Rencontre avec mon maitre - histoire érotique

Aprés avoir raconté à quelques amies mes petits secrets je me suis rendu compte que
c'était trés excitant de dévoiler ses choses là et encore plus à des inconnus. Alors
je me lance pour mon premier récit.

Je me prénomme Amandine, petite blondinette de 1,52 mètre toute fine (je ne suis pas
maigre j'ai juste ce qu'on appelle un petit gabarit), des yeux bleus, des seins petits
(90B) mais bien fait, et un air innocent qui va bien avec mes 18 ans. Peu de temps après mon anniversaire je fus dépucelée par un garçon de ma classe pour qui je
craquais mais qui au final fut trés décevant au lit pour ma première, je ne
m'étalerais pas plus là dessus...

Me voila donc sur ma faim et déçue des mecs, avec comme seule amie fidèle ma main et
mon ordi pour trouver un peu de plaisir (d'ailleurs j'aime lire les confessions de ce
site pour alimenter mes fantasmes). Un soir tard, vers minuit, en pleine séance
intime, seulement éclairée par une lumière tamisée de bougies parfumées, une ombre
bouge dans mon jardin. Je sursaute, arrête immédiatement et me rapproche de la fenêtre discrètement, et c'est avec une surprise mêlée d'effroi que je reconnais mon voisin,
avec un grand sourire et la main dans le pantalon. Certaine de le faire fuir, j'ouvre
la porte fenêtre et lui demande ce qu'il fait là! Sans se dégonfler dans son culot il
s'avance et me dit:
- "Ben je profite du spéctacle que tu m'offres, et c'est pas la première fois!
- QUOI! Mais comment ça?
- ça fait un peu plus d'une semaine que j'ai remarqué ton petit jeu et comment ne pas
rester indifférent quand on voit ça..."
Il se met alors à regarder plus bas, et je réalise alors que je suis en petite
culotte-soutif. Je recule d'un pas et lui avance venant sur le palier de ma fenêtre,
je le vois mieux alors: Gérard, la cinquantaine grisonnante, pas loin du mètre 90,
musclé et quand même un peu bedonnant, un visage autoritaire et des yeux noirs
pénétrants. Je bredouille:
- "Que.. vous, vous... je...
- Tu m'offres de belles vues et tu fais moins la fière quand je suis là. Je crois que
tu as besoin d'un peu plus de fermeté!
- Je ne faisais pas ça pour vous..."
Il pose sa grande main chaude ma fluette épaule, ça m'électrise sans savoir pourquoi,
son regard dur et perçant me vide de toute volonté ou paroles, je me sens minuscule et
impuissante, une petite pression et je descends sur mes genoux sans résistance.
Sentant ma faiblesse il m'assène LE coup, celui qui va bouleverser ma vie de toute
jeune femme, en me disant:
- "Tu vois! Ton corps ne demande qu'un peu de fermeté, ne demande qu'un guide, qu'un Maître!"
Ces mots on déclenché un orage en moi, une petite larme m'a coulé du coin de l'oeil,
et je reconnue au fond de moi ce désir mis en évidence par cet homme que je ne connais
pas vraiment. J'avais peur de la suite mais tellement envie de me laisser faire dans
ces mains. Devant moi il ouvre son pantalon et sort son sexe d'une belle taille et
surtout ce qui m'a frappé c'est sa largeur! Il bandait pas encore au maximum. Sa
parole tomba comme un ordre:
- "Suce!
- Je, ... Je n'ai jamais fait ça.
- *soupir* Vas y avoir du boulot! Premièrement, ne discute pas!"
J'ouvre alors la bouche et attrape entre mes lèvres son dard. La texture satiné, douce
et fine de cette peau intime, l'odeur de mâle en puissance et les recoins d'un organe
des plus inconnu pour moi me donne rapidement l'envie d'exploration telle une
aventurière en terre exotique. Alors que ma langue fait connaissance avec son frein et
que mes jeunes lèvres roses encerclent l'important périmètre, lui, laisse ses doigts
se perdre dans ma chevelure au dessus de ma nuque. Son érection atteint son apogée
rapidement, je m’aperçois alors qu'il n'a pas à être complexé de ce coté là, ces doux
mouvements de hanches qui prennent possession de ma bouche, glissant sur ma langue,
m'obligent à ouvrir encore plus grand, ce n'est pas qu'il a un sexe démesuré mais pour
ma petite mâchoire cela devient un exercice un peu douloureux. Je découvre à ce moment
que, oui, un homme peut tenir plus de 3 minutes, mais j'ai dit que je ne parlerais pas
de ma première fois... Sortie de mes pensées par sa poigne qui me tient le bras, il me
retourne, toujours sur les genoux, me plaque la poitrine sur mon lit, comme une
levrette avec ma tête et mes seins écrasés sur ma couette bleu "Cendrillon". Ce
contraste me rappelle que je rentre dans la cour des grands maintenant! Il retire ma
culotte en coton blanc (pfff nan mais le cliché de petite fille j'vous jure!) et
frotte sa bite sur toute ma fente, des allés retours avec son gland humide de ma
salive, de mon clitoris à mon coccis. Il demande:
- "T'es vierge? Avec combien t'as couché?
- Seulement une fois.
- Puceau lui aussi?
- Oui.
- Alors t’inquiète pas je suis clean!"
Il me pénètre en une fois, avec force mais pas trop rapidement et sans marquer de
pause. Malgré l'excitation et mon minou baveux, l'intrusion ne fut pas sans mal puis
vite remplacé par du plaisir sous le rythme agréable, doux mais puissant de cet homme
plus vieux que mon père. Il me tient fermement les hanches, me retenant, me dominant,
j'aime cette sensation de perdre le contrôle et de voir mon corps devenir le jouet
d'un inconnu, chose nouvelle pour moi à cette instant. Mes cris s'étouffés dans ma
couette que je serrais de mes petits poings, pendant que mon ventre se remplit de
bonheur, contractant mes muscles me faisant me tortiller dans tous les sens. Les coups
accélérés au point qu'il me défonçait littéralement, son bassin frappait mes fesses si voilement que je ressentais le choc dans ma colonne vertébrale et vibrais dans mon
squelette. Mon corps fragile soumis à un tel traitement explosa, me délivrant d'un
orgasme si longtemps souhaité. Mon ventre pris de rapides spasmes nerveux et ma
chattoune comprimant le membre de mon désormais Maître, car il me possède bel et bien,
il me suivit, se dégageant de moi pour venir me couvrir le dos de longs jets de
semence. Essoufflée, étourdie, je ne peux bouger, Gérard s'amuse à étaler son sperme
sur mon dos, il me relève, me dépose un baiser sur le front, enlève mon soutif et sans
un mot me met au lit. Il me glisse à l'oreille:
- "Demain tu viendras me voir chez moi pour discuter des règles que tu devras suivre,
je garde ta culotte et tu ne devras pas en mettre d'autre, car comme ce bout de tissu
trempé tu es à moi. Bonne nuit!"
Sur ce, il repart par la fenetre...

Voila le début de mes aventures, d'autres récits viendront, j'espère qu'il vous a plu
et désolé pour les fautes s'il y en a ;)