Récompense pour le livreur - histoire érotique

J'avais décidé de changer les meubles de la salle à manger et j'avais fait différents magasins pour enfin trouver ce qui me plaisait. Une table, 6 chaises et buffet bas le tout en vieux chêne. Les papiers avaient été faits avec la vendeuse et j'attendais la livraison.
Et c'est cet après-midi là que j'en suis resté sur le cul.

Deux livreurs arrivent un "vieux" d'une cinquantaine d'années, l'air bougon, renfrogné, mal aimable et un jeune mec plus jeune que moi, un beau petit brun costaud au sourire avenant.

Ils enlèvent le vieux matériel, sortent les 6 chaises, les déballent des cartons et vont chercher la table et là c'est ma première surprise... elle est à monter! Et je peux vous dire que les morceaux à assembler pèsent leur poids de bois pleins.
Il déposent les morceaux au milieu de la pièce et vont chercher, je pense à ce moment là le buffet...

C'est bien le buffet qui arrive, mais comme la table... il faut l'assembler.
Ah pour récupérer les cartons ça c'est fait et le "vieux" me regarde :
-voilà il vous reste du travail dit il.
-mais vous ne les assemblez pas ? dis je interloqué.
-c'est pas marqué sur la facture, juste la livraison et la récupération des vieux meubles. J'ai fait mon travail.
-mais on ne m'avait même pas dit que c'était livré comme ça! tentais je d'argumenter.
-oh la vendeuse à dû vous le dire! dit il d'un air arrogant.
-eh bien non j'en suis sûr car j'aurais demandé qu'on m'installe les meubles complètement.
-désolé!
Et il tourne les talons et mon regard croise celui du jeune qui vient vers moi :
-si vous voulez on a encore un frigo à livrer et je peux revenir vous aider! dit-il rapidement.
-ça sera avec plaisir, j'ai juste répondu car franchement j'étais dans une fureur extrême.

J'ai commencé le boulot pour vite me rendre compte qu'il fallait être deux. J'ai fait ce que j'ai pu et j'ai attendu le retour de mon sauveur.
Une heure et demi après, j'entends une voiture entrer dans la cour et l'apparition de mon sauveur tout sourire par la porte fenêtre.
Il avait changé de tenue, il était en short rouge vif et un tee-shirt bleu azur, le tout très moulant. Il avait un sourire magnifique. Toujours brun, costaud, la musculature ressortait mieux qu'avec son Bleu de travail.
-ah je vois que vous avez commencé, mais je reconnais que ce n'est pas facile tout seul, faut de la patience et désolé pour le collègue il est très à cheval sur les principes, si c'est marqué il le fait, sinon faut se débrouiller!
-ouais ben c'est pas sympa quand même! heureusement que vous l'êtes de revenir m'aider.
-bon on se met au boulot!

Dire que cela a été rapide, non mais je voyais qu'il connaissait bien son boulot et j'ai servi d'arpette, obéissant à ses ordres... On a fini par se tutoyer rapidement.
-tiens moi ça, passe moi le tournevis, redresse la planche, mets ton doigt là... et j'en passe et je voyais le meuble s'assembler.
Sans s'arrêter il est passé à la table qui elle fût installer rapidement, les six chaises de disposées autour.
Il se recule, regarde l'ensemble :
-t'as fait le bon choix mec, ça va très bien dans la pièce! Mais le buffet qu'on a emmené il y avait bien des choses dedans.
-Oui c'est dans la cuisine, je rangerais ça après!
-eh j'suis là faut en profiter, à deux ça va plus vite.

Là c'est moi qui donnait les directives pour ranger la vaisselle, les verres, les plats et autres, et il obéissait. Je me suis surpris à mâter son petit cul dans le short rouge, les fesses semblaient musclées et le short entrait dans la raie séparant bien les deux globes... je crois que ma main était attirée.
C'est vrai que tout fut rangé rapidement et l'on se retrouve l'un en face l'autre, soufflant un grand coup! Content du travail effectué.
-oui faut excuser mon collègue, on aurait pu le faire, mais il est en rogne depuis ce matin qu'il s'est engueulé avec sa femme, alors après c'est moi qui le supporte! dit il en riant.
-et toi ? ça va tu t'es pas engueulé avec la tienne alors ? dis je en riant.
-ça craint pas, j'en ai pas! et toi ?
-moi non plus dis je en le regardant autrement.

Je suis sûr qu'il est comme moi qu'il aime les mecs, ou alors ben j'les reconnais plus!
-c'est l'heure de l'apéro, tu bois quoi ?
-j'veux pas te déranger dit il avec un sourire.
-tu viens de dire que t'étais tout seul et moi également, donc on a le temps, allez va t'asseoir dans le canapé et j'amène l'apéro.

J'ai sorti les bouteilles, les gâteaux secs, cacahuètes et on s'est installé côte à côte sur le canapé.
On a trinqué :
-eh bien au livreur le plus sympa que je connais dis je en avançant le verre vers lui.
Il le touche avec son verre :
-au plus beau client sympa de la journée! dit il en riant.

On rigole tous les deux et nos genoux se touchent, nos têtes se tournent, on se regarde dans un grand silence, je vois sa main s'avancer sur mon genou, je soulève mon coude, nos yeux ne se quittent pas... Sa main épouse ma cuisse, la serre tendrement et la caresse en remontant vers l'entrejambe...
Ses yeux marrons semblent s'éclaircir de plus en plus.
La main caresse ma cuisse, touche ma queue dans le survêt, sa tête s'approche :
-ça m'a l'air bien plein là-dedans dit il tout bas.
Ses doigts tâtent de plus en plus...
-et c'est bien dur en plus.

J'ai envie de ses lèvres, envie de ce mec! Ma main vient caresser sa joue tendrement si bien qu'il penche la tête comme pour en avoir plus, mais ma main vient le prendre par le cou, la nuque et je l'attire pour poser mes lèvres sur les siennes.
C'est la guerre immédiate comme si on n'avait pas baisé depuis une éternité.
Il se jette sur moi, la langue bataillant avec la mienne, me fait allonger sur le canapé et m'écrase de son poids. Je sens sa queue raide se frotter à la mienne, le baiser n'en finit pas et je trouve que sa salive est excellente.

Soudain il arrête de m'embrasser, me regarde :
-tu sais ce que j'aimerais ?
Je fais non des yeux.
-je voudrais goûter à ta queue et que tu me baises, j'adore me faire baiser par un beau mec!
-alors fous toi à poils et montre tes trésors!
-montre les tiens aussi.
Il se relève vite fait et en dix secondes il est en chaussettes, nu devant moi, la queue raide entourée d'une broussaille de poils pubiens noirs corbeaux. Mais quelle belle queue pour un gourmand comme moi.
Je me mets dans la même tenue que lui et ma queue n'a rien à envier à la sienne, mon monstre est déjà décalotté et commence à couler.

Je suis châtain très clair et ma toison, plus ordonnée, tranche avec la sienne, mais sa main vient s'emparer de ma queue, m'offre la sienne et en se roulant une pelle on se branle en cadence, frottant nos corps chauds de mecs en rut l'un contre l'autre.

D'une main je caresse le dos, ses fesses dures qu'il tend à mes caresses en même temps que sa langue s'enfonce encore plus dans ma bouche. Je fouille la raie, touche l'anus et je reçois son premier gémissement directement en moi.
Il tombe à genoux devant moi pour aussitôt s'occuper de ma queue.
Je suis excité comme un jeune puceau, je sens que le plaisir n'est pas loin! Il m'excite ce livreur lubrique, j'ai envie de lui faire plein de choses, mais je réalise que cela sera fait en plusieurs étapes car ma queue est avalée par ce gourmand.

Sa langue l'enveloppe, l'aspire, la suce serrant bien ses lèvres dessus et sa main serre mes couilles qui adorent ça.
Il pipe comme un malheureux qui n'a pas eu sa pitance depuis une éternité et je me laisse aller, c'est moi qui grogne, qui râle. Ma queue se raidit, ses lèvres se bloquent et je jouis dans cette nouvelle bouche chaude et accueillante. Il boit tout mon jus avant de bien lécher le gland, se relever et venir m'embrasser en ronronnant presque.
-j'adore ta queue dit il.
Je ne réponds pas et c'est moi qui m'agenouille devant lui. Je suis épaté par tous ses poils longs qui frisottent, mais la belle queue du livreur est aussi bien décalottée et coule presque en continue.

Je n'ai pas mis longtemps à avaler ce beau morceau et le savourer comme il se doit pour l'entendre gémir en me caressant la tête. Elle avait de la saveur sa bite et j'ai beaucoup aimé. Il n'a pas mis longtemps à juter au fond de ma gorge me noyant presque tellement la quantité était là. J'ai bien nettoyé le matériel et j'allais me relever quand il m'a présenté son cul en se penchant en avant, il met ses genoux sur le canapé, les jambes bien ouvertes et j'ai une des meilleures vues que je peux avoir sur un beau mec. Ses fesses bien ouvertes sur une raie poilue... un peu la forêt vierge dans laquelle il faut se frayer un chemin pour atteindre le graal du bonheur.

A grands coups de langue humide, j'ai ouvert le passage, bloquant les poils et l'anus marron tout plissé est apparu. J'ai durci la langue et commencé le forage. J'étais encouragé par ses grognements, ses râles et sa main qui appuyait sur ma tête pour que j'aille plus loin.
L'anus s'ouvrait docilement et j'ai pu glisser un doigt pour l'entendre crier un peu plus fort. Le sphincter serrait mon doigt qui caressait son intérieur doux et humide. Deux doigts et il criait encore. Je l'ai doigté comme un malade sans jamais qu'il cherche à se retirer, bien au contraire il s'enfonçait sur mes doigts autant qu'il pouvait.

Je me suis relevé, glissant ma grosse tige dans la raie pour me pencher sur lui et lui dire à l'oreille :
-ma queue dans le petit cul du livreur sympa comme récompense ?
-hi hi dit il jamais on ne m'a proposé une telle récompense pour mon travail, mais ne lésine pas, j'ai un cul gourmand, déjà qu'il aime tes doigts et ta langue!

Il rigole en frottant son petit cul sur ma bite que je reprends en main pour la diriger au bon endroit. Là il ne bouge plus, il pousse, je vois l'anus rester ouvert, ses mains viennent ouvrir encore plus ses fesses et moi je pousse doucement. Mon gland est avalé je dirais presque facilement par ce cul gourmand, le sphincter le recouvre, l'enveloppe de sa douceur et de sa chaleur, un petit coup de reins et il entre et là c'est la sirène, il gueule le livreur, tellement que je suis obligé de mettre ma main sur la bouche.

Il se calme et j'en profite pour faire glisser le monstre dans le conduit.
La sirène reprend et il rigole.
Mais quand je commence mes va-et-vient, il y a comme un silence suivit de petits gémissements, de couinements. J'accélère, je force, ça frappe sur ses fesses, je le tiens aux hanches et ma queue coulisse comme dans un tunnel.
J'admire son dos, ses muscles, cette peau douce et chaude, mes mains remontent sur ses flancs et je le fais se redresser comme s'il s'asseyait sur ma queue.
-putain j'la voudrais tout le temps dans le cul ta queue Fabrice!

Il voit bien que je suis étonné.
-ben oui ton nom était sur le bon de commande dit il en riant.
-et mon livreur lubrique il s'appelle comment ?
-Anatole dit il en souriant.
Je fais mine de réfléchir, il me regarde interloqué.
-je crois que t'es mon premier Anatole, ça s'arrose, ma queue va être contente!

Je le repousse et recommence mes va-et-vient toujours aussi secs et lui reprend ses bruits de plus en plus fort.
Je n'ai pas pu m'empêcher de penser que c'était bien la première fois aussi qu'un mec me disait son nom, ma bite au fond de son cul!

J'ai joui comme un chef et on a crié tous les deux cette fois.
J'ai capté sa queue, la mienne toujours en place et je l'ai branlé sèchement. Il s'est remis à couiner longuement avant de juter par dessus le canapé...

Et c'est là que je me suis rendu compte que la porte fenêtre était toujours grande ouverte...
Heureusement que de grands troènes nous cachent de la rue... mais le bruit qu'on a fait a du faire rire les rares passants.

C'était vraiment un bisounours Anatole et comme j'aime ça...
Il n'a pas dit non quand je lui ai proposé de rester pour manger avec moi et il n'a pas fallu que j'insiste beaucoup pour qu'il reste passer la nuit...
-mais je me lève à 6h30 pour aller au boulot dit il.
-t'en fais pas moi également!
On avait les traits tirés le lendemain au réveil...

Et j'ai de plus en plus souvent Anatole qui vient me rendre visite... pour voir si les meubles tiennent le coup, s'il n'y a pas de danger!
Mais c'est surtout un coup de bite qu'il veut et faire son câlin.
Il est adorable Anatole!