Réfléchir avant d'agir
Récit érotique écrit par Mélodie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-01-2010 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Réfléchir avant d'agir
Réfléchir avant d’agir
C’était à l’été 2007, à l’époque, je venais de finir ma troisième année de médecine et pour faire enrager mes parents qui sont racistes comme ce n’est pas possible, je sortais avec Brahim et ses copains de la cité.
Une bande de petits voyous pas bien méchants, mais d’un très mauvais genre et pas vraiment recommandable.
Mais bon, ils étaient plutôt sympas avec moi, et ce n’était pas si souvent qu’une petite bourge venait frayer avec eux.
En médecine, on parle souvent sexe, mais eux en parlaient avec vulgarité pour me choquer je crois et moi je me la jouais blasé.
J’adorais me faire draguer par tous ces mecs et je ne privais pas de les allumer, mais je refusais toujours d’aller plus loin.
Pourtant un vendredi soir où ils m’avaient proposés de m’emmener en boite, je suis arrivé habillé en cuissarde et petit short en jeans, déguisé comme un avion de chasse qu’ils m’ont dit.
J’avais pourtant ma voiture, mais j’ai préféré monter dans leur poubelle où l’on était 4 à l’arrière.
On était un petit peu serré et je me suis un peu faite un peu tripoter je l’avoue, mais rien de bien méchant et ce n’était pas désagréable.
Quand on est arrivé à la boîte, le videur à l’entrée a refusé de laisser rentrer 2 de mes amis et pour ne pas les laisser tomber, on est reparti.
On est donc reparti déçu de ne pas pouvoir faire un peu la fête.
Dans un virage, pour me rattraper, je me suis retrouvé la main sur la braguette de l’un d’entre eux, et j’ai bien senti au travers de son pantalon en toile qu’il était plutôt en forme.
« Mon cochon, faudrait te détendre un peu ».
Ces paroles les ont tous fait éclater de rire, le faisant rougir comme une tomate.
Posant ma main sur un autre pantalon, je pu constater qu’il n’était pas le seul.
Cela m’amusait beaucoup, mais je réalisais aussi que je jouais à un jeu dangereux.
La petite blonde sexy, au milieu de mes 5 petits loubards excités comme des ânes, ça allait mal finir.
Quand l’un d’entre eux ouvrit sa braguette pour en sortir un sexe tout raide, je compris que j’avais franchis la limite.
« Oh là les garçons, on s’emballe pas, ok pour une gâterie, mais un par un et dans un endroit tranquille ».
Dans ma tête, je me disais que si ça s’arrêtait là, je m’en tirerai à bon compte, mais j’étais un peu septique.
J’avais déjà eu des rapports avec 2 garçons en même temps, mais c’était dans un cadre beaucoup plus sobre et davantage basé sur le jeu.
Là, je me retrouvais avec 5 mecs en rut qui n’auraient certainement jamais espéré avoir une aubaine pareil.
Pour l’endroit tranquille, ce fut le parking souterrain d’une des tours proche de leur cité.
Pour la discrétion j’aurais espéré mieux, mais c’était toutefois mieux que sur le bord de la route.
On est resté à 2 à l’arrière et j’ai commencé mon œuvre, ça n’a pas du durer plus de trente secondes avant qu’il n’éjacule.
A ce rythme, je me suis dit que l’affaire serait finalement assez vite expédiée.
Manque de bol, d’une part, les autres furent beaucoup plus résistants et ensuite, cette situation malsaine commencer à m’exciter de plus en plus.
Je sentais peu à peu mes tétons se dresser et des vagues de chaleur me remonter dans le ventre.
Je tentais bien de le dissimuler, mais malgré moi, je ne pouvais m’empêcher d’onduler du bassin et quand l’un d’eux a défait le premier bouton de mon short, je n’ai même pas esquissé un geste de refus.
Je les ai laissé me descendre le short, et quand l’un d’entre eux m’a passé la main entre les cuisses, j’étais déjà toute trempée.
« Putain, elle est comme nous, elle mouille comme une cochonne ».
Je ne sais pas lequel d’entre eux a faufilé sa tête entre mes cuisses pour me lécher, mais j’ai commencé à gémir avec pourtant un sexe dans la bouche.
Un autre lui m’agaçait le cul avec un doigt pour finalement me rentrer le bout de sa langue dans l’anus.
Et là, j’ai eu mon premier orgasme, pas vraiment violent mais suffisant pour leur demander de me prendre.
Je me suis retrouvé en cuissarde, les fesses à l’air en dehors de la voiture avec 5 mecs qui se relayaient dans ma chatte et mon cul pour mon plus grand bonheur.
C’est seulement quand ils ont eu fini, que j’ai réalisé à mon grand soulagement qu’ils portaient tous une capote, car bizarrement moi à aucun moment, je n’y avais pensé.
Après cette séance un peu hors norme pour moi, j’avais une sensation d’ivresse de sexe.
Je n’étais toujours pas satisfaite et pourtant j’avais joui au moins 5 ou 6 fois.
Mais j’avais encore assez de lucidité pour me taire.
On s’est tous rhabillé et l’on est reparti en voiture, il y a eu de longues minutes de silence et finalement le chauffeur m’a demandé si cela m’avait plu car parlant au nom de tous les autres, ils avaient trouvé ça génial.
J’étais assez partagé pour leur répondre, car ils avaient bien vu que j’avais aussi pris mon pied, et je leur ai simplement répondu :
« C’était pas mal, mais je ne ferais pas ça tous les jours ».
Réponse débile d’une nana qui avait pris son pied comme jamais et qui n’espérait qu’une chose, recommencer.
Ils m’ont ramené jusqu’à ma voiture comme si de rien n’était, et je suis reparti.
Une fois de retour chez mes parents, je réalisais enfin ce que je venais de faire et je n’étais pas trop fière de moi.
Je venais de me faire sauter par 5 petits loubards de banlieue et j’y avais pris du plaisir, quelle honte pour moi et dieu sait si je n’ai rien de prude.
J’ai cogité ça pendant plusieurs jours et pourtant je suis quand même retourné les voir.
A ma grande surprise, rien n’avait changé dans leur comportement, comme si rien ne s’était passé.
Je suis donc venu rigoler avec eux jusqu’à la fin de l’été, mais à quelques jours de la rentrée, je leur ai demandé s’ils voulaient que je leur souffle la bougie pour fêter mon départ.
Ils m’ont regardé bizarrement, mais j’ai eu droit à un oui de concert.
On fixait donc le rendez vous à Samedi et je leur demandais de trouver un endroit un peu plus confortable et pour les exciter je rajoutais « et un bon stock de capotes ».
Ils m’avaient fixé rendez vous à 23 heures à coté du centre sportif.
Pour l’occasion, j’étais maquillé comme un camion de pompier avec un rouge à lèvre certainement trop criant et je m’étais épilé le minou de ses quelques poils blonds pour être lisse comme un œuf.
Pour la tenue, j’ai retenu l’option pratique, petits escarpins à lanière, petite jupette et boléro, le tout affranchi de l’absence de sous vêtements.
Eux de leur côté avaient aussi fait très fort, ils avaient récupéré je ne sais pas comment les clefs de la salle de sport avec pour unique contrainte de ne pas allumer les lumières.
Ils m’ont montré l’immense tapis du saut en hauteur en me demandant si niveau confort, ça pouvait m’aller ?
Aujourd’hui, je ne veux pas de pantalon baissé les mecs, je vous veux tous à poil comme moi.
Joignant le geste à la parole, je balançais au loin la jupe et le boléro et alors que je m’asseyais pour retirer mes chaussures, ils me demandèrent de les garder.
On s’est donc retrouvé à 6 sur cet immense matelas, a se caresser en se roulant des pelles.
Contrairement à la fois précédente, je n’avais pas la moindre appréhension et j’étais même plutôt enthousiaste.
« Eh les garçons, c’est peu être la dernière fois que l’on se voit, alors ce soir ça doit être inoubliable ».
Je les ai tous fait allonger pour les sucer un par un en 69, les 2 premiers ont fini avec la queue déguisée au rouge à lèvres et moi je me suis offerte 6 apéros bien crémeux en me faisant câliner l’abricot.
C’était génial, mais il manquait tout de même l’intensité de la dernière fois et je ne savais pas comment leur dire.
Finalement, c’est venu tous seul quand l’un d’eux me demanda si je voulais quelque chose de particulier, et je leur ai répondu que je n’étais pas là pour faire l’amour mais pour baiser.
Ma réponse ne les déstabilisa bien longtemps et mes petits machos vulgaires ont repris les choses en main.
« Toi ma salope, on va te casser le cul, te ravager la moule et te récurer les amygdales ».
J’ai frissonné quand ils m’ont parlé comme ça et j’ai rajouté.
« J’attends de voir « !
Je fus prise sans ménagement, devant derrière, à deux, à trois, ils étaient déchaînés, mais j’étais dans un état de surexcitation encore pire.
Réalisant certainement qu’ils n’arriveraient pas à me satisfaire complètement, ils ont descendu les anneaux de gymnastique et m’y ont attaché les mains et bandé les yeux.
Au début je pensais qu’ils voulaient avoir les mains plus libre, mais quand ils m’ont dit :
« T’es trop chaude, on a besoin de renfort ».
J’ai alors commencé à me débattre pour me détacher, mais c’était impossible et ces petits salauds n’arrêtaient de me tripoter le clito et les nichons et malgré moi de nouveau je me trouvais excité.
Quand j’ai entendu la porte du gymnase s’ouvrir, j’ai eu peur.
« Eh les mecs, ce n’est pas des conneries, regardez moi ce p’tit lot ».
« Eh la môme, c’est toi qui veux de la baise y paraît » ?
« Nous on veux bien, mais on tient pas à aller en taule si ces petits cons nous ont servis des bobards ».
« Alors dis le nous toi que tu veux qu’on te baise et je te jure que ça va être autre chose qu’avec les gamins ».
Mon ventre en crevait d’envie, mais mon cerveau criait au secours.
Pourtant j’ai bien prononcé un « Oui je veux ».
Ils m’ont fait répéter « Tu veux quoi ? »
« Je veux qu’on me baise » !
Et là, si j’avais encore un doute sur la différence entre faire l’amour et baiser, j’ai eu droit à une vraie démonstration.
La seul différence entre un viol et ça, c’est que j’étais consentante et que j’ai même trouvé le moyen d’y prendre du plaisir.
Ils étaient 7 de plus dont 3 montés comme des camions, et eux m’ont réellement ravagé la chatte et le cul.
Là je ne contrôlais plus rien, j’étais ballotté comme un morceau de viande.
Au début, j’ai apprécié ces nouvelles sensations brutales, je me sentais rempli et perforé comme jamais et je me souviens même avoir joui bruyamment plusieurs fois.
Mais à la fin je ne ressentais plus rien, sauf quand ils s’enfonçaient trop loin dans ma gorge et que je manquais de m’étouffer.
J’ai fini meurtrie avec des hématomes sur le ventre les fesses et les seins.
Heureusement que ce week-end là, mes parents n’étaient pas encore rentré de vacances.
Car pour tout vêtement, j’avais un short sale et un tee short qui sentait la sueur et le sperme.
J’étais hébété, n’arrivant pas à réaliser ce qui venait de m’arriver.
J’ai soigné tous mes petit bobos, les plus visibles étant les hématomes mais sont partis finalement très vite.
Ce fut plus douloureux pour les lèvres de mon sexe qui étaient toutes gonflées et bien que mon anus été aussi un peu irrité, ce fut l’endroit qui me fit le moins souffrir finalement.
Bien entendu, je ne recommande ceci à personne et pourtant il m’arrive encore parfois de me masturber en y pensant.
La nature humaine est vraiment bizarre et je sais que mon inconscience aurait pu me couter très cher, alors si certaines d’entre vous lisent ce récit, qu’elles fassent bien attention, tout fantasme n’est pas bon à réaliser.
Contentez vous des plaisirs à 2 voire à 3 si cela vous chante, mais ne tentez rien que vous pourriez regretter et surtout qui vous serez imposé par un autre.
J’en profite pour saluer mes petits voyous de banlieue que je n’ai jamais revu et qui se reconnaîtront surement.
Je m’appelle Mélodie
C’était à l’été 2007, à l’époque, je venais de finir ma troisième année de médecine et pour faire enrager mes parents qui sont racistes comme ce n’est pas possible, je sortais avec Brahim et ses copains de la cité.
Une bande de petits voyous pas bien méchants, mais d’un très mauvais genre et pas vraiment recommandable.
Mais bon, ils étaient plutôt sympas avec moi, et ce n’était pas si souvent qu’une petite bourge venait frayer avec eux.
En médecine, on parle souvent sexe, mais eux en parlaient avec vulgarité pour me choquer je crois et moi je me la jouais blasé.
J’adorais me faire draguer par tous ces mecs et je ne privais pas de les allumer, mais je refusais toujours d’aller plus loin.
Pourtant un vendredi soir où ils m’avaient proposés de m’emmener en boite, je suis arrivé habillé en cuissarde et petit short en jeans, déguisé comme un avion de chasse qu’ils m’ont dit.
J’avais pourtant ma voiture, mais j’ai préféré monter dans leur poubelle où l’on était 4 à l’arrière.
On était un petit peu serré et je me suis un peu faite un peu tripoter je l’avoue, mais rien de bien méchant et ce n’était pas désagréable.
Quand on est arrivé à la boîte, le videur à l’entrée a refusé de laisser rentrer 2 de mes amis et pour ne pas les laisser tomber, on est reparti.
On est donc reparti déçu de ne pas pouvoir faire un peu la fête.
Dans un virage, pour me rattraper, je me suis retrouvé la main sur la braguette de l’un d’entre eux, et j’ai bien senti au travers de son pantalon en toile qu’il était plutôt en forme.
« Mon cochon, faudrait te détendre un peu ».
Ces paroles les ont tous fait éclater de rire, le faisant rougir comme une tomate.
Posant ma main sur un autre pantalon, je pu constater qu’il n’était pas le seul.
Cela m’amusait beaucoup, mais je réalisais aussi que je jouais à un jeu dangereux.
La petite blonde sexy, au milieu de mes 5 petits loubards excités comme des ânes, ça allait mal finir.
Quand l’un d’entre eux ouvrit sa braguette pour en sortir un sexe tout raide, je compris que j’avais franchis la limite.
« Oh là les garçons, on s’emballe pas, ok pour une gâterie, mais un par un et dans un endroit tranquille ».
Dans ma tête, je me disais que si ça s’arrêtait là, je m’en tirerai à bon compte, mais j’étais un peu septique.
J’avais déjà eu des rapports avec 2 garçons en même temps, mais c’était dans un cadre beaucoup plus sobre et davantage basé sur le jeu.
Là, je me retrouvais avec 5 mecs en rut qui n’auraient certainement jamais espéré avoir une aubaine pareil.
Pour l’endroit tranquille, ce fut le parking souterrain d’une des tours proche de leur cité.
Pour la discrétion j’aurais espéré mieux, mais c’était toutefois mieux que sur le bord de la route.
On est resté à 2 à l’arrière et j’ai commencé mon œuvre, ça n’a pas du durer plus de trente secondes avant qu’il n’éjacule.
A ce rythme, je me suis dit que l’affaire serait finalement assez vite expédiée.
Manque de bol, d’une part, les autres furent beaucoup plus résistants et ensuite, cette situation malsaine commencer à m’exciter de plus en plus.
Je sentais peu à peu mes tétons se dresser et des vagues de chaleur me remonter dans le ventre.
Je tentais bien de le dissimuler, mais malgré moi, je ne pouvais m’empêcher d’onduler du bassin et quand l’un d’eux a défait le premier bouton de mon short, je n’ai même pas esquissé un geste de refus.
Je les ai laissé me descendre le short, et quand l’un d’entre eux m’a passé la main entre les cuisses, j’étais déjà toute trempée.
« Putain, elle est comme nous, elle mouille comme une cochonne ».
Je ne sais pas lequel d’entre eux a faufilé sa tête entre mes cuisses pour me lécher, mais j’ai commencé à gémir avec pourtant un sexe dans la bouche.
Un autre lui m’agaçait le cul avec un doigt pour finalement me rentrer le bout de sa langue dans l’anus.
Et là, j’ai eu mon premier orgasme, pas vraiment violent mais suffisant pour leur demander de me prendre.
Je me suis retrouvé en cuissarde, les fesses à l’air en dehors de la voiture avec 5 mecs qui se relayaient dans ma chatte et mon cul pour mon plus grand bonheur.
C’est seulement quand ils ont eu fini, que j’ai réalisé à mon grand soulagement qu’ils portaient tous une capote, car bizarrement moi à aucun moment, je n’y avais pensé.
Après cette séance un peu hors norme pour moi, j’avais une sensation d’ivresse de sexe.
Je n’étais toujours pas satisfaite et pourtant j’avais joui au moins 5 ou 6 fois.
Mais j’avais encore assez de lucidité pour me taire.
On s’est tous rhabillé et l’on est reparti en voiture, il y a eu de longues minutes de silence et finalement le chauffeur m’a demandé si cela m’avait plu car parlant au nom de tous les autres, ils avaient trouvé ça génial.
J’étais assez partagé pour leur répondre, car ils avaient bien vu que j’avais aussi pris mon pied, et je leur ai simplement répondu :
« C’était pas mal, mais je ne ferais pas ça tous les jours ».
Réponse débile d’une nana qui avait pris son pied comme jamais et qui n’espérait qu’une chose, recommencer.
Ils m’ont ramené jusqu’à ma voiture comme si de rien n’était, et je suis reparti.
Une fois de retour chez mes parents, je réalisais enfin ce que je venais de faire et je n’étais pas trop fière de moi.
Je venais de me faire sauter par 5 petits loubards de banlieue et j’y avais pris du plaisir, quelle honte pour moi et dieu sait si je n’ai rien de prude.
J’ai cogité ça pendant plusieurs jours et pourtant je suis quand même retourné les voir.
A ma grande surprise, rien n’avait changé dans leur comportement, comme si rien ne s’était passé.
Je suis donc venu rigoler avec eux jusqu’à la fin de l’été, mais à quelques jours de la rentrée, je leur ai demandé s’ils voulaient que je leur souffle la bougie pour fêter mon départ.
Ils m’ont regardé bizarrement, mais j’ai eu droit à un oui de concert.
On fixait donc le rendez vous à Samedi et je leur demandais de trouver un endroit un peu plus confortable et pour les exciter je rajoutais « et un bon stock de capotes ».
Ils m’avaient fixé rendez vous à 23 heures à coté du centre sportif.
Pour l’occasion, j’étais maquillé comme un camion de pompier avec un rouge à lèvre certainement trop criant et je m’étais épilé le minou de ses quelques poils blonds pour être lisse comme un œuf.
Pour la tenue, j’ai retenu l’option pratique, petits escarpins à lanière, petite jupette et boléro, le tout affranchi de l’absence de sous vêtements.
Eux de leur côté avaient aussi fait très fort, ils avaient récupéré je ne sais pas comment les clefs de la salle de sport avec pour unique contrainte de ne pas allumer les lumières.
Ils m’ont montré l’immense tapis du saut en hauteur en me demandant si niveau confort, ça pouvait m’aller ?
Aujourd’hui, je ne veux pas de pantalon baissé les mecs, je vous veux tous à poil comme moi.
Joignant le geste à la parole, je balançais au loin la jupe et le boléro et alors que je m’asseyais pour retirer mes chaussures, ils me demandèrent de les garder.
On s’est donc retrouvé à 6 sur cet immense matelas, a se caresser en se roulant des pelles.
Contrairement à la fois précédente, je n’avais pas la moindre appréhension et j’étais même plutôt enthousiaste.
« Eh les garçons, c’est peu être la dernière fois que l’on se voit, alors ce soir ça doit être inoubliable ».
Je les ai tous fait allonger pour les sucer un par un en 69, les 2 premiers ont fini avec la queue déguisée au rouge à lèvres et moi je me suis offerte 6 apéros bien crémeux en me faisant câliner l’abricot.
C’était génial, mais il manquait tout de même l’intensité de la dernière fois et je ne savais pas comment leur dire.
Finalement, c’est venu tous seul quand l’un d’eux me demanda si je voulais quelque chose de particulier, et je leur ai répondu que je n’étais pas là pour faire l’amour mais pour baiser.
Ma réponse ne les déstabilisa bien longtemps et mes petits machos vulgaires ont repris les choses en main.
« Toi ma salope, on va te casser le cul, te ravager la moule et te récurer les amygdales ».
J’ai frissonné quand ils m’ont parlé comme ça et j’ai rajouté.
« J’attends de voir « !
Je fus prise sans ménagement, devant derrière, à deux, à trois, ils étaient déchaînés, mais j’étais dans un état de surexcitation encore pire.
Réalisant certainement qu’ils n’arriveraient pas à me satisfaire complètement, ils ont descendu les anneaux de gymnastique et m’y ont attaché les mains et bandé les yeux.
Au début je pensais qu’ils voulaient avoir les mains plus libre, mais quand ils m’ont dit :
« T’es trop chaude, on a besoin de renfort ».
J’ai alors commencé à me débattre pour me détacher, mais c’était impossible et ces petits salauds n’arrêtaient de me tripoter le clito et les nichons et malgré moi de nouveau je me trouvais excité.
Quand j’ai entendu la porte du gymnase s’ouvrir, j’ai eu peur.
« Eh les mecs, ce n’est pas des conneries, regardez moi ce p’tit lot ».
« Eh la môme, c’est toi qui veux de la baise y paraît » ?
« Nous on veux bien, mais on tient pas à aller en taule si ces petits cons nous ont servis des bobards ».
« Alors dis le nous toi que tu veux qu’on te baise et je te jure que ça va être autre chose qu’avec les gamins ».
Mon ventre en crevait d’envie, mais mon cerveau criait au secours.
Pourtant j’ai bien prononcé un « Oui je veux ».
Ils m’ont fait répéter « Tu veux quoi ? »
« Je veux qu’on me baise » !
Et là, si j’avais encore un doute sur la différence entre faire l’amour et baiser, j’ai eu droit à une vraie démonstration.
La seul différence entre un viol et ça, c’est que j’étais consentante et que j’ai même trouvé le moyen d’y prendre du plaisir.
Ils étaient 7 de plus dont 3 montés comme des camions, et eux m’ont réellement ravagé la chatte et le cul.
Là je ne contrôlais plus rien, j’étais ballotté comme un morceau de viande.
Au début, j’ai apprécié ces nouvelles sensations brutales, je me sentais rempli et perforé comme jamais et je me souviens même avoir joui bruyamment plusieurs fois.
Mais à la fin je ne ressentais plus rien, sauf quand ils s’enfonçaient trop loin dans ma gorge et que je manquais de m’étouffer.
J’ai fini meurtrie avec des hématomes sur le ventre les fesses et les seins.
Heureusement que ce week-end là, mes parents n’étaient pas encore rentré de vacances.
Car pour tout vêtement, j’avais un short sale et un tee short qui sentait la sueur et le sperme.
J’étais hébété, n’arrivant pas à réaliser ce qui venait de m’arriver.
J’ai soigné tous mes petit bobos, les plus visibles étant les hématomes mais sont partis finalement très vite.
Ce fut plus douloureux pour les lèvres de mon sexe qui étaient toutes gonflées et bien que mon anus été aussi un peu irrité, ce fut l’endroit qui me fit le moins souffrir finalement.
Bien entendu, je ne recommande ceci à personne et pourtant il m’arrive encore parfois de me masturber en y pensant.
La nature humaine est vraiment bizarre et je sais que mon inconscience aurait pu me couter très cher, alors si certaines d’entre vous lisent ce récit, qu’elles fassent bien attention, tout fantasme n’est pas bon à réaliser.
Contentez vous des plaisirs à 2 voire à 3 si cela vous chante, mais ne tentez rien que vous pourriez regretter et surtout qui vous serez imposé par un autre.
J’en profite pour saluer mes petits voyous de banlieue que je n’ai jamais revu et qui se reconnaîtront surement.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
LE SAGE APREND DE CES ERRURES LE PLUS SAGE APREND DES ERREURES DES AUTRES HOR LA SAGESSE
A DISPARUE A NOTRE EPOQUE SOUVENT ON S REND COMPTE
TARDIVEMNT DE NOS FAUTES
CE PENDANT SI NOTRE NATURE ES MAL CONDITIONNER MALGRET TOUS NOS EFFORTS SI DUR DE
RATTRAPER LE DERAPAGE BCOURAGE MELODIE
A DISPARUE A NOTRE EPOQUE SOUVENT ON S REND COMPTE
TARDIVEMNT DE NOS FAUTES
CE PENDANT SI NOTRE NATURE ES MAL CONDITIONNER MALGRET TOUS NOS EFFORTS SI DUR DE
RATTRAPER LE DERAPAGE BCOURAGE MELODIE
bravo et merci Mélodie pour ton histoire et tes conseils.
gros bisous a toi et bon courage pour le suite.
gros bisous a toi et bon courage pour le suite.