Rencontre dans un magasin

- Par l'auteur HDS Jean-Pierre -
Auteur homme.
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Récit libertin : Rencontre dans un magasin Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-03-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Rencontre dans un magasin
Rencontre dans un Magasin

Aujourd’hui j’ai décide de me balader en ville, flâner, bref passer une après-midi agréable. Je m’arrête devant une boutique de vêtements, et je décide d’y entrer. Une vendeuse s’approche de moi et me demande ce que je recherche.

- Rien de bien précis, je suis entré car vous venez d’ouvrir votre magasin et je suis un peu curieux.

- Regardez, bien faite le tour et si vous avez besoin de moi, appelez-moi.

Je la regarde regagner la caisse, elle est très mignonne, de jolies petites fesses. Je fouille les présentoirs pour voir si quelque chose pourrait m’intéresser, mais ne trouve rien.

- Mademoiselle s’il vous plaît, pourriez-vous me conseiller.

Elle arrive, de suite pour l’instant, il n’y que moi dans le magasin, je remarque seulement maintenant sa grosse poitrine. Elle feint de ne pas voir mes yeux posés sur ses seins.

- Que souhaitez-vous ?

- Quelque chose de classique, classe, tout en restant décontracté.

Elle passe en revue les différents pantalons et vestes pour finalement me proposer un ensemble qui me plaît beaucoup.

- Allez l’essayer, ce devrait être ce que vous cherchez.

Je me rends dans une cabine, ferme le rideau, me change et je ressors ! C’est vrai que ça me plaît bien. La vendeuse arrive pour voir si cela me va bien.

- Très joli, vous être très mignon et très classe, cela vous vas très bien, me complimente t-elle, un petit sourire au coin de ses lèvres.

- Bon, vu qu’on est d’accord tout les deux je le prends.

Je retourne me changer, je rentre dans la cabine mais je mets le rideau entrouvert, de façon à ce quelle puisse me voir me changer. Je quitte la veste et le pantalon, je suis en mini slip. Je remarque, par le reflet du miroir, son regard posé sur mes fesses. Je prends mon temps pour me rhabiller, ses yeux toujours sur moi. Je sors et je constate que ses joues sont devenues roses.

- Vous avez l’air émue, que vous arrive t-il lui dis-je innocemment.

- Heu rien, bafouille t-elle.

Elle rejoint sa caisse, les mains sur ses joues. Je la rejoins rapidement et constate qu’elles on virées au rouge.

- Qu’est ce qui vous met dans un état pareil ?

- Rien, rien, me répond t-elle sans grande conviction.

- A quelle heure vous finissez ?

- Dans 30 minutes, me dit-elle avec empressement.

- Très bien, je vous attendrais dans le petit café du coin en haut de votre rue, chez Marcel.

Elle ne dit rien, mais je constate à ses joues qu’elle est plutôt d’accord. Chez Marcel, c’est un petit bistrot sympa, il a une particularité, son arrière salle, est aménagées de petits box, intimes, fermés par des mini cloisons, sauf un, qui lui est occulté par des rideaux blancs. Je rentre chez moi et dépose ce nouvel ensemble. Je me reviens au café et la vois qui sort. J’ai failli la rater.

- Excusez-moi, mais je suis passé chez moi pour poser mon achat.

- Ne vous excusez pas c’est moi qui suis partie en avance.

En effet, elle a 5 minutes d’avance. Nous entrons dans le bistrot. Je la fais aller vers le fond, ce sera plus pratique pour s’éclipser, au cas où cela devienne trop chaud. Nous parlons de choses et d’autres, du magasin, de son travail, de fil en aiguille, la conversation prend une tournure plus personnelle. Je sais qu’elle vit seule dans un petit appartement, elle a 25 ans et n’a pas de petit copain pour l’instant. Je décide donc d’accentuer mes avances.

- C’est vraiment dommage qu’une si jolie femme comme vous soit seule.

- Oui, comme vous dites, mais je ne recherche pas le grand amour enfin pour l’instant, comme on dit, chat échaudé craint l’eau froide, alors même si je coiffe Sainte Catherine, je profite un peu de la vie.

- Ah oui ? Et comment profitez-vous de la vie ?

- En faisant des rencontres, et des sorties, le plus souvent d’un soir, ou juste un week-end, des fois c’est un peu plus long.

Je passe alors directement au tutoiement :

- Que dirais-tu de passer dans l’arrière salle ?

- La salle arrière ! Comment ça ?

- Dans l’arrière salle, il y a des box privatifs. On pourrait y aller et faire plus ample connaissance. Elle me regarde avec ses superbes yeux verts, interrogative.

- Je connais le patron, il ne verra pas d’inconvénient à ce qu’on y aille.

Elle passe sa main au niveau de mon entre-jambe, une bosse se dessine et elle m’adresse un sourire enjôleur.

- D’accord, me répond t-elle, allons-y.

Nous nous glissons dans l’arrière-salle, elle passe devant moi et choisis elle même un box, avec des rideaux en organeaux blancs. C’est le seul à être équipé de cette façon. Une table basse, une banquette. Nous prenons place sur la banquette, nous échangeons quelques baisers, nos mains cherchent nos corps.

Elle me défait la chemise avec dextérité, mon torse nu est à la merci de ses doigts. J’en frissonne de plaisir. Je lui enlève son haut et constate qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Ses gros seins sont encore plus beaux que ce que j’avais deviné. Ses tétons, dressés, surmontent des auréoles parfaites. Je passe une main sur ses pointes, elle se penche en arrière et se laisse faire. Je passe ma langue sur ses globes, ils sont fermes. Elle commence a gémir, doucement. Elle me repousse et se lève. Elle fait glisser son pantalon, laissant apparaître un triangle de dentelle noire. Elle se retourne et me présente ses fesses.

- Est-ce que tu sais te servir de ta langue ? J’aime qu’on me fasse jouir ainsi.

Sans répondre, je dégage de son entre-fesse la ficelle du string, je le fait glisser sur le côté. Je vois son puits d’amour, très joliment dessiné. Je prends mon temps pour l’admirer.

- Alors ! Qu’attends-tu pour me faire plaisir ? dit-elle en remuant son arrière train.

Je glisse ma langue sur cette cavité, passant de ses lèvres à son anus. Je constate qu’elle est lisse, elle ne possède aucun poil. Ses gémissements de font plus fort, mais ils restent discrets. Son nectar me coule délicatement sur la langue. Je savoure ce moment de pur plaisir. Elle se relève, gracieusement, se retourne et me fait face. Elle plaque sa bouche contre la mienne et goûte à sa mouille qui recouvre mes lèvres. Elle descend ses mains, elle défait la ceinture de mon pantalon, le fait tomber sur mes genoux.

Mon sexe est tout raide, elle passe une main par-dessus mon caleçon, m’excitant davantage. Elle le sort enfin, le libérant de son entrave. Elle se met à quatre pattes pour aller le chercher gonflé de désir. Le contact de ses lèvres sur mon gland, le fait grossir encore plus.

- Quelle belle bite que voila, j’espère que tu sais t’en servir.

- Ne t’inquiète pas pour cela, c’est toi qui jettera l’éponge avant moi, lui répondis-je avec malice.

- C’est ce qu’on verra.

Elle continue cette fellation avec une certaine expérience. Je me penche pour lui caresser ses fesses, je sens de l’humidité sur mes doigts, elle mouille, j’en suis ravi, sa bouche quitte mon sexe, elle ouvre son sac et prends un préservatif, ouvre l’emballage et le mets dans sa bouche. Elle redescend et le place sur ma verge toute durcie.

- Baise-moi sans retenue, me dit-elle en se retournant. Ses fesses sont à la bonne hauteur, je présente mon gland entre ses lèvres, elle donne un petit coup de rein pour me faire entrer sans attendre.

Ne me faisant pas prier, je fais des allées-venues rapides. Elle pousse des gémissements, ce qui a pour effet d’accélérer le mouvement. Elle se laisse glisser, se laissant tomber au fur et a mesure de mes coups de reins. La voila complètement couchée, elle a les yeux clos, la bouche légèrement entre-ouverte. Je lui relève le bassin et ralenti mes mouvements. Elle me regarde, les yeux trahissant sa jouissance. Je l’embrasse, ma langue fouillant sa bouche. Elle se dégage de mon sexe, le préservatif est recouvert de son jus. Elle le prend entre ses lèvres, et recommence une pipe.

- Allonge-toi, j’ai envie de te chevaucher.

Je m’exécute, quittant par la même occasion mes affaires. Elle se mets en place et se laisse tomber violemment sur mon pieu de chair. Je lui attrape ses gros seins et les malaxes, ses tétons sont dur que j’ai du mal à les faire rouler. Ses mouvements sont très rapides, elle reste un instant en bas et décrit des cercles avec son bassin. Sentant le désir monter en moi, je me crispe sur ses seins, les pressants, ce qui a pour effet de lui arracher un petit cri de douleur. Elle me regarde, recommence son manège. Plus lentement cette fois, prenant appui sur mon torse. Ses doigts jouant avec mes tétons, elle les pinces, les tords dans tous les sens. Je ne dis rien, continuant a presser les siens. Elle se couche sur moi, et me murmure :

- Que c’est bon, tu es le meilleur amant que je n’ai jamais eu.

- Merci du compliment, je fais de mon mieux pour que mes partenaires prennent du plaisir.

Elle se relève et dégage mon sexe de son puits d’amour. Elle le prend entre ses lèvres et me le lèche comme une glace. Ses coups de langue sont délicieusement lents et appuyés. Elle me regarde, je sens qu’elle a envie d’autre chose.

- Que désires-tu faire maintenant ?

- J’ai envie que l’on aille chez moi, poursuivre cet échange de plaisir.

- Soit, c’est toi qui décide.

On se relève et nous nous rhabillons. Je passe à la caisse pour payer nos consommations. Le patron me fait un clin d’œil discret. Nous nous dirigeons vers son appartement. Un fois arrivé je constate qu’il est situé dans le même immeuble que le mien.

- Comme c’est curieux, j’habite aussi ici, lui fis-je remarquer.

- Ah bon, pourtant, je ne t’ai jamais vu. Et à quel étage tu es ?

- Au dernier étage, mon appartement a un accès privatif à la terrasse.

- Intéressant ça, je sens que je viendrai te voir souvent.

- Mais ce sera avec plaisir.

Nous arrivons devant sa porte, je passe une main sur ses fesses, fait glisser mon majeur entre, en redescendant vers son sexe. Elle se cambre pour me faciliter la tâche. Mon geste est de plus en plus appuyé. Je m’arrête, me colle a elle et défait son pantalon. Elle s’occupe maintenant du mien, le laissant tomber sur mes chevilles. Elle ressort mon sexe et imprime une lente et douce masturbation. Le sien est lui aussi a terre a présent, elle place mon sexe entre ses cuisses, je m’applique a le faire glisser contre ses lèvres.

Elle plonge une main dans son sac et ressort un autre préservatif. Elle me le donne pour que je le mette en place. Une fois fait, en la prenant brutalement, ses fesses cognant contre mes cuisses bruyamment. Elle se penche en avant pour profiter pleinement de mon sexe qui la brutalise avec volupté. Mon index passe sur sa rosette, elle ne dis rien. Je continue le massage de son anus, délicatement je l’insère, sans forcer. A présent, j’en insère un autre, continuant mes coups de reins, elle s’accroche à sa poignée de porte.

- Met toi a quatre pattes, j’ai envie de changer de trou.

- Oui vas-y prend moi comme ça, j’ai envie de te sentir plus fort encore.

Elle se place de façon à ce que son petit trou me soit bien présenté. Je lui pose la question :

- C’est la première fois ?

- Oui, mais j’ai trop envie de la sentir. Même si je sais que ça me fera mal.

-Je te rassure, j’ai déjà pratiqué cela avant et je peux te dire qu’elles n’ont toutes, ressenties aucunes douleurs.

-Je te fais confiance.

Je lui passe ma langue, jouant avec son anus, je le sens suffisamment détendu maintenant. Je pose mon gland contre cet anus encore vierge, il glisse lentement en elle. Elle est très détendue, c’est même agréable. Je continue la progression, ma hampe entre à son tour, je la regarde et vois un sourire se dessiner sur son visage.

- Voila, je suis en toi maintenant, est-ce que tu as eu mal ?

- Non pas du tout, continue, prend moi de plus en plus fort.

Sachant ce que je sais, mes allées-venues lentes au début. Elle gémi, la bouche entre-ouverte. Tout a coup on entend la porte principale s’ouvrir, elle essaie de se dégager mais je l’en empêche.

- J’ai pas envie que l’on me voit comme ça, entrain de me faire sodomiser sur le palier.

En guise de réponse je donne un violent coup de rein, accélérant de plus en plus. Elle fouille son sac pour trouver ses clefs. Elle trouve difficilement le trou de la serrure. La porte est maintenant ouverte, les pas se rapprochent. Elle se glisse lentement dans son appartement, mes coups de reins imprimant la cadence de ses mouvements. Nous sommes a l’intérieur maintenant, je pousse la porte sans la refermer complètement. Je lui écarte les fesses, avec pour but d’aller un peu plus profond encore. Ses gémissements sont de plus en plus forts, sa respiration haletante. Je m’arrête brusquement, mon sexe planté en elle. Je lui murmure :

- Déshabillons nous complètement, et allons sur la terrasse.

- Tous les deux nus, comme Adam et Eve ?

Oui, il n’y a qu’un étage à grimper et nous serons chez moi.

- J’hésite, si on croisait quelqu’un dans l’escalier ?

- Ça ne risque pas, on pourrait continuer sur mon palier jusqu’à ce que la nuit tombe sans voir personne.

- Comment ça dit-elle intriguée.

- Tout simplement, je suis le seul à occuper le dernier étage.

Elle comprend alors qui je suis, le propriétaire de l’immeuble. Je vois à ses yeux son étonnement. Je sors de chez elle, mon sexe encore sous son charme, elle me suit avec réticences. Je lui attrape la main et la fait passer devant moi.

- Mets-toi comme tout a l’heure, que l’on puisse continuer. J’ai très envie de toi, de te faire l’amour le reste de la journée et toute la nuit. Elle esquisse un sourire, m’embrasse tendrement et me dit :

- Si tu tiens jusqu’à l’aube, tu pourras venir me posséder quand bon te semblera, ma porte te sera toujours ouverte. De jour comme de nuit, je serai à toi.

- Et si je ne tiens pas ? Simple supposition.

- Et bien, je n’y ai même pas songé à vrai dire. Mais j’y réfléchirai.

Au moment où elle reprend la position, je l’arrête.

- Non, reste debout, comme ça tu n’aura pas mal aux genoux.

Elle me tend sa croupe, je la pénètre sans ménagement. Un râle sort de sa gorge, long et sourd. Elle s’agrippe à la rampe de l’escalier, a chacun de mes coups de reins on monte d’une marche. Arrivé à mi-chemin, sa voisine de palier sort de chez elle. A ce moment là elle se met la main devant la bouche pour étouffer ses gémissements. Etant donné que l’escalier n’a pas besoin de lumière, elle peut nous voir sans problème. Je lui attrape ses poignets et les lui bloques dans le dos. J’entre en elle de façon plus brutale encore, jusqu’à entendre un autre râle.

A ce moment là, la voisine nous regarde stupéfaite. Ma partenaire plaquée conte la rambarde de l’escalier et moi qui la sodomise sans ménagement pour son petit cul. Elle grimpe quelques marches, nous regarde un petit moment, puis elle s’en va, un sourire envahissant son visage.

- Qu’as tu fais, elle va me poser des questions maintenant, on mange souvent ensemble. Tu m’as mise dans une position inconfortable.

- Que raconte tu là, elle avait même certainement très envie de nous rejoindre, crois-moi.

Nous continuons cette montée, sure a présent de ne plus être dérangés par personne. Arrivés a l’étage, je sors mon sexe, enlève le préservatif et lui demande de me sucer. Elle s’applique à sa tâche, me faisant monter en moi ce trop plein de jouissance, s’arrêtant à chaque fois au dernier moment. J’ai mis la main sur une femme qui sait faire plaisir à un mec. Je suis aux anges. Je la fait se relever, je la suis dans mon appartement. On arrive dans le salon, elle s’allonge dans le canapé, langoureusement. Elle me fait signe de la rejoindre et arrivé à sa hauteur elle me murmure :

- Je viens de trouver ton gage, au cas où tu échouerais.

- Dis-moi le, pour voir si il n’est pas trop difficile à relever et qu’il me plaît, je risque d’échouer.

- C’est très simple, si tu n’arrive pas à me faire l’amour jusqu’à l’aube, j’emménage chez toi.

- Définitivement ?

- Non, mais la durée sera a mon libre choix, une semaine, un mois ou même plus, nous serons exclusif l’un envers l’autre.

- Comment ça exclusif ? Je ne saisis pas.

- C’est pourtant clair, nous ne ferons l’amour que tous les deux et rien que tous les deux.

- Cela me convient, il ne me plaît pas trop pour l’instant que tu viennes ici t’installer, mais je l’accepte.

Sur ces mots, elle reprend mon sexe en bouche et continue cette pipe. Je sens sa langue jouer avec mon gland, lui passant dessus, dessous, ne m’épargnant rien. Une main me caresse les testicules, l’autre fait des vas et viens rapides.

- Si tu continue ainsi, je vais te jouir dans la bouche.

Sans un mot, elle me jette un regard des plus déroutants. Accélère le mouvement, elle garde juste le gland entre ses lèvres. Je ne peux tenir cette douce torture. Mon foutre arrive en jets dans sa bouche, tout ne reste pas et coule sur ses gros seins. Mes jambes flageolent, je crois défaillir tant le plaisir était intense. Je la regarde et lui dit :

- Je crois que tu as gagné ton pari, vas chercher tes affaires, tu aménage de suite.

Sans même prendre le temps d’essuyer ma semence, elle cour vers son appartement et reviens avec un seul sac. Mon foutre a glissé vers son ventre.

C’était il y a trois ans, elle ne m’a plus quitté, on s’est marié six mois plus tard et maintenant elle attend notre premier enfant.

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