Rencontre dipomatique.

- Par l'auteur HDS Sexgéraldine -
Auteur femme.
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Récit libertin : Rencontre dipomatique. Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-12-2007 dans la catégorie A dormir debout
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Rencontre dipomatique.
<p>Je descendais de l’avion précédée par mes gardes du corps et mon personnel diplomatique. Tous en descendant je repensais à Eléonore qui me suivait quelque mètres derrière moi. Nous avions dormis après avoir fait l’amour mais ça restait dans ma tête.

L’aéroport faisait partit intégrante du palais de la rencontre. Et notre délégation Européenne pris une navette privée pour se rendre au lieu d’accueil.

Notre navette s’arrête à l’entrée du palais, nous passons les grandes portes prestigieuses. Et en haut d’un grand escalier nous attend Salantas, le grand Tzar Russe. Celui dont le monde dépend. Celui dont le prédécesseur a fait de son pays le premier au monde… Et moi qui n’ai que 19 ans je me retrouve devant lui et je me sens assez démunie. A ce moment là j’aurai donné n’importe quoi pour ne pas devoir porter mon costume de sacre transparent dans la traditionnelle nudité impériale.

Je montais le grand escalier lentement comme l’exige le protocole. Tout le monde me regardait, profitait de mes vêtements et de mon corps. J’arrivai devant le Tzar et je m’agenouillai dans une révérence. A son tour celui-ci me fit un baise main.

« _Je suis honorée de vous rencontrer enfin. » Mon russe n’était vraiment expérimenté mais très correct.
« _Moi aussi, chère Anne-Sophie, j’espère avec vous, aussi bien m’entendre qu’avec votre père. »
Salantas s’adressa à moi avec un anglais parfait ! Ma langue naturelle. Après nous nous écartâmes dans ses appartements pour discuter. Il s’installa derrière son bureau.

« _Alors, Anne-Sophie qu’êtes vous venue faire ici exactement ?
_Je voulais faire votre connaissance. Pour avoir les meilleures relations possibles entre nos deux pays.
_Ha oui vraiment ? C’est encourageant. Et cela ne vous fait rien que mes troupes se balladent chez vous ? Je sais que vous avez eu rapport d’espionnage à ce sujet.
_... Je… Non cela ne me dérange, car j’ai confiance en vous et que je ne vois aucune raison pour vous de nous attaquer.
_En effet… Et imaginons que mes troupes deviennent agressives, tout à coup ?
_Pourquoi ? Nous n’avons rien fait nous ne demandons qu’à vivre en paix.
_C’est ce que vous voulez vous Européens mais ce n’est peut être pas ce que je veux moi… »

A ce moment un soldat gradé entra dans la pièce.
« _Lieutenant donnez l’ordre d’attaque au groupe B pour la cible 76.
_A vos ordres majesté ! »

Je restais sidérée par ce que je venais de voir…
« _Mais que vous prend-il ?
_Je viens de donner l’ordre de raser la petite ville de Brno. En Tchéquie… Comme ça vous pouvez voir que je ne rigole pas, désolé d’en passer par là mais j’avais l’impression que vous ne saviez pas très bien à qui vous avez à faire !
_Que voulez vous que je face ?…
_Bien vous semblez comprendre maintenant. Et je pense que vous avez aussi compris pourquoi votre père à démissionné. »

Salantas se leva et pris la direction d’une porte. Il l’ouvrit derrière il y avait une chambre. Ce n’était pas besoin qu’on me fasse un dessin, j’avais parfaitement compris ce que le Tzar voulais.
Après le Pape, lui maintenant ? Est-ce donc là le destin d’une reine d’Europe ? Je me levai dignement comme pour rejoindre un gibet.

Au milieu de la chambre je restai debout sans rien dire alors qu’il arriva derrière moi et commençât à remonter ma robe.
« Votre parfum est aussi doux que celui de votre mère. Chère Anne-Sophie vous enivrez cette pièce de votre beauté, j’ai très envie de me régaler avec vous. »

Les larmes me montaient aux yeux. Ma mère… Elle aussi ? N’est-ce pas cela qui l’avait tué ? Cela expliquait bien des choses dans mon entourage. D’une main brutale il me poussa sur le lit. Je m’effondrai, j’avais du mal à garder ma dignité. J’étais facilement déshabillée il ne me restait que les bijoux et autres symboles de ma fonction. Salantas, lui, était aussi rapidement dévêtu et ma position de faiblesse face à lui semblait l’exciter.

Dans le lit je n’étais qu’un morceau de chair à se disposition, il passa rapidement les préliminaires, ses mains baladeuses et obscènes pénétraient mon intimité avec outrage. La bouche de Salantas avait goûté à mon sexe et mes seins puis avait abandonné ma peau encore toute frissonnante. Mon corps en voulait encore et mon bassin faisait des vas et viens indécents. Je n’étais qu’une chose entre les mains manipulatrices qui jouaient avec moi. Les seins, mes fesses, mes trous tous semblaient passionner ses doigts joueurs. Mon silence se faisait le meilleur ambassadeur de ma soumission tout ce que ses mains me faisaient faire je l’acceptais sans rébellion. Il écarta soudain mes lèvres et y introduit sa langue vénéneuse de plaisir déversant à ce moment en moi des flots d’émotions enivrantes m’obligèrent à ouvrir ma savoureuse bouche afin que mon trop plein de jouissance s’en échappe contre mon gré. J’étais prête et il le sentit. Nos sexes en chaleurs émettaient une odeur sulfureuse d’ambiance palpable tant la concentration était forte. Chaque mouvements ou touchés s’accompagnaient d'un bruit de liquide.
Il me mit en levrette et plaça son sexe à l’entrée, mes chairs s’écartaient d’elles-mêmes tellement que je le désirais en moi.
Coït immédiat fut tellement fort qu’il m’arracha un gémissement libérateur et révélateur. La chaleur se propageait en moi alors que le pénis du Tzar écartait mon intérieur pour le frictionner de tous son long, ses cuisses et ses bourses battaient en rythme mon arrière échauffé tous mon corps se mouvait comme pris dans l’engrenage de la volupté. Le plaisir en moi faisait une explosion à chaque fois qu’il arrivait au bout et que ses bourses chatouillaient mon clitoris. Je le sentais chaud en moi frissonnant autant que moi c’était un dialogue d’émotions et de sensations enivrantes. Le bien se faisait maître de mon corps pour me contrôler totalement s’appartenait à ce pénis qui glissait dans mon vagin rouge trempait d’amour et de perversité.
A genou dos à lui, mes fesses bien écartaient il entrait et sortait. J’haletais à chaque fois qu’il se retirait pour mieux le recevoir. En dehors nous restions reliés par un filé de gluant et mon vagin s’écartait à nouveau lors de son retour. Plusieurs comme cela me suffit à devenir folle de frustration, quant il était en moi, son vié me massait soigneusement l’intérieur. Son sexe était sur le point d’explosait tellement qu’il était enflé son gland bien gros et lice à la peau tendu et rouge prenait toute la place à l’intérieur et poussait toujours plus loin pour être le plus profond possible. Esclave de mes émotions extravagante, je me pouvais que jouir de ce touché entre sexe. Je ne me pas compte de suite que ma main s’était approchait de mon clitos pour lui donner plus de plaisir, car je me sentais frustré tellement j’en demandais, pourtant Salantas m’inondait de minis orgasmes. Mon corps n’était qu’une chose orgasmique qui vibrait à la cadence du membre qui me prenait entre les jambes.
Des mains possessives m’attrapèrent aux hanches et donnèrent à mon corps fin un mouvement amplifié à un rythme soutenue. Sous les sensations étourdissantes du plaisir brutal qui me secouait mes mains empoignèrent le drap avec force pour essayer d’évacuer tous le stress qui m’envahissait comme une drogue que voulait plus arrêter. Les bruits de sussions qui animait mon trou féminin. Mes chairs bougeaient en même temps son sexe royal, les replis de ma peau sensible s’étendaient pour envelopper le pal de Salantas. J’accompagné ses mouvements et créait la caresse entre nous. Mes petits cris signifiaient de l’accélération du rythme. Mon plaisir grandissait en même que la vitesse, tous mon corps se contracter autour de lui. Ma face crispée mes bras tendus et mes orteils recroqueviller, mon cris devenait continu. Il était fou en moi et son sexe n’était plus qu’une vibration qui m’arracha l’orgasme suprême. Peu à peu que l’orgasme m’envahissait son sperme m’inondait, je sentais les jets en moi et chacun me soulait de bien être et de chaleur.
J’étais essoufflée, il se retira me laissant là sur lit là, avachit et abandonnée sur lit comme un déchet sexuel. J’étais vidé sans force et sans volonté. La transpiration recouvrée tout mon corps souillait, les jambes gluantes de sécrétion et mon sexe dégoulinant de sperme.

« Se sera vous ou l’Europe ! » Telle était sa sentence avant qu’il ne sorte de la chambre.

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