Rencontre fortuite
Récit érotique écrit par Généreux [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-02-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Rencontre fortuite
Couple candauliste, c'est généralement en présence de mon mari que je donne (du moins je l'espère) du bonheur à des hommes âgés. C'est mon fétichisme, mon plaisir, ma découverte de la sexualité c'est faite avec de tels hommes et je ne regrette rien. Mais il m'arrive de faire des rencontres seule, certains ne veulent pas d'un autre homme qui les regarde et parfois parce-que c'est de "l'imprévu". Voici une rencontre non-prévue mais formidable. PS: A chaque fois je les raconte à mon homme, nous ne nous cachons rien.
Ayant terminé ma journée de travail j'ai pris le bus 73 qui me ramenait près de chez moi (depuis nous avons déménagé). Il devait être aux alentours de 18h30, l'air était étouffant en cette journée de printemps et le bus était bondé comme d'habitude. Pas de places assises de libre, il m'a fallu rester debout, ce que je ne regrette pas du tout. J'avais très chaud malgré que j'étais peu vêtue. Ce qui me gênait le plus c'était mon collant moite de transpiration, j'essayais bien de le décoller de temps en temps en passant discrètement une main sous ma jupe, mais ça avait peu de résultat. Une grosse femme était tout contre moi, c'était dérangeant car il émanait d'elle une forte odeur de transpiration. Je me suis dégagée et, tant bien que mal, ai avancé d'un mètre pour me dégager d'elle. Ce ne fut pas évident, la densité de gens étant très forte. Cela ne changea pas grand chose si ce n'est l'absence de cette odeur ammoniaquée, mais j'étais toujours compressée par d'autres usagers. Tout à coup j'ai senti des frôlements sur mes fesses,j'ai attendu quelques instants puis ai bien compris qu'il s'agissait d'une main qui n'était pas "innocente", j'ai tourné la tête et ai constaté que la personne derrière moi était un papy. Il était tout mignon, petit et rondouillard avec une bouille d'ange. Je n'ai pu m'empêcher de lui sourire, ce fut plus fort que moi. Il m'arrive de temps en temps de me faire "toucher" dans le bus, mais ça ne va jamais plus loin. Jamais je ne fais de scandale, j'en suis même assez flattée.
Malheureusement, du fait que je m'étais retournée, le petit bonhomme a cessé ses caresses. Moi, maintenant, j'avais envie qu'il continue et j'ai reculé de quelques centimètres pour me plaquer contre lui. Salope (c'est ce que m'a dit mon mari en riant lorsque je lui ai tout raconté), je me suis discrètement mise à bouger de façon à bien me frotter à lui. Avait-il compris mon petit jeu (je ne lui ai pas demandé), toujours est-il que très vite j'ai senti le dos de sa main sur ma jambe qui caressait au rythme des soubresauts du bus. J'étais de plus en plus excitée et ma petite culotte devenait de plus en plus humide. Dans un élan machinal je me suis complètement retournée, collée contre lui mes seins le touchaient. Je me suis penchée à son oreille et, tout bas, lui ai dit: "continuez svp".
Il n'osait pas me regarder, n'empêche qu'il a vite glissé une main sous ma jupe et m'a caressé la chatte. J'adorais ça, nous étions entourés de plein de gens qui ne s'imaginaient pas ce qui se passait. Je mouillais, je mouillais, il y avait longtemps que je n'avais plus été aussi excitée. Alors, toujours d'une voix basse, je lui ai demandé si il voulait qu'on s'amuse un peu plus tous les 2. Il m'a fait un signe de tête affirmatif et je lui ai demandé si il connaissait un hôtel où m'emmener. Ce qu'il me répondit me transporta de joie, il habitait seul et nous pouvions aller chez lui. Comble de chance, son appartement était situé à 3 rues de chez moi (bizarre que je ne l'aie jamais vu auparavant).
Parvenus à l'arrêt nous avons marché quelques mètres et sommes montés chez lui au 2ème étage d'un bel immeuble.
Là j'ai envoyé un texto à mon mari: "Je serai beaucoup en retard, je vais jouer", c'est toujours ainsi que je le préviens quand j'ai une aventure imprévue et il comprend. Papy (c'est ainsi que je vais le nommer car je n'ai jamais su son prénom) m'a invitée à m'asseoir et s'en est allé dans la cuisine pour chercher des verres (je le soupçonne d'y avoir pris une petite pilule dopante) et est revenu avec une bouteille de coca. J'aurais préféré un alcool, mais je n'ai rien dit. Nous avons bavardé un certain temps, trop long à mon gout. Il voulait savoir si j'étais mariée, si je me faisais payer, ...
J'ai répondu à toutes ses questions, mais je n'étais pas venue chez lui pour ça et je lui ai demandé d'aller faire un brin de toilette, "j'irai ensuite" ai-je ajouté. Il est allé laver l'essentiel puis m'a proposé de me rendre à la salle d'eau.
Sur le bord du lavabo il avait déposé le nécessaire, j'ai abaissé mon collant et ma petite culotte pour me laver le minou et ai pris mon parfum pour en asperger sur mon bas-ventre. Quand je suis revenue près de lui il ne portait plus qu'un caleçon, ce qui m'a permis de voir que (pilule ou pas ?) la nature avait fait son boulot car une bosse énorme déformait le tissu, j'ai tout de suite compris que j'allais peut-être être gâtée. J'ai pris ma position préférée dans de telles situations, à califourchon sur lui. J'aime être ainsi en position dominante, cela me donne une impression de pouvoir. J'ai retiré ma blouse ainsi que mon SG puis me suis penchée pour l'embrasser. Ses mains me palpaient les fesses sous ma jupe et je sentais qu'un doigt tentait de perforer le nylon de mon collant. N'y arrivant pas il me demanda de me mettre nue. Je me suis levée et avec lenteur ai ôté ce qu'il me restait, c'est à dire ma jupe, mon collant et ma culotte. Il s'est mis sur le bord du canapé et m'a léchée avec avidité. Tout en se régalant de ma chatte il me caressait les fesses, jusqu'au moment où sa main s'est insinuée entre elles et qu'un doigt est allé titiller mon antre du diable (c'est ainsi que mon homme appelle mon anus). "Papy est donc un petit cochon" ai-je pensé. 1 doigt a remplacé sa langue et il m'a branlée. Enervée de plaisir mes fesses se sont serrées, comprimant le doigt qui s'occupait de ma rosace. Pensant qu'il se disait peut-être que je ne voulait pas qu'il me pénètre l'arrière je l'ai rassuré en lui disant que c'était dû à l'excitation que j'éprouvais. Cela eut pour effet de l'encourager et il augmenta la rapidité de la masturbation qu'il me prodiguait. Le bonheur sexuel était tel que je n'ai pu m'empêcher de crier mon plaisir et il me demanda de ne pas trop crier à cause des voisins. Un peu vexée, je me suis reculée et lui ai demandé pour que nous allions dans la chambre. Au passage j'ai pris mon petit sac contenant des préservatifs, même si il était âgé rien ne me disait qu'il n'avait pas eu de relation ces derniers temps.
"Nous allons dans la chambre d'amis, dans la mienne le lit n'est pas fait" me dit-il. Ce n'était pas plus mal car j'ai constaté que les draps étaient propres. Tandis que j'étais déjà couchée sur le lit, lui se baladait une partie de son sexe à l'air pour fermer les tentures et allumer la petite lampe sur la table de chevet. Lorsqu'il s'est couché à mes côtés je l'ai prévenu, en lui montrant les préservatifs, qu'il devrait se protéger lorsqu'il me pénétrerait. Il a retiré son caleçon et s'est blotti contre moi. Nous nous embrassions tout en jouant tous les 2 avec le sexe de l'autre. J'ai repensé à mon idée d'un peu plus tôt car sa queue était magnifiquement raide alors qu'il devait bien avoir la septantaine. (J'ai connu, et je connais encore, beaucoup de partenaires de cet âge et il est rare qu'ils bandent encore aussi fort même si ils sont encore vaillants). Un tel engin il fallait que j'y goûte, je suis descendue à sa hauteur. Le savon dont il s'était servi avait laissé une odeur floral, c'était agréable. "Tourne-toi" s'est-il exprimé, j'ai compris qu'il souhaitait un 69 et ai réalisé son désir. Pendant que je le suçais je me suis mise à me demander si il n'était pas risqué de trop bien faire, je ne tenais pas à ce qu'il éjacule trop vite, surtout avant de m'avoir donné du plaisir. Donc j'y suis allée doucement, m'occupant presque plus de ses testicules que de son sexe. Lui il insinuait merveilleusement sa langue en moi, cessant parfois pour me lécher et me mordiller mon clito. J'aurais voulu que ça dure éternellement tellement c'était bon, j'ai même été légèrement déçue lorsqu'il cessa. Il m'a demandé de lui donner un préservatif qu'il a déroulé sur son sexe, ensuite il s'est allongé sur moi et m'a pénétrée. Entre parenthèses, le seul regret que j'ai eu ce soir-là fut un manque de diversité. J'avais les jambes relevées et il s'activait en moi, j'ai deviné que si je ne prenais pas les choses en mains ce serait tout ce que à quoi j'aurais droit. Je l'ai repoussé légèrement et lui ai dit que j'aimerais changer de position, je me suis mise comme pour une levrette mais ce n'était pas ce que je désirais. Un peu plus tôt il avait allumé un incendie quelque part et ce "quelque part" souhaitait être éteint, je voulais qu'il me sodomise. Lorsqu'il tenta une pénétration "normale" je lui ai dit que ce n'était pas là que je souhaitais tout en lui indiquant ma rosace. Je fus exaucée, lentement, petit à petit, il inséra tout son membre et s'est activé. J'adore être prise ainsi et j'accompagne toujours en me caressant mon minou. Ce qui fut dommage c'est qu'il ne tint pas longtemps, moins de 5 minutes et il a déchargé. Il s'est retiré, je me suis allongée face sur le lit tout en continuant à me branler. Tout fut bon et agréable, mais avec un grand trop peu. Je suis allée me rincer puis suis retournée chez moi où mon homme m'attendait bien sagement. Ce soir-là nous avons mangé fort tard et il était presque 01h00 quand nous sommes allés au lit. Cela n'a pas empêché que je lui raconte tout pendant qu'il a calmé les ardeurs qu'il me restait n'ayant pas été totalement comblée.
Bisous à vous tous et toutes.
Ayant terminé ma journée de travail j'ai pris le bus 73 qui me ramenait près de chez moi (depuis nous avons déménagé). Il devait être aux alentours de 18h30, l'air était étouffant en cette journée de printemps et le bus était bondé comme d'habitude. Pas de places assises de libre, il m'a fallu rester debout, ce que je ne regrette pas du tout. J'avais très chaud malgré que j'étais peu vêtue. Ce qui me gênait le plus c'était mon collant moite de transpiration, j'essayais bien de le décoller de temps en temps en passant discrètement une main sous ma jupe, mais ça avait peu de résultat. Une grosse femme était tout contre moi, c'était dérangeant car il émanait d'elle une forte odeur de transpiration. Je me suis dégagée et, tant bien que mal, ai avancé d'un mètre pour me dégager d'elle. Ce ne fut pas évident, la densité de gens étant très forte. Cela ne changea pas grand chose si ce n'est l'absence de cette odeur ammoniaquée, mais j'étais toujours compressée par d'autres usagers. Tout à coup j'ai senti des frôlements sur mes fesses,j'ai attendu quelques instants puis ai bien compris qu'il s'agissait d'une main qui n'était pas "innocente", j'ai tourné la tête et ai constaté que la personne derrière moi était un papy. Il était tout mignon, petit et rondouillard avec une bouille d'ange. Je n'ai pu m'empêcher de lui sourire, ce fut plus fort que moi. Il m'arrive de temps en temps de me faire "toucher" dans le bus, mais ça ne va jamais plus loin. Jamais je ne fais de scandale, j'en suis même assez flattée.
Malheureusement, du fait que je m'étais retournée, le petit bonhomme a cessé ses caresses. Moi, maintenant, j'avais envie qu'il continue et j'ai reculé de quelques centimètres pour me plaquer contre lui. Salope (c'est ce que m'a dit mon mari en riant lorsque je lui ai tout raconté), je me suis discrètement mise à bouger de façon à bien me frotter à lui. Avait-il compris mon petit jeu (je ne lui ai pas demandé), toujours est-il que très vite j'ai senti le dos de sa main sur ma jambe qui caressait au rythme des soubresauts du bus. J'étais de plus en plus excitée et ma petite culotte devenait de plus en plus humide. Dans un élan machinal je me suis complètement retournée, collée contre lui mes seins le touchaient. Je me suis penchée à son oreille et, tout bas, lui ai dit: "continuez svp".
Il n'osait pas me regarder, n'empêche qu'il a vite glissé une main sous ma jupe et m'a caressé la chatte. J'adorais ça, nous étions entourés de plein de gens qui ne s'imaginaient pas ce qui se passait. Je mouillais, je mouillais, il y avait longtemps que je n'avais plus été aussi excitée. Alors, toujours d'une voix basse, je lui ai demandé si il voulait qu'on s'amuse un peu plus tous les 2. Il m'a fait un signe de tête affirmatif et je lui ai demandé si il connaissait un hôtel où m'emmener. Ce qu'il me répondit me transporta de joie, il habitait seul et nous pouvions aller chez lui. Comble de chance, son appartement était situé à 3 rues de chez moi (bizarre que je ne l'aie jamais vu auparavant).
Parvenus à l'arrêt nous avons marché quelques mètres et sommes montés chez lui au 2ème étage d'un bel immeuble.
Là j'ai envoyé un texto à mon mari: "Je serai beaucoup en retard, je vais jouer", c'est toujours ainsi que je le préviens quand j'ai une aventure imprévue et il comprend. Papy (c'est ainsi que je vais le nommer car je n'ai jamais su son prénom) m'a invitée à m'asseoir et s'en est allé dans la cuisine pour chercher des verres (je le soupçonne d'y avoir pris une petite pilule dopante) et est revenu avec une bouteille de coca. J'aurais préféré un alcool, mais je n'ai rien dit. Nous avons bavardé un certain temps, trop long à mon gout. Il voulait savoir si j'étais mariée, si je me faisais payer, ...
J'ai répondu à toutes ses questions, mais je n'étais pas venue chez lui pour ça et je lui ai demandé d'aller faire un brin de toilette, "j'irai ensuite" ai-je ajouté. Il est allé laver l'essentiel puis m'a proposé de me rendre à la salle d'eau.
Sur le bord du lavabo il avait déposé le nécessaire, j'ai abaissé mon collant et ma petite culotte pour me laver le minou et ai pris mon parfum pour en asperger sur mon bas-ventre. Quand je suis revenue près de lui il ne portait plus qu'un caleçon, ce qui m'a permis de voir que (pilule ou pas ?) la nature avait fait son boulot car une bosse énorme déformait le tissu, j'ai tout de suite compris que j'allais peut-être être gâtée. J'ai pris ma position préférée dans de telles situations, à califourchon sur lui. J'aime être ainsi en position dominante, cela me donne une impression de pouvoir. J'ai retiré ma blouse ainsi que mon SG puis me suis penchée pour l'embrasser. Ses mains me palpaient les fesses sous ma jupe et je sentais qu'un doigt tentait de perforer le nylon de mon collant. N'y arrivant pas il me demanda de me mettre nue. Je me suis levée et avec lenteur ai ôté ce qu'il me restait, c'est à dire ma jupe, mon collant et ma culotte. Il s'est mis sur le bord du canapé et m'a léchée avec avidité. Tout en se régalant de ma chatte il me caressait les fesses, jusqu'au moment où sa main s'est insinuée entre elles et qu'un doigt est allé titiller mon antre du diable (c'est ainsi que mon homme appelle mon anus). "Papy est donc un petit cochon" ai-je pensé. 1 doigt a remplacé sa langue et il m'a branlée. Enervée de plaisir mes fesses se sont serrées, comprimant le doigt qui s'occupait de ma rosace. Pensant qu'il se disait peut-être que je ne voulait pas qu'il me pénètre l'arrière je l'ai rassuré en lui disant que c'était dû à l'excitation que j'éprouvais. Cela eut pour effet de l'encourager et il augmenta la rapidité de la masturbation qu'il me prodiguait. Le bonheur sexuel était tel que je n'ai pu m'empêcher de crier mon plaisir et il me demanda de ne pas trop crier à cause des voisins. Un peu vexée, je me suis reculée et lui ai demandé pour que nous allions dans la chambre. Au passage j'ai pris mon petit sac contenant des préservatifs, même si il était âgé rien ne me disait qu'il n'avait pas eu de relation ces derniers temps.
"Nous allons dans la chambre d'amis, dans la mienne le lit n'est pas fait" me dit-il. Ce n'était pas plus mal car j'ai constaté que les draps étaient propres. Tandis que j'étais déjà couchée sur le lit, lui se baladait une partie de son sexe à l'air pour fermer les tentures et allumer la petite lampe sur la table de chevet. Lorsqu'il s'est couché à mes côtés je l'ai prévenu, en lui montrant les préservatifs, qu'il devrait se protéger lorsqu'il me pénétrerait. Il a retiré son caleçon et s'est blotti contre moi. Nous nous embrassions tout en jouant tous les 2 avec le sexe de l'autre. J'ai repensé à mon idée d'un peu plus tôt car sa queue était magnifiquement raide alors qu'il devait bien avoir la septantaine. (J'ai connu, et je connais encore, beaucoup de partenaires de cet âge et il est rare qu'ils bandent encore aussi fort même si ils sont encore vaillants). Un tel engin il fallait que j'y goûte, je suis descendue à sa hauteur. Le savon dont il s'était servi avait laissé une odeur floral, c'était agréable. "Tourne-toi" s'est-il exprimé, j'ai compris qu'il souhaitait un 69 et ai réalisé son désir. Pendant que je le suçais je me suis mise à me demander si il n'était pas risqué de trop bien faire, je ne tenais pas à ce qu'il éjacule trop vite, surtout avant de m'avoir donné du plaisir. Donc j'y suis allée doucement, m'occupant presque plus de ses testicules que de son sexe. Lui il insinuait merveilleusement sa langue en moi, cessant parfois pour me lécher et me mordiller mon clito. J'aurais voulu que ça dure éternellement tellement c'était bon, j'ai même été légèrement déçue lorsqu'il cessa. Il m'a demandé de lui donner un préservatif qu'il a déroulé sur son sexe, ensuite il s'est allongé sur moi et m'a pénétrée. Entre parenthèses, le seul regret que j'ai eu ce soir-là fut un manque de diversité. J'avais les jambes relevées et il s'activait en moi, j'ai deviné que si je ne prenais pas les choses en mains ce serait tout ce que à quoi j'aurais droit. Je l'ai repoussé légèrement et lui ai dit que j'aimerais changer de position, je me suis mise comme pour une levrette mais ce n'était pas ce que je désirais. Un peu plus tôt il avait allumé un incendie quelque part et ce "quelque part" souhaitait être éteint, je voulais qu'il me sodomise. Lorsqu'il tenta une pénétration "normale" je lui ai dit que ce n'était pas là que je souhaitais tout en lui indiquant ma rosace. Je fus exaucée, lentement, petit à petit, il inséra tout son membre et s'est activé. J'adore être prise ainsi et j'accompagne toujours en me caressant mon minou. Ce qui fut dommage c'est qu'il ne tint pas longtemps, moins de 5 minutes et il a déchargé. Il s'est retiré, je me suis allongée face sur le lit tout en continuant à me branler. Tout fut bon et agréable, mais avec un grand trop peu. Je suis allée me rincer puis suis retournée chez moi où mon homme m'attendait bien sagement. Ce soir-là nous avons mangé fort tard et il était presque 01h00 quand nous sommes allés au lit. Cela n'a pas empêché que je lui raconte tout pendant qu'il a calmé les ardeurs qu'il me restait n'ayant pas été totalement comblée.
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