Rencontre d'une femme mariée... début
Récit érotique écrit par Boogaloo [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-07-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Rencontre d'une femme mariée... début
J’ai aperçu Julie pour la première fois dans le hall de l’hôtel. Elle est passée devant moi avec sa jupe bleu à fleur, son petit débardeur noir, ses lunettes de soleil sur la tête et ses magnifiques cheveux roux qui caressaient ses épaule. Elle se rendait à l’accueil de l’établissement pour demander des renseignements sur les promenades autour du lac d’à côté.
Je n’ai pas pu m’empêcher de poser les yeux sur ses belles jambes. Sa peau avait l’air d’une douceur exquise.
Elle n’était pas très grande, mais ses chaussures à talons compensaient sa petite taille.
Je me suis rapproché du comptoir de l’hôtel pour savoir de quoi il en était. Elle cherchait effectivement une promenade à faire en fin d’après-midi, après le rendez-vous qu’elle avait un peu plus tôt avec des clients.
Lorsque je l’ai entendu poser des questions sur la partie est du lac, je n’ai pas pu m’empêcher de donner mon avis d’habitué...
« - Cette partie-là est très jolie, il y a pas mal de végétation, des fleurs, mais par contre il y a pas mal de passage en fin de journée. Surtout qu’ils ont mis un bar d’où vous avez une vue imprenable sur le lac...
- Cela à l’air plutôt prometteur alors.
- Vous ne pourrez pas être déçu ! »
En quelques secondes j’étais sous le charme de son regard, et de son sourire...
La jeune femme de l’accueil ajouta :
- C’est un endroit romantique que prisent les jeunes couples.
- Ah, malheureusement mon mari n’est pas avec moi, c’est un déplacement professionnel.
- Après cela ne vous empêchera pas d’apprécier la vue.
Elle referma le plan du site qu’elle avait déballé pour questionner la réceptionniste et commença à se tourner pour partir. Elle fit une pause pour me souhaiter une très bonne journée. Je lui rendis son grand sourire et lui souhaita à mon tour de passer de bien profiter de son séjour dans la région.
Il va bientôt être 18h, et cela fait déjà 1h que je me promène de ce côté du lac en espérant recroiser Julie. Pas encore de signes de ses belles jambes et de son sourire envoutant, mais je ne perds pas espoir, elle avait l’air convaincu de l’intérêt de venir ici.
Effectivement, quelques minutes plus tard, la voilà qui apparaît sur le chemin un peu plus loin. J’ai attendu cet instant toute l’après-midi, mais maintenant qu’elle arrive j’ai le cœur qui bat fort.
Je ne veux pas paraître de l’attendre... Je me suis assis sur un banc avec un livre pour avoir l’air plus naturel. Je lève finalement les yeux lorsqu’elle arrive tout près, pour me rendre compte que c’est elle qui s’approche de moi avec un petit sourire, visiblement elle m’a bien reconnu de ce matin, c’est elle qui entame la conversation.
« - Bonsoir,
- Bonsoir, votre journée c’est bien passée ?
- Pas trop mal, je ne suis pas sure d’avoir convaincu mes clients mais j’aurais essayé.
- Ah pas toujours facile vos rendez-vous ?
- Non, surtout en ce moment, ils ont les moyens d’être de plus en plus exigeants. Bref, un peu de détente maintenant !
- Oui ! Vous avez finalement suivi mes conseils et vous êtes venue admirer la vue.
- Exactement.
- Je viens régulièrement pour prendre l’air également, j’aime beaucoup cet endroit.
Elle regarde autour d’elle, observe le lac quelques minutes...
- Je comprends, le lac est superbe.
Et, en pointant le bar près de l’eau :
- Vous m’accompagnez pour prendre un verre ?
- Avec plaisir !
Je n’aurais jamais cru que la demande viendrait d’elle, mais voilà une proposition que je ne peux pas refuser.
Après quelques minutes de conversation, nous avons commandé chacun une pression, et nous arrivons à parler de son mari, qui visiblement est à la maison et s’occupe des enfants.
Elle m’explique être heureuse avec lui, mais que cela ne l’empêche pas de boire un verre avec un homme qu’elle vient tout juste de rencontrer.
Le soleil commence à descendre sur le lac et les couleurs du ciel deviennent rouge et rose. Julie change de place pour avoir une meilleure vue et on se retrouve côte à côte, ses jambes à quelques centimètre des miennes.
Elle porte toujours sa jupe qui remonte à mi-cuisses de ses jambes croisées.
Conscient que je ne la reverrais certainement jamais, il me faut faire un pas de plus si je veux découvrir d’avantage de cette belle femme.
Du bout des doigts, je commence à effleurer la peau de sa cuisse, comme pour tester sa résistance. Sans réaction négative de sa part, je continue à apprécier la douceur de sa peau, avec un peu plus d’assurance ma main se pose entièrement sur sa jambe.
Sans rien dire, elle décroise les jambes, son regard toujours perdu vers l’horizon, et cette invitation à continuer provoque immédiatement chez moi une érection.
Au bout de quelques minutes, alors que je n’ai pas vraiment encore cherché à m’aventurer plus loin, plus haut, elle cherche dans son sac pour attraper son téléphone.
Vu ses mouvements, j’ai retiré ma main, le temps de comprendre ce qu’elle avait l’intention de faire.
« Allo mon chéri ? Oui tout va bien, la journée s’est bien passée... Je ne peux pas trop te parler je prends un verre avec quelqu’un... Tu sais ce dont on a parlé la dernière fois, que tu voudrais que je fasse lors d’un déplacement... Tu es bien sûr d’être partant ?... Oui avec la personne avec qui je suis en ce moment... Ok... Je lui demande... Gros bisous je t’aime... »
Elle remet son téléphone dans son sac et se tourne vers moi :
« Vous voulez bien prendre une photo de moi avec votre téléphone et la lui envoyer ?
- Si cela peut vous faire plaisir.
- Il m’a dit qu’il voulait savoir quand je me fais draguer.
- Ah, je dois m’inquiéter ?
- Pas du tout, au contraire, il veut juste une photo sinon il ne me croit pas.
- Très bien, faite lui un beau sourire...
- Envoyez là au 06... vous pouvez même ajouter un petit commentaire.
- Ok ça marche...
Quelques instants plus tard, le mari répondu « Merci pour cette belle photo, j’espère en avoir d’autres au cours de la soirée. »
Julie commanda une pression de plus, et regarda autour d’elle, comme si elle cherchait quelque chose.
« Cela vous embête si je fume ?
- Pas particulièrement.
- Mon mari me l’interdit en général, mais cette fois je veux profiter de ma soirée.
- Vous pouvez en acheter au bar si vous voulez.
- Parfait, vous m’êtes décidément très précieux. »
Elle revint avec un paquet et son demi. Et nous poursuivîmes notre conversation. J’apprenais qu’elle était mariée depuis plus de 15ans, qu’elle avait 3 enfants, et que son mari l’encourageait dernièrement à plaire aux autres hommes pour renforcer son estime de soi. Apparemment lui faisait partie de ces hommes qui aiment voir leur femme plaire et procurer du plaisir à quelqu’un d’autre. Je découvris par la suite que cette pratique portait un nom, le candaulisme.
Tout en observant le soleil se coucher et le ciel s’assombrir, je caressais doucement Julie pendant qu’elle fumée une nouvelle cigarette. Son mari me demandait régulièrement des nouvelles et je lui envoya une photo de la belle en train de fumer, avec ma main posée sur la cuisse, légèrement sous la jupe.
Visiblement marqué par cette dernière photo, il répondit du tac-au-tac : « ah ben voilà qu’elle fume ! Elle a vraiment décider de s’amuser ».
Julie me proposa enfin de regagner l’hôtel pour continuer la soirée, la fraicheur de la nuit commençait à tomber, et je sentais qu’elle voulait voir ma main caresser autre chose que ses cuisses.
On se mit en route côte à côte, et je ne savais pas trop comment entreprendre la suite des évènements.
Je bandais déjà dans mon boxer et j’avais terriblement envie de la serrer contre moi.
Après quelques pas, je me décida à l’arrêter. J’attrapa son bras et la bascula contre moi. Elle se laissa faire, les yeux pétillants et me laissa l’embrasser.
Rapidement, comme instinctivement, mes mains se retrouvèrent sur ses fesses. Comme nous étions sur un chemin public, je retenais mes gestes, mais le contact de ses lèvres contre les miennes me donnait envie de la posséder encore d’avantage.
Elle posa ses mains dans mon cou et ma nuque, et m’embrassait comme s’embrassent les ados... nos langues de caressaient, nos souffles s’emmêlaient, et nos sexes semblaient hurlaient de désir.
Après quelques longues secondes, elle décida de nous hâter jusqu’à l’hôtel pour finir à l’abris des regards ce que nous avions commencé.
« Je passe dans ma chambre me rafraichir et je te rejoins dans la tienne d’ici 30min ? »
Cette proposition raisonnait dans ma poitrine durant les longues minutes pendant lesquelles j’attendais de l’entendre frapper à la porte de ma chambre.
J’avais rapidement débarrassé le lit de mes affaires, et j’avais même pris le peine de me rincer sous la douche, car j’espérais qu’elle viendrait gouter à mes charmes.
Pour patienter, je relisais les sms envoyés à son mari durant la soirée, et bandais à nouveau en regardant les photos de Julie.
J’étais prêt à le prendre à nouveau en photo dès son arrivée dans la chambre.
Voilà qu’elle frappe à la porte...
Je vais ouvrir. J’attrape la poignée et je tire la porte vers moi pour la découvrir petit à petit. Elle s’est changé. Elle porte maintenant une nuisette bleue foncée avec des fleurs blanches. Ses petits seins pointes difficilement sous la soie. Elle porte aussi des chaussures à talons un peu plus hautes que tout à l’heure. Elle me fait un grand sourire en prenant la pose sur le palier.
« Julie, vous êtes ravissante, et tellement sexy. »
Sans lui laisser le temps de répondre, je l’attrape par le bras et l’entraine à l’intérieur, referme la porte derrière elle et l’embrasse passionnément. Mes mains attrapent de suite ses fesses pour la serrer contre mon sexe déjà dur d’excitation.
La soie glisse délicatement sur la peau de son cul, et je devine rapidement qu’elle porte un string pour unique lingerie.
Ses mains descendent rapidement sur mon pantalon qu’elle essaie de déboutonner, avec un peu d’agacement. Je lâche finalement ses fesses pour l’aider dans sa tâche. Elle me déshabille rapidement, me fait reculer jusqu’au lit, et fait un pas de recul pour m’observer. Je bande terriblement, mon sexe long est dur – je me considère plutôt bien pourvu – couché sur mon bas-ventre, mes bourses rasées en dessous.
Je la sens gênée par un conflit intérieur. Finalement elle se lance : « ça vous embête si je vous prends en photo ? c’est pour mon mari ». Je secours la tête en signe de non. Vu la situation, comment pourrais-je lui refuser quoi que ce soit. C’est bien connu qu’un homme qui bande pour une femme acceptera tout ce qu’elle veut s’il a une chance de pouvoir la prendre...
Elle attrape son portable dans un petit sac qu’elle avait amené avec elle, et fait tombé à l’entrée lorsque je l’ai embrassé, et prend une photo de la scène.
Puis elle jette son téléphone sur le lit, pose ses mains sur mes cuisses, et me caresse doucement en remontant vers mon sexe. Je la laisse faire, en appréciant cette merveilleuse façon de s’occuper de moi.
Une de ses mains, si petite à coté de ma bite, l’attrape enfin et commence doucement à me branler.
Je gémis immédiatement de plaisir. Puis elle s’approche d’avantage, fait un bisous sur mes bourses, sort sa langue et remonte jusqu’à mon gland, pour le faire disparaître dans sa bouche.
Un plaisir divin me fait frissonner et ma bite se gonfle encore d’avantage.
Sans rien dire, j’attrape mon téléphone pour immortaliser la scène. Je l’envoie à son mari avec le commentaire « Elle suce bien ta salope... et toi tu es cocu ! ».
Je pose le téléphone, et fini par me redresser pour faire comprendre à Julie que je veux passer à autre chose.
Elle relève la tête. Elle est superbe. Ma bite dans une main, l’autre posée sur le lit, sa nuisette qui me laisse entrevoir ses petits seins... Je la relève et me met debout en l’embrassant, pour la déshabiller.
Elle sourit en levant les bras pour laisser passer la nuisette. Puis se laisse tomber dos sur le lit. « Lèche moi partout ! »
- Partout ?
- Partout.
J’attrape son pied, qui porte toujours son escarpin à talon, et je commence à lécher délicatement ses orteils. « Hmmm oui c’est parfait, tu as compris ! »
Je remonte doucement le mollet, le genou, la cuisse... « hmm tu te rapproches de la cible... mais vient d’abord me lécher dans le cou ».
En continuant ma course j’effleure son minou, et je poursuis sur son ventre, j’attrape un téton, et je fini sur sa bouche, puis son cou.
« Hmmm oui c’est trop bon ».
Ma bite est maintenant tout contre son sexe, et je sens déjà son bassin remuer, pour frotter son clito sur mon membre dur.
Elle gémie doucement, attrape mon sexe de la main pour le frotter contre le siens. Je lui propose une pause préservatif, que j’attrape et j’enfile sur mon membre, et je retourne prendre possession de son corps pendant qu’elle se masse le clito avec ses doigts et mon gland.
Je redescend tranquillement, teste la sensibilité de ses tétons, et je m’aventure enfin dans la chaleur de son intimité. Elle m’accueille en écartant bien ses cuisses, et en me lançant un « oh putain c’est bon » d’approbation.
Elle m’écarte ses lèvres pour mieux me guider jusqu’à son clitoris, puis d’un mouvement de bassin elle me propose sa chatte coulante de désir. Je déguste son jus avec passion, rattrape ce qui coule plus bas, et lorsque je me rapproche de son petit trou elle lève encore le bassin pour m’y accueillir. « Hmmm que tu me fais du bien ».
Je relève rapidement la tête et je constate que son téléphone est pointé vers moi. « Tu prends des photos pour ton homme ? »
- Oui !
- C’est un cocu maintenant.
- Et oui !
- Je lui dirai comme tu es bonne.
- Oui très bonne idée. »
Je continue à la lécher, de plus en plus passionnément, je glisse mes doigts en elle. Elle m’attrape la main et la guide vers son cul, et je comprends qu’elle veut que je glisse un doigt dedans.
A peine rentré elle se contracte, je sens que son plaisir arrive.
« Oh oui c’est trop bon ! Je vais jouir ! »
Ses cuisses se resserrent contre ma tête, elle me presse fort pour me maintenir contre son sexe coulant de bonheur.
Elle continue à me dire son plaisir bien que je n’arrive plus à distinguer ses mots, mes oreilles compressées par ses cuisses.
Finalement elle se relâche, comblée.
Je me redresse pour l’observer. Je regarde son visage serein, son sourire magnifique, ses seins, ses jambes... Elle est belle.
J’attrape mon téléphone pour la prendre en photo temps qu’elle a les yeux fermés. Je l’envoie à son mari « ta femme après l’orgasme ».
Elle reprend ses esprits et regarde mon sexe, toujours tendu au-dessus d’elle.
« Attends »
Elle se retourne, à quatre pattes, « vas-y, prends moi fort ! »
Je présente mon sexe devant son sexe, et lorsque je sens la chaleur humide entre ses lèvres, je m’enfonce d’un coup au plus profond d’elle.
Elle crie de plaisir, je donne un coup de rien, elle crie de nouveau. Cela dure plusieurs secondes mais le plaisir est intenable.
Je sens mon plaisir monter à chaque coup de reins.
« Je vais bientôt gicler ma belle ».
- Fais-toi plaisir !
- J’aimerais jouir sur toi, pas dans la capote.
Elle se retourne, attrape mon sexe, retire la capote et commence à le sucer.
- Dans ma bouche, ça ira ?
- Hmmm oui !!
Elle me suce doucement et me tend son téléphone d’une main, je comprends qu’elle veut que j’immortalise la scène pour son mari cocu.
Sa langue joue avec mon gland, lèche ma tige d’un bout à l’autre tandis que sa main me branle doucement.
« oh oui ça vient ! suce moi bien salope ! »
Je vois ses yeux qui s’ouvrent en grand à ces mots.
« Je vais jouir dans ta bouche de salope. »
Elle continue à bien me sucer, prenant garde de bien garder mon gland dans sa bouche en attendant que mon jus s’y déverse.
Mes mains se resserrent sur ses bras.
« Hmmm oui ça vient ! C’est trop bon, tu es trop bonne ! »
Ma bite se gonfle une dernière fois, et je lâche mon sperme dans sa bouche. Elle me branle encore un peu, puis me libère.
Une dernière photo... j’attrape mon téléphone... « Vas-y tu peux ouvrir la bouche ? »
Elle me regarde en souriant, comme pour m’indiquer que ce n’est pas gagné. Puis elle ouvre doucement. Je vois mon sperme mélangé à sa salive, elle a la bouche pleine... Elle bouge un peu la langue et mon jus s’écoule doucement du coin de ses lèvres. Je capture cet instant. Elle est assise la, sur mon lit, nue hormis ses talons hauts, la bouche pleine de mon sperme... J’envoie la photo au cocu, avec en commentaire : la salope est satisfaite. Je te la rends.
Julie rassemble ses affaires et quitte la chambre. Ce n’est que quelques minutes plus tard que je me pose la question, finalement, est-ce qu’elle aura avalé le sperme de son amant d’un soir ?
Je n’ai pas pu m’empêcher de poser les yeux sur ses belles jambes. Sa peau avait l’air d’une douceur exquise.
Elle n’était pas très grande, mais ses chaussures à talons compensaient sa petite taille.
Je me suis rapproché du comptoir de l’hôtel pour savoir de quoi il en était. Elle cherchait effectivement une promenade à faire en fin d’après-midi, après le rendez-vous qu’elle avait un peu plus tôt avec des clients.
Lorsque je l’ai entendu poser des questions sur la partie est du lac, je n’ai pas pu m’empêcher de donner mon avis d’habitué...
« - Cette partie-là est très jolie, il y a pas mal de végétation, des fleurs, mais par contre il y a pas mal de passage en fin de journée. Surtout qu’ils ont mis un bar d’où vous avez une vue imprenable sur le lac...
- Cela à l’air plutôt prometteur alors.
- Vous ne pourrez pas être déçu ! »
En quelques secondes j’étais sous le charme de son regard, et de son sourire...
La jeune femme de l’accueil ajouta :
- C’est un endroit romantique que prisent les jeunes couples.
- Ah, malheureusement mon mari n’est pas avec moi, c’est un déplacement professionnel.
- Après cela ne vous empêchera pas d’apprécier la vue.
Elle referma le plan du site qu’elle avait déballé pour questionner la réceptionniste et commença à se tourner pour partir. Elle fit une pause pour me souhaiter une très bonne journée. Je lui rendis son grand sourire et lui souhaita à mon tour de passer de bien profiter de son séjour dans la région.
Il va bientôt être 18h, et cela fait déjà 1h que je me promène de ce côté du lac en espérant recroiser Julie. Pas encore de signes de ses belles jambes et de son sourire envoutant, mais je ne perds pas espoir, elle avait l’air convaincu de l’intérêt de venir ici.
Effectivement, quelques minutes plus tard, la voilà qui apparaît sur le chemin un peu plus loin. J’ai attendu cet instant toute l’après-midi, mais maintenant qu’elle arrive j’ai le cœur qui bat fort.
Je ne veux pas paraître de l’attendre... Je me suis assis sur un banc avec un livre pour avoir l’air plus naturel. Je lève finalement les yeux lorsqu’elle arrive tout près, pour me rendre compte que c’est elle qui s’approche de moi avec un petit sourire, visiblement elle m’a bien reconnu de ce matin, c’est elle qui entame la conversation.
« - Bonsoir,
- Bonsoir, votre journée c’est bien passée ?
- Pas trop mal, je ne suis pas sure d’avoir convaincu mes clients mais j’aurais essayé.
- Ah pas toujours facile vos rendez-vous ?
- Non, surtout en ce moment, ils ont les moyens d’être de plus en plus exigeants. Bref, un peu de détente maintenant !
- Oui ! Vous avez finalement suivi mes conseils et vous êtes venue admirer la vue.
- Exactement.
- Je viens régulièrement pour prendre l’air également, j’aime beaucoup cet endroit.
Elle regarde autour d’elle, observe le lac quelques minutes...
- Je comprends, le lac est superbe.
Et, en pointant le bar près de l’eau :
- Vous m’accompagnez pour prendre un verre ?
- Avec plaisir !
Je n’aurais jamais cru que la demande viendrait d’elle, mais voilà une proposition que je ne peux pas refuser.
Après quelques minutes de conversation, nous avons commandé chacun une pression, et nous arrivons à parler de son mari, qui visiblement est à la maison et s’occupe des enfants.
Elle m’explique être heureuse avec lui, mais que cela ne l’empêche pas de boire un verre avec un homme qu’elle vient tout juste de rencontrer.
Le soleil commence à descendre sur le lac et les couleurs du ciel deviennent rouge et rose. Julie change de place pour avoir une meilleure vue et on se retrouve côte à côte, ses jambes à quelques centimètre des miennes.
Elle porte toujours sa jupe qui remonte à mi-cuisses de ses jambes croisées.
Conscient que je ne la reverrais certainement jamais, il me faut faire un pas de plus si je veux découvrir d’avantage de cette belle femme.
Du bout des doigts, je commence à effleurer la peau de sa cuisse, comme pour tester sa résistance. Sans réaction négative de sa part, je continue à apprécier la douceur de sa peau, avec un peu plus d’assurance ma main se pose entièrement sur sa jambe.
Sans rien dire, elle décroise les jambes, son regard toujours perdu vers l’horizon, et cette invitation à continuer provoque immédiatement chez moi une érection.
Au bout de quelques minutes, alors que je n’ai pas vraiment encore cherché à m’aventurer plus loin, plus haut, elle cherche dans son sac pour attraper son téléphone.
Vu ses mouvements, j’ai retiré ma main, le temps de comprendre ce qu’elle avait l’intention de faire.
« Allo mon chéri ? Oui tout va bien, la journée s’est bien passée... Je ne peux pas trop te parler je prends un verre avec quelqu’un... Tu sais ce dont on a parlé la dernière fois, que tu voudrais que je fasse lors d’un déplacement... Tu es bien sûr d’être partant ?... Oui avec la personne avec qui je suis en ce moment... Ok... Je lui demande... Gros bisous je t’aime... »
Elle remet son téléphone dans son sac et se tourne vers moi :
« Vous voulez bien prendre une photo de moi avec votre téléphone et la lui envoyer ?
- Si cela peut vous faire plaisir.
- Il m’a dit qu’il voulait savoir quand je me fais draguer.
- Ah, je dois m’inquiéter ?
- Pas du tout, au contraire, il veut juste une photo sinon il ne me croit pas.
- Très bien, faite lui un beau sourire...
- Envoyez là au 06... vous pouvez même ajouter un petit commentaire.
- Ok ça marche...
Quelques instants plus tard, le mari répondu « Merci pour cette belle photo, j’espère en avoir d’autres au cours de la soirée. »
Julie commanda une pression de plus, et regarda autour d’elle, comme si elle cherchait quelque chose.
« Cela vous embête si je fume ?
- Pas particulièrement.
- Mon mari me l’interdit en général, mais cette fois je veux profiter de ma soirée.
- Vous pouvez en acheter au bar si vous voulez.
- Parfait, vous m’êtes décidément très précieux. »
Elle revint avec un paquet et son demi. Et nous poursuivîmes notre conversation. J’apprenais qu’elle était mariée depuis plus de 15ans, qu’elle avait 3 enfants, et que son mari l’encourageait dernièrement à plaire aux autres hommes pour renforcer son estime de soi. Apparemment lui faisait partie de ces hommes qui aiment voir leur femme plaire et procurer du plaisir à quelqu’un d’autre. Je découvris par la suite que cette pratique portait un nom, le candaulisme.
Tout en observant le soleil se coucher et le ciel s’assombrir, je caressais doucement Julie pendant qu’elle fumée une nouvelle cigarette. Son mari me demandait régulièrement des nouvelles et je lui envoya une photo de la belle en train de fumer, avec ma main posée sur la cuisse, légèrement sous la jupe.
Visiblement marqué par cette dernière photo, il répondit du tac-au-tac : « ah ben voilà qu’elle fume ! Elle a vraiment décider de s’amuser ».
Julie me proposa enfin de regagner l’hôtel pour continuer la soirée, la fraicheur de la nuit commençait à tomber, et je sentais qu’elle voulait voir ma main caresser autre chose que ses cuisses.
On se mit en route côte à côte, et je ne savais pas trop comment entreprendre la suite des évènements.
Je bandais déjà dans mon boxer et j’avais terriblement envie de la serrer contre moi.
Après quelques pas, je me décida à l’arrêter. J’attrapa son bras et la bascula contre moi. Elle se laissa faire, les yeux pétillants et me laissa l’embrasser.
Rapidement, comme instinctivement, mes mains se retrouvèrent sur ses fesses. Comme nous étions sur un chemin public, je retenais mes gestes, mais le contact de ses lèvres contre les miennes me donnait envie de la posséder encore d’avantage.
Elle posa ses mains dans mon cou et ma nuque, et m’embrassait comme s’embrassent les ados... nos langues de caressaient, nos souffles s’emmêlaient, et nos sexes semblaient hurlaient de désir.
Après quelques longues secondes, elle décida de nous hâter jusqu’à l’hôtel pour finir à l’abris des regards ce que nous avions commencé.
« Je passe dans ma chambre me rafraichir et je te rejoins dans la tienne d’ici 30min ? »
Cette proposition raisonnait dans ma poitrine durant les longues minutes pendant lesquelles j’attendais de l’entendre frapper à la porte de ma chambre.
J’avais rapidement débarrassé le lit de mes affaires, et j’avais même pris le peine de me rincer sous la douche, car j’espérais qu’elle viendrait gouter à mes charmes.
Pour patienter, je relisais les sms envoyés à son mari durant la soirée, et bandais à nouveau en regardant les photos de Julie.
J’étais prêt à le prendre à nouveau en photo dès son arrivée dans la chambre.
Voilà qu’elle frappe à la porte...
Je vais ouvrir. J’attrape la poignée et je tire la porte vers moi pour la découvrir petit à petit. Elle s’est changé. Elle porte maintenant une nuisette bleue foncée avec des fleurs blanches. Ses petits seins pointes difficilement sous la soie. Elle porte aussi des chaussures à talons un peu plus hautes que tout à l’heure. Elle me fait un grand sourire en prenant la pose sur le palier.
« Julie, vous êtes ravissante, et tellement sexy. »
Sans lui laisser le temps de répondre, je l’attrape par le bras et l’entraine à l’intérieur, referme la porte derrière elle et l’embrasse passionnément. Mes mains attrapent de suite ses fesses pour la serrer contre mon sexe déjà dur d’excitation.
La soie glisse délicatement sur la peau de son cul, et je devine rapidement qu’elle porte un string pour unique lingerie.
Ses mains descendent rapidement sur mon pantalon qu’elle essaie de déboutonner, avec un peu d’agacement. Je lâche finalement ses fesses pour l’aider dans sa tâche. Elle me déshabille rapidement, me fait reculer jusqu’au lit, et fait un pas de recul pour m’observer. Je bande terriblement, mon sexe long est dur – je me considère plutôt bien pourvu – couché sur mon bas-ventre, mes bourses rasées en dessous.
Je la sens gênée par un conflit intérieur. Finalement elle se lance : « ça vous embête si je vous prends en photo ? c’est pour mon mari ». Je secours la tête en signe de non. Vu la situation, comment pourrais-je lui refuser quoi que ce soit. C’est bien connu qu’un homme qui bande pour une femme acceptera tout ce qu’elle veut s’il a une chance de pouvoir la prendre...
Elle attrape son portable dans un petit sac qu’elle avait amené avec elle, et fait tombé à l’entrée lorsque je l’ai embrassé, et prend une photo de la scène.
Puis elle jette son téléphone sur le lit, pose ses mains sur mes cuisses, et me caresse doucement en remontant vers mon sexe. Je la laisse faire, en appréciant cette merveilleuse façon de s’occuper de moi.
Une de ses mains, si petite à coté de ma bite, l’attrape enfin et commence doucement à me branler.
Je gémis immédiatement de plaisir. Puis elle s’approche d’avantage, fait un bisous sur mes bourses, sort sa langue et remonte jusqu’à mon gland, pour le faire disparaître dans sa bouche.
Un plaisir divin me fait frissonner et ma bite se gonfle encore d’avantage.
Sans rien dire, j’attrape mon téléphone pour immortaliser la scène. Je l’envoie à son mari avec le commentaire « Elle suce bien ta salope... et toi tu es cocu ! ».
Je pose le téléphone, et fini par me redresser pour faire comprendre à Julie que je veux passer à autre chose.
Elle relève la tête. Elle est superbe. Ma bite dans une main, l’autre posée sur le lit, sa nuisette qui me laisse entrevoir ses petits seins... Je la relève et me met debout en l’embrassant, pour la déshabiller.
Elle sourit en levant les bras pour laisser passer la nuisette. Puis se laisse tomber dos sur le lit. « Lèche moi partout ! »
- Partout ?
- Partout.
J’attrape son pied, qui porte toujours son escarpin à talon, et je commence à lécher délicatement ses orteils. « Hmmm oui c’est parfait, tu as compris ! »
Je remonte doucement le mollet, le genou, la cuisse... « hmm tu te rapproches de la cible... mais vient d’abord me lécher dans le cou ».
En continuant ma course j’effleure son minou, et je poursuis sur son ventre, j’attrape un téton, et je fini sur sa bouche, puis son cou.
« Hmmm oui c’est trop bon ».
Ma bite est maintenant tout contre son sexe, et je sens déjà son bassin remuer, pour frotter son clito sur mon membre dur.
Elle gémie doucement, attrape mon sexe de la main pour le frotter contre le siens. Je lui propose une pause préservatif, que j’attrape et j’enfile sur mon membre, et je retourne prendre possession de son corps pendant qu’elle se masse le clito avec ses doigts et mon gland.
Je redescend tranquillement, teste la sensibilité de ses tétons, et je m’aventure enfin dans la chaleur de son intimité. Elle m’accueille en écartant bien ses cuisses, et en me lançant un « oh putain c’est bon » d’approbation.
Elle m’écarte ses lèvres pour mieux me guider jusqu’à son clitoris, puis d’un mouvement de bassin elle me propose sa chatte coulante de désir. Je déguste son jus avec passion, rattrape ce qui coule plus bas, et lorsque je me rapproche de son petit trou elle lève encore le bassin pour m’y accueillir. « Hmmm que tu me fais du bien ».
Je relève rapidement la tête et je constate que son téléphone est pointé vers moi. « Tu prends des photos pour ton homme ? »
- Oui !
- C’est un cocu maintenant.
- Et oui !
- Je lui dirai comme tu es bonne.
- Oui très bonne idée. »
Je continue à la lécher, de plus en plus passionnément, je glisse mes doigts en elle. Elle m’attrape la main et la guide vers son cul, et je comprends qu’elle veut que je glisse un doigt dedans.
A peine rentré elle se contracte, je sens que son plaisir arrive.
« Oh oui c’est trop bon ! Je vais jouir ! »
Ses cuisses se resserrent contre ma tête, elle me presse fort pour me maintenir contre son sexe coulant de bonheur.
Elle continue à me dire son plaisir bien que je n’arrive plus à distinguer ses mots, mes oreilles compressées par ses cuisses.
Finalement elle se relâche, comblée.
Je me redresse pour l’observer. Je regarde son visage serein, son sourire magnifique, ses seins, ses jambes... Elle est belle.
J’attrape mon téléphone pour la prendre en photo temps qu’elle a les yeux fermés. Je l’envoie à son mari « ta femme après l’orgasme ».
Elle reprend ses esprits et regarde mon sexe, toujours tendu au-dessus d’elle.
« Attends »
Elle se retourne, à quatre pattes, « vas-y, prends moi fort ! »
Je présente mon sexe devant son sexe, et lorsque je sens la chaleur humide entre ses lèvres, je m’enfonce d’un coup au plus profond d’elle.
Elle crie de plaisir, je donne un coup de rien, elle crie de nouveau. Cela dure plusieurs secondes mais le plaisir est intenable.
Je sens mon plaisir monter à chaque coup de reins.
« Je vais bientôt gicler ma belle ».
- Fais-toi plaisir !
- J’aimerais jouir sur toi, pas dans la capote.
Elle se retourne, attrape mon sexe, retire la capote et commence à le sucer.
- Dans ma bouche, ça ira ?
- Hmmm oui !!
Elle me suce doucement et me tend son téléphone d’une main, je comprends qu’elle veut que j’immortalise la scène pour son mari cocu.
Sa langue joue avec mon gland, lèche ma tige d’un bout à l’autre tandis que sa main me branle doucement.
« oh oui ça vient ! suce moi bien salope ! »
Je vois ses yeux qui s’ouvrent en grand à ces mots.
« Je vais jouir dans ta bouche de salope. »
Elle continue à bien me sucer, prenant garde de bien garder mon gland dans sa bouche en attendant que mon jus s’y déverse.
Mes mains se resserrent sur ses bras.
« Hmmm oui ça vient ! C’est trop bon, tu es trop bonne ! »
Ma bite se gonfle une dernière fois, et je lâche mon sperme dans sa bouche. Elle me branle encore un peu, puis me libère.
Une dernière photo... j’attrape mon téléphone... « Vas-y tu peux ouvrir la bouche ? »
Elle me regarde en souriant, comme pour m’indiquer que ce n’est pas gagné. Puis elle ouvre doucement. Je vois mon sperme mélangé à sa salive, elle a la bouche pleine... Elle bouge un peu la langue et mon jus s’écoule doucement du coin de ses lèvres. Je capture cet instant. Elle est assise la, sur mon lit, nue hormis ses talons hauts, la bouche pleine de mon sperme... J’envoie la photo au cocu, avec en commentaire : la salope est satisfaite. Je te la rends.
Julie rassemble ses affaires et quitte la chambre. Ce n’est que quelques minutes plus tard que je me pose la question, finalement, est-ce qu’elle aura avalé le sperme de son amant d’un soir ?
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Magnifique histoire
J'adore
J'aimerais bien là même histoire pour ma femme
J'adore
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