeux bandés’.
J’étais plutôt surpris mais très excité aussi. C’était un samedi matin, peu de temps après notre réveil. Elle avait dû faire des rêves érotiques !!! Je décidais donc de me mettre tout de suite en quête de complices. Mais je ne souhaitais pas des hommes jeunes aussi, via Internet, je recherchais uniquement des complices âgés d’au moins 55 ans. En deux heures, mon choix était fait : Olivier (54 ans), Maurice (61 ans) et Jean Pierre (65 ans). Rendez-vous fut pris et je leur précisais bien d’être là tous les trois à 18 :00. Maria passa une heure dans le bain. Puis, vêtue d’un seul peignoir, elle s’installa sur le canapé du salon. À l’heure convenue, nos trois nouveaux amis sonnaient à la porte. Je masquais les yeux de mon épouse et allais accueillir les visiteurs. Présentations et je leur donne quelques directives et conseils, puis nous entrons au salon. Encore les présentations (bizarre avec les yeux masqués de Maria…) et Olivier et Maurice prennent place de chaque côté de ma femme alors que JP s’agenouille devant elle. Sans préambules, il écarte les pans du peignoir, plaque une main sur chacune de ses cuisses et lui ouvre très largement les jambes. Avec un rire un peu gêné, Maria dit : ’Et bien, vous ne perdez pas de temps !!!’.
La main de JP est déjà plaquée sur l’entre cuisse de ma femme ‘ Quelle belle chatte, elle commence déjà à mouiller. Et pas rasée en plus ! J’aime !’ dit-il en la pénétrant d’un doigt agité.
Maria est maintenant silencieuse, la bouche entre ouverte un léger sourire aux lèvres. De leur côté, Olivier et Maurice ont fait jaillir les seins du peignoir maintenant largement ouvert et les pétrisse, les lèche, les suce. Ma chérie à l’air aux Anges et chacune de ses mains part à la recherche des sexes de ses compagnons. JP a maintenant le majeur et l’index qui fouillent sa chatte tandis que son pouce écrase le clitoris. Je ne perds pas une miette du spectacle et j’avoue que sans même me toucher, je suis au bord de l’éjaculation tellement je bande. JP abandonne sa caresse et se lève et fébrilement enlève pantalon et slip. Il est grand, maigre, des cheveux très blancs et un sexe très long et fin. IL s’agenouille à nouveau, mais cette fois la pénètre avec deux doigts tout en aspirant son clitoris. Maria commence à gémir doucement et les mouvements de son bassin indiquent qu’elle apprécie le traitement qui lui est réservé. Les deux autres aussi ont tombé le pantalon : Olivier, chauve et avec un gros ventre a un sexe relativement court mais très épais avec un gland énorme et violacé et des testicules de la taille d’un citron chacun. Maurice lui est très quelconque, un sexe normal. Maria n’est plus assise : elle est presque allongée, ses jambes très ouvertes ne touchent plus le canapé et elle est complètement abandonnée à la langue qui la fouille maintenant. Les deux autres se sont agenouillés de chaque côté de son joli visage et Olivier est le premier à frotter son énorme gland sur les lèvres entrouvertes de mon épouse. Avec sa langue, elle commence à faire le tour de ce fruit inconnu tout en masturbant le troisième amant. Je suis complètement subjugué par l’abandon total de Maria devant tant de vice et je commence à me caresser sans perdre une image de se qui se déroule devant moi. JP abandonne le cunnilingus et d’une main guide son membre dressé à l’entrée du chaud fourreau de la chatte et d’un coup de rein, lui enfile toute la longueur de sa queue. Elle réagit immédiatement en poussant un râle étouffé et en projetant son bassin à la rencontre de cette invasion intime. Maintenant, ses gémissements s’accélèrent et sa bouche englouti à chacun leur tour les deux autres sexes tendus. Leurs mains continu à pétrir ses seins et quand JP, qui la besogne assez brutalement, écrase son clitoris avec son pouce, elle se déchaîne. Ses mouvements de bassin se font désordonnés, elle masturbe et suce de plus en plus vite. Dans un râle, JP qui la baise (il n’y a pas d’autre mot…) dit : ’Ça y est, je vais jouir !!!’.
Et en criant, il donne un dernier coup de reins profond et s’abandonne à son plaisir. Moi, je l’imagine en train de se vider dans ma femme et je viens à mon tour. Presque au même moment, Maurice qui profite des faveurs de la bouche de Maria n’y tiens plus et lui maintenant la tête à deux mains pousse un cri et tremblant, éjacule dans la bouche de ma femme. Sitôt terminé, Maria l’abandonne pour à nouveau reprendre en bouche Olivier. J’ai presque l’impression qu’elle y met de la tendresse, qu’elle s’applique à lui faire une fellation de rêve. Au bout de quelques instants il se retire de sa bouche et lui dit : ’Ouvres grand et tire la langue !!!’.
Elle s’exécute et reçoit à ce moment de longues et épaisses giclées de sperme chaud sur le visage, la langue et pour finir au fond la gorge, Olivier ayant repoussé sa queue à fond dans sa bouche. Je n’avais jamais vu une telle quantité de sperme !!! Rejetant la tête en arrière, Maria dégluti deux fois pour tout avaler….
À SUIVRE….
J’étais plutôt surpris mais très excité aussi. C’était un samedi matin, peu de temps après notre réveil. Elle avait dû faire des rêves érotiques !!! Je décidais donc de me mettre tout de suite en quête de complices. Mais je ne souhaitais pas des hommes jeunes aussi, via Internet, je recherchais uniquement des complices âgés d’au moins 55 ans. En deux heures, mon choix était fait : Olivier (54 ans), Maurice (61 ans) et Jean Pierre (65 ans). Rendez-vous fut pris et je leur précisais bien d’être là tous les trois à 18 :00. Maria passa une heure dans le bain. Puis, vêtue d’un seul peignoir, elle s’installa sur le canapé du salon. À l’heure convenue, nos trois nouveaux amis sonnaient à la porte. Je masquais les yeux de mon épouse et allais accueillir les visiteurs. Présentations et je leur donne quelques directives et conseils, puis nous entrons au salon. Encore les présentations (bizarre avec les yeux masqués de Maria…) et Olivier et Maurice prennent place de chaque côté de ma femme alors que JP s’agenouille devant elle. Sans préambules, il écarte les pans du peignoir, plaque une main sur chacune de ses cuisses et lui ouvre très largement les jambes. Avec un rire un peu gêné, Maria dit : ’Et bien, vous ne perdez pas de temps !!!’.
La main de JP est déjà plaquée sur l’entre cuisse de ma femme ‘ Quelle belle chatte, elle commence déjà à mouiller. Et pas rasée en plus ! J’aime !’ dit-il en la pénétrant d’un doigt agité.
Maria est maintenant silencieuse, la bouche entre ouverte un léger sourire aux lèvres. De leur côté, Olivier et Maurice ont fait jaillir les seins du peignoir maintenant largement ouvert et les pétrisse, les lèche, les suce. Ma chérie à l’air aux Anges et chacune de ses mains part à la recherche des sexes de ses compagnons. JP a maintenant le majeur et l’index qui fouillent sa chatte tandis que son pouce écrase le clitoris. Je ne perds pas une miette du spectacle et j’avoue que sans même me toucher, je suis au bord de l’éjaculation tellement je bande. JP abandonne sa caresse et se lève et fébrilement enlève pantalon et slip. Il est grand, maigre, des cheveux très blancs et un sexe très long et fin. IL s’agenouille à nouveau, mais cette fois la pénètre avec deux doigts tout en aspirant son clitoris. Maria commence à gémir doucement et les mouvements de son bassin indiquent qu’elle apprécie le traitement qui lui est réservé. Les deux autres aussi ont tombé le pantalon : Olivier, chauve et avec un gros ventre a un sexe relativement court mais très épais avec un gland énorme et violacé et des testicules de la taille d’un citron chacun. Maurice lui est très quelconque, un sexe normal. Maria n’est plus assise : elle est presque allongée, ses jambes très ouvertes ne touchent plus le canapé et elle est complètement abandonnée à la langue qui la fouille maintenant. Les deux autres se sont agenouillés de chaque côté de son joli visage et Olivier est le premier à frotter son énorme gland sur les lèvres entrouvertes de mon épouse. Avec sa langue, elle commence à faire le tour de ce fruit inconnu tout en masturbant le troisième amant. Je suis complètement subjugué par l’abandon total de Maria devant tant de vice et je commence à me caresser sans perdre une image de se qui se déroule devant moi. JP abandonne le cunnilingus et d’une main guide son membre dressé à l’entrée du chaud fourreau de la chatte et d’un coup de rein, lui enfile toute la longueur de sa queue. Elle réagit immédiatement en poussant un râle étouffé et en projetant son bassin à la rencontre de cette invasion intime. Maintenant, ses gémissements s’accélèrent et sa bouche englouti à chacun leur tour les deux autres sexes tendus. Leurs mains continu à pétrir ses seins et quand JP, qui la besogne assez brutalement, écrase son clitoris avec son pouce, elle se déchaîne. Ses mouvements de bassin se font désordonnés, elle masturbe et suce de plus en plus vite. Dans un râle, JP qui la baise (il n’y a pas d’autre mot…) dit : ’Ça y est, je vais jouir !!!’.
Et en criant, il donne un dernier coup de reins profond et s’abandonne à son plaisir. Moi, je l’imagine en train de se vider dans ma femme et je viens à mon tour. Presque au même moment, Maurice qui profite des faveurs de la bouche de Maria n’y tiens plus et lui maintenant la tête à deux mains pousse un cri et tremblant, éjacule dans la bouche de ma femme. Sitôt terminé, Maria l’abandonne pour à nouveau reprendre en bouche Olivier. J’ai presque l’impression qu’elle y met de la tendresse, qu’elle s’applique à lui faire une fellation de rêve. Au bout de quelques instants il se retire de sa bouche et lui dit : ’Ouvres grand et tire la langue !!!’.
Elle s’exécute et reçoit à ce moment de longues et épaisses giclées de sperme chaud sur le visage, la langue et pour finir au fond la gorge, Olivier ayant repoussé sa queue à fond dans sa bouche. Je n’avais jamais vu une telle quantité de sperme !!! Rejetant la tête en arrière, Maria dégluti deux fois pour tout avaler….
À SUIVRE….
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