Récit libertin de Jean - Episode 3 - Une ouverture
Récit érotique écrit par Elyiris [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 11 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.3 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Elyiris ont reçu un total de 62 048 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-05-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 5 277 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Récit libertin de Jean - Episode 3 - Une ouverture
Je me suis assoupi après l’amour. Je ne sais pas combien de temps cela fait que je dors mais c’est une main posée sur mon sexe qui me réveille. Je n’ouvre pas les yeux de suite pour profiter de la caresse qui m’est prodiguée. Les doigts glissent lentement le long de la hampe en révélant chaque fois un peu plus le gland qui commence à se gonfler sous la caresse. Tout d’un coup, je sens un petit contact humide sur celui-ci. C’est la langue qui touche, qui s’habitue à cette nouvelle chose. Le gland s’habitue également à ce contact qui se fait de plus en plus fort. Au fur et à mesure, je sens mon sexe gonfler. Ce n’est plus un contact mais le sexe est léché et bientôt mis en bouche. Le gland d’abord puis le maximum qui peut rentrer. Je sens bien qu’il ne s’agit pas de la bouche experte d’Elise mais c’est plus que plaisant. Mon sexe est maintenant à la taille maximale et j’ai toujours les yeux fermés. Je ne sens qu’une bouche qui s’agite sur mon gland pendant qu’une main me masturbe et que des cheveux me caressent doucement le ventre. J’ouvre les yeux et je vois Cécile à l’œuvre. Il y a des chances que ce soit la première fois qu’elle fasse cela mais elle s’y prend bien. Elle me regarde les yeux levés au travers de ses cheveux et je lui souris. Sans la déranger, j’essaye de tourner sous le lit pour passer sous elle et la lécher en même temps qu’elle me suce. J’y arrive tant bien que mal mais le résultat est là. J’ai son sexe déjà trempé sur mes lèvres et le goût qu’il a est d’une extrême délicatesse. J’aime ça, je plonge ma langue entre ses lèvres et me nourris de ce nectar d’amour pendant que mon sexe va et vient entre les autres lèvres de Cécile. Je suis aux anges et je prends du plaisir en en donnant en retour. J’entends des petits cris qui me montrent que je ne me débrouille pas trop mal avec ma langue malgré mon manque d’expérience et au fur et à mesure que je m’affaire entre ses jambes, les cris deviennent de plus en plus rapprochés et de plus en plus intenses. Mon visage est totalement inondé par son plaisir et le mien monte doucement mais surement.
Elle se relève et s’assoit presque sur mon visage. Je continue de la lécher pendant qu’elle bouge le bassin et que j’ai quasiment le nez dans son anus. C’est formidable. J’ai l’impression de lui donner beaucoup de plaisir et cela m’en donne également si j’en crois les ondes de plaisirs qui me traversent le corps pour se concentrer dans mon sexe. Je veux la pénétrer. Elle doit lire mes pensées car elle se relève, prend un préservatif qui se trouvait dans son sac et l’enfile avec maladresse le long de mon sexe. Une fois mis en place, elle me laisse couché sur le dos pendant qu’elle se met à cheval sur moi et dirige mon sexe vers le sien. Elle descend doucement et je sens son sexe se contracter autour du mien à chaque centimètre qu’il effectue dans son corps. Je suis maintenant en elle et elle commence à bouger.
Je caresse son corps pendant qu’elle le bouge. La vue est magnifique, je vois ses seins qui tressautent à chaque mouvement de son bassin. Elle dirige une de mes mains vers son sexe en me faisant comprendre de le masser. Je m’exécute comme me l’avaient montré mes mentors et je dirige l’autre main vers un des seins que je triture. Elle a adopté un mouvement régulier et elle commence à haleter doucement. Elle se penche vers mon oreille quelques secondes pour me chuchoter : « je veux sentir un vol d’oiseaux dans mon ventre ». Elle se relève aussitôt et continue de bouger. Je l’aide du mieux que je peux afin qu’elle puisse avoir ce vol d’oiseaux dans son ventre dont elle désire la venue. Je sens moi aussi des oisillons qui veulent essayer de voler mais j’essaye de les contenir un peu pour être sûr qu’elle sente les siens. Son mouvement continue de plus en plus rapidement. Je suis un peu perturbé par le bruit que fait le lit mais cela ne dure qu’un éclair car je suis sans doute seul dans l’immeuble à ce moment-là. Je sens qu’elle suffoque mais elle accélère encore. Elle enlève ma main violement pour mettre la sienne à la place et je la pose sur l’autre sein que je malaxe comme le premier. Elle est penchée en arrière et s’appuie d’une main sur ma cuisse pendant que l’autre torture son sexe. Quand je vois la rapidité et la force qu’elle met dans ce geste, je me dis que je devais y aller un peu trop doucement. Je presse un peu plus sur les seins en espérant ne pas lui faire mal mais au contraire, quand elle sent la nouvelle pression que j’exerce, elle m’encourage à continuer. Les sons qui sortent ensuite de sa bouche sont incompréhensibles mais sont le signe d’un plaisir absolu. Autour de mon sexe, je sens le sien se contracter à nouveau et mon bassin est trempé de sa cyprine. Elle s’allonge contre moi et me dit « merci ». Je n’y croyais pas. Cette fille que j’ai rencontré à la sortie de l’église est en fait une démone de sexe.
L’instant dans les bras l’un de l’autre est presque aussi intense pour moi que de la voir avec le visage déformé par l’orgasme. Je profite. Elle me susurre des « je t’aime », des « merci » et d’autres mots doux dans le creux de l’oreille pendant plusieurs minutes. Puis elle me demande de lui caresser le cul. Je lui caresse donc les fesses lentement puis de plus en plus vite et de plus en plus fort. Malgré cela, je reçois un reproche : « tu n’as pas compris ? je veux que tu me caresse le trou du cul. ». Mes doigts s’aventurent vers celui-ci mais je n’ai pas de lubrifiant comme l’avait utilisé Benjamin avec moi. Arrivé à destination, mon index se rend compte que l’endroit est déjà bien humidifié et je caresse donc le tour et l’entrée du trou. Je ne sais pas si elle veut que je passe seulement les doigts dessus ou si elle veut que j’y enfonce mon doigt. Pendant ce temps, mon sexe est toujours dans le sien et n’a pas perdu de sa splendeur. Je sens ses muscles se contracter de temps à autre mais c’est la seule stimulation qu’il reçoit. Sa bouche couvre mon cou et mes oreilles de baisers. Je m’aventure à pousser un peu à l’intérieur car je sens que l’anus est bien dilaté. Elle ne dit rien et je ressors pour pouvoir prendre un peu de lubrifiant à l’extérieur. Chaque fois que je renouvelle le mouvement, je vais un peu plus loin. Pendant ce temps, elle me lèche les oreilles et ça me procure une sensation de plaisir intense. J’avais cru comprendre qu’elle en était à sa première fois mais ça n’est a priori pas le cas. Je tourne mon doigt comme Benjamin me l’avait fait et quand je juge l’anus suffisamment distendu et humide, j’en ajoute un second. Elle arrête ses léchouille pendant quelques secondes mais les reprends bien vite. Elle me glisse à l’oreille : « je crois que je suis prête ». Elle se relève, retire mon sexe du sien dégoulinant de liqueur de plaisir et le dirige vers son anus. Elle le maintient droit pendant qu’elle se laisse descendre le long de mon sexe. La lubrification ne suffit pas et elle se retire. Elle crache un peu de salive dans une de ses mains et badigeonne mon sexe. Elle reprend son travail et cette fois, elle va plus loin encore. Cela se fait doucement mais surement. Son visage reflète plus l’interrogation que la douleur mais le mien est sans doute similaire. Je me demande jusqu’où elle va aller pendant que mon sexe rentre dans son cul. Je pense que si je n’avais pas déjà joui, ça serait déjà fait. Son anus est encore plus serré que son vagin. Je sais par expérience qu’il ne faut pas aller trop vite et c’est ce qu’elle fait. Cependant, le but est bientôt atteint. Elle s’habitue à ma présence et commence à bouger un petit peu. Mon sexe en feu me demande d’aller plus vite mais je ne dois pas la brusquer. Je dois la laisser apprécier ce moment et diriger la danse. Les mouvements s’accélèrent et l’expression sur son visage montre qu’elle aime ce qu’elle voulait. Son anus va de bas en haut autour de mon sexe qui ne va pas tarder à exploser. Je vois son visage reprendre les traits qui montrent le plaisir pendant qu’elle me chevauche. Je dirige ma main vers son sexe et cette fois, je la bouge rapidement et fermement comme je l’ai vue faire il y a quelques minutes de cela mais, a priori, ce n’est pas assez bien car elle y remet la sienne pour se donner un nouvel orgasme qui par les contractions que cela opère au niveau de son anus provoque le mien. Nous sommes bien tous les deux. Nous profitons de cet instant de délice l’un contre l’autre.
Elle passe à la salle de bain et je la suis. La douche est très sage car je n’ai plus la fougue pour rien mais je m’imagine qu’une autre fois, on pourrait faire quelque chose dedans.
De retour dans le salon-chambre-cuisine, je lui propose du jus qu’elle accepte volontiers. J’en prends aussi un grand verre. Puis me faisant violence pour lui poser la question qui me taraude, je dis : « ce n’est pas ta première fois, si ? ». Elle me sourit puis répond : « Si mais j’ai déjà expérimenté pas mal de choses toute seule. Il faut te dire que je fais du théâtre avec Jade et qu’avant, Elise venait aussi. Ces deux-là ne parlent que de sexe ou presque. Elles ne parlaient pas avec moi et on ne va pas dire qu’elles parlaient fort mais j’avais une fois surpris une discussion où Elise parlait de son expérience de la veille. Tous les jeudis, je me positionnais suffisamment loin d’elles pour qu’elles ne se doutent pas que je les écoutais mais suffisamment près pour que mes oreilles soient exposées au récit de leurs aventures réciproques et chacune des conversations que je surprenais excitait ma curiosité. J’ai une brosse à cheveux dans ma chambre dont le manche est assez gros mais pas autant qu’un sexe. Parfois, en revenant du théâtre, excitée comme une puce par ce que je venais d’entendre, je prenais la brosse dont j’introduisais le manche dans mon sexe humide en imaginant que c’était celui d’un homme. La première fois ça faisait bizarre mais j’aimais ça. Je gardais l’usage de la brosse pour les fois où j’avais envie de sentir quelque chose en moi mais la plupart du temps, je ne faisais que me caresser. Un jour que j’avais entendu parler Jade et Elise de sexe anal, j’ai voulu essayer avec ma brosse mais ça ne rentrait pas. Pendant trois semaines, je me suis demandé comment on pouvait faire rentrer le sexe d’un homme dont la taille est beaucoup plus conséquente alors que j’avais du mal à faire rentrer ce manche. Plus j’essayais, plus ma curiosité montait. Chez nous internet est bridé et je savais que j’aurais du mal à trouver l’information sans me faire attraper par la police des mœurs que représentent mes parents. Les lèvres me brûlaient de poser la question à Jade mais cela voulait dire que je me dévoilais et je n’étais pas sûre qu’elle me répondrait. L’indice m’est venu d’un repas de famille auquel participait le frère de mon père qui est nettement moins coincé que lui. Après le repas, mon père essayait de reboucher une bouteille de champagne mais il n’y arrivait pas quand son frère lui a dit que c’était comme tout, quand ça ne rentre pas, il faut lubrifier. J’ai compris au regard accusateur qu’a pris mon père que ces propos avaient une connotation sexuelle et le soir, je pris la brosse dans ma douche pour la lubrifier. Ca semblait vouloir rentrer un peu mieux mais l’eau ne restait pas dessus. J’ai enfoncé la manche de la brosse dans ma chatte puis je l’ai représenté à mon cul. C’était encore un petit peu mieux mais je lave le manche et le remet dans ma chatte. Je fais le va et vient plusieurs fois avant d’arriver à rentrer la totalité du manche de la brosse dans mon cul. J’ai aussi trouvé ça bizarre au début mais j’ai vite aimé. Aujourd’hui, quand j’ai vu ton sexe, je me suis dit qu’il fallait que j’essaye pour voir et je ne suis pas déçue. Tu devrais essayer pour voir, avec un doigt puisque j’imagine que tu n’as pas de brosse »Cette fille est surprenante. Elle est aux antipodes de ce que je suis. Alors qu’il me faut un temps fou pour poser une question que j’estime gênante, elle me raconte sa sexualité dans les moindres détails. Je n’ose même pas lui dire que j’ai déjà essayé, avec un doigt mais aussi avec un sexe. De même, j’ai du mal à aborder les gens alors qu’elle fait ça avec un naturel déconcertant. Elle tente toutes les expériences sexuelles à sa portée dans un foyer pourtant farouchement conservateur alors que je ne me masturbais que quand j’étais sûr qu’il n’y avait plus personne dans la maison pour me surprendre. Alors que je laisse planer le silence sur la conversation parce que je suis absorbé dans mes pensées, elle en reprend le cours.
« Je vais devoir partir car il est déjà 16h15. J’ai passé un super moment avec toi mais je ne sais pas quand on pourra se revoir comme ça car le coup du théâtre tous les mercredis ça ne passera pas.
- On va essayer de trouver. Je pense qu’il y a moyen de faire quelque chose aussi pour faire comprendre à tes parents que nous sommes faits l’un pour l’autre.
- Qu’on essaye de se voir, je suis sûre qu’on va y arriver. Le reste, rien n’est moins sûr. Je vais être majeure dans trois semaines mais je sais que si je veux garder le confort que j’ai, il faudra que je fasse quelques sacrifices. Au moins jusqu’à ce que j’aie un travail. »Alors que nous continuons d’élaborer des plans le temps nous approche inexorablement de la séparation. Elle se rhabille avant de partir. Je regarde ses fesses qui se couvrent puis nous nous embrassons et elle passe la porte et me quitte. Je m’approche de la fenêtre pour voir sa silhouette s’éloigner dans la ville. Je passe d’un moment de bonheur à une tristesse insondable. Je l’aime mais je sais que notre amour ne sera pas bien vu par sa famille et c’est ça qui me déprime.
Je suis allongé depuis plus d’une heure quand le téléphone sonne. C’est un message d’Elise : « tu pourrais être très surpris demain soir ». Je demande pourquoi sans attendre mais ne reçois pas de réponse. Elles aiment rester énigmatiques. Le temps passe lentement jusqu’à jeudi soir mais je sais que je vais voir Cécile et que j’aurais peut-être une surprise de la part d’Elise. A vrai dire, je n’ai pas vraiment le goût au sexe sans Cécile même si je pense qu’Elise est toujours à mon goût.
Cécile arrive au théâtre et m’embrasse devant tout le monde et me glisse à l’oreille : « on va pouvoir se voir les mercredis et même les samedis si on veut ». Elle me laisse comme ça dans ma stupeur avant d’enfiler un jean plutôt que sa tenue correcte approuvée par sa famille. Elle retire le soutien-gorge et enfile un petit top blanc moulant qui a du mal à contenir ses tétons qui pointent. Je suis intrigué et ma concentration sur le cours de théâtre en a pris un coup. Malgré cela, je suis plus à l’aise avec mon corps et avec mon élocution. Je n’hésite pas à prendre des initiatives et quelque part, je me trouve changé. Après le cours, Cécile vient me voir pour être un peu plus explicite.
Alors qu’elle rentrait avec sa mère dans la voiture, cette dernière lui a dit qu’elle ne voyait pas ce qui pouvait engendrer ce sourire béat sur ses lèvres et qu’elles en parleraient à la maison. Ce fut chose faite mais la tournure que la mère de Cécile espérait pour cette discussion ne vint pas :« Tu m’as dit que tu allais au théâtre pour te faire sauter par ce mec qui est venu jusque dans l’église. Ça se voit sur ton visage.
- Je suis réellement allée au théâtre même si j’aurais préféré me faire sauter comme tu dis mais toi ? Quelle excuse tu vas choisir de donner à papa pour éviter de lui dire que tu t’es faite sauter par son frère ?
- Qui t’a dit ça ?
- Tu ne nies même pas… En fait, le cours de théâtre n’a commencé qu’à trois heures et demi et comme je ne voulais pas perdre de temps sur mes devoirs, Jade m’a ramenée ici pour que je puisse prendre mes affaires. En arrivant à la maison, j’ai surpris des sons d’un couple faisant l’amour qui venait de votre chambre. Sauf que la voix qui te traitait de salope n’était pas celle de Papa. Il ne m’a pas fallu longtemps pour la reconnaître. Il s’agissait de Paul. J’ai poussé un peu la porte, pris une vidéo avec mon appareil photo et la carte mémoire est en lieu sûr. Je ne dirais rien à Papa si tu me lâche un peu la bride.
- Tout ce que tu veux. »Cécile me raconte qu’en fait, c’est la femme de ménage d’Elise avec qui elle s’entend bien qui a dû retourner chez la mère de Cécile qui l’emploie aussi pour récupérer son portable et que c’est elle qui a surpris les ébats de la sainte-ni-touche avec son beau-frère. Comme elle s’entend bien avec Elise, elle le lui a dit. Elise a tout de suite vu l’intérêt de le communiquer à Cécile par l’intermédiaire de Jade qui a élaboré l’histoire de la vidéo. La mère de Cécile allait donc s’arranger pour laisser plus de libertés à sa fille et entre-autres celle de voir son amoureux. Le plus difficile maintenant serait de tromper la vigilance du père mais il est rarement là la semaine et le samedi, il va au golf.
Un groupe de femmes conspirent à mon bonheur et j’adore ça. Pour la première fois, je me sens un peu moins seul.
Elle se relève et s’assoit presque sur mon visage. Je continue de la lécher pendant qu’elle bouge le bassin et que j’ai quasiment le nez dans son anus. C’est formidable. J’ai l’impression de lui donner beaucoup de plaisir et cela m’en donne également si j’en crois les ondes de plaisirs qui me traversent le corps pour se concentrer dans mon sexe. Je veux la pénétrer. Elle doit lire mes pensées car elle se relève, prend un préservatif qui se trouvait dans son sac et l’enfile avec maladresse le long de mon sexe. Une fois mis en place, elle me laisse couché sur le dos pendant qu’elle se met à cheval sur moi et dirige mon sexe vers le sien. Elle descend doucement et je sens son sexe se contracter autour du mien à chaque centimètre qu’il effectue dans son corps. Je suis maintenant en elle et elle commence à bouger.
Je caresse son corps pendant qu’elle le bouge. La vue est magnifique, je vois ses seins qui tressautent à chaque mouvement de son bassin. Elle dirige une de mes mains vers son sexe en me faisant comprendre de le masser. Je m’exécute comme me l’avaient montré mes mentors et je dirige l’autre main vers un des seins que je triture. Elle a adopté un mouvement régulier et elle commence à haleter doucement. Elle se penche vers mon oreille quelques secondes pour me chuchoter : « je veux sentir un vol d’oiseaux dans mon ventre ». Elle se relève aussitôt et continue de bouger. Je l’aide du mieux que je peux afin qu’elle puisse avoir ce vol d’oiseaux dans son ventre dont elle désire la venue. Je sens moi aussi des oisillons qui veulent essayer de voler mais j’essaye de les contenir un peu pour être sûr qu’elle sente les siens. Son mouvement continue de plus en plus rapidement. Je suis un peu perturbé par le bruit que fait le lit mais cela ne dure qu’un éclair car je suis sans doute seul dans l’immeuble à ce moment-là. Je sens qu’elle suffoque mais elle accélère encore. Elle enlève ma main violement pour mettre la sienne à la place et je la pose sur l’autre sein que je malaxe comme le premier. Elle est penchée en arrière et s’appuie d’une main sur ma cuisse pendant que l’autre torture son sexe. Quand je vois la rapidité et la force qu’elle met dans ce geste, je me dis que je devais y aller un peu trop doucement. Je presse un peu plus sur les seins en espérant ne pas lui faire mal mais au contraire, quand elle sent la nouvelle pression que j’exerce, elle m’encourage à continuer. Les sons qui sortent ensuite de sa bouche sont incompréhensibles mais sont le signe d’un plaisir absolu. Autour de mon sexe, je sens le sien se contracter à nouveau et mon bassin est trempé de sa cyprine. Elle s’allonge contre moi et me dit « merci ». Je n’y croyais pas. Cette fille que j’ai rencontré à la sortie de l’église est en fait une démone de sexe.
L’instant dans les bras l’un de l’autre est presque aussi intense pour moi que de la voir avec le visage déformé par l’orgasme. Je profite. Elle me susurre des « je t’aime », des « merci » et d’autres mots doux dans le creux de l’oreille pendant plusieurs minutes. Puis elle me demande de lui caresser le cul. Je lui caresse donc les fesses lentement puis de plus en plus vite et de plus en plus fort. Malgré cela, je reçois un reproche : « tu n’as pas compris ? je veux que tu me caresse le trou du cul. ». Mes doigts s’aventurent vers celui-ci mais je n’ai pas de lubrifiant comme l’avait utilisé Benjamin avec moi. Arrivé à destination, mon index se rend compte que l’endroit est déjà bien humidifié et je caresse donc le tour et l’entrée du trou. Je ne sais pas si elle veut que je passe seulement les doigts dessus ou si elle veut que j’y enfonce mon doigt. Pendant ce temps, mon sexe est toujours dans le sien et n’a pas perdu de sa splendeur. Je sens ses muscles se contracter de temps à autre mais c’est la seule stimulation qu’il reçoit. Sa bouche couvre mon cou et mes oreilles de baisers. Je m’aventure à pousser un peu à l’intérieur car je sens que l’anus est bien dilaté. Elle ne dit rien et je ressors pour pouvoir prendre un peu de lubrifiant à l’extérieur. Chaque fois que je renouvelle le mouvement, je vais un peu plus loin. Pendant ce temps, elle me lèche les oreilles et ça me procure une sensation de plaisir intense. J’avais cru comprendre qu’elle en était à sa première fois mais ça n’est a priori pas le cas. Je tourne mon doigt comme Benjamin me l’avait fait et quand je juge l’anus suffisamment distendu et humide, j’en ajoute un second. Elle arrête ses léchouille pendant quelques secondes mais les reprends bien vite. Elle me glisse à l’oreille : « je crois que je suis prête ». Elle se relève, retire mon sexe du sien dégoulinant de liqueur de plaisir et le dirige vers son anus. Elle le maintient droit pendant qu’elle se laisse descendre le long de mon sexe. La lubrification ne suffit pas et elle se retire. Elle crache un peu de salive dans une de ses mains et badigeonne mon sexe. Elle reprend son travail et cette fois, elle va plus loin encore. Cela se fait doucement mais surement. Son visage reflète plus l’interrogation que la douleur mais le mien est sans doute similaire. Je me demande jusqu’où elle va aller pendant que mon sexe rentre dans son cul. Je pense que si je n’avais pas déjà joui, ça serait déjà fait. Son anus est encore plus serré que son vagin. Je sais par expérience qu’il ne faut pas aller trop vite et c’est ce qu’elle fait. Cependant, le but est bientôt atteint. Elle s’habitue à ma présence et commence à bouger un petit peu. Mon sexe en feu me demande d’aller plus vite mais je ne dois pas la brusquer. Je dois la laisser apprécier ce moment et diriger la danse. Les mouvements s’accélèrent et l’expression sur son visage montre qu’elle aime ce qu’elle voulait. Son anus va de bas en haut autour de mon sexe qui ne va pas tarder à exploser. Je vois son visage reprendre les traits qui montrent le plaisir pendant qu’elle me chevauche. Je dirige ma main vers son sexe et cette fois, je la bouge rapidement et fermement comme je l’ai vue faire il y a quelques minutes de cela mais, a priori, ce n’est pas assez bien car elle y remet la sienne pour se donner un nouvel orgasme qui par les contractions que cela opère au niveau de son anus provoque le mien. Nous sommes bien tous les deux. Nous profitons de cet instant de délice l’un contre l’autre.
Elle passe à la salle de bain et je la suis. La douche est très sage car je n’ai plus la fougue pour rien mais je m’imagine qu’une autre fois, on pourrait faire quelque chose dedans.
De retour dans le salon-chambre-cuisine, je lui propose du jus qu’elle accepte volontiers. J’en prends aussi un grand verre. Puis me faisant violence pour lui poser la question qui me taraude, je dis : « ce n’est pas ta première fois, si ? ». Elle me sourit puis répond : « Si mais j’ai déjà expérimenté pas mal de choses toute seule. Il faut te dire que je fais du théâtre avec Jade et qu’avant, Elise venait aussi. Ces deux-là ne parlent que de sexe ou presque. Elles ne parlaient pas avec moi et on ne va pas dire qu’elles parlaient fort mais j’avais une fois surpris une discussion où Elise parlait de son expérience de la veille. Tous les jeudis, je me positionnais suffisamment loin d’elles pour qu’elles ne se doutent pas que je les écoutais mais suffisamment près pour que mes oreilles soient exposées au récit de leurs aventures réciproques et chacune des conversations que je surprenais excitait ma curiosité. J’ai une brosse à cheveux dans ma chambre dont le manche est assez gros mais pas autant qu’un sexe. Parfois, en revenant du théâtre, excitée comme une puce par ce que je venais d’entendre, je prenais la brosse dont j’introduisais le manche dans mon sexe humide en imaginant que c’était celui d’un homme. La première fois ça faisait bizarre mais j’aimais ça. Je gardais l’usage de la brosse pour les fois où j’avais envie de sentir quelque chose en moi mais la plupart du temps, je ne faisais que me caresser. Un jour que j’avais entendu parler Jade et Elise de sexe anal, j’ai voulu essayer avec ma brosse mais ça ne rentrait pas. Pendant trois semaines, je me suis demandé comment on pouvait faire rentrer le sexe d’un homme dont la taille est beaucoup plus conséquente alors que j’avais du mal à faire rentrer ce manche. Plus j’essayais, plus ma curiosité montait. Chez nous internet est bridé et je savais que j’aurais du mal à trouver l’information sans me faire attraper par la police des mœurs que représentent mes parents. Les lèvres me brûlaient de poser la question à Jade mais cela voulait dire que je me dévoilais et je n’étais pas sûre qu’elle me répondrait. L’indice m’est venu d’un repas de famille auquel participait le frère de mon père qui est nettement moins coincé que lui. Après le repas, mon père essayait de reboucher une bouteille de champagne mais il n’y arrivait pas quand son frère lui a dit que c’était comme tout, quand ça ne rentre pas, il faut lubrifier. J’ai compris au regard accusateur qu’a pris mon père que ces propos avaient une connotation sexuelle et le soir, je pris la brosse dans ma douche pour la lubrifier. Ca semblait vouloir rentrer un peu mieux mais l’eau ne restait pas dessus. J’ai enfoncé la manche de la brosse dans ma chatte puis je l’ai représenté à mon cul. C’était encore un petit peu mieux mais je lave le manche et le remet dans ma chatte. Je fais le va et vient plusieurs fois avant d’arriver à rentrer la totalité du manche de la brosse dans mon cul. J’ai aussi trouvé ça bizarre au début mais j’ai vite aimé. Aujourd’hui, quand j’ai vu ton sexe, je me suis dit qu’il fallait que j’essaye pour voir et je ne suis pas déçue. Tu devrais essayer pour voir, avec un doigt puisque j’imagine que tu n’as pas de brosse »Cette fille est surprenante. Elle est aux antipodes de ce que je suis. Alors qu’il me faut un temps fou pour poser une question que j’estime gênante, elle me raconte sa sexualité dans les moindres détails. Je n’ose même pas lui dire que j’ai déjà essayé, avec un doigt mais aussi avec un sexe. De même, j’ai du mal à aborder les gens alors qu’elle fait ça avec un naturel déconcertant. Elle tente toutes les expériences sexuelles à sa portée dans un foyer pourtant farouchement conservateur alors que je ne me masturbais que quand j’étais sûr qu’il n’y avait plus personne dans la maison pour me surprendre. Alors que je laisse planer le silence sur la conversation parce que je suis absorbé dans mes pensées, elle en reprend le cours.
« Je vais devoir partir car il est déjà 16h15. J’ai passé un super moment avec toi mais je ne sais pas quand on pourra se revoir comme ça car le coup du théâtre tous les mercredis ça ne passera pas.
- On va essayer de trouver. Je pense qu’il y a moyen de faire quelque chose aussi pour faire comprendre à tes parents que nous sommes faits l’un pour l’autre.
- Qu’on essaye de se voir, je suis sûre qu’on va y arriver. Le reste, rien n’est moins sûr. Je vais être majeure dans trois semaines mais je sais que si je veux garder le confort que j’ai, il faudra que je fasse quelques sacrifices. Au moins jusqu’à ce que j’aie un travail. »Alors que nous continuons d’élaborer des plans le temps nous approche inexorablement de la séparation. Elle se rhabille avant de partir. Je regarde ses fesses qui se couvrent puis nous nous embrassons et elle passe la porte et me quitte. Je m’approche de la fenêtre pour voir sa silhouette s’éloigner dans la ville. Je passe d’un moment de bonheur à une tristesse insondable. Je l’aime mais je sais que notre amour ne sera pas bien vu par sa famille et c’est ça qui me déprime.
Je suis allongé depuis plus d’une heure quand le téléphone sonne. C’est un message d’Elise : « tu pourrais être très surpris demain soir ». Je demande pourquoi sans attendre mais ne reçois pas de réponse. Elles aiment rester énigmatiques. Le temps passe lentement jusqu’à jeudi soir mais je sais que je vais voir Cécile et que j’aurais peut-être une surprise de la part d’Elise. A vrai dire, je n’ai pas vraiment le goût au sexe sans Cécile même si je pense qu’Elise est toujours à mon goût.
Cécile arrive au théâtre et m’embrasse devant tout le monde et me glisse à l’oreille : « on va pouvoir se voir les mercredis et même les samedis si on veut ». Elle me laisse comme ça dans ma stupeur avant d’enfiler un jean plutôt que sa tenue correcte approuvée par sa famille. Elle retire le soutien-gorge et enfile un petit top blanc moulant qui a du mal à contenir ses tétons qui pointent. Je suis intrigué et ma concentration sur le cours de théâtre en a pris un coup. Malgré cela, je suis plus à l’aise avec mon corps et avec mon élocution. Je n’hésite pas à prendre des initiatives et quelque part, je me trouve changé. Après le cours, Cécile vient me voir pour être un peu plus explicite.
Alors qu’elle rentrait avec sa mère dans la voiture, cette dernière lui a dit qu’elle ne voyait pas ce qui pouvait engendrer ce sourire béat sur ses lèvres et qu’elles en parleraient à la maison. Ce fut chose faite mais la tournure que la mère de Cécile espérait pour cette discussion ne vint pas :« Tu m’as dit que tu allais au théâtre pour te faire sauter par ce mec qui est venu jusque dans l’église. Ça se voit sur ton visage.
- Je suis réellement allée au théâtre même si j’aurais préféré me faire sauter comme tu dis mais toi ? Quelle excuse tu vas choisir de donner à papa pour éviter de lui dire que tu t’es faite sauter par son frère ?
- Qui t’a dit ça ?
- Tu ne nies même pas… En fait, le cours de théâtre n’a commencé qu’à trois heures et demi et comme je ne voulais pas perdre de temps sur mes devoirs, Jade m’a ramenée ici pour que je puisse prendre mes affaires. En arrivant à la maison, j’ai surpris des sons d’un couple faisant l’amour qui venait de votre chambre. Sauf que la voix qui te traitait de salope n’était pas celle de Papa. Il ne m’a pas fallu longtemps pour la reconnaître. Il s’agissait de Paul. J’ai poussé un peu la porte, pris une vidéo avec mon appareil photo et la carte mémoire est en lieu sûr. Je ne dirais rien à Papa si tu me lâche un peu la bride.
- Tout ce que tu veux. »Cécile me raconte qu’en fait, c’est la femme de ménage d’Elise avec qui elle s’entend bien qui a dû retourner chez la mère de Cécile qui l’emploie aussi pour récupérer son portable et que c’est elle qui a surpris les ébats de la sainte-ni-touche avec son beau-frère. Comme elle s’entend bien avec Elise, elle le lui a dit. Elise a tout de suite vu l’intérêt de le communiquer à Cécile par l’intermédiaire de Jade qui a élaboré l’histoire de la vidéo. La mère de Cécile allait donc s’arranger pour laisser plus de libertés à sa fille et entre-autres celle de voir son amoureux. Le plus difficile maintenant serait de tromper la vigilance du père mais il est rarement là la semaine et le samedi, il va au golf.
Un groupe de femmes conspirent à mon bonheur et j’adore ça. Pour la première fois, je me sens un peu moins seul.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Elyiris
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...