Rencontre à la piscine
Récit érotique écrit par Elrem [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Rencontre à la piscine
Permettez, avant toute chose, que je me présente (en même temps, j’fais c’que j’veux, c’est mon histoire).
Xavier. 1m85. Mon corps d’athlète de 20 ans est loin, mais il paraît que j’ai plutôt de beaux restes. 40 ans c’est pas la fin non plus !!
Il m’arrive de passer du temps sur des sites de rencontres coquines. Ce n’est pas facile, on trouve de tout, je reviens souvent bredouille, mais ça me paraît plus honnête que de feindre un cœur libre, alors que ce n’est pas le cœur qui m’intéresse !
Bref, un jour...
J’avais rencontré Sofia sur un site de rencontres. Après quelques échanges, nous avions décidé de nous retrouver. Pas dans un bar. Pas dans un parc. Non. Un lieu où nous pourrions nous mater et nous toucher à l’envie : une piscine.
J’étais arrivé en avance. J'avais profité de cette fin d’après-midi pour faire quelques longueurs. Il y avait peu de monde ce jour-là. À chaque bout de ligne, je regardais vers l'entrée du bassin. Elle m'avait dit qu’elle porterait un bikini léger. Pour m'exciter, avait-elle cru utile de préciser ! Comme si j’avais besoin de ça… Je soupçonne qu’elle voulait attirer tous les regards, sur ses courbes parfaites (en tout cas, d’après la description!).
Après plusieurs longueurs, je fis une pause. En me tournant vers l'entrée… wouah ! Elle était splendide ! Nous ne nous étions jamais vus, mais les photos échangées ne laissaient aucun doute : c’était bien Sofia. Et puis, dans cette petite piscine où l’on vient principalement pour nager, les bikinis sont rares !
Elle était encore plus belle que sur les photos. 35 ans. 1m76. 60kg. Des cheveux blonds qui descendaient presque jusqu’au bas du dos. Elle m’avait dit être sportive. On sentait une posture ferme, et on devinait ses muscles.
Je lui fis un léger signe de la main, et elle me rejoignit. Elle savait l'effet qu’elle produisait dans cette tenue. Elle entra tout doucement dans l'eau, comme si elle savourait la caresse de l'eau sur sa peau.
D'une brasse légère, elle était là, face à moi. On se regarda.
Que devait-on faire ?
Se serrer la main ? Vu la teneur de nos échanges informatiques, on n'en était plus là !
Une bise ? Trop prude pour être honnête !
Un baiser ? Là, c'est moi qui ne voulais pas : la tentation et l'envie d'aller plus loin étaient trop fortes !
Alors on resta là, sans rien dire, bercés par les vaguelettes. Les yeux dans les yeux.
Quand soudain, je sentis sa main sur mon sexe. J’aurais pu dire "une" main, mais vu le contexte, il n’y avait pas de doute quant à la propriétaire de cette main !!
- Ah ? Tu es comme ça toi ?!
- J'en avais trop envie, me répondit-elle.
Elle me lança un regard de braise, plongea, ressortis et nagea à toute vitesse. Elle voulait que je la rattrape. Très bien. Je partis derrière elle. En nageant, je profitai de la vue sur sa croupe. J’allais devoir me calmer, sinon, j’allais bander (et dans une piscine, c'est pas génial !).
Je la rejoignis à l'autre bout du bassin. Elle se retourna, m'enlaça, et me donna un baiser sensuel. J’en profitai quelques instants, puis me retirai doucement.
- T'es timide ? me demanda-t-elle.
- Non, mais je veux profiter de ce moment, sans être viré du bassin pour atteinte aux bonnes mœurs !
- Avec ce que je vais te faire, tu vas l'avoir ton atteinte aux bonnes mœurs !
Et elle me susurra à l'oreille : "je vais te faire bander comme un âne, dans ton maillot de bain ! Et après je vais te...".
Elle me prit la main et m’entraîna vers l’espace détente à bulles du petit bassin.
Là, nous nous allongeâmes dans les bulles. Elle se blottit contre moi, et sa main commença à me caresser. Personne ne pouvait nous voir à travers les bulles. Et puis, c'était bientôt la fermeture ; les bassins se vidaient progressivement.
Mon sexe ne tarda pas à grossir. Faut dire que son regard traduisait maintenant une lubricité torride. Heureusement, même en bandant, mon sexe resta (je ne sais comment !) dans le maillot de bain. Ouf ! Mais Sofia faisait tout pour sortir le gland.
Son souffle était court. Elle se colla encore plus à moi. J'en profitai alors pour glisser ma main entre ses cuisses. Qu’elle resserra immédiatement.
- Non, je dois être la seule à m'amuser, me dit-elle.
Soit ! Dans ces conditions, j'avais bien l'intention d'en profiter un maximum ! Sa main me caressa tout doucement. Des va-et-vient lents. C'était… trop... bon !
Ma jambe vint se caler entre les siennes. Sofia en profita pour onduler dessus. Elle me donnait du plaisir et en prenait en même temps avec ma jambe !
Et d'une main experte, je ne sais comment, elle parvint à s'introduire dans mon maillot.
- Tu es à moi maintenant, dit-elle en m’empoignant sans ménagement !
À pleine main, elle se mit à m'astiquer vigoureusement.
- Je vais te faire jouir !
- Ah non, pas ici, t'as pas intérêt !
- Ô que si !
- Si tu fais ça, dès qu'on sort, je t'encule !
- Non non non. Interdit. Je ne veux pas.
Et là, elle me serra le sexe tout en agitant sa main et en me regardant droit dans les yeux.
- Merde, dis-je, y'a une vieille qui nous mâte !
Surprise et par réflexe, elle se retourna, et j'en profitai pour retirer sa main et m'enfuir !
Elle tenta vainement de me rattraper. Trop tard, je nageai vers un coin. Avant qu’elle ne parvienne à me rejoindre, je déguerpis dans une autre direction. Cette petite traque dura quelques instants, le temps pour moi de débander ! Quand ce petit jeu cessa, je lui dis :- J'ai débandé, et je vais sortir !
Elle tenta de m'embrasser langoureusement, mais ne parvint pas à me retenir. Je sortis et me dirigeai vers les douches. Je la sentais marcher derrière moi.
Dans cette piscine, les douches sont mixtes, et il y a, dans un coin, des cabines assez spacieuses. Je m'engouffrai dans la plus éloignée, et elle me suivit. Je passai derrière elle et fermai le loquet. Avec une main, j'attrapai ses bras, les bloquai au-dessus de sa tête. Avec l'autre, je pris son menton et le tournai vers moi.
- Tu m'as suffisamment excité. Maintenant, tu vas être à moi.
Sans attendre sa réponse, je l'embrassai fougueusement. Je pris possession de sa bouche. Doucement, mais fermement. Ma langue pénétra sa bouche, à la recherche de sa langue. Que je trouvai facilement ! Nos langues se mélangèrent. Nos lèvres se sucèrent. Les langues se promenaient d’une lèvre à l’autre. Volupté... Nous restâmes un moment à nous embrasser ainsi.
Elle chercha (mollement) à se défaire de mon emprise.
Ma main libre lâcha sa tête, et descendit le long de son cou. Ma bouche descendit elle aussi. Je gobai le lobe de son oreille et jouai avec. Ma main remonta le cou, le visage. Je redescendis la main, appuyai sur sa lèvre inférieure, et glissai un doigt dans sa bouche. Qu’elle ouvrit aussitôt. Elle lécha mon doigt, l’aspira. Referma ses dents dessus. Appuya légèrement, comme pour me dire : "Tu vois, c’est moi qui te contrôle !".
Ma bouche, toujours dans son cou, commença un baiser appuyé.
- Je vais te faire un suçon, lui dis-je !
- Non arrête !
Et hop, je récupérai mon doigt !
Ma main descendit sur son sein. Je le malaxai, puis le sortis son top. Ses seins étaient trop beaux. Je finis par détacher tout ton top pour les libérer. Ma bouche s’approcha pour sucer un téton.
Elle commença à souffler profondément. Je finis par lâcher ses mains, et je me dirigeai vers son entre-jambes. Pendant que mes mains s'occupaient de ses seins, ma langue se promena sur le tissu de son maillot. Elle ne tarda pas à me repousser, à enlever rapidement son maillot et me dis, d’un ton autoritaire : "Lèche-moi !"J'attrapai une de ses jambes, la plaçai sur mon épaule, et je commençai à sucer son clitoris. Elle m'attrapa la tête avec ses mains, et entama un va-et-vient fougueux pour bien se frotter à moi. Son souffle en disait long sur son désir. Excité, je continuai de plus belle.
Ma langue lapait son sexe. J’appuyai sur son clitoris. En même temps, je glissai un doigt. Je la branlai. Elle accéléra son déhanché sur mon visage. Elle bougeait de plus en plus vite. Elle se retenait de gémir. J'appuyais de plus en plus sur son sexe. Je le léchais goulûment. Elle se déchaînait sur ma bouche. Je parvins à glisser un deuxième doigt. Elle poussa un petit cri. J'en glissai un troisième. Elle haletait. Puis un quatrième. J’accélérai mon mouvement. Elle et moi étions en osmose. Déchaînés : elle pour prendre du plaisir, moi pour lui en donner.
Et soudain. Elle se crispa. Ses jambes tremblèrent. Elle serra ma tête fort contre elle. Son souffle était court. Elle haletait. Elle jouit en silence. Seul son souffle trahissait ce qu’elle venait de vivre.
Doucement, je me retirai. J'embrassai son sexe. Elle remonta ma tête, et ma langue lécha tout ce corps encore tremblant. Puis nous nous embrassâmes tendrement.
- À mon tour, maintenant, me dit-elle...
Xavier. 1m85. Mon corps d’athlète de 20 ans est loin, mais il paraît que j’ai plutôt de beaux restes. 40 ans c’est pas la fin non plus !!
Il m’arrive de passer du temps sur des sites de rencontres coquines. Ce n’est pas facile, on trouve de tout, je reviens souvent bredouille, mais ça me paraît plus honnête que de feindre un cœur libre, alors que ce n’est pas le cœur qui m’intéresse !
Bref, un jour...
J’avais rencontré Sofia sur un site de rencontres. Après quelques échanges, nous avions décidé de nous retrouver. Pas dans un bar. Pas dans un parc. Non. Un lieu où nous pourrions nous mater et nous toucher à l’envie : une piscine.
J’étais arrivé en avance. J'avais profité de cette fin d’après-midi pour faire quelques longueurs. Il y avait peu de monde ce jour-là. À chaque bout de ligne, je regardais vers l'entrée du bassin. Elle m'avait dit qu’elle porterait un bikini léger. Pour m'exciter, avait-elle cru utile de préciser ! Comme si j’avais besoin de ça… Je soupçonne qu’elle voulait attirer tous les regards, sur ses courbes parfaites (en tout cas, d’après la description!).
Après plusieurs longueurs, je fis une pause. En me tournant vers l'entrée… wouah ! Elle était splendide ! Nous ne nous étions jamais vus, mais les photos échangées ne laissaient aucun doute : c’était bien Sofia. Et puis, dans cette petite piscine où l’on vient principalement pour nager, les bikinis sont rares !
Elle était encore plus belle que sur les photos. 35 ans. 1m76. 60kg. Des cheveux blonds qui descendaient presque jusqu’au bas du dos. Elle m’avait dit être sportive. On sentait une posture ferme, et on devinait ses muscles.
Je lui fis un léger signe de la main, et elle me rejoignit. Elle savait l'effet qu’elle produisait dans cette tenue. Elle entra tout doucement dans l'eau, comme si elle savourait la caresse de l'eau sur sa peau.
D'une brasse légère, elle était là, face à moi. On se regarda.
Que devait-on faire ?
Se serrer la main ? Vu la teneur de nos échanges informatiques, on n'en était plus là !
Une bise ? Trop prude pour être honnête !
Un baiser ? Là, c'est moi qui ne voulais pas : la tentation et l'envie d'aller plus loin étaient trop fortes !
Alors on resta là, sans rien dire, bercés par les vaguelettes. Les yeux dans les yeux.
Quand soudain, je sentis sa main sur mon sexe. J’aurais pu dire "une" main, mais vu le contexte, il n’y avait pas de doute quant à la propriétaire de cette main !!
- Ah ? Tu es comme ça toi ?!
- J'en avais trop envie, me répondit-elle.
Elle me lança un regard de braise, plongea, ressortis et nagea à toute vitesse. Elle voulait que je la rattrape. Très bien. Je partis derrière elle. En nageant, je profitai de la vue sur sa croupe. J’allais devoir me calmer, sinon, j’allais bander (et dans une piscine, c'est pas génial !).
Je la rejoignis à l'autre bout du bassin. Elle se retourna, m'enlaça, et me donna un baiser sensuel. J’en profitai quelques instants, puis me retirai doucement.
- T'es timide ? me demanda-t-elle.
- Non, mais je veux profiter de ce moment, sans être viré du bassin pour atteinte aux bonnes mœurs !
- Avec ce que je vais te faire, tu vas l'avoir ton atteinte aux bonnes mœurs !
Et elle me susurra à l'oreille : "je vais te faire bander comme un âne, dans ton maillot de bain ! Et après je vais te...".
Elle me prit la main et m’entraîna vers l’espace détente à bulles du petit bassin.
Là, nous nous allongeâmes dans les bulles. Elle se blottit contre moi, et sa main commença à me caresser. Personne ne pouvait nous voir à travers les bulles. Et puis, c'était bientôt la fermeture ; les bassins se vidaient progressivement.
Mon sexe ne tarda pas à grossir. Faut dire que son regard traduisait maintenant une lubricité torride. Heureusement, même en bandant, mon sexe resta (je ne sais comment !) dans le maillot de bain. Ouf ! Mais Sofia faisait tout pour sortir le gland.
Son souffle était court. Elle se colla encore plus à moi. J'en profitai alors pour glisser ma main entre ses cuisses. Qu’elle resserra immédiatement.
- Non, je dois être la seule à m'amuser, me dit-elle.
Soit ! Dans ces conditions, j'avais bien l'intention d'en profiter un maximum ! Sa main me caressa tout doucement. Des va-et-vient lents. C'était… trop... bon !
Ma jambe vint se caler entre les siennes. Sofia en profita pour onduler dessus. Elle me donnait du plaisir et en prenait en même temps avec ma jambe !
Et d'une main experte, je ne sais comment, elle parvint à s'introduire dans mon maillot.
- Tu es à moi maintenant, dit-elle en m’empoignant sans ménagement !
À pleine main, elle se mit à m'astiquer vigoureusement.
- Je vais te faire jouir !
- Ah non, pas ici, t'as pas intérêt !
- Ô que si !
- Si tu fais ça, dès qu'on sort, je t'encule !
- Non non non. Interdit. Je ne veux pas.
Et là, elle me serra le sexe tout en agitant sa main et en me regardant droit dans les yeux.
- Merde, dis-je, y'a une vieille qui nous mâte !
Surprise et par réflexe, elle se retourna, et j'en profitai pour retirer sa main et m'enfuir !
Elle tenta vainement de me rattraper. Trop tard, je nageai vers un coin. Avant qu’elle ne parvienne à me rejoindre, je déguerpis dans une autre direction. Cette petite traque dura quelques instants, le temps pour moi de débander ! Quand ce petit jeu cessa, je lui dis :- J'ai débandé, et je vais sortir !
Elle tenta de m'embrasser langoureusement, mais ne parvint pas à me retenir. Je sortis et me dirigeai vers les douches. Je la sentais marcher derrière moi.
Dans cette piscine, les douches sont mixtes, et il y a, dans un coin, des cabines assez spacieuses. Je m'engouffrai dans la plus éloignée, et elle me suivit. Je passai derrière elle et fermai le loquet. Avec une main, j'attrapai ses bras, les bloquai au-dessus de sa tête. Avec l'autre, je pris son menton et le tournai vers moi.
- Tu m'as suffisamment excité. Maintenant, tu vas être à moi.
Sans attendre sa réponse, je l'embrassai fougueusement. Je pris possession de sa bouche. Doucement, mais fermement. Ma langue pénétra sa bouche, à la recherche de sa langue. Que je trouvai facilement ! Nos langues se mélangèrent. Nos lèvres se sucèrent. Les langues se promenaient d’une lèvre à l’autre. Volupté... Nous restâmes un moment à nous embrasser ainsi.
Elle chercha (mollement) à se défaire de mon emprise.
Ma main libre lâcha sa tête, et descendit le long de son cou. Ma bouche descendit elle aussi. Je gobai le lobe de son oreille et jouai avec. Ma main remonta le cou, le visage. Je redescendis la main, appuyai sur sa lèvre inférieure, et glissai un doigt dans sa bouche. Qu’elle ouvrit aussitôt. Elle lécha mon doigt, l’aspira. Referma ses dents dessus. Appuya légèrement, comme pour me dire : "Tu vois, c’est moi qui te contrôle !".
Ma bouche, toujours dans son cou, commença un baiser appuyé.
- Je vais te faire un suçon, lui dis-je !
- Non arrête !
Et hop, je récupérai mon doigt !
Ma main descendit sur son sein. Je le malaxai, puis le sortis son top. Ses seins étaient trop beaux. Je finis par détacher tout ton top pour les libérer. Ma bouche s’approcha pour sucer un téton.
Elle commença à souffler profondément. Je finis par lâcher ses mains, et je me dirigeai vers son entre-jambes. Pendant que mes mains s'occupaient de ses seins, ma langue se promena sur le tissu de son maillot. Elle ne tarda pas à me repousser, à enlever rapidement son maillot et me dis, d’un ton autoritaire : "Lèche-moi !"J'attrapai une de ses jambes, la plaçai sur mon épaule, et je commençai à sucer son clitoris. Elle m'attrapa la tête avec ses mains, et entama un va-et-vient fougueux pour bien se frotter à moi. Son souffle en disait long sur son désir. Excité, je continuai de plus belle.
Ma langue lapait son sexe. J’appuyai sur son clitoris. En même temps, je glissai un doigt. Je la branlai. Elle accéléra son déhanché sur mon visage. Elle bougeait de plus en plus vite. Elle se retenait de gémir. J'appuyais de plus en plus sur son sexe. Je le léchais goulûment. Elle se déchaînait sur ma bouche. Je parvins à glisser un deuxième doigt. Elle poussa un petit cri. J'en glissai un troisième. Elle haletait. Puis un quatrième. J’accélérai mon mouvement. Elle et moi étions en osmose. Déchaînés : elle pour prendre du plaisir, moi pour lui en donner.
Et soudain. Elle se crispa. Ses jambes tremblèrent. Elle serra ma tête fort contre elle. Son souffle était court. Elle haletait. Elle jouit en silence. Seul son souffle trahissait ce qu’elle venait de vivre.
Doucement, je me retirai. J'embrassai son sexe. Elle remonta ma tête, et ma langue lécha tout ce corps encore tremblant. Puis nous nous embrassâmes tendrement.
- À mon tour, maintenant, me dit-elle...
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