Rencontre - histoire érotique

J'habite en banlieue d'une grande ville. Tous mes voisins sont charmants, des fois presque trop. Mais s'ils me donnent toujours satisfaction il est un domaine où je doit me débrouiller seule. Parfois je peux me dévoyer avec une voisine quand elle peut. Mais elle est mariée, pas toujours libre. Alors je pratique le plaisir solitaire. Je suis bien équipée avec mes godes, mes plugs anaux, mon œufs vaginal. Je porte toujours dans mon sac de quoi me satisfaire à la demande.
Parfois j'ai besoin d'un vrai sexe d'homme. Je pourrais me faire une voisin , pas question de passer pour une pute.
Je connais en ville deux ou trois bistros où je peux pécher la perle rare : beau gosse musclé comme il faut sans trop et muni d'un sexe comme j'aime : normal, long, plein de veines, avec un gland un peu plus gros que la moyenne. J'oubliais, que son sperme ait du goût.
Avant hier, j'avais besoin de me faire mettre : ma voisine était trop occupée, j’allais donc en ville.
Par chance je trouve un emplacement longue durée pour me garer. J'entre dans le bistro « Plein Cœur ». Je sais que là j'ai une chance sur 9 de trouver mon amant de la journée. J'ai de la chance, non seulement il y a une homme, mais, hélas il est avec madame. Tant pis, je tante ma chance en souriant. Il me répond. Sa femme me regarde aussi, elle me sourit.J'ai compris cet après midi se passera à trois. Pourquoi pas, ça changera des habitudes et puis avec une femme c'est agréable.
Nous nous asseyons à une table isolée, prenons un café. Nous bavardons de...rien, sinon que nous aimons faire l'amour. Pendant la conversation c'est elle qui est la plus entreprenante : elle prend ma main, la caresse, passe un bras sur mes épaules, m'embrasse rapidement sur la joue. Elle murmure des insanités : elle me désire, elle veut que nous soyons nues ensemble enlacées. Elle demande à son mari :
Elle te plaît ?
Oui et à toi ?
Je passerais bien l'après midi avec elle même sans toi.
Et moi, je me branlerais seul dans on coin ?
Ils me partagent déjà, sans me demander mon avis. Je « roumègue » en allant avec eux dans un hôtel réputé pour sa propreté et son calme.
Dès l'arrivée dans la chambre, elle me prend dans ses bras, sans tenir compte de son homme. Nous nous embrassons longuement, profondément. Nos corps ne se séparent pas.
Nous nous désirons, nous le montrons. Nos mains agissent seules en allant caresser l'autre corps. Nous nous retrouvons nues, seule à seule, tant pis pour le mari qui nous regarde. C'est ma main, la plus habile qui est sur son sexe la plus rapide. Je plie mon majeur que j’enserre dans sa fente. Je trouve rapidement son clitoris. Je commence la masturbation, mon sexe est à son tour sous sa main. C'est bon de se branler ainsi. Elle me caresse pour que je jouisse.
Et lui qui nous regarde sans rien nous faire : il se caresse subjugué par notre amour. La nudité proche nous rapproche encore plus : elle est bien faite, avec des seins à peine trop gros. Je les prend dans la bouche, je les lèche elle me rend la pareille.
Elle me rend la pareille en posant en plus une main sur ma chatte.
Elle murmure toujours à l'oreille des propositions que j'accepte. Nous nous tenons par les fesses, elle passe sa main dans ma raie, elle ne fouille pas, elle est sur mon anus. J’ai accepté ce qu'elle me fait : un seul doigt suffit pour le moment, elle me caresse l'anus, elle me masse un peu avant de le rentrer. Je me raidis pour qu'elle le mettre totalement. Je sens une phalange puis une autre venir dans mon cul. Je ne sais exactement ce qu'elle me fait, c'est bon, je pourrais rester ainsi jusqu'à l'orgasme .
Elle me met sur le lit, sur le coté : je suis obligée de lever une jambe pour qu'elle puisse continuer à me masturber cet anus. Je me retrouve avec son doigt en entier dans le petit trou. Et lui qui restait spectateur se met à me caresser aussi. Ses mains s'emparent de mes seins, il est doué. Je mouille de plus en plus.
Il pousse la tête de madame vers moi, vers mon sexe. Je n'attends pas longtemps pour sentir la caresse de sa langue. Elle me fouille partout depuis le petit trou jusqu'au clitoris. Mais je sens une langue sur mon intimité. C'est lui qui se décide à participer.
Je voulais lui rendre la pareille : sa bite est dans la bouche de sa femme. Je la vois lécher avec amour cette queue qui doit lui faire du bien ailleurs que dans la bouche. Je vois surtout qu'il lâche une bonne dose de semence.
Que j'en voudrais aussi. La langue change, c'est la sienne qui me fait des câlins. Que c'est bon ces deux langues qui se relaient. Enfin elle pose sa bouche sur la mienne pour partager le sperme. C'est avec la langue quelle me le donne. Dommage, il est mêlé avec sa salive, ça réduit son goût un peu salé.
Il a jouit, il ne peut plus rien faire pendant un instant. Avec sa femme nous nous mettons sexe à sexe pour nous baiser. Nous avons dû passer deux heures à nous aimer ainsi.
Au petit matin il nous faut partir. Comme au revoir, elle prend la bite de mon jules pour la lui sucer. Elle le suce le gland et moi les couilles et le cul.
Un dernier long baiser entre nous les femmes terminent notre escapade.