Redécouverte du plaisir
Récit érotique écrit par Strowberry [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-09-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Redécouverte du plaisir
Bonjour, j'ai décidé d'assumer pleinement mon amour de l'écriture et de le concilier avec ma nouvelle vie et toutes les découvertes qui y sont associées. J'espère que cette histoire totalement vraie vous plaira et que vous souhaiterez peut-être en connaître la suite....
***
J’étais avec un garçon depuis huit ans quand nous nous sommes finalement séparés. Ce n’était pas vraiment ce qu’on pourrait appeler une relation épanouissante et d’un point de vue sexuel, c’était plutôt le néant. Alors, voilà, disons que je fantasmais beaucoup, que je le trompais dans mes rêves et que j’utilisais beaucoup ma main droite.
Lorsque je me suis retrouvée à nouveau libre, je n’avais franchement pas envie de me remettre dans une relation. Par contre, redécouvrir le flirt et la chasse était terriblement excitant. Je n’avais connu que mon ex car nous nous étions mis ensemble très jeunes. Et disons que je savais déjà sur qui jeter mon dévolu.
J’ai vite commencé à discuter avec un pote en commun – je dis « pote » car nous nous connaissions principalement des jeux vidéo. On l’avait vu lors d’une soirée et, coincée entre mon copain et lui, je dois admettre que j’avais appuyé avec insistance ma cuisse contre la sienne. Et très clairement, il y avait une sacrée tension sexuelle entre nous deux. Ça passait par des regards, des sourires et, avouons-le, il était pas mal alcoolisé.
Je ne suis pas franchement un canon. J’ai une bonne douzaine de kilos en trop – mais disons que je suis harmonieusement ronde, pas une barrique ni un tonneau quoi. Par contre, j’ai un joli visage et beaucoup de charme. Dès que les garçons de mon groupe ont compris que je n’étais plus avec mon mec, ils ont quasiment tous commencé à flirter avec moi. Bien entendu, j’avais déjà choisi. Oui, le type là, qui m’avait fait mouiller rien que d’être à côté de lui.
Alors on a commencé à s’envoyer des snap. Pour résumé, c’était de l’ordre de « olala je ne veux pas dormir toute seule j’ai peur », « tu veux que je vienne te rejoindre dans ton lit ? », sur un ton faussement ingénu. J’en avais des papillons dans le ventre et les doigts déjà en train de me caresser le clitoris.
Par contre, je n’étais clairement pas du genre à l’inviter directement à passer la nuit avec moi. J’étais bien trop timide pour ça. Mais on a continué à discuter et j’étais de plus en plus excitée par cet échange. Un soir, j’ai été invité à une soirée par un ami en commun, lui qui habitais assez loin devait passer deux nuits chez lui. J’ai sauté sur l’occasion ! Je me suis soigneusement préparée : le corps totalement épilée, une crème parfumée étalée sur chaque centimètre de peau, une jolie robe évasée qui mettait ma poitrine généreuse en avant. Bref, j’étais bien décidée à le rendre totalement dingue.
Lorsque je suis arrivée à la soirée, les autres avaient déjà commencé à boire. J’étais à la fois totalement excitée et terriblement nerveuse. Quand je l’ai vu, que son regard s’est posé sur moi et qu’il a souri, j’ai tout de suite compris que j’étais bien partie pour passer à la casserole – j’étais là pour ça, non ? Mais je n’ai rien osé dire. Je lui ai fait la bise, comme à tout le monde et je me suis servie un verre avant d’aller m’asseoir. Je sirotais tranquillement mon mojito quand j’ai senti quelqu’un s’asseoir à côté de moi. J’ai reconnu son parfum et mes joues sont devenues rouge pivoine, je n’osais pas lui parler ou esquisser le moindre geste. L’air de rien, il a continué à discuter avec d’autres garçons mais sa cuisse s’est rapidement collée à la mienne. J’avais étrangement chaud.
D’autres ont proposé un jeu à boire. Comme je ne voulais pas trop m’enivrer, j’ai été désignée pour tourner la roulette qui désignerait le buveur. Alors il a commencé à me taquiner. « hé, tu remplis trop le shooter là ! » et des sourires bourrés de sous-entendus dès que j’osais poser mes yeux sur lui.
Après le jeu, je suis allée aux toilettes – la descente du mojito sans doute. Quand je suis sortie de la salle de bain, une main m’a attrapé le poignet. Nous étions dans un couloir sombre, sans aucune lumière. Mais je savais que c’était lui. Il devait faire une bonne vingtaine de centimètres de plus que moi et j’ai senti son souffle sur mon oreille. Il a murmuré « tu m’évites ? »Malgré l’obscurité, je pouvais discerner son visage et ses yeux plantés dans les miens. J’ai regardé ses lèvres, j’avais horriblement envie de l’embrasser. Sans attendre, il a attrapé mon visage entre ses mains et a posé ses lèvres sur les miennes. Son haleine sentait l’alcool mais je m’en fichais royalement. Sa langue a pénétré dans ma bouche et a commencé a joué avec la mienne. D’abord soumise, j’ai répondu à son baiser avec fougue. Il m’a plaqué contre le mur sans douceur et ses mains sont passées sous l’ourlet de ma robe pour remonter le long de ma cuisse et effleurer ma culotte. J’ai laissé échapper un gémissement de plaisir qui l’a fait sourire. Ses doigts sont passés sous le tissu et il les a fait passer le long de ma chatte. J’avais tellement envie qu’il les fasse entrer en moi que j’en avais mal au ventre.
La lumière s’est soudainement allumée et je l’ai repoussé brusquement. Une fille nous a dépassés sans un regard pour se rendre aux toilettes à son tour. Il m’a attrapé par la main et m’a entraîné derrière lui jusqu’à la chambre d’ami où il dormait. Il a fermé la porte à clef derrière lui. Quand il s’est retourné vers moi, je ne reconnaissais pas son visage. Lui d’habitude toujours souriant ou riant avait un air sérieux et des yeux plein de désirs. Il m’a embrassé si fort que j’ai failli tomber en arrière. Puis ses lèvres se sont glissées le long de mon cou. Je n’avais pas ressenti autant de désir et de plaisir depuis longtemps. Son corps s’est collé au le mien et je sentais très clairement la forme dure de son sexe en érection contre moi. Ma main est directement allée dessus pour la caresser. Il n’avait pas menti : elle avait l’air de très bonne taille. J’ai finalement ouvert la boucle de sa ceinture et fait descendre son pantalon jusqu’à ses chevilles. Il s’en est débarrassé d’un coup de pied. Je me suis accroupie en le regardant et il s’est mordu les lèvres. J’ai d’abord fait passer ma langue sur sa hampe et je l’ai entendu pousser un soupir. Impatiente, j’ai commencé à enfoncer son membre dans ma gorge, faisant de longs va-et-vient lent tout en caressant ses testicules. Puis j’ai accéléré, à l’écoute de son souffle, le prenant de plus en plus profondément.
« Hmm, arrête j’en peux plus ». Il m’a stoppée d’un coup et m’a relevée avant de m’embrasser en me poussant jusqu’au lit. Il a retenu ma chute en arrière et a immédiatement quitté mes lèvres. Il a retiré son tee-shirt pour se retrouver totalement nu alors que j’étais encore entièrement habillée. Il est descendu entre mes jambes et a lentement caressée mes cuisses. Je me suis mise à gigoter en riant. « Chatouilleuse ? ». J’ai acquiescé en souriant. Ses lèvres ont remplacé ses mains et celles-ci ont entrepris de me retirer ma culotte. Je pouvais sentir sur mes cuisses qu’elle était trempée. Je crois que je n’ai jamais autant mouillé de ma vie. Ses baisers se rapprochaient de mon sexe et je n’arrêtais pas de me cambrer, impatiente de sentir sa langue. Finalement, elle s’est posée directement sur mon clitoris et j’ai glissé mes mains dans ses cheveux pendant qu’il commençait à le lécher doucement. Sa succion me rendait dingue. Des doigts sont venus rejoindre sa langue et se sont enfoncés dans mon vagin. J’ai lâché un gémissement monstre. Ses doigts n’étaient pas assez, j’avais besoin de sentir sa queue me remplir.
Mon ex n’a jamais réussi à me faire jouir, j’ai toujours dû utiliser mes doigts pendant qu’il me pénétrait. En même temps, ses cunnilingus ne duraient jamais plus de deux minutes. Mais cette langue-là savait y faire et j’ai senti mon corps se crisper tandis que l’orgasme m’irradiait de plaisir. J’ai dû me mordre la main pour ne pas crier.
Sa bouche a finalement quitté mon entrejambe et il s’est relevé pour aller fouiller dans la poche de son jean et en sortir un préservatif. « T’avais tout prévu ? » j’ai demandé avec un sourire. « Tu me chauffes depuis deux mois. J’allais pas te lâcher » a dit-il répondu. Pendant qu’il l’enfilait, je me suis agenouillée sur le lit et j’ai baissé le zip de ma robe afin de la retirer. Je n’avais plus que mon soutien-gorge. Je m’apprêtais à le dégrafer quand il s’est penché vers moi pour le faire lui-même. Une fois mon opulente poitrine libérée, il a gratifié chacun de mes seins de caresses et de baiser. N’en pouvant plus, je l’ai repoussé sur le lit et je lui ai grimpé dessus. J’ai attrapé sa queue et me suis enfoncée lentement dessus. J’ai senti les chairs de mon vagin se détendre en l’accueillant. J’étais tellement mouillée que ça glissait tout seul, malgré l’absence de tout rapport sexuel depuis plusieurs mois. J’ai lâché un soupir de plaisir en même temps que lui. Je me sentais bien remplie. Quand j’ai commencé à bouger sur lui pour faire rentrer et sortir son sexe de ma chatte, le plaisir était presque insupportable. Ses mains se sont posées sur mes hanches et il m’a accompagné dans mes va-et-vient. J’ai posé mes lèvres sur son épaule et l’ai mordu légèrement pour me retenir de gémir trop fort et d’alerter tous les autres sur nos activités – même s’ils avaient déjà dû remarquer notre absence.
Il m’a retournée alors pour reprendre le dessus et il a relevé mes jambes pour s’enfoncer encore plus profondément en moi. Il m’embrassait tout aussi profondément, la langue avide. Son souffle s’est fait plus rauque, plus saccadé. Il s’est brutalement retiré et j’ai avancé mon bassin pour le rattraper mais il m’a chuchoté à l’oreille : « mets-toi à quatre pattes ». La levrette a toujours été la position dans laquelle je ressentais le plus de plaisir, mais mon ex était incapable de se retenir plus de deux minutes, ce qui rendait l’expérience frustrante… Je lui ai obéis et sa queue a vite retrouvé le fourreau de mon vagin. Il accélérait le rythme, buttant contre mes fesses à chaque coup. J’ai enfoncé ma tête dans l’oreiller pour étouffer mes gémissements – qui, à ce stade, ressemblait plus à des cris. Lorsque ses doigts ont trouvé mon clitoris j’ai laissé échapper un « oui, encore, encore » et je n’ai pas tardé à avoir un second orgasme. En sentant les spasmes de mon vagin sur son sexe, il a accéléré encore une fois et s’est mis à jouir à son tour. Ensuite, il s’est retiré. Je me suis laissée tomber sur le lit, roulant sur le dos, encore toute secouée par mes deux orgasmes. Il s’est allongé à côté de moi et nous avons attendu que nos rythmes cardiaque redeviennent normaux sans rien dire. Puis nous avons remis nos vêtements et nous avons rejoint la soirée. Je sentais les regards et les sourires sur moi. Ils savaient tous ce qui s’était passé et je n’en avais strictement rien à faire…
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J’étais avec un garçon depuis huit ans quand nous nous sommes finalement séparés. Ce n’était pas vraiment ce qu’on pourrait appeler une relation épanouissante et d’un point de vue sexuel, c’était plutôt le néant. Alors, voilà, disons que je fantasmais beaucoup, que je le trompais dans mes rêves et que j’utilisais beaucoup ma main droite.
Lorsque je me suis retrouvée à nouveau libre, je n’avais franchement pas envie de me remettre dans une relation. Par contre, redécouvrir le flirt et la chasse était terriblement excitant. Je n’avais connu que mon ex car nous nous étions mis ensemble très jeunes. Et disons que je savais déjà sur qui jeter mon dévolu.
J’ai vite commencé à discuter avec un pote en commun – je dis « pote » car nous nous connaissions principalement des jeux vidéo. On l’avait vu lors d’une soirée et, coincée entre mon copain et lui, je dois admettre que j’avais appuyé avec insistance ma cuisse contre la sienne. Et très clairement, il y avait une sacrée tension sexuelle entre nous deux. Ça passait par des regards, des sourires et, avouons-le, il était pas mal alcoolisé.
Je ne suis pas franchement un canon. J’ai une bonne douzaine de kilos en trop – mais disons que je suis harmonieusement ronde, pas une barrique ni un tonneau quoi. Par contre, j’ai un joli visage et beaucoup de charme. Dès que les garçons de mon groupe ont compris que je n’étais plus avec mon mec, ils ont quasiment tous commencé à flirter avec moi. Bien entendu, j’avais déjà choisi. Oui, le type là, qui m’avait fait mouiller rien que d’être à côté de lui.
Alors on a commencé à s’envoyer des snap. Pour résumé, c’était de l’ordre de « olala je ne veux pas dormir toute seule j’ai peur », « tu veux que je vienne te rejoindre dans ton lit ? », sur un ton faussement ingénu. J’en avais des papillons dans le ventre et les doigts déjà en train de me caresser le clitoris.
Par contre, je n’étais clairement pas du genre à l’inviter directement à passer la nuit avec moi. J’étais bien trop timide pour ça. Mais on a continué à discuter et j’étais de plus en plus excitée par cet échange. Un soir, j’ai été invité à une soirée par un ami en commun, lui qui habitais assez loin devait passer deux nuits chez lui. J’ai sauté sur l’occasion ! Je me suis soigneusement préparée : le corps totalement épilée, une crème parfumée étalée sur chaque centimètre de peau, une jolie robe évasée qui mettait ma poitrine généreuse en avant. Bref, j’étais bien décidée à le rendre totalement dingue.
Lorsque je suis arrivée à la soirée, les autres avaient déjà commencé à boire. J’étais à la fois totalement excitée et terriblement nerveuse. Quand je l’ai vu, que son regard s’est posé sur moi et qu’il a souri, j’ai tout de suite compris que j’étais bien partie pour passer à la casserole – j’étais là pour ça, non ? Mais je n’ai rien osé dire. Je lui ai fait la bise, comme à tout le monde et je me suis servie un verre avant d’aller m’asseoir. Je sirotais tranquillement mon mojito quand j’ai senti quelqu’un s’asseoir à côté de moi. J’ai reconnu son parfum et mes joues sont devenues rouge pivoine, je n’osais pas lui parler ou esquisser le moindre geste. L’air de rien, il a continué à discuter avec d’autres garçons mais sa cuisse s’est rapidement collée à la mienne. J’avais étrangement chaud.
D’autres ont proposé un jeu à boire. Comme je ne voulais pas trop m’enivrer, j’ai été désignée pour tourner la roulette qui désignerait le buveur. Alors il a commencé à me taquiner. « hé, tu remplis trop le shooter là ! » et des sourires bourrés de sous-entendus dès que j’osais poser mes yeux sur lui.
Après le jeu, je suis allée aux toilettes – la descente du mojito sans doute. Quand je suis sortie de la salle de bain, une main m’a attrapé le poignet. Nous étions dans un couloir sombre, sans aucune lumière. Mais je savais que c’était lui. Il devait faire une bonne vingtaine de centimètres de plus que moi et j’ai senti son souffle sur mon oreille. Il a murmuré « tu m’évites ? »Malgré l’obscurité, je pouvais discerner son visage et ses yeux plantés dans les miens. J’ai regardé ses lèvres, j’avais horriblement envie de l’embrasser. Sans attendre, il a attrapé mon visage entre ses mains et a posé ses lèvres sur les miennes. Son haleine sentait l’alcool mais je m’en fichais royalement. Sa langue a pénétré dans ma bouche et a commencé a joué avec la mienne. D’abord soumise, j’ai répondu à son baiser avec fougue. Il m’a plaqué contre le mur sans douceur et ses mains sont passées sous l’ourlet de ma robe pour remonter le long de ma cuisse et effleurer ma culotte. J’ai laissé échapper un gémissement de plaisir qui l’a fait sourire. Ses doigts sont passés sous le tissu et il les a fait passer le long de ma chatte. J’avais tellement envie qu’il les fasse entrer en moi que j’en avais mal au ventre.
La lumière s’est soudainement allumée et je l’ai repoussé brusquement. Une fille nous a dépassés sans un regard pour se rendre aux toilettes à son tour. Il m’a attrapé par la main et m’a entraîné derrière lui jusqu’à la chambre d’ami où il dormait. Il a fermé la porte à clef derrière lui. Quand il s’est retourné vers moi, je ne reconnaissais pas son visage. Lui d’habitude toujours souriant ou riant avait un air sérieux et des yeux plein de désirs. Il m’a embrassé si fort que j’ai failli tomber en arrière. Puis ses lèvres se sont glissées le long de mon cou. Je n’avais pas ressenti autant de désir et de plaisir depuis longtemps. Son corps s’est collé au le mien et je sentais très clairement la forme dure de son sexe en érection contre moi. Ma main est directement allée dessus pour la caresser. Il n’avait pas menti : elle avait l’air de très bonne taille. J’ai finalement ouvert la boucle de sa ceinture et fait descendre son pantalon jusqu’à ses chevilles. Il s’en est débarrassé d’un coup de pied. Je me suis accroupie en le regardant et il s’est mordu les lèvres. J’ai d’abord fait passer ma langue sur sa hampe et je l’ai entendu pousser un soupir. Impatiente, j’ai commencé à enfoncer son membre dans ma gorge, faisant de longs va-et-vient lent tout en caressant ses testicules. Puis j’ai accéléré, à l’écoute de son souffle, le prenant de plus en plus profondément.
« Hmm, arrête j’en peux plus ». Il m’a stoppée d’un coup et m’a relevée avant de m’embrasser en me poussant jusqu’au lit. Il a retenu ma chute en arrière et a immédiatement quitté mes lèvres. Il a retiré son tee-shirt pour se retrouver totalement nu alors que j’étais encore entièrement habillée. Il est descendu entre mes jambes et a lentement caressée mes cuisses. Je me suis mise à gigoter en riant. « Chatouilleuse ? ». J’ai acquiescé en souriant. Ses lèvres ont remplacé ses mains et celles-ci ont entrepris de me retirer ma culotte. Je pouvais sentir sur mes cuisses qu’elle était trempée. Je crois que je n’ai jamais autant mouillé de ma vie. Ses baisers se rapprochaient de mon sexe et je n’arrêtais pas de me cambrer, impatiente de sentir sa langue. Finalement, elle s’est posée directement sur mon clitoris et j’ai glissé mes mains dans ses cheveux pendant qu’il commençait à le lécher doucement. Sa succion me rendait dingue. Des doigts sont venus rejoindre sa langue et se sont enfoncés dans mon vagin. J’ai lâché un gémissement monstre. Ses doigts n’étaient pas assez, j’avais besoin de sentir sa queue me remplir.
Mon ex n’a jamais réussi à me faire jouir, j’ai toujours dû utiliser mes doigts pendant qu’il me pénétrait. En même temps, ses cunnilingus ne duraient jamais plus de deux minutes. Mais cette langue-là savait y faire et j’ai senti mon corps se crisper tandis que l’orgasme m’irradiait de plaisir. J’ai dû me mordre la main pour ne pas crier.
Sa bouche a finalement quitté mon entrejambe et il s’est relevé pour aller fouiller dans la poche de son jean et en sortir un préservatif. « T’avais tout prévu ? » j’ai demandé avec un sourire. « Tu me chauffes depuis deux mois. J’allais pas te lâcher » a dit-il répondu. Pendant qu’il l’enfilait, je me suis agenouillée sur le lit et j’ai baissé le zip de ma robe afin de la retirer. Je n’avais plus que mon soutien-gorge. Je m’apprêtais à le dégrafer quand il s’est penché vers moi pour le faire lui-même. Une fois mon opulente poitrine libérée, il a gratifié chacun de mes seins de caresses et de baiser. N’en pouvant plus, je l’ai repoussé sur le lit et je lui ai grimpé dessus. J’ai attrapé sa queue et me suis enfoncée lentement dessus. J’ai senti les chairs de mon vagin se détendre en l’accueillant. J’étais tellement mouillée que ça glissait tout seul, malgré l’absence de tout rapport sexuel depuis plusieurs mois. J’ai lâché un soupir de plaisir en même temps que lui. Je me sentais bien remplie. Quand j’ai commencé à bouger sur lui pour faire rentrer et sortir son sexe de ma chatte, le plaisir était presque insupportable. Ses mains se sont posées sur mes hanches et il m’a accompagné dans mes va-et-vient. J’ai posé mes lèvres sur son épaule et l’ai mordu légèrement pour me retenir de gémir trop fort et d’alerter tous les autres sur nos activités – même s’ils avaient déjà dû remarquer notre absence.
Il m’a retournée alors pour reprendre le dessus et il a relevé mes jambes pour s’enfoncer encore plus profondément en moi. Il m’embrassait tout aussi profondément, la langue avide. Son souffle s’est fait plus rauque, plus saccadé. Il s’est brutalement retiré et j’ai avancé mon bassin pour le rattraper mais il m’a chuchoté à l’oreille : « mets-toi à quatre pattes ». La levrette a toujours été la position dans laquelle je ressentais le plus de plaisir, mais mon ex était incapable de se retenir plus de deux minutes, ce qui rendait l’expérience frustrante… Je lui ai obéis et sa queue a vite retrouvé le fourreau de mon vagin. Il accélérait le rythme, buttant contre mes fesses à chaque coup. J’ai enfoncé ma tête dans l’oreiller pour étouffer mes gémissements – qui, à ce stade, ressemblait plus à des cris. Lorsque ses doigts ont trouvé mon clitoris j’ai laissé échapper un « oui, encore, encore » et je n’ai pas tardé à avoir un second orgasme. En sentant les spasmes de mon vagin sur son sexe, il a accéléré encore une fois et s’est mis à jouir à son tour. Ensuite, il s’est retiré. Je me suis laissée tomber sur le lit, roulant sur le dos, encore toute secouée par mes deux orgasmes. Il s’est allongé à côté de moi et nous avons attendu que nos rythmes cardiaque redeviennent normaux sans rien dire. Puis nous avons remis nos vêtements et nous avons rejoint la soirée. Je sentais les regards et les sourires sur moi. Ils savaient tous ce qui s’était passé et je n’en avais strictement rien à faire…
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