Redouane n'est pas un chanceux...
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Redouane n'est pas un chanceux...
Redouane, jeune rebeu parisien n'est pas un chanceux. Ca pour faire des conneries, il en fait et se fait prendre assez souvent. C'est vrai qu'il fait ça dans son quartier où il est connu comme le loup blanc si bien que, quand les gens le voient entrer dans un immeuble ils appellent les flics et Redouane se retrouve au commissariat devant son Capitaine préféré qui se fout de sa gueule en lui répétant tout le temps qu'il devrait changer de boulot.
-t'as pas pensé à faire un petit boulot plutôt que des cambriolages Redouane ? tu te fais prendre tellement souvent, je serais toi c'est ce que j'envisagerais.
Redouane l'aimait bien ce Capitaine, outre qu'il était beau mec approchant de la quarantaine, il avait toujours été sympa avec lui… il faisait son boulot!
Redouane aurait bien aimé le connaître dans d'autres circonstances et faire un câlin avec lui. Il se voyait dans ses bras, se faisant caresser partout par ce beau mec. Il devait avoir une grosse queue vu la bosse que faisait son uniforme et il était sûr Redouane que le Capitaine ne bandait pas, mais de le voir dans son uniforme, ses grandes mains douces et chaudes car il lui donnait une poignée de mains le Capitaine maintenant qu'ils se voyaient régulièrement. Cela le faisait bander et fantasmer. Qu'est ce qu'il pouvait se branler en pensant à lui. Il était certain que se serait mieux avec lui plutôt que ces jeunes bourges qui venaient se faire niquer.
Ce que ce bon Capitaine ne savait pas c'est que Redouane avait commencé à changer de quartier pour ses cambriolages se disant qu'on ne le remarquerait pas!
Habitant sur le 10ème arrondissement, il décide d'aller au fin fond du 11ème vers Nation quartier qu'il ne connait pas.
L'heure qu'il préfère pour faire le monte en l'air est le milieu de l'après-midi. Ce jour là, vers 15 heures il rentre dans un immeuble du Blvd Voltaire. Bel immeuble, observe dans la cour intérieure si une fenêtre ne serait pas restée ouverte. Il regarde, scrute toutes les fenêtres et, au 1er, juste dans l'angle il voit une fenêtre à moitié ouverte. Ses yeux font le trajet pour atteindre la dite fenêtre.
Tel un ouistiti, en deux temps trois mouvements Redouane se retrouve sur le rebord de la fenêtre. Coup d'œil, personne, il écoute, aucun son. Alors il entre doucement en regardant les autres fenêtres de la cour pour voir si personne ne l'a aperçu, rassuré il entre dans l'appartement.
Il écoute, c'est bien le silence. Il est dans une chambre, le lit est fait, de beaux meubles, il ouvre doucement l'armoire que du linge. Il passe à la commode, ouvre le premier tiroir qui grince. Il s'arrête, écoute, pas de bruit. Continue à ouvrir les tiroirs et, dans le dernier, de petits paquets. Il est accroupi devant la commode ouvrant les paquets, rien de bien intéressant mais soudain une voix.
-ne me dis pas Redouane que je te manque tant que ça ? dit la voix qu'il reconnaitrait entre mille. C'est la voix du Capitaine, qui entre dans la chambre.
Les yeux de Redouane se sont arrondis, et tellement surpris qu'il en tombe à la renverse, sur le cul face au Capitaine qui s'approche.
Redouane veut se relever..
-reste assis dit le Capitaine d'une voix forte et il vient s'asseoir sur le lit, en face de Redouane, qui le regarde encore éberlué.
-comment t'as su que j'habitais ici Redouane ?
-mais je ne le savais pas dit un Redouane pleurnichant… je ne le savais pas! je te le jure Capitaine.
-facile à dire, mais comment tu veux que je te crois!
-j'ai pensé qu'en changeant de quartier je ne me ferais plus prendre! dit Redouane en baissant la tête
-ben c'est loupé!
-mais... mais… t'habites vraiment là Capitaine ?
-ben oui! vraiment! et tu choisis de venir le jour où je ne travaille pas!
Redouane a toujours la tête baissée, ne dit plus rien. Il ne voit pas le visage du Capitaine qui sourit et qui pense "mais quelle tâche ce Redouane!" car il croit que vraiment il n'a pas de chance. Cela l'embête bien quand même. Il se voit mal faire une procédure sinon il devrait appeler ses collègues de l'arrondissement. Mais là, il est sûr d'une chose, c'est que Redouane ira directement en prison compte tenu qu'il est la victime. C'est un pauvre type ce jeune rebeu, il ne mérite pas d'aller fréquenter des plus "durs" que lui en prison.
-mais qu'est ce que je vais faire de toi Redouane ? tu vas finir en prison si je t'emmène au commissariat.
Redouane relève la tête, les larmes coulent sur son visage. C'est bien la première fois qu'il le voit pleurer, d'habitude il fait plutôt le dur, le crâneur, le voyou. Là on dirait qu'il vient de se rendre compte que de vouloir cambrioler un flic c'était la dernière des choses à faire.
Il tend les mains, les posant sur les genoux du Capitaine.
-ne fais pas ça Capitaine, s'il te plait ne fait pas ça! j'ai pas envie d'aller en prison, je ne le ferais plus je te jure!
-mais tu me dis ça à chaque fois! à chaque fois je sauve ta tête! mais t'écoutes rien aussi! alors il faut sévir.
Vite fait, Redouane se met à genoux devant le Capitaine, ses mains caressent ses cuisses, il le fixe.
-ne fais pas ça s'il te plait… s'il te plait Capitaine.
Ses yeux le fixent, le Capitaine le regarde, interloqué, c'est bien la première fois qu'il le supplie comme ça.
-je ferais tout ce que tu veux Capitaine, je vais t'écouter, je serais à toi… rien qu'à toi car je vois dans tes yeux que tu m'aimes bien, hein Capitaine que tu m'aimes bien ?
Pendant ce temps qu'il parlait, ses mains parcouraient les cuisses du Capitaine, c'était la première fois qu'il le touchait comme ça et Redouane appréciait la chaleur que les cuisses dégageaient.
-ça veux dire quoi je serais à toi ? demande le Capitaine en le fixant dans les yeux, rapprochant sa tête.
Sûr de sa belle petite gueule de rebeu, Redouane se redresse, sa tête s'approche de celle du Capitaine.
-que tu pourras faire ce que tu veux de moi, je me donne à toi Capitaine. J'ai toujours eu envie de ça, être dans tes bras. J'aimerais que tu me serres dans tes bras, que tu m'embrasses.
Le Capitaine était de plus en plus interloqué, mais riait intérieurement.
-alors t'es pédé Redouane ?
-je suis bi Capitaine.
-ouais bien sûr, mais tu préfères les mecs.
-oui c'est plus facile les mecs.
-alors tu me prends pour un gogo tu crois qu'en m'offrant ton cul tout va être réglé!
Les yeux de Redouane se remplissent de larmes, ses mains agrippent une main du Capitaine.
-je te jure Capitaine que j'ai envie de toi. Ce que je te dis est la vérité, je me branle le soir en pensant à toi Capitaine je te jure que c'est vrai!
-arrête de jurer comme ça! et, quand tu te branles en pensant à moi comme tu dis je te fais quoi dans tes pensées ? demande le Capitaine d'une voix douce qui fait bander Redouane.
Il rougit en baissant la tête.
-si je te le dis, tu vas te moquer de moi Capitaine.
-on verra bien, raconte! dit il d'une voix ferme.
-eh bien je suis sûr que t'as un gros zob et que tu me niques et que j'aime ça car je jute beaucoup dans ces moments là! dit Redouane la tête toujours baissée.
Il sent la main du Capitaine lui relever le menton et il voit son visage à quelques centimètres du sien, quand il parle il sent son souffle.
-et tu te fais niquer souvent Redouane ?
-non Capitaine, uniquement avec les mecs qui me plaisent et, avec toi j'ai envie de le faire.
Les yeux du Capitaine le fixent.
-mais qui te dit que j'ai envie de faire ça ? que je suis pédé ?
-rien, rien je te dis ce que j'ai envie… tu sais j'ai un beau cul Capitaine.
Le Capitaine rigole.
-ça je sais, je l'ai déjà vu ton petit cul lorsque je te place en garde à vue. C'est vrai que t'es un beau petit rebeu et que t'as aussi un beau zob.
Redouane sourit d'entendre ce que dit le Capitaine.
-alors je te plais Capitaine ?
Le Capitaine ne répond pas, mais le fixe encore.
-je savais dit Redouane en envoyant son souffle sur le visage du Capitaine, que tu m'aimais bien, t'as toujours été gentil avec moi. Ca pour m'engueuler j'me suis fait engueuler, mais je le méritais bien et tu m'as jamais frappé alors que certains le disent… et moi aussi je t'aime bien.
Redouane n'a pas vu arriver la main du Capitaine qui lui a enveloppé la joue, une main chaude, douce et caressante. Redouane sentait son cœur battre la chamade dans sa poitrine. Il a frotté sa joue dans la main du Capitaine qui lui souriait. C'est lui qui a attiré sa tête encore plus vers la sienne, leurs lèvres se frôlaient, ça chatouillait Redouane mais quand les lèvres du Capitaine se sont posées sur les siennes, il a fermé les yeux, en émettant un long gémissement et il a senti son corps devenir tout mou, s'offrir mais se sont ses lèvres qui ont été mangé en premier. Redouane a ouvert un œil et vu que le Capitaine l'embrassait les yeux fermés. Ils se sont dégustés longuement avant que les langues ne se rencontrent et les gémissements venaient des deux côtés.
Redouane était heureux, il avait eu raison!! il était enfin dans les bras de son Capitaine.
Les langues se battaient en duel, échangeant leur salive. Redouane aspirait celle du Capitaine avec délectation. Il a aimé de suite sa langue, une belle langue douce et bien dure qui donnait des litres de salive qui se sauvait des lèvres. Alors Redouane s'est mis à lécher le visage du beau Capitaine… son beau Capitaine!
Sans se séparer les lèvres, le Capitaine l'a fait venir sur le lit, l'allongeant contre lui, son corps venant sur le sien.
Qu'est ce qu'il aimait les baisers de ce mec!
Quand le Capitaine s'est arrêté, sa main caressait son visage, son pouce passait partout, sur ses sourcils, son nez, ses lèvres. Il le regardait en souriant et Redouane lui rendait son sourire.
Sa main a parcouru son corps partant d'une jambe, passant sur son zob dur, prisonnier de son boxer, remontant sur sa poitrine.
-alors comme ça tout ça c'est pour moi ? je peux en faire ce que je veux ? tu n'as pas peur ?
-oh non! pas avec toi Capitaine Mathieu dit, je peux t'appeler Mathieu.
-j'aime bien quand tu m'appelles Capitaine, d'ailleurs je crois jeune rebeu que tu viens d'être interpellé par ton Capitaine préféré alors je vais être obligé de te placer en garde à vue dans ma chambre, te fouiller à corps mais aujourd'hui c'est moi qui vais te déshabiller et te fouiller plus profondément que d'habitude.
Redouane souriait en entendant parler Mathieu.
-je suis obligé d'obéir à mon Capitaine… je suis ton prisonnier!
Mathieu s'est levé du lit tirant Redouane par les pieds pour lui enlever ses chaussures, chaussettes et regarder les beaux pieds du petit rebeu et passer ses mains dessus, défaire le jean, toucher son zob emprisonné, retirer le jean, lui enlever son tee-shirt et l'admirer. Il était beau ce rebeu, finement musclé. On voyait que sa peau était douce, chaude et qu'elle appelait les caresses. Il lui a retiré le boxer, libérant un beau gros zob qu'il n'avait pas encore vu avec cette forme là! une belle grosse queue circoncise, au gland légèrement recourbé, de belles petites couilles, elles semblaient petites par rapport à la tige, une belle touffe de poils lui entourait les couilles et le sexe.
Redouane le regardait souriant, heureux d'être à la merci complète de cet homme qu'il adorait.
Il l'a tiré par la main, le faisant mettre à genoux pour qu'il vienne contre lui.
Ses mains l'ont entouré, lui caressant le dos, lui donnant des frissons pour atterrir sur ses petites fesses qu'elles ont enveloppé le collant au Capitaine, Redouane en profite pour passer ses bras autour de son cou et poser sa tête dans son cou, respirant son odeur et lui faisant de petits bisous.
-tu me déshabilles jeune rebeu ? souffle Mathieu à son oreille.
Faut voir le sourire de Redouane quand il enlève le tee-shirt de Mathieu pour tomber sur un torse musclé, comme il se l'imaginait. Ses yeux ne quittaient plus les tétons qui sortaient au milieu des poils du torse, l'attirant, si bien qu'il s'est penché dessus pour donner un coup de langue, caressant cette toison fournie qui l'électrisait. Il a tété lentement Mathieu qui appuyait sur sa tête. Redouane tétait, léchait les poils et sa langue est descendues plus bas pour toucher de la langue les abdos bien dessinés sous les poils. Ses mains caressaient partout, il aurait voulu avoir trente six paires de mains pour le caresser encore plus.
Et ses yeux tombent sur la grosse bosse de l'entre jambe. Il a hâte de voir ce qu'il va prendre en bouche et dans son cul car il est sûr maintenant que le beau Capitaine va le niquer, comme il en a si souvent rêvé.
Le jean tombe à ses pieds, putain de boxer bien rempli. Redouane passe une main sur la grosse bosse, relevant la tête pour croiser les yeux de Mathieu, c'est gros, c'est vivant, ça palpite, il adore déjà!
Il n'a qu'à baisser le boxer et libérer le monstre qui s'étend juste devant son nez venant se poser dessus, aussitôt il le renifle. Il voit la grosse tige s'allonger, le gland apparaitre lentement, la peau du prépuce se dégage. Redouane admire.
-je ne sais pas si tu mérites un cadeau jeune rebeu cambrioleur, mais elle est pour toi, goûte là!
A plat ventre sur le lit, Mathieu debout, avait une vue imprenable sur la belle paire de fesses du petit rebeu, qui se contractaient. Redouane a joué avec la queue de Mathieu la décalottant complètement pour voir sortir une goutte de mouille du méat. Quand la goutte fût prête de tomber, il a donné un coup de langue dessus, la récupérant et laissant le goût se répandre dans sa bouche et ce fût le départ de sa voracité. Il aimait ça sucer une bite de céfran, ces bites pas circoncises qui l'amusaient tant, là il avait une grosse queue comme il aimait.
Quand ses lèvres ont enveloppé le gland et qu'il a entendu Mathieu gémir cela lui a donné du courage et il a avalé au fond de sa gorge la belle queue, se faisant tousser, cracher, pleurer mais il la voulait! et ses grosses couilles qu'il a léché avec application, les faisant rouler dans sa bouche, les inondant de salive et lécher à grands coups de langue la queue pour revenir en se redressant dans les bras de son Capitaine qui souriait.
-je savais que t'avais une grosse queue Capitaine.
-tu la veux toujours dans ton petit cul ?
-ben oui! pourquoi ? t'es pas une brute, tu vas me le préparer mon petit cul non ?
-oui mon beau rebeu je vais m'occuper de toi comme il faut!
Redouane se sentait fondre dans les bras de Mathieu, ses bras forts qui le serraient et sa langue qui voyageait dans sa bouche, se mêlant avec la sienne quand, brusquement, il s'est séparé de lui, s'est retourné pour lui ouvrir son cul.
Pour une invitation, c'était une invitation!
Les caresses ont commencé, ouvrant bien les fesses pour voir l'anus imberbe apparaître, un beau petit trou qui avait déjà été visité.
Et Mathieu s'est fait un plaisir de le déguster, l'inonder, le forer pour entendre Redouane gémir, et pousser de petits cris quand il lui a mis deux doigts en vrillant son cul. Il s'offrait le petit rebeu.
Quand Mathieu a posé son bel engin sur le petit trou, les jambes de Redouane se sont encore ouvertes, il soufflait vidant ses poumons. Le trou était ouvert et c'est Redouane qui s'est enfoncé sur la queue de Mathieu quand son gland est passé, Redouane a hurlé en se redressant mais Mathieu a appuyé sur son dos et, d'un coup de reins est entré complètement en lui le faisant crier encore.
Mathieu a aimé quand leurs couilles se sont caressées.
Il a baisé son petit rebeu depuis le temps qu'il en avait envie, depuis le temps qu'il voyait son petit cul au commissariat, qui le narguait! eh bien là, il l'avait au bout de sa queue et c'est un sonore Redouane. Tout le temps de ses va-et-vient Redouane a crié, grogné, râlé, gémit et Mathieu appréciait l'intérieur du petit rebeu, cette chaleur, cette douceur du conduit si bien que son plaisir est arrivé juste au moment où il redressait Redouane contre lui. Sa première giclée l'a inondé telle un tsunami. La tête de Redouane dans son cou, il l'a embrassé dans le sien, le léchant, le mordillant. Les mains de Redouane tenaient les siennes.
Quand il a eu fini de jouir, sa queue était toujours coincée dans le conduit chaud. Il a pris la queue de Redouane, s'est mis à la caresser, il a gémi, la branler, il respirait fort, la bouche ouverte.
-tu veux jouir comme ça, dans ma main Redouane ?
-continue Capitaine, ta main est douce, chaude, je vais jouir.
Ses lèvres ont prises celles de Mathieu et quand les giclées sont sorties, ses fesses serraient sa queue tel un étau.
Ils se sont effondrés sur le lit, Mathieu sortant de Redouane, qui vient se réfugier dans ses bras, lui faisant des bisous.
-tu sais Capitaine Mathieu c'était bien meilleur que même dans mes rêves les plus fous.
-rien ne vaut le réel Redouane! mais y'a un problème.
-un problème ? demande Redouane redevenu sérieux.
-oui... tu as fait une si grosse bêtise aujourd'hui que je suis obligé de prolonger ta garde à vue jusqu'à … au moins demain! j'espère que tu n'avais rien de prévu ?
Le sourire était revenu sur le visage de Redouane.
-tu sais, je ne t'ai pas menti quand je t'ai dit que je t'aimais beaucoup eh bien maintenant je t'aime encore plus.
-moi ce que je voudrais Redouane c'est que tu arrêtes complètement tes conneries et trouver un petit boulot comme je te le dis à chaque fois!
-je vais le faire Mathieu, je vais le faire… mais … tu vas m'aider ?
-bien sûr jeune rebeu ex cambrioleur! je vais t'aider et te surveiller attentivement maintenant et te punir sévèrement si ça ne va pas!
Redouane rigole, en se serrant contre Mathieu.
-je vais t'obéir en tout Mathieu ! je te le jure!
-embrasse moi jeune rebeu! j'aime tellement tes lèvres et ta langue.
Redouane sourit en obéissant à Mathieu.
Y'a quand même des coups de bite miraculeux..!
-t'as pas pensé à faire un petit boulot plutôt que des cambriolages Redouane ? tu te fais prendre tellement souvent, je serais toi c'est ce que j'envisagerais.
Redouane l'aimait bien ce Capitaine, outre qu'il était beau mec approchant de la quarantaine, il avait toujours été sympa avec lui… il faisait son boulot!
Redouane aurait bien aimé le connaître dans d'autres circonstances et faire un câlin avec lui. Il se voyait dans ses bras, se faisant caresser partout par ce beau mec. Il devait avoir une grosse queue vu la bosse que faisait son uniforme et il était sûr Redouane que le Capitaine ne bandait pas, mais de le voir dans son uniforme, ses grandes mains douces et chaudes car il lui donnait une poignée de mains le Capitaine maintenant qu'ils se voyaient régulièrement. Cela le faisait bander et fantasmer. Qu'est ce qu'il pouvait se branler en pensant à lui. Il était certain que se serait mieux avec lui plutôt que ces jeunes bourges qui venaient se faire niquer.
Ce que ce bon Capitaine ne savait pas c'est que Redouane avait commencé à changer de quartier pour ses cambriolages se disant qu'on ne le remarquerait pas!
Habitant sur le 10ème arrondissement, il décide d'aller au fin fond du 11ème vers Nation quartier qu'il ne connait pas.
L'heure qu'il préfère pour faire le monte en l'air est le milieu de l'après-midi. Ce jour là, vers 15 heures il rentre dans un immeuble du Blvd Voltaire. Bel immeuble, observe dans la cour intérieure si une fenêtre ne serait pas restée ouverte. Il regarde, scrute toutes les fenêtres et, au 1er, juste dans l'angle il voit une fenêtre à moitié ouverte. Ses yeux font le trajet pour atteindre la dite fenêtre.
Tel un ouistiti, en deux temps trois mouvements Redouane se retrouve sur le rebord de la fenêtre. Coup d'œil, personne, il écoute, aucun son. Alors il entre doucement en regardant les autres fenêtres de la cour pour voir si personne ne l'a aperçu, rassuré il entre dans l'appartement.
Il écoute, c'est bien le silence. Il est dans une chambre, le lit est fait, de beaux meubles, il ouvre doucement l'armoire que du linge. Il passe à la commode, ouvre le premier tiroir qui grince. Il s'arrête, écoute, pas de bruit. Continue à ouvrir les tiroirs et, dans le dernier, de petits paquets. Il est accroupi devant la commode ouvrant les paquets, rien de bien intéressant mais soudain une voix.
-ne me dis pas Redouane que je te manque tant que ça ? dit la voix qu'il reconnaitrait entre mille. C'est la voix du Capitaine, qui entre dans la chambre.
Les yeux de Redouane se sont arrondis, et tellement surpris qu'il en tombe à la renverse, sur le cul face au Capitaine qui s'approche.
Redouane veut se relever..
-reste assis dit le Capitaine d'une voix forte et il vient s'asseoir sur le lit, en face de Redouane, qui le regarde encore éberlué.
-comment t'as su que j'habitais ici Redouane ?
-mais je ne le savais pas dit un Redouane pleurnichant… je ne le savais pas! je te le jure Capitaine.
-facile à dire, mais comment tu veux que je te crois!
-j'ai pensé qu'en changeant de quartier je ne me ferais plus prendre! dit Redouane en baissant la tête
-ben c'est loupé!
-mais... mais… t'habites vraiment là Capitaine ?
-ben oui! vraiment! et tu choisis de venir le jour où je ne travaille pas!
Redouane a toujours la tête baissée, ne dit plus rien. Il ne voit pas le visage du Capitaine qui sourit et qui pense "mais quelle tâche ce Redouane!" car il croit que vraiment il n'a pas de chance. Cela l'embête bien quand même. Il se voit mal faire une procédure sinon il devrait appeler ses collègues de l'arrondissement. Mais là, il est sûr d'une chose, c'est que Redouane ira directement en prison compte tenu qu'il est la victime. C'est un pauvre type ce jeune rebeu, il ne mérite pas d'aller fréquenter des plus "durs" que lui en prison.
-mais qu'est ce que je vais faire de toi Redouane ? tu vas finir en prison si je t'emmène au commissariat.
Redouane relève la tête, les larmes coulent sur son visage. C'est bien la première fois qu'il le voit pleurer, d'habitude il fait plutôt le dur, le crâneur, le voyou. Là on dirait qu'il vient de se rendre compte que de vouloir cambrioler un flic c'était la dernière des choses à faire.
Il tend les mains, les posant sur les genoux du Capitaine.
-ne fais pas ça Capitaine, s'il te plait ne fait pas ça! j'ai pas envie d'aller en prison, je ne le ferais plus je te jure!
-mais tu me dis ça à chaque fois! à chaque fois je sauve ta tête! mais t'écoutes rien aussi! alors il faut sévir.
Vite fait, Redouane se met à genoux devant le Capitaine, ses mains caressent ses cuisses, il le fixe.
-ne fais pas ça s'il te plait… s'il te plait Capitaine.
Ses yeux le fixent, le Capitaine le regarde, interloqué, c'est bien la première fois qu'il le supplie comme ça.
-je ferais tout ce que tu veux Capitaine, je vais t'écouter, je serais à toi… rien qu'à toi car je vois dans tes yeux que tu m'aimes bien, hein Capitaine que tu m'aimes bien ?
Pendant ce temps qu'il parlait, ses mains parcouraient les cuisses du Capitaine, c'était la première fois qu'il le touchait comme ça et Redouane appréciait la chaleur que les cuisses dégageaient.
-ça veux dire quoi je serais à toi ? demande le Capitaine en le fixant dans les yeux, rapprochant sa tête.
Sûr de sa belle petite gueule de rebeu, Redouane se redresse, sa tête s'approche de celle du Capitaine.
-que tu pourras faire ce que tu veux de moi, je me donne à toi Capitaine. J'ai toujours eu envie de ça, être dans tes bras. J'aimerais que tu me serres dans tes bras, que tu m'embrasses.
Le Capitaine était de plus en plus interloqué, mais riait intérieurement.
-alors t'es pédé Redouane ?
-je suis bi Capitaine.
-ouais bien sûr, mais tu préfères les mecs.
-oui c'est plus facile les mecs.
-alors tu me prends pour un gogo tu crois qu'en m'offrant ton cul tout va être réglé!
Les yeux de Redouane se remplissent de larmes, ses mains agrippent une main du Capitaine.
-je te jure Capitaine que j'ai envie de toi. Ce que je te dis est la vérité, je me branle le soir en pensant à toi Capitaine je te jure que c'est vrai!
-arrête de jurer comme ça! et, quand tu te branles en pensant à moi comme tu dis je te fais quoi dans tes pensées ? demande le Capitaine d'une voix douce qui fait bander Redouane.
Il rougit en baissant la tête.
-si je te le dis, tu vas te moquer de moi Capitaine.
-on verra bien, raconte! dit il d'une voix ferme.
-eh bien je suis sûr que t'as un gros zob et que tu me niques et que j'aime ça car je jute beaucoup dans ces moments là! dit Redouane la tête toujours baissée.
Il sent la main du Capitaine lui relever le menton et il voit son visage à quelques centimètres du sien, quand il parle il sent son souffle.
-et tu te fais niquer souvent Redouane ?
-non Capitaine, uniquement avec les mecs qui me plaisent et, avec toi j'ai envie de le faire.
Les yeux du Capitaine le fixent.
-mais qui te dit que j'ai envie de faire ça ? que je suis pédé ?
-rien, rien je te dis ce que j'ai envie… tu sais j'ai un beau cul Capitaine.
Le Capitaine rigole.
-ça je sais, je l'ai déjà vu ton petit cul lorsque je te place en garde à vue. C'est vrai que t'es un beau petit rebeu et que t'as aussi un beau zob.
Redouane sourit d'entendre ce que dit le Capitaine.
-alors je te plais Capitaine ?
Le Capitaine ne répond pas, mais le fixe encore.
-je savais dit Redouane en envoyant son souffle sur le visage du Capitaine, que tu m'aimais bien, t'as toujours été gentil avec moi. Ca pour m'engueuler j'me suis fait engueuler, mais je le méritais bien et tu m'as jamais frappé alors que certains le disent… et moi aussi je t'aime bien.
Redouane n'a pas vu arriver la main du Capitaine qui lui a enveloppé la joue, une main chaude, douce et caressante. Redouane sentait son cœur battre la chamade dans sa poitrine. Il a frotté sa joue dans la main du Capitaine qui lui souriait. C'est lui qui a attiré sa tête encore plus vers la sienne, leurs lèvres se frôlaient, ça chatouillait Redouane mais quand les lèvres du Capitaine se sont posées sur les siennes, il a fermé les yeux, en émettant un long gémissement et il a senti son corps devenir tout mou, s'offrir mais se sont ses lèvres qui ont été mangé en premier. Redouane a ouvert un œil et vu que le Capitaine l'embrassait les yeux fermés. Ils se sont dégustés longuement avant que les langues ne se rencontrent et les gémissements venaient des deux côtés.
Redouane était heureux, il avait eu raison!! il était enfin dans les bras de son Capitaine.
Les langues se battaient en duel, échangeant leur salive. Redouane aspirait celle du Capitaine avec délectation. Il a aimé de suite sa langue, une belle langue douce et bien dure qui donnait des litres de salive qui se sauvait des lèvres. Alors Redouane s'est mis à lécher le visage du beau Capitaine… son beau Capitaine!
Sans se séparer les lèvres, le Capitaine l'a fait venir sur le lit, l'allongeant contre lui, son corps venant sur le sien.
Qu'est ce qu'il aimait les baisers de ce mec!
Quand le Capitaine s'est arrêté, sa main caressait son visage, son pouce passait partout, sur ses sourcils, son nez, ses lèvres. Il le regardait en souriant et Redouane lui rendait son sourire.
Sa main a parcouru son corps partant d'une jambe, passant sur son zob dur, prisonnier de son boxer, remontant sur sa poitrine.
-alors comme ça tout ça c'est pour moi ? je peux en faire ce que je veux ? tu n'as pas peur ?
-oh non! pas avec toi Capitaine Mathieu dit, je peux t'appeler Mathieu.
-j'aime bien quand tu m'appelles Capitaine, d'ailleurs je crois jeune rebeu que tu viens d'être interpellé par ton Capitaine préféré alors je vais être obligé de te placer en garde à vue dans ma chambre, te fouiller à corps mais aujourd'hui c'est moi qui vais te déshabiller et te fouiller plus profondément que d'habitude.
Redouane souriait en entendant parler Mathieu.
-je suis obligé d'obéir à mon Capitaine… je suis ton prisonnier!
Mathieu s'est levé du lit tirant Redouane par les pieds pour lui enlever ses chaussures, chaussettes et regarder les beaux pieds du petit rebeu et passer ses mains dessus, défaire le jean, toucher son zob emprisonné, retirer le jean, lui enlever son tee-shirt et l'admirer. Il était beau ce rebeu, finement musclé. On voyait que sa peau était douce, chaude et qu'elle appelait les caresses. Il lui a retiré le boxer, libérant un beau gros zob qu'il n'avait pas encore vu avec cette forme là! une belle grosse queue circoncise, au gland légèrement recourbé, de belles petites couilles, elles semblaient petites par rapport à la tige, une belle touffe de poils lui entourait les couilles et le sexe.
Redouane le regardait souriant, heureux d'être à la merci complète de cet homme qu'il adorait.
Il l'a tiré par la main, le faisant mettre à genoux pour qu'il vienne contre lui.
Ses mains l'ont entouré, lui caressant le dos, lui donnant des frissons pour atterrir sur ses petites fesses qu'elles ont enveloppé le collant au Capitaine, Redouane en profite pour passer ses bras autour de son cou et poser sa tête dans son cou, respirant son odeur et lui faisant de petits bisous.
-tu me déshabilles jeune rebeu ? souffle Mathieu à son oreille.
Faut voir le sourire de Redouane quand il enlève le tee-shirt de Mathieu pour tomber sur un torse musclé, comme il se l'imaginait. Ses yeux ne quittaient plus les tétons qui sortaient au milieu des poils du torse, l'attirant, si bien qu'il s'est penché dessus pour donner un coup de langue, caressant cette toison fournie qui l'électrisait. Il a tété lentement Mathieu qui appuyait sur sa tête. Redouane tétait, léchait les poils et sa langue est descendues plus bas pour toucher de la langue les abdos bien dessinés sous les poils. Ses mains caressaient partout, il aurait voulu avoir trente six paires de mains pour le caresser encore plus.
Et ses yeux tombent sur la grosse bosse de l'entre jambe. Il a hâte de voir ce qu'il va prendre en bouche et dans son cul car il est sûr maintenant que le beau Capitaine va le niquer, comme il en a si souvent rêvé.
Le jean tombe à ses pieds, putain de boxer bien rempli. Redouane passe une main sur la grosse bosse, relevant la tête pour croiser les yeux de Mathieu, c'est gros, c'est vivant, ça palpite, il adore déjà!
Il n'a qu'à baisser le boxer et libérer le monstre qui s'étend juste devant son nez venant se poser dessus, aussitôt il le renifle. Il voit la grosse tige s'allonger, le gland apparaitre lentement, la peau du prépuce se dégage. Redouane admire.
-je ne sais pas si tu mérites un cadeau jeune rebeu cambrioleur, mais elle est pour toi, goûte là!
A plat ventre sur le lit, Mathieu debout, avait une vue imprenable sur la belle paire de fesses du petit rebeu, qui se contractaient. Redouane a joué avec la queue de Mathieu la décalottant complètement pour voir sortir une goutte de mouille du méat. Quand la goutte fût prête de tomber, il a donné un coup de langue dessus, la récupérant et laissant le goût se répandre dans sa bouche et ce fût le départ de sa voracité. Il aimait ça sucer une bite de céfran, ces bites pas circoncises qui l'amusaient tant, là il avait une grosse queue comme il aimait.
Quand ses lèvres ont enveloppé le gland et qu'il a entendu Mathieu gémir cela lui a donné du courage et il a avalé au fond de sa gorge la belle queue, se faisant tousser, cracher, pleurer mais il la voulait! et ses grosses couilles qu'il a léché avec application, les faisant rouler dans sa bouche, les inondant de salive et lécher à grands coups de langue la queue pour revenir en se redressant dans les bras de son Capitaine qui souriait.
-je savais que t'avais une grosse queue Capitaine.
-tu la veux toujours dans ton petit cul ?
-ben oui! pourquoi ? t'es pas une brute, tu vas me le préparer mon petit cul non ?
-oui mon beau rebeu je vais m'occuper de toi comme il faut!
Redouane se sentait fondre dans les bras de Mathieu, ses bras forts qui le serraient et sa langue qui voyageait dans sa bouche, se mêlant avec la sienne quand, brusquement, il s'est séparé de lui, s'est retourné pour lui ouvrir son cul.
Pour une invitation, c'était une invitation!
Les caresses ont commencé, ouvrant bien les fesses pour voir l'anus imberbe apparaître, un beau petit trou qui avait déjà été visité.
Et Mathieu s'est fait un plaisir de le déguster, l'inonder, le forer pour entendre Redouane gémir, et pousser de petits cris quand il lui a mis deux doigts en vrillant son cul. Il s'offrait le petit rebeu.
Quand Mathieu a posé son bel engin sur le petit trou, les jambes de Redouane se sont encore ouvertes, il soufflait vidant ses poumons. Le trou était ouvert et c'est Redouane qui s'est enfoncé sur la queue de Mathieu quand son gland est passé, Redouane a hurlé en se redressant mais Mathieu a appuyé sur son dos et, d'un coup de reins est entré complètement en lui le faisant crier encore.
Mathieu a aimé quand leurs couilles se sont caressées.
Il a baisé son petit rebeu depuis le temps qu'il en avait envie, depuis le temps qu'il voyait son petit cul au commissariat, qui le narguait! eh bien là, il l'avait au bout de sa queue et c'est un sonore Redouane. Tout le temps de ses va-et-vient Redouane a crié, grogné, râlé, gémit et Mathieu appréciait l'intérieur du petit rebeu, cette chaleur, cette douceur du conduit si bien que son plaisir est arrivé juste au moment où il redressait Redouane contre lui. Sa première giclée l'a inondé telle un tsunami. La tête de Redouane dans son cou, il l'a embrassé dans le sien, le léchant, le mordillant. Les mains de Redouane tenaient les siennes.
Quand il a eu fini de jouir, sa queue était toujours coincée dans le conduit chaud. Il a pris la queue de Redouane, s'est mis à la caresser, il a gémi, la branler, il respirait fort, la bouche ouverte.
-tu veux jouir comme ça, dans ma main Redouane ?
-continue Capitaine, ta main est douce, chaude, je vais jouir.
Ses lèvres ont prises celles de Mathieu et quand les giclées sont sorties, ses fesses serraient sa queue tel un étau.
Ils se sont effondrés sur le lit, Mathieu sortant de Redouane, qui vient se réfugier dans ses bras, lui faisant des bisous.
-tu sais Capitaine Mathieu c'était bien meilleur que même dans mes rêves les plus fous.
-rien ne vaut le réel Redouane! mais y'a un problème.
-un problème ? demande Redouane redevenu sérieux.
-oui... tu as fait une si grosse bêtise aujourd'hui que je suis obligé de prolonger ta garde à vue jusqu'à … au moins demain! j'espère que tu n'avais rien de prévu ?
Le sourire était revenu sur le visage de Redouane.
-tu sais, je ne t'ai pas menti quand je t'ai dit que je t'aimais beaucoup eh bien maintenant je t'aime encore plus.
-moi ce que je voudrais Redouane c'est que tu arrêtes complètement tes conneries et trouver un petit boulot comme je te le dis à chaque fois!
-je vais le faire Mathieu, je vais le faire… mais … tu vas m'aider ?
-bien sûr jeune rebeu ex cambrioleur! je vais t'aider et te surveiller attentivement maintenant et te punir sévèrement si ça ne va pas!
Redouane rigole, en se serrant contre Mathieu.
-je vais t'obéir en tout Mathieu ! je te le jure!
-embrasse moi jeune rebeu! j'aime tellement tes lèvres et ta langue.
Redouane sourit en obéissant à Mathieu.
Y'a quand même des coups de bite miraculeux..!
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