Récit d'une soirée au donjon partie 2

- Par l'auteur HDS dark33 -
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Récit libertin : Récit d'une soirée au donjon partie 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-08-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Récit d'une soirée au donjon partie 2
Durant le trajet, nos discussions restent banales. Elle doit simplement veiller à la manière dont elle s’adresse à moi, en m’appelant toujours « Monsieur » et en me vouvoyant.
En arrivant au donjon, elle sait qu’elle doit me présenter son collier.
Elle le fait dès notre arrivée, ce geste la plongeant encore plus dans son rôle de soumise.

Elle débarrasse les affaires, les range, tandis que je me détends dans le fauteuil en cuir du bar.
Une fois terminée, elle me rejoint et se place en position d’attente à côté du bar : debout, les jambes légèrement écartées, les mains dans le dos.
C’est ainsi qu’elle doit attendre dès qu’elle n’a pas d’ordre contraire.
— « Sers-nous un verre de vin. »

Elle prépare les verres, les pose sur un plateau, s’approche et s’agenouille devant moi :

— « Tenez, Monsieur. Souhaitez-vous autre chose ? »

— « Oui… une pipe. Sans utiliser tes mains. »
Je retire ma ceinture pour lui faciliter la tâche. Elle s’exécute et tente d’ouvrir ma braguette avec la bouche. Elle y parvient, descend mon caleçon avec les dents, et m’adresse un regard fier.
— « Qu’est-ce qui te fait sourire ? »

— « J’ai réussi. »

— « Réussi quoi ? »

— « Vous déshabiller, Monsieur. »

— « Ce n’est pas ce que je t’ai demandé. Ce que je veux, c’est une pipe. »

— « Désolée, Monsieur. »
Elle prend ma queue directement en bouche, commence les va-et-vient, la faisant gonfler peu à peu. Bientôt, elle peine à la prendre entière.
Perdant l’équilibre, elle utilise ses mains.
— « Tes mains », dis-je d’une voix ferme.
Elle les retire aussitôt, mais glisse plus profondément sur ma queue.
Elle recommence.
— « TES MAINS ! », lui criai-je en lui infligeant une gifle.
Je lui attache les mains dans le dos avec ma ceinture, puis les soulève, la forçant à s’empaler la bouche sur ma queue.

Je la laisse s’étouffer une trentaine de secondes. Ses yeux se mettent à pleurer, la bave coule le long de ma queue. Je lui attrape les cheveux, redresse sa tête pour lui laisser deux secondes de respiration… puis recommence exactement pareil.
— « J’espère que tu seras plus obéissante que ça ce soir. Ça commence mal. Lève-toi, tu vas avoir droit à ta première punition. »
J’avais préparé des papiers à coller sur la roue des punitions.

— « On va installer les papiers, et tu feras tourner la roue. »
Elle me regarde, baisse la tête.
— « Je… je les ai oubliés, Monsieur. »

— « Tu les as oubliés ? À quatre pattes. Relève ta jupe. »
Elle obéit. Deux grosses fessées claquent aussitôt sur ses fesses. Elle hurle, son cul rougit immédiatement.
J’attrape un bâillon-anneau et le lui mets.

— « Puisque tu les as oubliés, tu vas rester ici, à genoux, bâillonnée, et tu vas les écrire un par un. Compris ? »
Elle hoche la tête.

Je lui lance un bloc de post-it et un stylo à quelques mètres.

— « Va les chercher à quatre pattes… et écris. »
Elle s’exécute. Je l’observe depuis le bout de la pièce. Sa position est inconfortable ; elle bouge souvent, bave abondamment à cause du bâillon, et doit pencher la tête vers le sol pour écrire.
Je m’approche et constate que les papiers sont couverts de bave.

— « Tu rigoles j’espère ? Tu veux vraiment me donner des papiers dégueulasses, remplis de ta bave de chienne ? »
Elle ne répond pas. Son regard change, rempli de déception envers elle-même.
Je froisse les papiers.

— « Recommence. »
Elle obéit. Cette fois, elle avance petit à petit, et les papiers restent propres.
Au bout de vingt minutes, c’est fini. Je prends les papiers et les fixe sur la roue.

— « Toi, tu me suis. À quatre pattes. »

Il faut savoir qu’elle déteste trois choses :
1. Marcher à quatre pattes et être promenée en laisse.
2. Ne rien faire, rester totalement inutile.
3. Recevoir du sperme dans la bouche.
Bien sûr, ces punitions sont sur la roue.

— « Tourne la roue. »
Elle se redresse sur les genoux et fait tourner. Première punition :
Tu vas me supplier de jouir dans ta bouche. Je le ferai. Tu devras me regarder dans les yeux et attendre que je t’ordonne d’avaler. Tu lécheras jusqu’à la dernière goutte, qu’elle soit sur moi, au sol ou sur le mobilier.
Elle soupire. Je la regarde du coin de l’œil. À travers le bâillon, j’entends un « désolée » étouffé.
Je lui retire le bâillon.

— « Retourne à ta place. »
Elle se met en position d’attente dans un coin de la pièce, pendant que je termine mon verre.
— « Regarde-moi ça… tu es dégueulasse. Va te doucher et te changer. Mets une tenue où tes seins et ton cul sont accessibles, j’ai envie de les torturer. Et n’oublie pas tes talons. »
Elle part se préparer.

Elle revient dans une combinaison en résille, ouverte à la poitrine et à l’entrejambe, perchée sur de très hauts talons transparents. Ses lèvres sont maquillées d’un rouge écarlate qui lui va à ravir.

Je ne vous l’ai pas encore décrite : Elena est une femme de 28 ans, environ 1m65, blonde, très naturelle. Une poitrine généreuse, une taille fine, de belles hanches et un cul bien rebondi… merci la salle de sport.
Elle est superbe, terriblement excitante dans cette tenue.
— Que dirais-tu que je t’attache les mains en l’air ? Ainsi j’aurai ton corps totalement libre pour torturer tes jolis seins et tes fesses. Qu’en penses-tu ?

— À vos désirs, monsieur.
Je l’attache, bras levés, assez haut pour qu’elle garde tout juste l’équilibre sur ses talons vertigineux. Je lui bande les yeux, puis commence à caresser sa peau de coups légers, avec un petit fouet. Juste pour l’habituer.
Son corps réagit vite, devient plus sensible, rougit. J’augmente l’intensité, change de fouet pour un plus dur. Elle se tortille, gémit. Sa peau chauffe.
Je la tourne vers moi, malaxe ses seins, pince ses tétons. Elle gémit et se mord les lèvres.

— Je vais m’occuper de tes seins maintenant.
Je prends une corde, l’entoure autour de sa poitrine pour compresser, assez serré pour les faire virer au rouge, presque au violet, afin que chaque sensation soit décuplée. J’accroche deux pinces à tétons, reliées à de petits poids.

— Tu bougeras sûrement moins comme ça.
Elle hoche la tête.
Je la retourne et reprends le fouet, frappant son cul déjà rouge. Puis je saisis une tige de bambou.

— Choisis un chiffre entre 0 et 10.

— 6, monsieur.

— Parfait. Tu vas compter chaque coup. Si tu oublies, on recommence.
Le premier coup claque. Elle se redresse, serre les fesses, hurle.

— 1.

— Cambre-toi.

— 2.

— Cambre-toi, je ne vais pas le répéter.

— 3.

— Cambre-toi ! Tu m’énerves à désobéir.
On recommence à zéro.

— Non monsieur, on ne recommence pas à zéro…

— Pardon ?

— Désolée monsieur, allez-y.
Je recommence. Arrivée au quatrième coup, elle met plus de temps à se remettre en position.
Son cul est marqué, sensible.

— 5… 6…
Je pose la tige, caresse ses fesses brûlantes.

— C’est bien, tu as été parfaite.

Je la retourne. Ses seins compressés dans la corde sont gonflés, violacés, hypersensibles. Je les caresse, elle frémit.
Je les griffe légèrement : les marques apparaissent aussitôt, c’est magnifique.
Les gémissements s’échappent de ses lèvres. J’ajoute deux poids supplémentaires sur les pinces : ses tétons tirent vers le bas, chaque mouvement les fait tressaillir.
Je lui détache les mains.

— Va me chercher le plateau au bar avec des boissons.

— Dois-je garder les pinces ?

— Bien sûr.
Elle râle mais obéit. La voir marcher en talons avec les pinces qui tirent est un spectacle délicieux. Elle avance lentement, ménageant ses pas. De retour, elle laisse tomber le plateau.

— Bravo…

— C’est de votre faute, vous m’avez fait aller le chercher.

— Ah, c’est de ma faute ? Tu ferais mieux de te taire et de réparer.
Elle nettoie, revient avec le plateau.

— Reste là, debout.
Je m’approche. Elle tremble. Les seins tendus, elle porte encore le poids du plateau.

— Ne bouge pas, je vais retirer les pinces.
La première pince s’enlève. Elle hurle, manque de faire tomber le plateau.

— Attention… Tu ne vas pas refaire la même bêtise ?

— Désolée monsieur.
La deuxième pince tombe. Nouveau cri. Je mordille ses tétons hypersensibles, elle tremble de plus belle. Je défais la corde, malaxe fermement, l’arrache entre douleur et plaisir.

— Sers-nous à boire.
Nous nous posons quelques minutes.

— Lève-toi et mets-toi nue, garde seulement les talons.

— Pourquoi, monsieur ?

— Ne pose pas de questions.
Elle obéit.

— À genoux.
Tu te souviens du plateau que tu as fait tomber tout à l’heure ?

— Oui monsieur.

— Tu as été insolente et m’as reproché que c’était ma faute ?

— Oui monsieur.

— Trouves-tu ça normal ?

— Non monsieur.

— Tu vas être punie. Comme je n’ai plus besoin de toi pour l’instant, tu vas aller dans la cage noire.
C’est une petite cage, juste assez haute pour rester à quatre pattes.

— Je n’aime pas la cage…

— Justement. Et tu y iras à quatre pattes. Dépêche-toi.

Elle avance lentement. Je la frappe à la cravache à chaque pas. Son cul devient rouge écarlate. Insolente jusqu’au bout.

— Rentre dans la cage.
Je l’y enferme, attache son collier à la chaîne du plafond. Elle doit rester droite, à quatre pattes, position terriblement inconfortable.

— Puisque tu m’es inutile, tu resteras là à réfléchir à tes erreurs.

Je la laisse une heure, caméra pointée sur elle pour la surveiller.

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