Recherche de baise
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-08-2014 dans la catégorie Plus on est
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Recherche de baise
Depuis le temps, j’ai envie de m’encanailler un peu. Ma robe bleu courte me convient assez, juste un tout petit string suffira. La boite est pleine de bruit, des couples surtout. Je me trouve un peu sotte seule au bar. Il arrive pour m’inviter à danser. Une danse lente qui permet aux couples de se serrer : mon style pour ce soir.
Il est grand, brun avec des yeux bleus. Il me semble bien musclé. Ses bras m’entourent vite comme un prélude, comme s’il savait ce que je cherche. S’il se doutait que je suis vierge de toute bite depuis deux mois, que seules mes mains avec les godes me contentent. Je suis capable de m’offrir à la première queue venue.
Je me colle contre lui, je le sens bander contre le ventre. Tant mieux, il a une belle queue, je la lui prendrai en sortant de cet endroit. Je glisse mon ventre sur une de ses cuisses. Je me frotte à lui, je trouve une forme de plaisir, pas complet, mais suffisant pour l’instant.
La danse s’arrête. Il ne va pas me laisser tomber ainsi. Il m’invite à sa table où il n’est pas seul. Enfin il se présente : Georges et son copain Henri. Je sens comme un malaise : je comprends rapidement qu’ils sont amants. De nos jours c’est presque banal. Il me fait assoir entre les deux. J’ai droit à une bière que je liquide vite, assoiffée que je suis.
Georges sans manière pose sa main sur ma cuisse ; Chaude comme je suis il peut bien aller plus haut. Je remue à peine les muscles. Il monte passe sous la robe, la remonte sans s’occuper de savoir si quelqu’un nous regarde. Il écarte le string mouillé pour venir sur les lèvres. Henri le regarde faire sans rien dire. J’aimerais bien qu’Henri me touche aussi.
Les doigts trouvent bien vite le clitoris. Mes cuisses bien écartées j’encaisse la masturbation plutôt réussie. Je me tends pour ne pas jouir trop vite, mais quand je pars c’est pour de bon : au diable ma main et autres accessoires bidon. J’aurais voulu qu’il me doigte, mais pour une première fois je n’ai pas à me plaindre. Ma langue le remercie dans sa bouche.
- Si tu veux, viens avec nous.
- On baisera ?
- Bin sur je te la mettrai là où te veux.
- Devant, j’aime u dans la bouche.
J’établis ainsi une sorte de programme.Je ne réfléchi pas longtemps, je vais avec lui dans l’intention de baiser, de me faire mettre. Je ne dis pas que j’aimerais bien le sucer, une dame ne dit jamais ça, elle le réalise. Je me demande ce qu’Henri peut me faire avec ses airs de gay.
Ils habitent à deux pas, un genre de loft, clair, plein de vitre partout. N’importe quel voisin a vue sur le logis. Ma foi, je men fiche, même si on me regarde bien pendant mes amours, j’ai les yeux fermés, je profite de la queue qui me fait du bien. Georges me serre contre lui, pose sa bouche sur la mienne. Son baiser est farouche, bon, profond. Je fonds dans mon sexe. Henri nous regarde tranquillement. Son amant veut me baiser et à lui ça ne lui fait rien. ?
Georges fait descendre la robe, se baisse pour ma faire sortir des pieds. Mon string suit le même chemin. Je suis enfin nue. Il revint debout contre moi. Je desserre la ceinture du jean, ouvre la braguette, fait descendre son futal. Il reste en slip déformé par sa tige. Je ne résiste pas à l’appel du mâle. Je sors cette queue droite, pleine de veine. Elle est un peu déformée en allant vers la gauche. C’est délicat, mignon.
Je le prends à pleine main : il y si longtemps que je n’en ai pas eu. Je le branle en arrêtant vite. Son prépuce coulisse bien, presque trop facilement. J’imagine ce qu’il ferait dans ma coque près de la matrice. De l’autre coté de la pièce, Henri a aussi sorti sa queue. Joli morceau, dommage qu’il la réserve à son amant, je la lui mangerais bien.
Il comprend mon premier désir : pas une baise rapide, quelque chose de distinct, de fin, de délicat, de raffiné. Sa bouche passe sur le ventre, sur le pubis, sur mon entrejambe offerte depuis le début. Enfin sa langue est sur mon intimité. Elle n’est pas délectable, elle est mieux que ça. Je sens chaque papille. Il ne lèche plus, il déguste. Je lui donne à volonté mon jus, ma moule dégouline. Je tiens à peine sa tête, il me tient les fesses.
Je regarde en bas, il bande de plus en plus. Il va falloir que je le dégonfle sinon il va jouir à sec. Je me laisse aller en jouissant d’avance sur sa bouche. J’ai du lui en mettre plein les narines et les joues : il est reluisant. S’il se remonte un peu, moi je me baisse, je vais réaliser mon rêve de prendre son jus, le déguster longuement avant de l’avaler doucement.
Ma bouche est pleine de sa queue. Elle est odorante, elle sent l’homme, le vrai. Je débusque le gland, ma cible. La langue s’enroule autour. Il en sursaute quand je le serre un peu trop. Ce n’est pas de ma faute s il est si bon. Je caresse vite fait ses couilles. Il est tendu vers mon visage. Son jus s’écoule, gicle dans la bouche, c’est gluant, chaud, à peine salé. J’aime ça, ça me manquait terriblement.
Et l’amant ? Il est aussi nu que nous, il se masturbe en nous regardant. Je pourrais le lui faire aussi bien. C’est un bel homme. Dommage que sa queue soit réservée au cul de celui qui me donne du plaisir. Quoique j’aimerais bien les voir s’amuser ensemble bite à cul. Peut-être si je leur demande poliment. Ou alors dans le mien, bien que la sodomie ne soit pas ma première demande.
Lentement il me pousse vers le lit : un seul lit pour ces deux amants. Je me laisse aller. Il vient à coté de moi Ses mains entreprennent mon siège il me caresse fort bien la poitrine. Mes pointes se dressent : il les mordille. C’est bon, je le veux en moi. J’ai beau rendre sa pine, la pousser vers mon sexe, il ne fait que ce qu’il veut. Il se tourne sur moi. Ma chatte est dans sa bouche. Sa langue me fait faiblir. Il lèche comme un prince, un as de la chose, comme le ferait une fille. Je me laisse partir, il me fait jouir, j’en veux encore. Je peux prendre sa queue dans la bouche. Elle est toujours agréable aves un arrière goût de sperme. Je manœuvre son prépuce qui monte et descend. Je l’ai mis entre la langue et la joue gauche. Sa langue se déplace sans cesse, il est maintenant sur mon petit trou. Je crois bien que c’est la première fois que j’aime ça. Il insiste en mettant toute le langue.Ca ce voit qu’il a de l’entrainement avec son amant. Il me donne pour la première fois un orgasme par le cul.
Henri ne nous regarde plus, il veut participer. Bon prince Georges me prête. Il me baise par le con, me tourne sans déraper. Mes fesses sont offertes. J’ai peur de la suite. Je sens cette nouvelle queue dans la raie, elle y rode un moment, je la sens grossir.
J’allais pousser un grand cri de douleur : il m’encule sans dommage pour moi. Je ne pensais jamais prendre du plaisir par cet endroit inhabituel. Sentir deux queues ensemble dans le ventre, deux queues complices. Elles vont et viennent facilement. Le plus fort est que les muscles de mon cul ne protestent pas, ils s’ouvrent volontiers.
Je sens les deux pines se croiser, les deux hommes faire des commentaires sur ma vertu, mes capacités de baiseuse…..Je passe les gros mots qui m’excitent.
Le plus terrible pour moi est de ne pas me souvenir du nombre d’orgasmes que j’ai eu.
Actuellement nous nous voyons souvent, nous baisons toujours. Ils s’arrangent pour me baiser sans cesse. Mon cul veut toujours une bite. J’ai convaincu Henri qu’un con est aussi bon qu’un cul d’homme. Il me baise des fois, rarement, il préfère les gros culs masculins.
Parfois ils me font plaisir : Georges est en levrette, Henri derrière lui le sodomise. Je regarde avec plaisir la queue de Georges se balader sous son ventre avant qu’il la prenne pour se branler. J’aime les voir ainsi prendre un autre plaisir, c’est comme si moi j’avais une copine, ils aimeraient me voir lécher un autre sexe. J’aime les voir faire : je me touche avec le plaisir au bout de mes doigts.
Il est grand, brun avec des yeux bleus. Il me semble bien musclé. Ses bras m’entourent vite comme un prélude, comme s’il savait ce que je cherche. S’il se doutait que je suis vierge de toute bite depuis deux mois, que seules mes mains avec les godes me contentent. Je suis capable de m’offrir à la première queue venue.
Je me colle contre lui, je le sens bander contre le ventre. Tant mieux, il a une belle queue, je la lui prendrai en sortant de cet endroit. Je glisse mon ventre sur une de ses cuisses. Je me frotte à lui, je trouve une forme de plaisir, pas complet, mais suffisant pour l’instant.
La danse s’arrête. Il ne va pas me laisser tomber ainsi. Il m’invite à sa table où il n’est pas seul. Enfin il se présente : Georges et son copain Henri. Je sens comme un malaise : je comprends rapidement qu’ils sont amants. De nos jours c’est presque banal. Il me fait assoir entre les deux. J’ai droit à une bière que je liquide vite, assoiffée que je suis.
Georges sans manière pose sa main sur ma cuisse ; Chaude comme je suis il peut bien aller plus haut. Je remue à peine les muscles. Il monte passe sous la robe, la remonte sans s’occuper de savoir si quelqu’un nous regarde. Il écarte le string mouillé pour venir sur les lèvres. Henri le regarde faire sans rien dire. J’aimerais bien qu’Henri me touche aussi.
Les doigts trouvent bien vite le clitoris. Mes cuisses bien écartées j’encaisse la masturbation plutôt réussie. Je me tends pour ne pas jouir trop vite, mais quand je pars c’est pour de bon : au diable ma main et autres accessoires bidon. J’aurais voulu qu’il me doigte, mais pour une première fois je n’ai pas à me plaindre. Ma langue le remercie dans sa bouche.
- Si tu veux, viens avec nous.
- On baisera ?
- Bin sur je te la mettrai là où te veux.
- Devant, j’aime u dans la bouche.
J’établis ainsi une sorte de programme.Je ne réfléchi pas longtemps, je vais avec lui dans l’intention de baiser, de me faire mettre. Je ne dis pas que j’aimerais bien le sucer, une dame ne dit jamais ça, elle le réalise. Je me demande ce qu’Henri peut me faire avec ses airs de gay.
Ils habitent à deux pas, un genre de loft, clair, plein de vitre partout. N’importe quel voisin a vue sur le logis. Ma foi, je men fiche, même si on me regarde bien pendant mes amours, j’ai les yeux fermés, je profite de la queue qui me fait du bien. Georges me serre contre lui, pose sa bouche sur la mienne. Son baiser est farouche, bon, profond. Je fonds dans mon sexe. Henri nous regarde tranquillement. Son amant veut me baiser et à lui ça ne lui fait rien. ?
Georges fait descendre la robe, se baisse pour ma faire sortir des pieds. Mon string suit le même chemin. Je suis enfin nue. Il revint debout contre moi. Je desserre la ceinture du jean, ouvre la braguette, fait descendre son futal. Il reste en slip déformé par sa tige. Je ne résiste pas à l’appel du mâle. Je sors cette queue droite, pleine de veine. Elle est un peu déformée en allant vers la gauche. C’est délicat, mignon.
Je le prends à pleine main : il y si longtemps que je n’en ai pas eu. Je le branle en arrêtant vite. Son prépuce coulisse bien, presque trop facilement. J’imagine ce qu’il ferait dans ma coque près de la matrice. De l’autre coté de la pièce, Henri a aussi sorti sa queue. Joli morceau, dommage qu’il la réserve à son amant, je la lui mangerais bien.
Il comprend mon premier désir : pas une baise rapide, quelque chose de distinct, de fin, de délicat, de raffiné. Sa bouche passe sur le ventre, sur le pubis, sur mon entrejambe offerte depuis le début. Enfin sa langue est sur mon intimité. Elle n’est pas délectable, elle est mieux que ça. Je sens chaque papille. Il ne lèche plus, il déguste. Je lui donne à volonté mon jus, ma moule dégouline. Je tiens à peine sa tête, il me tient les fesses.
Je regarde en bas, il bande de plus en plus. Il va falloir que je le dégonfle sinon il va jouir à sec. Je me laisse aller en jouissant d’avance sur sa bouche. J’ai du lui en mettre plein les narines et les joues : il est reluisant. S’il se remonte un peu, moi je me baisse, je vais réaliser mon rêve de prendre son jus, le déguster longuement avant de l’avaler doucement.
Ma bouche est pleine de sa queue. Elle est odorante, elle sent l’homme, le vrai. Je débusque le gland, ma cible. La langue s’enroule autour. Il en sursaute quand je le serre un peu trop. Ce n’est pas de ma faute s il est si bon. Je caresse vite fait ses couilles. Il est tendu vers mon visage. Son jus s’écoule, gicle dans la bouche, c’est gluant, chaud, à peine salé. J’aime ça, ça me manquait terriblement.
Et l’amant ? Il est aussi nu que nous, il se masturbe en nous regardant. Je pourrais le lui faire aussi bien. C’est un bel homme. Dommage que sa queue soit réservée au cul de celui qui me donne du plaisir. Quoique j’aimerais bien les voir s’amuser ensemble bite à cul. Peut-être si je leur demande poliment. Ou alors dans le mien, bien que la sodomie ne soit pas ma première demande.
Lentement il me pousse vers le lit : un seul lit pour ces deux amants. Je me laisse aller. Il vient à coté de moi Ses mains entreprennent mon siège il me caresse fort bien la poitrine. Mes pointes se dressent : il les mordille. C’est bon, je le veux en moi. J’ai beau rendre sa pine, la pousser vers mon sexe, il ne fait que ce qu’il veut. Il se tourne sur moi. Ma chatte est dans sa bouche. Sa langue me fait faiblir. Il lèche comme un prince, un as de la chose, comme le ferait une fille. Je me laisse partir, il me fait jouir, j’en veux encore. Je peux prendre sa queue dans la bouche. Elle est toujours agréable aves un arrière goût de sperme. Je manœuvre son prépuce qui monte et descend. Je l’ai mis entre la langue et la joue gauche. Sa langue se déplace sans cesse, il est maintenant sur mon petit trou. Je crois bien que c’est la première fois que j’aime ça. Il insiste en mettant toute le langue.Ca ce voit qu’il a de l’entrainement avec son amant. Il me donne pour la première fois un orgasme par le cul.
Henri ne nous regarde plus, il veut participer. Bon prince Georges me prête. Il me baise par le con, me tourne sans déraper. Mes fesses sont offertes. J’ai peur de la suite. Je sens cette nouvelle queue dans la raie, elle y rode un moment, je la sens grossir.
J’allais pousser un grand cri de douleur : il m’encule sans dommage pour moi. Je ne pensais jamais prendre du plaisir par cet endroit inhabituel. Sentir deux queues ensemble dans le ventre, deux queues complices. Elles vont et viennent facilement. Le plus fort est que les muscles de mon cul ne protestent pas, ils s’ouvrent volontiers.
Je sens les deux pines se croiser, les deux hommes faire des commentaires sur ma vertu, mes capacités de baiseuse…..Je passe les gros mots qui m’excitent.
Le plus terrible pour moi est de ne pas me souvenir du nombre d’orgasmes que j’ai eu.
Actuellement nous nous voyons souvent, nous baisons toujours. Ils s’arrangent pour me baiser sans cesse. Mon cul veut toujours une bite. J’ai convaincu Henri qu’un con est aussi bon qu’un cul d’homme. Il me baise des fois, rarement, il préfère les gros culs masculins.
Parfois ils me font plaisir : Georges est en levrette, Henri derrière lui le sodomise. Je regarde avec plaisir la queue de Georges se balader sous son ventre avant qu’il la prenne pour se branler. J’aime les voir ainsi prendre un autre plaisir, c’est comme si moi j’avais une copine, ils aimeraient me voir lécher un autre sexe. J’aime les voir faire : je me touche avec le plaisir au bout de mes doigts.
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