Relations dans un bus
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-01-2015 dans la catégorie En solitaire
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Couleur du fond :
Relations dans un bus
C'est toujours pareil le matin pour avoir une place assise dans le bus pour aller au travail. Il faut que je me faufile jusqu'au fond. Presque toujours je suis à coté d'un mec pas dégueu que je me paierais bien. Ou c'est un dur de la comprenette ou il est contre les filles entreprenantes. C'est qu'il me plaît bien, que je pense à lui le soir dans mon lit que je lui dédie mes masturbations.
A force de me coller à lui, enfin il comprend. Je le laisse faire : il faut toujours laisser aux hommes l'impression que c'est eux qui nous cherchent et que nous, pauvres filles nous laissons conquérir. Il me regarde avec des yeux de chèvres mortes. Le pauvre chou. Il ne peut savoir que j'ai envie de lui comme lui de moi. Je me pousse contre lui pour le sentir contre moi. Il pense l'avoir fait alors que je le veux.
J'ai un geste malheureux quand ma main va sans le « faire exprès » sur sa braguette. Je sais parfaitement ce qui se cache dessous, que je me charge de lui faire découvrir sans trop tarder. Il me semble voir une grosseur à cet endroit stratégique.
J'arrive à lui extirper un rendez vous pour la fin d'après midi.
Encore dans le bus, assise près de lui qui, je le vois bander vite. Il ne sait même pas ce qui me ferait plaisir. Mon non plu s,je ne sais ce qu'il aime. Il ne reste qu'à nous découvrir. Je vais faire celle qui se laisse faire, comme une dinde.
C'est bien un homme qui croit qu'il va me faire ce qu'il veut, alors que j'ai mes envies qu'il ne connaît pas, le pauvre. Je ne vais pas le manger (enfin si un peu). Si, je compte le lécher à des endroits indescriptibles qui m'attirent.
C'est quand même moi qui cherche à ouvrir cette satanée braguette, qui vais y fouiller pour trouver sa merguez. En plus il faut que je le fasse bander.
Pas mal pour ce que je voudrais en faire. J'espère que qu'elle a bon goût.
Enfin enfin il se décide à me toucher une jambe. Je vais lui sauter dessus pour qu'il commence à s'occupe de moi.
C'est bizarre quand même les mecs, quand ils ont envie ; ils sont près à nous sauter, sinon, nous devons les forcer à nous manquer de respect. Mon cul, oui.
Toute ma fente à besoin de lui, pas de tout, seule sa bite compte pour le moment, la bite et alentour. J'ai réussi à sortir cette queue. Pas mal du tout.Elle serait parfaitement à l'aise dans un écrin que je possède, même dans l'autre que je tiens à sa disposition. Elle est presque dure. Je me charge de la fait enfler encore, juste ce qu'il me faut.
Je regarde autour de moi, personne ne nous regarde. Les regards des autres ne me gênent pas du tout ; mais certaines de mes fréquentations détestent être vues. Personne ne m'espionne. Je me penche sur ce sexe , je le lèche à peine au bout. Ca va, il un goût prononcé de bite pas très propre, comme j'aime.
Je me relève pour la lui prendre dans la main fermée. Là, elle est dure. Il me regarde, je ne me dégage pas. Je veux le masturber, le voir jeter son sperme blanc, pas n'importe où, dans ma bouche par exemple. Je le tiens bien dans la main quand je commence ma caresse intéressée. Il occupe toute ma main qui caresse lentement en prenant son prépuce pour le faire descendre vers ses couilles puis remonter pour recommencer de plus en plus vite. Il me regarde d'un air totalement vide : il est prit par le plaisir que je lui donne dans avoir, moi, demandé quoique ce soit. J'aurais ma récompense qu'il il donnera sa semence.
Il s'arque entre ses talons et sa nuque, totalement disponible pour ce que je fais. Il attend le moment magique de l'orgasme. Il ne cherche même pas à me soulager aussi, pourtant je suis mouillée avec quand même un œuf que m'a mit mon amant avant que je parte au travail.
Je vais plus vite sur cette bite. Ce n'est pas pour lui, mais pour moi. Je sens que je vais jouir sans tarder. Il se raidi, je me prépare à la réception de son jus.
Il se lâche, son sperme gicle dans ma bouche, je le déguste un moment, pour bien avoir son goût en bouche. Je me garde de l'avaler, je vais le partager avec une copine au bureau qui me branlera en remerciements.
Quand à lui, j'ignore ce qu'il devient, je le reverrais peut être sans le reconnaître, sans un seul regard. Qu'il soit heureux que j'ai pris son jus pour ne pas salir le bus.
A force de me coller à lui, enfin il comprend. Je le laisse faire : il faut toujours laisser aux hommes l'impression que c'est eux qui nous cherchent et que nous, pauvres filles nous laissons conquérir. Il me regarde avec des yeux de chèvres mortes. Le pauvre chou. Il ne peut savoir que j'ai envie de lui comme lui de moi. Je me pousse contre lui pour le sentir contre moi. Il pense l'avoir fait alors que je le veux.
J'ai un geste malheureux quand ma main va sans le « faire exprès » sur sa braguette. Je sais parfaitement ce qui se cache dessous, que je me charge de lui faire découvrir sans trop tarder. Il me semble voir une grosseur à cet endroit stratégique.
J'arrive à lui extirper un rendez vous pour la fin d'après midi.
Encore dans le bus, assise près de lui qui, je le vois bander vite. Il ne sait même pas ce qui me ferait plaisir. Mon non plu s,je ne sais ce qu'il aime. Il ne reste qu'à nous découvrir. Je vais faire celle qui se laisse faire, comme une dinde.
C'est bien un homme qui croit qu'il va me faire ce qu'il veut, alors que j'ai mes envies qu'il ne connaît pas, le pauvre. Je ne vais pas le manger (enfin si un peu). Si, je compte le lécher à des endroits indescriptibles qui m'attirent.
C'est quand même moi qui cherche à ouvrir cette satanée braguette, qui vais y fouiller pour trouver sa merguez. En plus il faut que je le fasse bander.
Pas mal pour ce que je voudrais en faire. J'espère que qu'elle a bon goût.
Enfin enfin il se décide à me toucher une jambe. Je vais lui sauter dessus pour qu'il commence à s'occupe de moi.
C'est bizarre quand même les mecs, quand ils ont envie ; ils sont près à nous sauter, sinon, nous devons les forcer à nous manquer de respect. Mon cul, oui.
Toute ma fente à besoin de lui, pas de tout, seule sa bite compte pour le moment, la bite et alentour. J'ai réussi à sortir cette queue. Pas mal du tout.Elle serait parfaitement à l'aise dans un écrin que je possède, même dans l'autre que je tiens à sa disposition. Elle est presque dure. Je me charge de la fait enfler encore, juste ce qu'il me faut.
Je regarde autour de moi, personne ne nous regarde. Les regards des autres ne me gênent pas du tout ; mais certaines de mes fréquentations détestent être vues. Personne ne m'espionne. Je me penche sur ce sexe , je le lèche à peine au bout. Ca va, il un goût prononcé de bite pas très propre, comme j'aime.
Je me relève pour la lui prendre dans la main fermée. Là, elle est dure. Il me regarde, je ne me dégage pas. Je veux le masturber, le voir jeter son sperme blanc, pas n'importe où, dans ma bouche par exemple. Je le tiens bien dans la main quand je commence ma caresse intéressée. Il occupe toute ma main qui caresse lentement en prenant son prépuce pour le faire descendre vers ses couilles puis remonter pour recommencer de plus en plus vite. Il me regarde d'un air totalement vide : il est prit par le plaisir que je lui donne dans avoir, moi, demandé quoique ce soit. J'aurais ma récompense qu'il il donnera sa semence.
Il s'arque entre ses talons et sa nuque, totalement disponible pour ce que je fais. Il attend le moment magique de l'orgasme. Il ne cherche même pas à me soulager aussi, pourtant je suis mouillée avec quand même un œuf que m'a mit mon amant avant que je parte au travail.
Je vais plus vite sur cette bite. Ce n'est pas pour lui, mais pour moi. Je sens que je vais jouir sans tarder. Il se raidi, je me prépare à la réception de son jus.
Il se lâche, son sperme gicle dans ma bouche, je le déguste un moment, pour bien avoir son goût en bouche. Je me garde de l'avaler, je vais le partager avec une copine au bureau qui me branlera en remerciements.
Quand à lui, j'ignore ce qu'il devient, je le reverrais peut être sans le reconnaître, sans un seul regard. Qu'il soit heureux que j'ai pris son jus pour ne pas salir le bus.
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